Me relevant immédiatement et me reculottant rapidement, je disparaissais dans la cuisine y préparer la table pour le déjeuner de ce mercredi … mais inquiétude de ma part, Geneviève n’avait donc eu connaissance que d’une seule et unique mauvaise note, le 8/20 en mathématiques et à priori pas du 7/20 en français … devais-je le lui avouer de suite, mais je craignais une seconde fessée immédiate que mes fesses bien douloureuses n’auraient certainement pas supporté, alors tant pis quand elle le saurait … mais tout compte fait, peut-être aurais-je dû lui annoncer ?
Jeudi et vendredi passèrent sans la moindre remarque de Geneviève soit sur le chemin du retour, soit lors de nos repas en soirée et en tête à tête, quoique je me sentais observé et même si moralement et surtout physiquement, principalement du côté de mes muscles fessiers, j’étais résigné à une nouvelle bonne fessée, pour ne pas dire correction, sans aucune faute le samedi après-midi …
Ce samedi après-midi attendu et redouté, arriva, mais rien ne se passa … impossible que Geneviève n’ait pas eu connaissance, soit par le registre de notes des classes, soit par une de ses collègues de ma seconde mauvaise note de cette semaine … Au cours du dîner, Geneviève ne fit aucun commentaire, mais seulement à la fin, m'annonça enfin qu’elle avait eu connaissance de ma seconde mauvaise note hebdomadaire, tout en précisant que nous réglerions ceci plus tard, avant la fin du week-end et je fus étonné en cette fin de soirée, de n'être ni convoqué et fessé ni dans son bureau comme cela s’était habituellement et auparavant produit, ni dans le salon, ni même immédiatement dans la cuisine ! Mais je fus quand même privé de soirée TV et immédiatement envoyé me coucher.
Le lendemain, dimanche matin, Je descendis en pyjama, comme je le faisais chaque matin pour prendre mon petit déjeuner dans la cuisine où Geneviève m’attendait. Déjà habillée, en robe et escarpins, manteau et sac à main sur le dos d’une chaise, elle m’annonça qu’elle devait se rendre en ville chercher ses revues à la librairie voisine, mais qu’avant elle avait attendu que je descende de ma chambre et qu’avant que je prenne et finisse mon petit déjeuner, qu’elle allait rapidement régler entre nous ce différend sur cette seconde mauvaise note et qu’elle allait me fesser maintenant avant de sortir en ville ; je la vis installer une chaise au milieu de la cuisine, elle s’y assit tout en prenant soin, comme à chaque fois, de remonter sa robe haut sur ses cuisses pour m’éviter de la froisser en y prenant position à plat ventre et je ne pus m’empêcher de rougir, du moins du visage pour le moment, lorsque j’aperçus la lisière de ses bas chair et les attaches de ses jarretelles blanches …
Et c’est tout ému car sachant qu’il était inutile de lui résister, que je répondis au signe impérieux de son index droit m’ordonnant de m’approcher d’elle, puis tout contre ses cuisses et ses bas sur sa droite … Contrairement aux deux fois précédentes, elle n’exigea pas que je me déculotte avant de prendre position, mais le fis elle-même, prenant soin, avec lenteur de tirer vers le bas la ceinture élastique de mon pantalon de pyjama, ce qu’elle fit sans difficulté par rapport aux fois précédentes quand je portais un pantalon classique, avec boutonnière et zip … Le pantalon de toile légère tomba rapidement sur mes chevilles et Geneviève m’ordonna aussitôt de m’en débarrasser en l’enjambant, tout en me tapotant mes fesses nues de ses deux mains … J'enjambais le pantalon, pieds nus sur le carrelage froid de la cuisine et nu de la taille aux pieds, face à elle ; me tirant en me tenant d’une main les poignets et de l’autre me poussant des fesses, elle me fit rapidement basculer en travers ses bas nylon, rugosité des bas, surprenante par rapport à la tiédeur des cuisses de leur propriétaire … Me maintenant toujours les poignets bloqués de sa main gauche dans mon dos, ce qui ne prévoyait rien de bon sur la continuité des événements car jusqu’à présent, Geneviève ne me maintenait par les poignets que lorsque je cherchais à me protéger les fesses des deux mains lorsque intensité et chaleur de la fessée qu’elle m’administrait devenaient insupportables … Buste penché en avant, le visage à quelques centimètres du sol en carrelage dont je sentais à la fois la fraîcheur, mais aussi celle de la pièce effleurant mes fesses nues tendues vers la main droite de Geneviève qui tardait à entrer en action en me claquant les fesses, mes les effleurant pour l’instant des extrémités de ses doigts … Cette situation, cette position, ainsi que la tiédeur des cuisses de ma correctrice, commençaient à produire sur mon intimité plaquée contre le nylon des bas, une situation qui aurait du être agréable, mais dans la situation actuelle devenait désagréable, surtout que Geneviève allait s’en rendre tôt ou tard compte, en constatant ma raideur naissante contre ses cuisse et ce qui ne tarda pas …
« J’ai l’impression que l’attente de cette fessée plus que méritée semble t’exciter ! Tu aurais du m’avouer ta deuxième mauvaise note mercredi soir, ce qui aurait eu pour conséquence pour toi de recevoir une nouvelle fessée en soirée, mais moins sévère que celle que je te réserve et que tu vas recevoir … et comme l’attente d’une bonne fessée semble t’exciter et comme tu sembles aussi aimer la fessée, et bien je ne vais pas te décevoir ! »
Geneviève appuya de son bras gauche sur mes épaules, sans me lâcher les poignets, pour me faire encore plus pencher en avant, ce qui me déséquilibra encore plus vers l’avant d’un côté, tandis que de l’autre, la pointe e mes pieds ne touchaient plus le sol ; sa main droite caressante jusqu’à présent, décolla de mes fesses nues et tendues et elle commença à me fesser fermement , par une bonne douzaine de claques très fortes sur chacune des fesses alternativement, claques qui résonnèrent bruyamment à la fois sur mes fesses et dans la cuisine, me forçant à me débattre sur place pour atténuer la cuisson.
Après une courte pause, pendant laquelle il me sembla que Geneviève admirait son ouvrage, une nouvelle série de claques vinrent à la fois enflammer mes fesses, mais aussi embuer mes yeux de larmes même si ma fierté m’imposait d’implorer Geneviève d’arrêter, cette nouvelle fessée ravivant la douleur de celle reçue quelques jours auparavant, tout aussi claquante, mais beaucoup moins cuisante et longue ! Au final je ne pus m’empêcher de la supplier d’arrêter entre deux sanglots, mais rien n’y fit, la fessée continuant de plus belle et je finis par ne plus me débattre plaqué en travers de ses cuisses, malgré la brûlure et la douleur insupportables …
Quand la fessée cessa enfin et je ne sais pas combien de claques j’avais reçu en tout … tout ce que je ressentais, après cette magistrale correction, c’était l’affreuse brûlure qui s’étendait sur toute la surface de mes fesses tout entières tant j’avais été fessé avec une extrême sévérité … Ramassant et enfilant rapidement mon pantalon de pyjama sur mes fesses nues et retournant rapidement dans ma chambre … malgré une douche glacée sur la partie la plus charnue de ma personne avant de m’habiller, la cuisson persista jusqu’à la fin de la matinée et sembla se raviver quand Geneviève revint de sa sortie avec ses revues ...
A partir de cette mémorable fessée, mes résultats scolaires s’améliorèrent, surtout quand Geneviève annonça que désormais elle adopterait, systématiquement pour son côté pratique et rapide, la fessée en pyjama pour laquelle, je serais seulement vêtu de ma veste de pyjama …
Après une courte semaine de congé scolaire début novembre, pendant laquelle je pus rentrer chez les miens, je revins ensuite chez Geneviève, ayant compris que je devais absolument travailler et la fessée disparut de mon séjour chez Geneviève, mais pas de mon éducation, car une de ses amies, « prof » elle aussi veillait, mais cela est une autre histoire ...
A suivre ...
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