vendredi 9 juin 2017

Les entretiens privés avec Geneviève - chapitre 2

Une fois dans ma chambre, je venais juste d'en refermer la porte quand j'entendis sonner à la porte d'entrée : le rendez-vous de Geneviève. La sachant retenue un long moment pour son cours particulier et sachant qu'elle ne risquait pas d'arriver à l'improviste dans ma chambre, je me déculottais à mi-cuisses pour vérifier l'état de mes fesses dans le miroir de ma penderie et pour constater qu'elles étaient écarlates et les caressant, je fus surpris par leur chaleur. Rapidement je me rhabillais et m'asseyais avec précaution  pour me mettre au travail, mais chaque fois que je bougeais sur ma chaise, mes fesses douloureuses, se rappelaient à mon bon souvenir tout au cours de l'après-midi.
Une fois son rendez-vous parti, Geneviève vint me trouver et le seul commentaire qu'elle me fit sur cette première fessée fut :
"J'espère que tu as compris que tu es ici avec moi pour travailler, sinon sache que je suis prête à recommencer autant de fois que ce sera nécessaire ! Tes fesses seront fatiguées avant moi !"
Le soir même et les jours suivants, elle ne me fit plus aucun commentaire ou allusion à cette première fessée privative entre nous. Après cette sérieuse « prise en main » de sa part, autant dire que je me suis tenu tranquille et suis devenu travailleur assidu pendant deux semaines minimum ... mais, fin septembre, une fois cette période laborieuse passée, je me relâchais ce qui me valut cette fois deux bonnes fessées dans la même semaine ... je me fis surprendre par un devoir de math avec une note de 8/20, ainsi que d'un de français avec un 7/20... dès le mercredi matin, Geneviève eut connaissance de mes résultats en math, ce que je compris à son regard en la croisant dans la matinée dans les couloirs de l'établissement... 
Dès le retour du lycée je savais ce qui m'attendait après le déjeuner, mais à ma surprise, Geneviève n'attendit pas le déjeuner car à peine rentrés, manteaux ôtés et cartables posés, elle me fit prendre de suite la direction de son bureau où debout face à moi, bras croisés, regard sévère, me dominant d’une bonne tête, même sans ses escarpins, elle écouta mes explications ... et me fis immédiatement ce commentaire :
"J'espérais que tu avais compris la dernière fois que tu  ici avec moi pour travailler, mais cela ne semble pas encore acquis … allez en tenue et en position sur mes cuisses et en vitesse !!!!"
Hésitant encore à me déculotter entièrement, je dégrafais et baissais uniquement mon pantalon, gardant mon slip sur mes fesses ... entre temps, bien sûr, Geneviève avait déjà pris et mis une chaise en place, sur laquelle elle était déjà assise, remontant sa jupe à mi-cuisses, faisant ainsi à nouveau apparaître la lisière de ses bas chair et ses jarretelles blanches, ce qui m’émut et me fit rougir … de l’index elle me fit signe d’approcher et me désigna ses cuisses, en travers desquelles je pris place, à nouveau tête en bas, mains au sol et derrière sur élevé …  Une fois en place,  Geneviève, me précisa : « Fesses nues t’ai-je dit ! » et joignant le geste à la parole, me déculotta généreusement jusqu’aux genoux, pantalons et slips baissés …
Sans perdre de temps, elle se mit immédiatement à l’ouvrage, et cette fois mes fesses crépitèrent à la fois rapidement, sans me laisser prendre conscience de l’air frais caressant mes fesses nues, ni le contact rêche de bas contre mon ventre et mon intimité nue, l’intervalle entre chaque claque étant insignifiant, la paume de sa main rebondissant sur chacune de mes fesses alternativement … de nouveau je n’eus ni la tête, ni les fesses, ni le temps de compter combien de claques tombèrent, mais plusieurs dizaines, ni le temps de compter le temps … de toute façon, tête en bas je ne voyais ni horloge, ni montre et ne les entendais pas non plus, le seul bruit dans la pièce étant celui de claques sèches et rapides sur mes fesses nues … j’eus beau promettre de mieux travailler, battre des jambes, rien n’y fit, Geneviève poursuivant mon éducation … la seule pause pour moi fut lorsque les fesses bien douloureuses et en feu, je cherchais à me les protéger des deux mains … Geneviève cessa de me corriger, mais d’une main elle me lâcha la taille pour me saisir les poignets, qu’elle courba au creux de mes reins et sa main reprit sa cadence de fesseuse expérimentée … quand enfin, elle cessa, j’avais des larmes dans les  yeux !!!
Je me relevais immédiatement sans attendre, me reculottant rapidement, tandis que Geneviève se levant et lissant sa jupe m’ordonna d’aller préparer la table pour le déjeuner … elle n’avait eu connaissance que du 8/20 en mathématiques et à priori pas du 7/20 en français … je me sentais mal et craignais le pire quand elle le saurait … peut-être aurais-je dû lui annoncer avant cette nouvelle fessée ? En tous les cas, vu l'état de mes fesses, je me voyais mal lui avouer après déjeuner, mais elle allait le savoir rapidement, ce qui ne prévoyait rien de bon pour mes fesses fort mal en point en fin de semaine !

A suivre ...

Premier épisode : chapitre 1

Pour réagir directement auprès d'Alain : Juves Fandor ou bien laisser un commentaire sur le blog.

15 commentaires:

  1. Une bonne fessée pour un vilain garçon qui n'a pas bien travaillé, je trouve que c'est mérité !

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Je suis d’accord c’est mérité. Moi lorsque mon carnet de note n’était pas bon ou lorsque les profs se plaignaient de la tenue c’était aussitôt une bonne fessée et c’était mérité. Ça t’arrivait aussi...?

      Supprimer
    2. C’était bien sûr la fessée déculottée et souvent aussi mon père décrochait le martinet et je peux te dire que ça cinglait bien sur mes fesses et mes cuisses nues. Interdiction de se reculotter et vite dans ma chambre en pleurs sans discuter. Je savais très bien pourquoi j’étais puni et c’était mérité. J’avais intérêt à me mettre vite à faire vite mes devoirs et à apprendre mes leçons et c’était vérifié en détail. Sinon je me retrouvais à nouveau sur les genoux paternels pour une bonne correction clac clac clac clac.... chez moi il fallait travailler à l’école et obéir sinon c’était la fessée et une bonne je t’assure et comme j’étais un ado un peu rebelle et parfois paresseux j’étais souvent fessé comme d’ailleurs la plupart de mes camarades du collège. Certains étaient même attendus à la sortie du collège par leur mère avec le martinet. S’ils avaient fait des bêtises la culotte était baissée et ils étaient punis cu nu devant leurs camarades. C’était une bonne leçon et ils s’en souvenaient.

      Supprimer
  2. et si cela n'avait été qu'une ... mais ce fut la première d'une longue série à venir !!!

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Moi mes parents m’avaient inscrit dans un collège privé réputé pour son enseignement et sa discipline. Il faut dire que j’étais un gamin difficile. La punition redoutée de tous c’était la fessée déculottée. J’en ai reçu pas mal. Lorsque j’étais paresseux et que mes notes baissaient ou que les profs se plaignaient de mon comportement mon père baissait ma culotte et me fessait. J’étais prévenu. Lorsque je ramenais mon bulletin de notes je n’en menais pas large. Surtout si les notes étaient insuffisantes ou que les observations des profs fassent mention d’un mauvais comportement ou plus encore d’une insolence. Je savais ce qui m’attendait. Mon père tirait une chaise au milieu de la salle à manger et me basculait sur les genoux et c’était la fessée culotte nu. Et une bonne…

      Supprimer
    2. Félicitation à ton papa pour ses méthodes qui ont fait preuve de leur efficacité. La fessée au moins on s’en souvient et pour les gamins qui ont besoin d’une bonne reprise en main dont tu devais faire partie rien ne vaut une bonne fessée déculottée.

      Supprimer
  3. Oui un garçon qui ne travaille pas bien à l’école c’est normal qu’il reçoive la fessée déculottée. Moi j’en recevais au collège et je peux te dire qu’elles étaient cuisantes et carabinées. Une leçon non apprise, une dissipation en cours et on était retenu en classe pendant la récrée pour se faire enguirlander et le prof nous prenait par l’oreille jusqu’à l’estrade où était une chaise où il prenait place pour nous déculotter, nous basculer sur les genoux et nous fesser copieusement. On ressortait dans la cour les fesses rouges et les cuisses marquées des traces bien visibles de la fessée. La culotte courte laissait bien apparente les traces des doigts. On avait beau tirer sur fond de la culotte c’était pas suffisant. On se mettait à sangloter en se frottant les yeux. Et puis un jour alerté par une prof qui se plaignait de mon indiscipline et de mes insolences (j’étais en cinquième) papa était venu dans la cour du collège et, pour le donner une bonne leçon, devant tout le monde, il m’avait soulevé sous son bras puis il m’avait baissé la culotte et claqué les fesses nues. Cette fessée avait duré longtemps. Cette correction m’a fait passé l’envie de recommencer. D’autant plus que pour comble papa avait rencontré la jeune prof et l’avait autorisé à m’administrer une fessée déculottée devant toute la classe si je ne me mettais pas travail ou si je me dissipais. La menace devait être prise d’autant plus au sérieux que depuis le début de l’année, elle avait déjà fessé cul nu d’autres élèves devant toute la classes. Elle m’en avait déjà menacé à plusieurs reprises en plein cours devant toute la classe et papa lui donnait des idées pour me punir à mon tour sévèrement. J’allais peut-être être le prochain à recevoir une fessée déculottée sur l’estrade devant mes camarades…

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Et oui cette fessée donnée devant mes camardes m’a servi de leçon pendant un certain temps. Après la fessée magistrale j’étais tout honteux dans la cour et je rentrais en classe en sanglotant. Quelques camarades se moquaient de moi mais la plupart restaient silencieux. A la récréation beaucoup de copains l’hésitaient pas à évoquer avec moi les fessées qu’ils recevaient aussi souvent chez eux. Certains avaient même été fessés en classe par la prof sur l’estrade face à tous leurs camarades. Ceux-là étaient peu enclins à se moquer de moi. Et ceux qui n’avaient pas été punis restaient silencieux car il savaient que cela pouvait leur arriver. Pour moi mon naturel repris vite le dessus. Cela m’a valu une fessée déculottée sur l’estrade devant tout le monde. La honte.

      Supprimer
    2. Ton papa a eu bien raison de te fesser devant tes camarades c’était la meilleure façon de te donner une bonne leçon. Culotte baissée devant tes copains les fesses a l’air et clac clac clac, la fessée cul nu... je pense qu’il a bien rougi tes petites fesses. Tu devais moins faire le malin après...

      Supprimer
    3. Oui est vrai que ça m’a donné une bonne leçon et que je faisais moins le malin après avec mes cuisses toutes rouges et je ne parle même pas des fesses brûlantes. La culotte courte laissait en effet mes cuisses bien à l’air et tout le monde pouvait voir que j’avais été puni et que j’avais reçu la fessée. Mais très vite après mon naturel d’ado rebelle reprenait le dessus au risque d’une nouvelle punition et la fessée ça tombait souvent et c’était mérité.

      Supprimer
  4. Cette fessée donnée au collège par papa m’avait calmé pendant un certain temps. J’étais devenu plus sage et mes notes s’étaient améliorées. Tous les élèves du collège savaient maintenant que malgré mes bientôt treize ans je recevais encore la fessée. L’ado frondeur et insolent qui se prenait pour un grand était redevenu un gamin. La fessée déculottée me faisait filer. A la fin du première trimestre je m’étais à nouveau relâché. J’étais redevenu paresseux et dissipé et je perturbais souvent la classe. J’avais souvent été sévèrement grondé mais je restais insupportable et mes notes s’en ressentaient. La prof m’avait enfin promis la fessée si continuais mes bêtises. A la récréation deux ou trois grands gaillards redoublants de ma classe s’étaient moqués de moi mais presque tous les autres élèves de la classe m’avaient défendus. Les redoublants s’en étaient tirés avec quelques coups de poing. Un lundi à la fin du premier trimestre la prof m’avait interrogé sur la leçon du jour et j’étais resté sans un mot, tête baissée. La leçon bien sur je ne l’avais pas apprise. En plus, j’avais la semaine précédente remis un devoir bâclé avec une très mauvaise note. Cette leçon non apprise s’en était trop. La prof est très en colère et me demande pourquoi je n’ai pas appris ma leçon . Bien sûr je ne sais quoi dire. Je rougis, je me tasse sur mon siège. Je voudrais m’enfoncer sous le sol. Comme un gamin j’ai presque larmes aux yeux. La prof me gronde et se dirige vers moi. “Viens ici tout de suite” Je ne bouge pas mais je sais ce qui n’attend. Elle me prend par une oreille qu’elle tire très fort et m’arrache de mon siège. « Allez au tableau tout de suite et dépêche toi, paresseux » et comme je mets peu d’entrain à avancer, elle se penche en arrière sans me lâcher l’oreille et deux claques s’abattent sur le fond de ma culotte. J’avance vers l’estrade et la je tourne le dos à la classe le nez face au tableau et clac clac deux autres claques magistrales sur le fond de la culotte courte. La prof l’interroge à nouveau :”Tu vas me résumer le cours que tu viens d’entendre et dont tu as pris des notes je suppose. Allez je t’écoute. » je suis incapable de dire quoi que ce doit. Je pleurniche, mes mains massent mes fesses déjà bien chaudes. La prof descend une chaise sur l’estrade et y prend place, elle m’attire vigoureusement vers et me bascule sur ses genoux. D’un geste sec elle baisse ma culotte et mon slip. Je tourne le dos à la classe, mes fesses nues bien exposées à la vue de tous. Tous les élèves sont silencieux. La prof nous fait la leçon. “ Pascal est insupportable et paresseux. Je vais le punir comme il le mérite. Et les gamins paresseux vous savez comment je les punis, une bonne fessée. . Et vous vous serez également punis si vous ne travaillez pas. Et maintenant tenez vous tranquilles pendant que je corrige votre camarade. Le premier que je surprends à bavarder ou à se moquer Pascal je lui administre tout de suite une fessée dont il se souviendra” . La prof lève très haut sa main droite qui claque vigoureusement ma fesse droite et elle lève à nouveau très haut sa main qui claque ma fesse gauche. Aille aille ouille. Et la main poursuit ses aller-retour. Mes petites fesses sont en feu et les claques n’épargnent pas les cuisses . J’ai honte. Cette fessée est interminable elle dure au moins cinq minutes. Lorsque je me relève en pleurs mes fesses sont bien rouges. La prof me renvoie à ma place. “J’espère que tu as compris et la prochaine fois, je te préviens , c’est le martinet. » Et le cours reprend comme si rien ne s’était passé. Je pleurniche encore, je me trémousse un peu du mon siège. Je masse un peu mes fesses sans me faire remarquer. La cloche sonne, c’est l’heure de la récré. Je sors le dernier de la classe et reste dans un coin du préau. Les élèves se rendent compte que j’ai reçu la fessée déculottée mais bien peu se moquent de moi. Ils redoutent surtout d’être bientôt à ma place. …Alors… mon voisin de table en classe qui est aussi un bon copain vient me voir. « allez Pascal c’est pas grave viens jouer.”
    Pascal

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Ce bon copain aussi à côté de moi en classe c’est Marc. Il habite près de chez moi et nous sommes inséparables. Le matin je m’arrête devant chez lui et nous allons au collège ensemble. Nous allons avoir treize ans. Marc est l’aîné de quatre garçons quant à moi je suis fils unique. Le papa de Marc travaille à l’étranger et est souvent absent c’est sa mère qui assure l’éducation des enfants. Quatre garçons aussi turbulents l’un que l’autre ce n’est pas facile. Mais sa mère est une maîtresse femme très sévère. Avec elle il ne s’agit pas de désobéir ou d’être insolent. Lorsque deux gamins se disputent ou font des bêtises, elle ne cherche pas à savoir qui a tort ou raison, tous les deux sont punis. Chacun a son tour coincé sous le bras gauche et soulevé ou basculé sur les genoux, promptement déculotté et fessé cul nu. Le martinet est aussi souvent de la partie. Bien qu’il soit l’aîné Marc est aussi très souvent corrigé. Sa mère lui dit qu’étant plus grand il doit donner l’exemple. Alors chaque fois qu’il fait des bêtises sa mère le déculotte et le fesse. Il a droit de plus en plus souvent au martinet. Je me souviens du jour où étant arrivé devant la maison de Marc, j’entends la mère qui se met en colère et gronde un gamin, puis : «Aiiii Aiii ouille ouille. Non maman s’il te plaît. » Aiiii Aiii ouille. Et tout à coup mon copain Marc qui sort dans la cour entravé par sa culotte courte aux chevilles. D’une main sa mère le tient par une oreille alors que de l’autre elle lui fouette les fesses avec le martinet. Marc remonte sa culotte et me rejoint. Ses cuisses sont encore bien rouges il pleure. Sa mère l’a fessé parce qu’il a montré son bulletin de notes qui est très mauvais avec des observations des profs sur sa tenue. Mon bulletin de notes je ne l’ai pas encore montré mais je m’attends moi aussi à être puni. J’aurais sûrement droit à la fessée. En attendant je vais passer une mauvaise journée. Demain ce sera peut-être moi qui aurais les cuisses rouges. Ça m’arrive souvent aussi. Et la première fessée au martinet c’est la maman de Marc qui le je administrée.

      Supprimer
    2. Nous sommes arrivés au collège avec Marc un peu avant l’heure, ses yeux étaient encore tout rougis et sa culotte courte laissait apparaître ses cuisses ou le martinet avait laissé quelques belles stries. Inutile de dire qu’il n’était pas nécessaire de l’interroger et tout le monde savait qu’il avait été fessé. Marc qui d’habitude faisait un peu le malin et se précipitait sur le ballon était resté sous le préau se frottant les yeux et tirant vainement sur le fond de sa culotte. C’était un gamin puni et honteux. J’étais resté à côté de lui. Le premier qui se moquerait de lui allait recevoir une bonne paire de claques. Certains copains avec lesquels nous faisions les quatre cents coups nous regardaient avec un petit sourire en coin, sans oser s’approcher. Il est vrai que la plupart recevaient eux aussi la fessée déculottée et ils se gardaient bien de se moquer de Marc sachant qu’ils pouvaient se retrouver dans la même situation de punis. Nous sommes rentrés en classe peu de temps après. Marc se trémoussait un peu sur son siège et massait discrètement ses fesses. A la récré les traces de la fessée étaient encore bien apparentes mais la cuisson s’était estompée. Marc souriait à nouveau et avec les copains nous sommes allés jouer au ballon. On aimait tous les deux jouer au foot. Pour Marc la fessée était oubliée. En ce qui me concerne je n’avais pas encore montré mon carnet de notes et la perspective d’une correction gâchait mon plaisir. J’allais sûrement moi aussi avoir droit à la fessée.

      Supprimer
    3. Cette prof était très réputée pour la qualité de son enseignement mais aussi pour sa rigueur et sa sévérité. Elle ne laissait rien passer. Il fallait travailler et obéir sans rechignier. Les élèves le savaient et filaient droit. Les leçons devaient être apprises sur le bout des doigts et les devoirs rendus dans les temps. Sinon la punition tombait immédiatement. Deux fois par semaine elle faisait réciter les leçons. Un élève était appelé sur l’estrade pour réciter la leçon, répondre aux questions ou écrire sous la dictée de la prof. A la moindre erreur, deux claques retantissantes atterrissaient sans prévenir sur le fond de la culotte ou sur les cuisses du gamin. Lorsqu’on était en culottes courtes ce qui était le plus souvent le cas, (moi j’étais presque toujours en culotte très courte et beaucoup de camarades aussi) les traces de la cuissée laissaient des traces rouges. Chaque erreur donnait lieu à une autre cuissée. Le gamin continuait l’interrogation les larmes aux yeux les mains en protection sur les cuisses. Lorsque la leçon était terminée le garçon retournait à sa place et prenait place sur son siège en se trémoussant. Un autre élève était alors appelé. Après une ou deux bonnes cuissées les leçons étaient de mieux en mieux récitées. Ceux qui récidivaient, remettaient leur devoir en retard ou bâclé et ceux qui se dissipaient savaient à quoi il s’attendaient. La prof les prenait par l’oreille et les attirait vers l’estrade ou une chaise était laissée vide. La gamin avançait en pleurnichant sachant qu’il allait être puni. «Non, Madame s’il vous plaît pas la fessée, pas la fesssssée. » et la réponse ne se faisait pas attendre «il fallait s’en apercevoir plus tôt mon garçon, maintenant c’est la fessée et c’est tout. Allez avance et arrête de pleurer comme un gamin. Tout à l’heure tu sauras pourquoi tu pleure je t’assure. » lorsque l’élève arrivait sur l’estrade, d’un geste vif la prof lui baissait la culotte et le slip ne tardait pas à suivre, et le puni était allongé sur ses genoux, les fesses nues en position pour la fessée. Et les claques partaient en trombe sur les fesses et sur les cuisses. Le gamin avait beau pleurer, la fessée devenait de plus en plus vigoureuse. La fessée durait cinq bonne minutes. La punition terminée l’élève repartait à sa place en remontant sa culotte et en se tortillant et le cours reprenait dans un silence total. Ça servait de leçon à toute la classe.

      Supprimer
    4. Bonjour JLG. Vous voyez que dans le collège dans lequel j’étais les professeures étaient également très sévères et qu’elles n’hésitaient pas à administrer la fessée déculottée.
      A vous lire,

      Supprimer

Un commentaire, une réaction, une proposition ? C'est ici. Une fois validé, le commentaire sera visible par tous les lecteurs du blog.
Si vous le souhaitez et pour des raisons de confidentialité, nous pouvons échanger par courriel. Seuls Huguette et moi verrons le message. Il vous suffit de cliquer dans le champ "pour nous contacter" en haut à droite de cette page.