Désobéissance aux lourdes conséquences

La fessée de Maman

" Il suffit donc que je m'absente pendant deux jours pour que tu deviennes insupportable, que tu n'en fasses qu'à ta tête. Ce que racontent tes sœurs est inadmissible.

Non seulement tu n'as pas fait aucune des tâches qui te reviennent habituellement, mais quand elles t'ont demandé de ranger la table, tu oses répondre que ce n'est pas à l'homme de le faire, mais que c'est un travail pour les femmes.

J'apprends également que tu es rentré de ta soirée chez les copains à deux heures du matin alors que, comme d'habitude, tu devais être à la maison à minuit. De plus tu avais tellement bu que tu as dû tout rendre avant de te coucher. Tu ne tenais plus debout à tel point que tes sœurs ont dû te déshabiller et te mettre au lit.

Pour couronner le tout, le lendemain matin t'es opposé à ce que Suzon te donne la fessée comme tu l'avais méritée, sous le fallacieux prétexte que tu étais trop grand pour recevoir une punition pour les petits. Comme si à dix-neuf ans tu étais assez mûr pour savoir si tu as besoin d'une fessée ou non !

C'était pourtant bien clair, je t'avais placé sous l'autorité de tes deux sœurs pendant mon absence. Tu étais parfaitement au courant que tu devais leur obéir en tout point et qu'elles avaient le droit, si elles le jugeaient nécessaire, de te déculotter et de te fesser.

Nous allons rattraper le temps perdu. Je n'avais pas l'habitude de te déculotter et de te fesser en présence de tes sœurs, dorénavant, ce sera la règle : sauf exception, à partir d'aujourd'hui, tu recevras la fessée là où tu l'auras méritée, quelles que soient les personnes présentes, et je ne parle pas seulement de tes deux sœurs !

Désormais, tu vas souvent te retrouver, comme aujourd'hui, la culotte baissée en plein milieu du séjour, devant tes sœurs.

Je vais te fesser très sévèrement. Je te promets que tu vas t'en souvenir. Suzon va aller chercher une ceinture afin que je laisse quelques marques sur les fesses du vilain garçon que j'ai devant moi. Puis je te mettrai au coin.

Chacune de tes deux sœurs, à tour de rôle, viendra t'y chercher. Elles te donneront une bonne fessée chacune, en punition du week-end que tu leur a fait subir. Je les laisse décider de la sévérité de la correction qu'elles t'administreront. Elles ont toute liberté pour utiliser la ceinture ou tout autre instrument qu'elles jugeront utile.

Il va de soi qu'elles ont maintenant le droit de te punir quand elles estimeront que tu en as besoin, y compris lorsque je serai à la maison. Elles n'auront plus à venir se plaindre auprès de moi quand tu seras insupportable ou désobéissant. Elles te déculotteront et te fesseront sur le champ, quand et où tu l'aura mérité , même, s'il le faut, en dehors de la maison.

J'espère que les choses sont claires. Bon, c'est l'heure de ta première fessée de la journée. Approche !"