Encore une fessée chez la dentiste
Je n'en avais pas fini avec les visites chez la dentiste. La deuxième ne se passa pas tellement mieux que la première. J'appréhendais cette deuxième séance de soins, sachant que j'aurai du mal à laisser le champ libre à la praticienne. Toujours cornaqué par Madame Tolbois, la dentiste m'accueillit dans le cabinet avec un petit sourire ironique. Après m'avoir installé dans le fauteuil, elle me fit ses recommandations :
"Laissez bien la bouche grand ouverte."
Il n'y eut pas d'incident pendant les premières minutes. La
première séquence de fraise se passa sans que je me fasse réprimander. Je me
sentais tendu et cela allait en s'aggravant. Je rassemblais tout mon courage
quand je la vis se saisir une deuxième fois de son instrument. Pourtant, elle
ne me faisait pas mal. Les vibrations, l'odeur suffisaient pour amplifier mon
angoisse et cela me tétanisait. Elle commença à s'attaquer à ma dent, mais elle
dû s'interrompre.
"Non, non, non ! Vous fermez la bouche, je ne peux
plus travailler."
Une seconde plus tard, Madame Tolbois m'avait attrapé par le
coude. Un instant encore et nous étions tous deux près de sa chaise, elle
assise, moi debout devant elle. Le moment suivant, j'étais déculotté. Il ne
fallut pas beaucoup de temps pour qu'elle me plaçât à plat ventre sur son
genou. La fessée suivit immédiatement, retentissante, intense. Madame Tolbois
mit une énergie importante pour qu'en peu de temps, je ressente les affres
d'une sérieuse fessée.
Elle me libéra alors et me rhabilla. Les soins pouvaient
reprendre avec une plus grande coopération attendue de ma part. Tout en me
soignant les dents, la dentiste ne put résister à la curiosité qui la
tenaillait.
"Dites-moi, demanda-t-elle à Madame Tolbois, arrêtez-moi
si je suis indiscrète, mais vous le fessez souvent de cette façon ?"
Madame Tolbois ne demandait qu'à expliquer ses méthodes
éducatives. La conversation fut consacrée aux fessées que je recevais et au bien
que cela me faisait.
"Je lui avais promis une fessée au premier reproche que
vous lui feriez. Il faut toujours tenir ce genre de promesse."
"Mais il vous laisse le … déculotter, … y compris
devant moi."
"S'il le pouvait, il s'en dispenserait. Mais quand je
fesse, c'est toujours la culotte baissée."
Madame Tolbois expliqua alors le marché que nous avions
passé et la responsabilité qui était maintenant la sienne dans la surveillance
de tout ce que je faisais. Elle relata également comment elle m'avait administré
une fessée déculottée dans le parking, sans s'occuper des éventuels
spectateurs. Puis elle expliqua que la voisine, Madame Mercier, me fessait
également quand elle le jugeait nécessaire.
"Oh, fit la dentiste, il y a donc d'autres personnes
que vous qui lui donnent la fessée !"
"Evidemment, répondit Madame Tolbois ! Je ne vois
pas pourquoi je serais la seule. Tenez, si vous vouliez vous charger de le
fesser quand il désobéit pendant que vous le soignez, je suis certaine que la
correction aurait plus de poids."
"Moi ? Que je le fesse ?"
Avec cet échange, la dentiste avait à penser. La
conversation s'éteignit tant elle était devenue songeuse. Il s'écoula quelques
minutes pendant lesquelles elle resta penchée sur ma bouche largement ouverte.
"Non, fit-elle, ne bougez pas ! J'ai dit ne bougez
pas !"
J'entendis Madame Tolbois se lever et s'approcher. Elle me
tira du fauteuil mais ne m'entraîna pas directement vers sa chaise.
"Voulez-vous officier, demanda Madame
Tolbois ?"
"Que voulez-vous dire ?
"Daniel a besoin d'une deuxième fessée, voulez-vous la
lui donner ?"
"Vous, … vous croyez que je peux ?"
"Bien entendu, puisque je vous le dis.
Alors ?"
La dentiste hésita un peu puis …
"Je veux bien essayer."
Elle me regarda furtivement. Je rougis jusqu'à la racine des
cheveux.
"Comment dois-je m'y prendre ?"
"Pour commencer, il faut le déculotter."
"Vous croyez que …"
"Il n'est pas question qu'il reçoive une fessée sans avoir
la culotte baissée. Je tiens à ce que les punitions qu'il reçoit portent leur
fruit."
"Bon, alors …"
La dentiste s'approcha de moi et porta les mains sur ma
ceinture. Elle s'arrêta et me regarda droit dans les yeux. Toujours rougissant,
je mordillais mes lèvres, puis je baissais la tête, incapable de soutenir son
regard, mais manifestement résigné à la punition qu'elle s'apprêtait à me
donner. Elle poursuivit son geste, déboucla ma ceinture, puis déboutonna mon
pantalon. Elle était visiblement hésitante à aller plus loin.
"Baissez lui le pantalon, encouragea Madame
Tolbois !"
La dentiste s'y résolut. Cela se sentait qu'elle n'avait pas
l'habitude d'effectuer ce geste. J'avais l'impression qu'elle tentait de me
baisser le pantalon sans toucher ma peau nue. Autant avec Madame Tolbois, il
s'agissait d'un mouvement ferme et fluide, autant avec la dentiste il était
indécis et maladroit. Elle finit par y arriver. Elle s'immobilisa alors,
regardant ma culotte qui couvrait encore mes fesses.
"La culotte, maintenant, insista Madame
Tolbois !"
La dentiste la regarda, puis elle pointa son regard de
nouveau sur mon bas-ventre. Elle sembla prendre une décision. Des deux mains,
une de chaque côté de mes hanches, elle s'empara de l'élastique de mon
sous-vêtement, y inséra ses deux pouces et fit glisser ma culotte le long de
mes cuisses. Mon sexe, malmené au passage de l'élastique, sembla jaillir de mon
sous-vêtement. Cela provoqua un murmure d'étonnement de la dentiste pour
laquelle tous ces incidents semblaient nouveaux.
"Maintenant, prenez-le sous votre coude en lui
entourant la taille et courbez-le pour avoir ses fesses à portée de main."
La dentiste suivi les recommandations de Madame Tolbois. Je
sentais bien qu'elle était hésitante. La prise sur mes reins n'était pas aussi
ferme que lors de mes précédentes fessées dans cette position, quand c'était
Madame Tolbois ou Madame Mercier que se préparaient à me fesser. Elle se
retenait encore, sans franchir le pas qui lui permettrait de me considérer non
plus comme un adulte avec tous les interdits sociaux sur la nudité et les
parties du corps qui appartiennent à l'intime et dans lesquels un autre adulte
ne peut accéder sans accord, mais plutôt comme un enfant pour lequel la
nécessité de le punir l'emporte sur la pudeur.
Elle finit par me mettre dans la position adéquate.
"Vous n'avez jamais donné la fessée, intervint Madame
Tolbois ?"
"Non jamais. Je ne sais pas trop comment faire."
"Vous aller voir, cela vient tout naturellement si vous
êtes persuadée que vous agissez pour son bien. Il faut lui faire comprendre
sans détour qu'il a fait une bêtise. Si vous l'aider à ne pas recommencer, il
faut qu'il s'en souvienne. Avoir la culotte baissée et finir avec les fesses
brûlantes est donc indispensable pour qu'une prochaine fois, avant de commettre
la même sottise, il y réfléchisse à deux fois."
"Oui, vous avez sans doute raison."
Elle me donna une première fessée qui claqua à peine. Les
suivantes ne me firent pas plus mal.
"Non, l'interrompit Madame Tolbois, cela ne va pas. De
cette façon, c'est plus une caresse qu'une fessée."
Madame Tolbois prenait très au sérieux son rôle de
formatrice de cette néophyte. Elle était plus grande que moi et quand elle me
fessait, courbé sous son bras, elle dominait la situation. La position lui
était confortable pour appliquer sa main avec force sur mes fesses ou mes
cuisses. Sa force lui permettait de me maintenir en place et de contrecarrer
mes mouvements involontaires que provoquait la douleur des claques sur mes
fesses. Elle pouvait me soulever pour me repositionner plus commodément quand
elle le souhaitait.
Ce n'était pas le cas de la dentiste. Incliné sous son bras,
je lui arrivais presqu'à l'aisselle.
"Mettez-le à genoux à vos pieds, conseilla ma logeuse."
Elle pesa sur mes reins et j'accompagnais le mouvement,
tombant un genou de chaque côté de son pied. En me ceinturant plus fortement,
elle me plaqua contre sa jambe.
"C'est mieux, constata Madame Tolbois, Allez-y
maintenant ! Il est inutile de faire de trop grands gestes. Ce qui est
important, c'est la vitesse que vous donnez à votre main."
La dentiste reprit la fessée et je constatais tout de suite
la différence. Maintenant, je ne pouvais plus m'empêcher de souligner chacune
gifle sur mes fesses d'un cri ou d'une plainte désespérée. Elle ne savait pas
encore m'enflammer les fesses en une dizaine de claques, ainsi que le faisait
Madame Tolbois, mais son apprentissage était en bonne voie.
Je commençais tout juste à ressentir la brûlure habituelle
sur mes fesses quand elle s'arrêta.
"Continuez, ordonna Madame Tolbois, c'est
insuffisant !"
"C'est que, j'ai mal à la main. Je ne vais pas pouvoir
continuer."
"Evidemment, vous n'avez pas assez de pratique. Avec le
temps, vous verrez, votre paume s'endurcira et vous pourrez fesser beaucoup
plus longtemps et plus fort. Je pourrais prendre le relais, mais il est
préférable que ce soit vous qui finissiez ce que vous avez commencé. Comment
peut- on faire ? Voyons cela …"
Je l'entendis se déplacer.
"Ah, voilà !"
Elle revint vers nous.
"Tenez, avec cela vous pourrez aisément
poursuivre."
Tournant le dos à cette scène, je ne savais pas de quoi il
s'agissait. Je me doutais cependant que Madame Tolbois avait trouvé un
instrument pour suppléer la main défaillante.
"Vous croyez qu'avec ça …"
"Ne vous inquiétez pas. Il a déjà reçu une fessée avec
une règle, même si ça fait longtemps que je n'ai pas sévi de cette façon. Je
préfère maintenant utiliser le martinet et, croyez-moi, c'est tout aussi
efficace."
Sans doute rassurée par les garanties apportées par Madame
Tolbois, la fessée recommença. Bien que les premiers coups fussent hésitants et
modérément appuyés, mes réactions démontrèrent que nous étions passés à un
autre niveau.
"Vous ne fessez pas assez fort, remarqua Madame
Tolbois."
La dentiste y mit plus d'énergie. Un ou deux cris sonores pour
accompagner les premières fois où elle appliqua la règle sur mes fesses et je
fondis en larmes, lui promettant l'obéissance la plus complète. Madame Tolbois
interdit à la dentiste de mettre fin à la fessée avant que mes fesses ne
fussent correctement rougies. Elle ne me relâcha, marquant ainsi la fin de la
fessée, que lorsque Madame Tolbois l'y autorisa.
"C'est bon, je crois que cette fessée est suffisante."
"Vous croyez, répondit la dentiste ?"
Elle semblait maintenant beaucoup moins hésitante.
"Tout à fait, lui répondit Madame Tolbois, il est
capital que la fessée soit proportionnée à ce qui l'a provoquée. Il faut
toujours garder la possibilité d'une fessée plus sévère quand la bêtise est
plus grave ou en cas de récidive."
"Oui, je comprends, s'il recommence, il faudra que je
lui donne une plus grosse fessée."
"C'est exactement cela. Bon, reculottez-le !"
La dentiste était maintenant beaucoup plus à son aise. Elle
avait dépassé ses réticences. Afin de mettre ma culotte en place, elle n'hésita
pas à prendre mon sexe à pleine main pour le repositionner. Une fois mon pantalon
remis en place, elle me donna une petite claque sur mes fesses.
"Allons, dans le fauteuil, pour terminer de soigner
cette carie."
Ce n'était pas mon jour de chance. Quelques minutes plus
tard, j'avais interposé ma main au moment où la dentiste avait voulu
réintroduire la fraise dans ma bouche. Ses yeux flamboyèrent. Je sus instantanément
que c'était l'heure de ma prochaine fessée. La dentiste n'eut pas besoin des
indications de Madame Tolbois. Elle me sortit du fauteuil et après m'avoir
écarté de son matériel de soin, elle s'empressa de me déculotter. Il n'y avait
plus aucune hésitation. Alors, du regard, elle fit le tour de la pièce.
"Bon, dit-elle, là-bas ce sera mieux."
Elle me poussa dans le dos vers son bureau. Je la précédais
de ma démarche entravée par mon pantalon baissé. Elle s'assit sur le siège derrière
son bureau.
"Allons, fit-elle en me montrant ses genoux, à
plat-ventre !"
Je me couchais en travers de ses cuisses. Elle commença la
fessée tout de suite, à main nue. Comme Madame Tolbois l'avait prédit, cela lui
venait maintenant naturellement. Sa technique s'était considérablement
améliorée. Cette fois-ci, il ne lui fallut pas longtemps pour me faire venir
aux larmes, ce qui ne l'apitoya pas. Elle finit la fessée avec la règle. Il ne
fallait sans doute pas avoir observé beaucoup de fessées pour savoir que
celle-là constituait une sévère punition. C'est de son propre chef qu'elle y
mit fin pour finir de s'occuper de ma carie.
Je soupirais de soulagement quand la dentiste annonça la fin
de la séance. Madame Tolbois mit aussitôt fin à mon optimisme.
"Que t'avais-je promis si tu devais être puni trois
fois pendant ta séance chez le dentiste ?"
J'avais oublié cette menace, pas Madame Tolbois.
"Non, s'il vous plait !"
"Il est inutile de me supplier. Tu sais que je tiens
toujours mes promesses surtout quand il s'agit d'une fessée."
"Oui, je l'ai méritée, mais pas ici, … pas …"
"Ça suffit, tu sais parfaitement que tu vas avoir la
fessée comme je te l'ai promis. Allons, marche !"
Madame Tolbois me prit par le bras et nous sortîmes tous
deux du cabinet dentaire pour regagner la salle d'attente. Je constatais avec
effarement qu'il y avait quatre personnes qui attendaient leur tour. Une mère
et sa fille, un jeune homme et une dame plutôt âgée. Juste dans l'entrée se
tenait également la secrétaire médicale de la dentiste, une jeune fille qui ne
devait pas avoir plus de vingt-cinq ans. Elle avait passé la tête dans la
porte, sans doute attirée par mes jérémiades.
Madame Tolbois prit place sur une chaise et elle commença à
me déculotter.
"Je lui avais promis une fessée dans la salle d'attente
s'il n'était pas sage durant les soins. Je lui avais dit que je ne tolèrerai
pas plus de deux fessées, ce qui est déjà beaucoup."
Pendant qu'elle s'expliquait ainsi à l'attention de la
dentiste qui nous avait suivis, elle avait baissé mon pantalon et achevait de descendre
ma culotte. Puis, se tournant vers les autres personnes :
"Je suis désolée Mesdames et Monsieur, mais je dois
punir ce grand garçon pour son comportement avec la dentiste. J'espère que cela
ne vous importunera pas trop. Je vous prie de l'excuser par avance pour le
bruit que cela va provoquer, mais je ne crois pas qu'il pourra retenir ses cris
et ses pleurs."
A genoux entre ses pieds et courbé sur sa cuisse, placé dans
la position qu'elle affectionnait, je ne voyais plus que les pieds de la
dentiste. Tout le monde, par contre, avait une vue parfaite sur mes fesses
dénudées. Cela devint vite le cadet de mes soucis.
Madame Tolbois m'administra une de ces fessées dont elle
avait le secret. A main nue, elle frappait mes fesses si fort et si vite que je
n'avais pas le temps de reprendre mon souffle entre deux claques. La cuisson
était l'équivalent de ce que provoquait une règle, mais sur une surface bien
plus grande, celle qui était couverte à chaque fois par sa main. Le bruit de la
paume claquant sur mes fesses était impressionnant. Il fut doublé presque dès
le début de la fessée, par mes cris et mes larmes. Comme il m'était interdit de
me protéger les fesses bien que ma main droite fût libre de toute entrave, et
comme je ne pouvais que rester en place sous peine d'une correction bien plus
démonstrative, j'en avais déjà fait l'expérience, il ne me restait plus qu'à
battre des pieds. Cela ne donnait qu'un mouvement très restreint qui ne gênait
en rien le déroulement de la punition. C'était le seul geste de protestation
que je pouvais me permettre.
La fessée achevée, Madame Tolbois me releva et me reculotta.
Je ne pouvais cesser de pleurer. Je ne voyais les spectateurs de ma correction
qu'à travers un brouillard de larmes. Je n'eus cependant pas l'impression d'une
grande compassion à mon égard. Madame Tolbois, par contre, reçu les
félicitations des deux dames présentes.
"Bravo, Madame, dit la plus âgée. Je ne pense pas qu'il
recommencera de si tôt."
"Que voilà une punition bienvenue et que beaucoup
d'autres mériteraient, dit la seconde. S'il en était administré plus souvent,
cela résoudrait bien des problèmes."
La fillette et le jeune homme se gardèrent bien de faire quelque
commentaire.
Je pleurais encore quand je quittais l'immeuble.
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