Je vous avais annoncé une suite ... la voici. Nous reprenons langue avec Daniel et Madame Tolbois pour quelques chapitres. Il est conseillé de lire les chapitres précédents pour comprendre le contexte, voire de les relire pour remettre à leur place les différents personnages. Vingt-neuf chapitres à lire, ce n'est pas la mer à boire !
Du côté de mon travail, les choses se passaient moyennement.
Je sentais bien que Madame Raveneau, la directrice, était assez dubitative sur
mes performances professionnelles. Sa cheffe de bureau et son bras droit, Madame
Colas, ne se gênait pas pour faire remarquer publiquement mes insuffisances et
mon dilettantisme. Il me semblait que sans briller exagérément, j'assurais la
part de travail qui me revenait, compte tenu de mon salaire.
Je n'avais pas fait beaucoup d'efforts pour m'intégrer dans
l'équipe composée uniquement de femmes. Outre les deux matrones qui pilotaient
l'entreprise, il y avait trois commerciales qui n'étaient pratiquement jamais
là, deux assistantes, Catherine et Béatrice qui se chargeaient de gérer les
commandes et Magali, une jeune fille qui mettait le site internet à jour.
Je m'étais tenu à l'écart de ce groupe féminin qui semblait
bien s'entendre, quoique la hiérarchie fût bien établie. La directrice était
l'objet de toutes les révérences. L'autorité de sa cheffe de bureau n'était
contestée par personne. Tout en conservant ses distances, elle entretenait des
rapports franchement amicaux avec les deux assistantes qui avaient une grande
complicité et une grande solidarité entre elles. Magali qui était beaucoup plus
jeune, était considérée comme une jeune fille qui devait obéir aux ordres que
lui donnaient toutes les autres personnes de l'entreprise. Plutôt réservée,
elle semblait s'être coulée dans ce moule.
J'avais peu de responsabilité et je me trouvais au bout de
la chaîne, tout en bas de la hiérarchie. Je devais m'occuper de toutes les
petites tâches sans responsabilité qui grevaient le temps de travail de mes
collègues : répondre aux demandes de renseignement effectuées par
courrier, effectuer des reports dans les tableaux de bord de suivi d'activité
et toutes les petites tâches que mes collègues me demandaient de faire. Cela me
convenait bien. Je pouvais profiter de la dispersion des donneurs d'ordre pour
prétexter un surplus de travail qui me permettait de prendre le temps que je
souhaitais pour effectuer chacun des travaux qui m'étaient assignés. J'avais
été pris une seule fois occupé, sur internet, à tout autre chose que mon
travail. Je considérais que je m'en sortais bien compte tenu du temps que j'y
consacrais.
Tout allait pour le mieux sauf qu'il y avait deux points
noirs. D'une part je faisais beaucoup de fautes d'orthographe dans les
courriers que je rédigeais. Je devais les faire relire par la cheffe de bureau et
quasiment systématiquement, elle me les retournait en me demandant de corriger
les fautes qu'elle avait soulignées à l'encre rouge. Cela faisait un peu
maîtresse d'école corrigeant une dictée. Heureusement, il n'y avait pas de
note, j'aurais eu zéro, presqu'à chaque fois.
D'autre part, je détestais tenir à jour les tableaux de
chiffres. Je trouvais cela besogneux et je n'en voyais pas l'utilité. J'y
accordais peu d'attention. Dans cette tâche également, mes résultats étaient de
petite qualité. Après que je m'en étais occupé, il y avait bon nombre d'erreurs
qui provoquaient de grossières incohérences dans les résultats finaux. Je
devais donc recommencer le travail qui était alors contrôlé avec attention par
Madame Colas.
Dès la deuxième semaine, je fus convoqué par Madame
Raveneau. Elle m'avait expliqué qu'elle voulait bien me donner une seconde
chance, mais que je ne pouvais recommencer, pendant mon temps de travail, les
tâches bâclées la première fois. Je devrai donc rester après les horaires
habituels autant de temps que celui que j'avais dû consacrer à refaire ce qui
n'avait pas été bien fait la première fois. Afin de garder mon poste, j'avais
dû accepter.
Madame Colas avait été chargée de décompter ce temps. Elle y
mettait un certain zèle. Il était donc courant, plusieurs fois par semaine, que
je dusse rester entre quinze et trente minutes au-delà de mon temps de travail
habituel pour "compenser mes négligences" comme le disait Madame
Colas.
Cela n'aurait pas porté à conséquence s'il n'y avait eu ma
privation de sortie. Elle amenait Madame Tolbois à surveiller attentivement mes
horaires de retour du travail. À chaque fois que j'étais retenu pour
recommencer un travail que ma chef de bureau avait jugé insuffisant, je devais
me hâter pour rentrer et mes explications, je le sentais bien, passaient de
plus en plus difficilement. Je prétextais avoir eu un travail urgent à finir, ce qui
était presque exact.
Tout a basculé pour une raison anodine : dix minutes de
retenue pour une lettre dans laquelle il y avait trois fautes d'orthographe.
Sur l'injonction de Madame Colas, j'avais rectifié ces erreurs en deux minutes,
mais j'avais été consigné le soir avec un travail supplémentaire à effectuer. Madame
Colas en profitait pour résorber du classement en retard dont elle contrôlait
la qualité le lendemain matin.
J'avais été accueilli à la maison par les doutes habituels.
"Où étais-tu ? Comment se fait-il que tu rentres
encore en retard ? Cela fait deux fois en une semaine !"
Je me contentais de demi-mensonges. En expliquant que
j'avais accepté de finir du classement avant de partir, je restais suffisamment
proche de la réalité pour ne pas m'enferrer dans des explications incohérentes.
Je me contentais d'une explication minimaliste en essayant de conserver un air innocent.
Je sentais bien que Madame Tolbois avait des doutes, mais elle ne me prenait
pas en défaut. Je n'avais donc jamais pris de fessée, du moins pour cette
raison. Ce soir-là, il en avait été comme les autres fois. Madame Tolbois s'en
tint à sa perplexité.
Je n'avais pas accordé d'importance à cet incident. Je le
croyais derrière moi jusqu'au milieu de l'après-midi. Je vis pénétrer Madame
Tolbois dans le bureau et annoncer :
"J'ai rendez-vous avec Madame Raveneau."
Elle fut introduite dans le bureau sans délai. Je n'aimais
pas cela. La stricte séparation entre mon univers professionnel et ma vie chez
Madame Tolbois m'avait ménagé un havre de paix dans lequel la fessée n'entrait pas. Madame Colas fut appelée et elle ressortit rapidement
en me jetant un regard courroucé. Il n'y en eut pas pour très longtemps avant
que je fusse, à mon tour, convoqué dans le bureau de la directrice.
Elles étaient assises toutes deux de part et d'autre du
bureau. Personne ne me dit de m'asseoir, je restais donc debout. C'est Madame
Tolbois qui prit la direction des événements :
"Peux-tu me redire pourquoi tu es resté plus tard au
travail hier soir.
– J'ai dû faire du classement un peu plus tard.
– Ce n'est pas exactement ce que tu m'as dit. Tu as prétendu
que tu avais accepté de faire du classement."
Madame Tolbois avait accentué sur le mot "accepté".
La crainte que je ressentais en toile de fond depuis l'arrivée de Madame
Tolbois monta d'un cran. Cela devenait de l'angoisse qui me nouait le ventre.
Madame Tolbois avait mis le doigt sur la nuance qui changeait tout.
"Pourquoi as-tu dû faire du classement après tes
horaires habituels de travail ?"
– Je … parce que … j'ai dû …
– Fais bien attention à ne pas me raconter un nouveau
mensonge."
Les mots qui menaient droit vers une punition commençaient à
être lâchés.
"J'ai eu presque l'impression, hier soir, qu'il
s'agissait d'un employé modèle qui rendait un grand service à son employeur. C'est
ce que tu m'as laissé entendre, n'est-ce pas?"
Je ne savais plus quoi répondre.
"Etait-ce le cas, Martha ?"
Madame Tolbois s'était tournée vers Madame Raveneau.
"Pas exactement, répondit celle-ci. Il s'agissait
plutôt de compenser le temps qui a été nécessaire pour refaire un travail mal
effectué, un courrier bourré de fautes.
– Je vais traduire, continua Madame Tolbois, tu as été mis
en retenue, en punition d'un travail négligé."
Elle laissa ses mots faire leur effet dans le silence qui
régnait à ce moment-là dans le bureau.
"Et, si j'ai bien compris ce que j'ai appris ici, ce
n'est pas la première fois. C'est même assez habituel."
Selon les règles en vigueur avec Madame Tolbois, je devais
la regarder quand elle me grondait. J'étais hypnotisé par son regard noir qui
me fixait avec une grande intensité. C'était une façon, pour elle, d'être
certaine que son message passait effectivement. Il ne m'était même plus demandé
de confirmer, tant ce qui m'était reproché était évident.
"Résumons, insista Madame Tolbois, une orthographe
déficiente et peu d'efforts pour l'améliorer, des erreurs évidentes laissées
dans les tâches pourtant assez simples, du temps consacré à faire autre chose
que travailler … et de plus un certain mépris pour ses collègues. Ai-je oublié
quelque chose ?
– Non Madame, répondis-je, d'une voix faible.
– Voilà qui est parfait. En ce qui concerne le mensonge,
fais-moi confiance pour m'y consacrer ce soir dès ton retour. Occupons-nous,
pour l'instant, de toutes ces négligences dans ton travail !"
Elle me prit par le bras et me positionna face à elle, je
tournais le dos à ma directrice. Puis elle défit ma ceinture, déboutonna mon
pantalon et le baissa. Tout cela montait une pratique régulière, de son côté vu
la célérité avec laquelle elle procédait et du mien, si on en juge par ma
passivité. Ma culotte suivit sans attendre.
J'étais hébété, obnubilé par une seule pensée : Madame
Raveneau savait maintenant que je recevais la fessée en punition de mes écarts.
"Heureusement, pensais-je naïvement, elle ne voit que
mes fesses."
Madame Tolbois, cherchait un endroit propice à
l'administration de ma punition. A l'évidence, le fauteuil qui avait des
accoudoirs ne convenait pas.
"Puis-je utiliser l'une des chaises,
là-bas ?" demanda ma logeuse.
–Je vous en prie."
Tout en me tenant par le coude, Madame Tolbois me poussait
devant elle vers une table entourée de quatre chaises. Mon déplacement me
positionna de profil par rapport à Madame Raveneau. Sans doute un reste de
pudeur, je plaçais ma main sur mon sexe pour le dissimuler à sa vue. Je reçus
aussitôt une claque bien sentie sur les fesses.
"Ta main !"
Madame Tolbois m'administra quatre ou cinq fessées.
"Martha a déjà vu des fesses de garçon et également le
devant. Les tiennes n'ont rien d'exceptionnel qu'il faille dissimuler."
Elle conclut avec une nouvelle volée de claques sur mes
fesses :
"Il va bien falloir t'habituer à ce que ta directrice
voit tes fesses. Ce sera la cas à chaque fois qu'elle te déculottera pour te
fesser."
Je n'eus par réellement le temps d'absorber cette nouvelle
information. Nous étions arrivés près de la table et Madame Tolbois retourna
une chaise vers le centre de la pièce. Elle s'y assit et je la laissais me
mettre à genou entre ses jambes et me courber sur sa cuisse.
Je sentis la douleur que la main de Madame Tolbois laissa
sur mon postérieur en me fessant. Elle y mettait toute son énergie. Trois,
quatre, cinq fessée de chaque côté et je geignais déjà, promettant de
m'amender. Dix, quinze vingt claques supplémentaires et c'étaient mes premiers
sanglots. Encore quelques dizaines et je pleurais à chaude larmes, battant
frénétiquement des pieds. La fessée dura longtemps jusqu'à ce que j'aie
l'impression de ne plus pouvoir supporter une claque de plus. Mais ce n'était
jamais la dernière. La main de Madame Tolbois s'abattait, implacable.
Quand elle jugea qu'elle ne pourrait plus rougir encore plus
mes fesses, elle passa au haut de mes cuisses. La douleur sur ce territoire
encore vierge fit redoubler mes cris et mes pleurs, mais Madame Tolbois n'en
avait pas fini de sitôt avec cet endroit bien trop pâle à son goût.
Je ne me rendis compte de la fin de la fessée que lorsque
Madame Tolbois me remit debout.
"Dites-moi Martha, pouvez-vous laisser à disposition de
Daniel pour quelques minutes, ce coin dans l'angle vide de l'autre côté de votre
bureau ?
– Je suppose que c'est bien adapté. Vous vous y connaissez
mieux que moi.
– File te mettre au coin, là-bas !"
Je fis demi-tour et je contournais le bureau de Madame
Raveneau. Il n'était plus question de cacher na nudité, seulement d'obéir le plus
scrupuleusement aux ordres de Madame Tolbois afin d'éviter de recevoir une
autre fessée. Je calais mon nez dans le coin, croisais mes bras dans mon dos en
remontant ma chemise pour bien dégager mes fesses sans doute toutes rouges si
j'en croyais l'échauffement qui en émanait.
"Tais-toi, m'intima Madame Tolbois, avec Martha nous
avons à parler."
Je ne m'étais pas rendu compte que j'émettais un petit
couinement aigu. Je l'interrompis aussitôt. Dans mon dos, les deux femmes
parlaient. J'étais au centre de la conversation.
"Je suis impressionnée, dit Madame Raveneau. Ça se voit
que vous avez l'habitude de le fesser. Tout se passe … naturellement."
– C'est exact. Daniel a souvent besoin de recevoir une
fessée. En ce moment, c'est presque tous les jours, et parfois plusieurs fois
par jour. Mais cela lui fait beaucoup de bien.
– Mais, … comment dire … il vous laisse faire ?"
Ma soumission aux punitions que m'administrait Madame
Tolbois intriguait toujours. C'était souvent l'une des premières questions
posées.
"Oh, je ne crois pas qu'il soit très content quand je
lui donne une fessée, mais il sait que tant qu'il voudra habiter chez moi, je
déciderai des règles et des punitions quand elles ne sont pas respectées. Il
reconnait lui-même qu'il a besoin de la fessée et qu'elle lui fait du bien,
enfin pas sur le moment, bien sûr, mais à long terme. Je lui en donne depuis
quelques semaines et nous avons tous les deux l'impression que cela fait des
années, qu'il en a toujours été comme cela. Nous y sommes tous deux habitués, en
quelque sorte.
– Mais cela a l'air de lui faire mal.
– C'est normal, c'est une fessée ! Il faut qu'elle lui
chauffe sérieusement les fesses pour qu'il s'en souvienne. Le déculottage aide
également.
– Oui, j'ai vu. La culotte baissée. Je ne m'attendais pas à
cela, à l'épilation non plus.
– C'est absolument nécessaire. D'abord pour l'efficacité de
la fessée. Vous me voyez lui donner la fessée sur le fond du pantalon ? Ce
serait risible ! Ça me fatiguerait et lui aussi longue que pourrait être
la fessée, il ne sentirait rien. Ensuite, avoir la culotte baissée, c'est le
mettre en condition de petit garçon puni. Je compte sur la honte de montrer ses
fesses en public pour renforcer le message. Cela lui montre que quand on se
comporte comme un petit garçon, on est puni comme un petit garçon : la
fessée déculottée. L'épilation va également dans ce sens."
Madame Tolbois avait une nouvelle fois l'occasion d'exposer
ses théories sur l'éducation, surtout celle des grands enfants. Elle ne s'en
privait pas. Elle agrémentait ses conceptions de nombreux exemples dont j'étais
souvent, bien involontairement, le héros principal. Je n'écoutais plus que
distraitement.
Des questions plus immédiates m'occupaient l'esprit. Quel
risque y avait-il pour qu'une de mes collègues entrent dans le bureau ?
Seule Madame Colas était susceptible de le faire si elle se trouvait face à une
situation qui demandait l'arbitrage de la directrice. Je pouvais encore
imaginer que mon infortune restât dans un cercle restreint si seule la directrice
savait de quelle façon Madame Tolbois me punissait. Quand plusieurs personnes
étaient au courant, l'information se répandrait comme une trainée de poudre. Si
la porte s'ouvrait, je serai la première chose que la nouvelle entrante
apercevrait.
"Peut-être le savant-elles déjà ?" pensais-je
subitement.
Le bruit de la fessée, de mes cris, de mes pleurs avait-il
pu passer de l'autre côté de la porte fermée ? Dans ce cas, tout était
joué. Il ne pouvait plus y avoir aucun doute sur la punition que j'avais reçue
et je ne voyais pas comment supporter les regards ironiques de mes collègues.
Le nouveau sujet de conversation me ramena dans le bureau.
"Je pense, disait Madame Tolbois, que Daniel doit
recevoir la fessée par toute personne dès qu'elle constate une désobéissance.
– Vous croyez qu'il peut être fessé par une autre personne
que vous ?
– C'est déjà souvent le cas !"
Madame Tolbois raconta comment Madame Mercier se chargeait
souvent de la discipline et comment la dentiste chez qui j'allais ne laissait
rien passer sans me punir d'une bonne fessée.
"Il serait d'ailleurs souhaitable, poursuivit Madame
Tolbois, que vous lui donniez la fessée à chaque fois que vous constatez une
négligence professionnelle. Certes, je peux lui en donner une le soir, une fois
qu'il sera rentré à la maison, mais s'il la reçoit aussitôt qu'il a commis la
bêtise, ce sera d'autant plus efficace."
Je voyais se profiler la prochaine catastrophe. Madame
Raveneau ne résistait pas beaucoup à l'idée de me fesser. J'avais l'impression
que sa défense n'était que de principe et qu'elle n'attendait que d'être
convaincue par Madame Tolbois.
Que s'est-il passé dans les épisodes précédents ?
Pour tout comprendre, il faut lire ce qui a précédé :
- Le premier épisode : chapitre 1
- L'épisode précédent : chapitre 29
Il y a une suite ... le chapitre 31
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Waoooouh, Réjouissant!
RépondreSupprimerRetour fessant de notre pétulante madame Tolbois, en pleine forme...Les fesses claquent et rougissent à nouveau dès le premier épisode de cette deuxième saison. La maîtresse femme, toujours aussi sûre de sa force et de son autorité, recadre le malheureux Daniel d'une longue et cuisante fessée déculottée...en publics'il vous plait, comme elle les affectionne. Démonstration efficace de la manière de corriger son locataire. Nul doute que le personnel féminin de la "maison" va profiter de ses sévères recommandations pour lui claquer les fesses à la moindre"négligence professionnelle"...
C'est écrit, comme d'habitude (il n'y a pas de raison pour que ça change!)avec une efficace simplicité, dans un style direct,précis, bien tourné. Merci JLG, on en redemande évidemment!
Ramina.
Ramina,
SupprimerArrêtez d'en jeter ! La cour est pleine.
Vous allez pouvoir constater que le nombre de fesseuses ne cesse de grandir dans les épisodes suivants, au risque de faire passer Madame Tolbois au second paln.
Au plaisir de vous lire,
JLG.
Que voulez vous, je fais une fixation sur cette madame Tolbois qui correspond sans doute à mon archétype de fesseuse fantasmée. . Je trouve réjouissant son côté implacable et son aplomd dans la manière dont elle administre les fessées. Mais je ne demande pas mieux que de découvrir d'autres personnalité féminines aussi fracassantes! Mais promis je n'en jetterai plus autant pour ne pas froisser sa modestie. Cordialement.
RépondreSupprimerRamina