Ramina s'y est mis ! Voici le premier épisode d'une série qui s'annonce prometteuse alliant texte et dessin du même auteur. Ce premier épisode positionne les personnages que nous retrouverons hebdomadairement selon le bon vieux principe du feuilleton.
Je pense que Ramina attend impatiemment vos retours et comme il n'est pas avare de commentaires sur les écrits et les dessins des autres... à votre clavier, donc ! JLG.
LE CUISANT WEEK-END DE ROBIN EN FAMILLE.
Chapitre 1 : Une bonne discipline domestique
Gladys attendit que le chauffeur du taxi vienne lui ouvrir
la portière pour sortir. Elle ne descendit pas tout de suite et le laissa
attendre debout sur le trottoir, le temps de dire au revoir à son amie restée à
l’intérieur pour se faire reconduire chez elle.
« Ma chérie je te laisse, on se voit samedi pour le
dîner, comme prévu !
– Entendu. A Samedi... Je n‘amène rien de particulier,
demande Edwige après une chaleureuse embrassade. »
– Non, inutile d’apporter quoi que ce soit, tu sais
bien, il y a tout ce qu’il faut à la maison ! A moins que tu ne préfères
utiliser tes instruments habituels. C’est comme tu veux, mais n’oublie pas
t’amener ton mari, évidemment ! »
Les deux femmes échangèrent un clin d’œil complice et
éclatèrent de rire en même temps.
« Oh ça ne risque pas ! Nous serons là pour dix-neuf
heures. J‘ai hâte d‘y être, répondit Edwige en se tortillant d’impatience
sur la banquette au milieu de ses paquets. »
Gladys descendit de la voiture et, sans même regarder le
chauffeur, lui glissa un billet de dix euros qu‘elle lui tendit négligemment
entre deux doigts gantés de dentelle noire. Elle ne prit pas la peine de
l’entendre la remercier, claquant déjà des talons aiguille vers la porte
d’entrée de sa maison. Ce n’était pas du mépris, ni de l’arrogance mais une
inclinaison naturelle à dominer ses sujets… de préférence masculins. Elle
traversa l’allée du jardin d’une démarche onduleuse, balançant dans chaque main
les grands sacs imprimés aux marques de son shopping de la journée.
Elle gravit d’un pas alerte les trois marches du perron. La
porte n’était pas fermée à clé. Il était plus de dix-neuf heures, il y avait au
moins quelqu’un de rentré. Le respect des horaires fixés n’était pas la moindre
de ses exigences. Ce ne pouvait être que Patricia. A l’inverse de son fils et
de son mari, sa fille faisait toujours preuve d‘une irréprochable ponctualité.
Gladys était une belle femme plantureuse, de celle que l’on
dit dans la fleur de l‘âge, proche d’une cinquantaine, triomphante. Femme de
caractère, au physique avantageux, elle portait haut, dominant, et dégageait
une impression d’autorité naturelle qui inspirait d’emblée le respect.
Héritière d’une famille relativement aisée, fin de branche d’une aristocratie
militaire tombée en désuétude et en perte de notabilité, elle avait subi une
éducation rigoureuse sous la férule d’un père intransigeant. C’est probablement
par un phénomène de compensation qu’elle avait décidé de renverser ce rapport
de force à l’avantage du sexe prétendu faible.
La formule ridicule était loin de correspondre à sa
personnalité.et encore moins en rapport avec son tempérament de femme forte. Elle avait transmis à sa
fille, son sens naturel de l’autorité qu’elle exerçait notamment sur son fils
Robin et Edouard, son second mari, soumis quotidiennement à une stricte et
sévère discipline domestique. Une seule méthode, radicale mais efficace,
l‘emploi systématique de la fessée, justifié par des raisons éducatives
d’épanouissement du corps et de l’esprit.
Sa fille, Patricia, vingt-quatre ans passés, vivait toujours
sous le toit familial, le temps de terminer ses études. La jeune femme
cohabitait sans problème et disposait de son emploi du temps comme elle le
voulait tout en respectant les horaires et les contraintes élémentaires
qu’imposait la vie de famille. Consciencieusement initiée, par l’expérience de
sa mère, aux techniques bienfaisantes de la fessée, elle se révélait une correctrice
acharnée naturellement dotée d’une belle et cuisante force de frappe. Elle
fessait presque aussi bien et aussi fort, que sa mère. Il ne lui manquait
encore que tenir la distance sur les fessées longue durée. Simple question de
technique qu’elle s’appliquait à améliorer par une pratique régulière.
De trois ans plus jeune, Robin son fils, nettement moins
concerné que sa sœur, par la réalité trop contraignante du travail scolaire,
était pensionnaire à Sainte Marie. Il ne rentrait que le Vendredi pour les
Week-end. Son niveau de résultats stabilisé en dessous de la ligne de
flottaison, avec pour conséquence fatale une persistance à cumuler les
redoublements, avait nécessité une inscription d’urgence dans cette
institution, tenue par des religieuses.
Sainte Marie était la seule école qui avait accepté de
prendre en charge sa scolarité défaillante. Ce fut à la plus grande
satisfaction de sa mère qui y trouva enfin le mode d‘enseignement idéal pour
son fils. Celle-ci, adepte inconditionnelle de la fessée comme méthode
d’éducation active, apprécia d’emblée les pratiques disciplinaires
particulièrement sévères de l’établissement. Elle les estimait, à juste titre,
comme le complément d’autorité indispensable aux règles de conduite qu’elle
imposait elle-même à la maison pour venir à bout du « cas Robin »
Qui aime bien, châtie bien!
Robin n’avait pas à se plaindre de ce côté-là, il était très aimé et par
conséquent bien châtié.... par sa mère, sa sœur, des sœurs de l’institution.
Elles s’appliquaient toutes, avec conscience, à lui démontrer comment de
cuisantes fessées régulièrement administrées, contribuent à la réussite d’une
bonne éducation. Il n’avait d’autre choix que d’y soumettre ses fesses, sans
condition. Et ces Dames sévères n’y allaient pas de main morte. A la moindre:
désobéissance, au plus petit écart de comportement, une note insuffisante, une
tentative de rébellion… c’était la fessée ! Déculottée, immédiate, sur le
champ.
Toute contestation se révélait à haut risque et
immédiatement réprimée sous le claquement des fessées et les brusques montées
en chaleur de son postérieur. Le solide fessier bien ciblé de Robin restait
rarement inactif et à température normale, à l’école comme à la maison. Devant
souvent reconnaître avoir mérité ses corrections, le jeune homme savait de
toute façon qu’il disposait de très peu de possibilités d’argumenter dans le
sens contraire, sous peine d’inévitables déculottées en supplément des tarifs
en vigueur.
Mais Robin n’était
pas le seul à bénéficier de ce cuisant traitement et à devoir soumettre
régulièrement ses fesses aux exigences disciplinaires d’un entourage familial
féminin qui lui laissait peu de moment de répit
Edouard, le deuxième mari de Gladys, donc le beau-père,
cadre respecté en entreprise, perdait une partie de sa dignité et toute son
autorité une fois franchi le seuil de la maison. Lui aussi, sous l’emprise de
ces femmes autoritaires, était contraint d’accepter les règles de
fonctionnement d’une vie de famille organisée, parfaitement hiérarchisée, pour
le plus grand bien, disaient-elles, de l’éducation de chacun. Celle de Robin, à
construire et mettre en place avant qu’il ne soit trop tard. Et celle du beaux
père, adulte mal dégrossi bourré de mauvaises habitudes, entièrement à revoir à
défaut d’en avoir reçu une convenable.
« Cent fois sur les fessiers remettez votre ouvrage,
polissez les sans cesse et les repolissez… » Ces dames aux mains
fermes, s’y employaient quotidiennement en adaptant leurs convictions à ces
vers détournés de Boileau. Cuisant programme !
Gladys entra et claqua la porte derrière elle. Elle se débarrassa en déposant sacs, gants et
manteau sur la banquette du vestibule. De ses deux mains, elle lissa avec soin
la jupe de son tailleur sur ses hanches, et
ses fesses opulentes, puis, se dirigea aussitôt vers l’escalier en
claquant des hauts talons sur le carrelage.
Elle aimait signaler ses déplacements par ce claquement menaçant, qui annonçait
avec elle, l’arrivée de la fessée. Ça l ‘amusait beaucoup de savoir que le
simple bruit de son pas décidé pouvait provoquer d’incontrôlables tremblements
de fesses au fond d’un slip. C’était ça l’exercice de l’autorité. Inspirer
obéissance et respect sous la menace permanente de la fessée. Des fessées qui
pouvaient tomber n’importe où, à
n’importe quel moment, sous n’importe quel prétexte. Parfois sans raison
particulière sinon celle d’une fessée d'entretien destinée à maintenir la
capacité d’endurance des derrières.
La main sur la boule de l'escalier elle lève la tête en
direction des chambres.
« Tu es là ma
chérie, c’est maman... Je viens de rentrer ! »
Accoudée à la rampe
dans l’attente d’une réponse, elle lève une jambe l’une après l’autre pour
vérifier l’alignement de la couture de ses bas sur ses mollets,
La voix claire de Patricia répond de l’intérieur de sa
chambre.
« Oui, maman, je suis là, je descends ! »
Un bruit alerte de cavalcade se fait entendre, rapide, sur
les marches de l‘escalier Les deux femmes s’embrassent chaleureusement.
Patricia ressemblait traits pour traits à sa mère. Grande, blonde au physique
impressionnant, dotée d’un fort tempérament, elle possédait toutes les qualités
physiques et mentales d’une belle femme autoritaire. Patiemment initiée par sa
mère, elle avait acquis une solide expérience de la fessée qui inspirait la crainte
et imposait le respect à la gent masculine.
« Dis donc tu
en as fait des achats, s’exclame-t-elle en voyants les sacs sur la
banquette !
– Oui, tu sais... quelques petites envies, comme ça !
Un peu de lingerie chez Madame de Blagnac, des slips à fessée pour les garçons,
mais surtout, quelque chose qui va t’intéresser, pour joindre l’utile à
l’agréable. »
Elle sort d’un sac un paquet assez long et étroit et l’agita
avec un grand sourire sous les yeux de sa fille.
« Devine chérie... Tu vas être contente.
– Un martinet, répond celle-ci, ravie d‘avoir trouvé tout de
suite en voyant le format du paquet !
– Oui, un martinet. Un gros, qu’on a bien en main, avec
de belles lanières bien cinglantes qui devraient faire un malheur sur les
fesses de nos petits chéris, s’enthousiasme Gladys. »
Elle le sort de son emballage pour en faire apprécier le
manche cannelé, assurant une solide prise en main, et les épaisses lanières de
cuir luisant. Superbe et Impressionnant.
« Regarde le travail du cuir, la souplesse des lanières et
cette belle finition ! Avec un tel engin, les fessées, vont claquer sec
! »
Fascinée par le redoutable instrument de discipline,
Patricia s’en empare à son tour, en caresse le manche avec gourmandise et le
soupèse pour en vérifier la fermeté de prise en main, Lentement, elle en fait
glisser les longues lanières sur la paume de sa main. La sensation du cuir est
agréable,
« Huuuuum, comme tu
dis maman, belles fessées, bien cuisantes en perspective, dit-elle d’un air
rêveur ! Je connais deux paires de fesses qu’on n’a pas fini de faire
danser avec un pareil instrument.
– Et elles en ont bien besoin, vu le comportement de
leurs propriétaires.
– Mais on en avait déjà un qui cinglait très bien. Il
est encore très efficace. Je m’en suis servi ce matin pour mettre sa fessée à
Edouard, et je peux t’assurer qu’il est parti au bureau les fesses bien rouges
et bien marquées dans le slip ! »
– C’est vrai, mais on les utilise tellement qu’ils
s’usent très vite. Ça s’entend au son du claquement. Quand ça commence à
cingler moins fort, il faut en changer. Celui-là est plus solide il devrait
durer plus longtemps. Même si leurs fesses deviennent de plus en plus
endurantes à force de cuire sous les fessées. »
– Il faut dire aussi maman que tu tapes tellement fort… »
– Oui, je fesse fort, évidemment ! Pour réussir
une fessée il faut taper fort, cela va de soi. Toujours fort, très fort même !
Je préfère renouveler les instruments de discipline quand il le faut plutôt que
fesser moins fort pour les garder en bon état plus longtemps. Un martinet c’est
fait pour servir ! C’est fait pour cingler les fesses, pas pour rester accroché
au mur.
– Je sais maman, je sais. Un martinet c’est fait pour
fesser. »
Gladys contempla distraitement le dos de ses mains et fit
semblant de vérifier la tenue de son vernis à ongle en soulevant sa lourde
poitrine d’un profond soupir de lassitude, trop appuyé pour être vrai.
« Ah que c’est
dur d’inculquer des notions de discipline à ses enfants ! ».
Puis, elle changea brusquement de sujet.
« Mais dis-moi,
tu es toute seule, demanda-t-elle ? Robin n’est pas encore rentré ?
Edouard non plus? »
Avant d’obtenir une réponse, elle l’entraîna avec elle vers
le salon, où elles s’assirent toutes les deux, côte à côte, dans le canapé.
Devant elles les deux tabourets à fessée trônaient, en attente, sur la surface
carrelée, au milieu de la pièce. Ils n’allaient pas attendre longtemps...
« Alors comme ça aucun des deux n’est rentré ?
– Non maman, à part moi il n’y a personne.
– Ces deux-là sont vraiment incorrigibles. On ne peut pas
dire, tel père tel fils, ils ne sont même pas parents ! Incapables de
respecter les horaires et une vie de famille normale ! Il est presque huit
heures moins le quart. Ton beau-père doit traîner encore quelque part, dans un bar,
quant à Robin, il devrait être là depuis longtemps ! Il sort de Ste
marie à dix-huit heures et il n‘a que vingt minutes de bus.
– Il est peut être passé voir un ami. Il est
souvent avec Axel.
– Axel ! Parlons-en d’Axel Encore un bon celui-là !
Toujours à traîner. Robin ferait bien de mieux choisir ses fréquentations. Non
mais tu as vu l’heure qu’il est ?
– A mon avis, ça mérite une fessée, commente aussitôt
Patricia en se frottant déjà les mains !
– Je ne te le fais pas dire ma chérie... et pas qu‘une
! Qu’il va d’ailleurs se prendre déculotté, le cochon !
.La sœur, toujours prête à claquer un derrière, et
particulièrement celui de son frère, saute sur l’occasion.
« Tu me
laisseras la lui donner alors… S‘il te plait maman ! »
Gladys esquisse une moue dubitative en hochant la tête.
Patricia sait ce qu’elle veut et enchaîne pour convaincre
« Tu n’arrêtes
pas de me dire qu’il ne faut jamais rater une occasion de corriger une paire de
fesses pour ne pas perdre la main… Alors, rends toi compte…depuis que Robin est
à Ste Marie, je n‘ai pas eu une seule fessée à administrer de toute la
semaine ! C’est toujours toi qui corrige Edouard quand il a mérité d’être
puni. Sauf ce matin j'ai quand même eu le droit de lui en mettre une au
martinet. Après ça tu vas dire que mes fessées ne sont pas assez sévères parce
ce que je manque encore de pratique. »
Gladys écoute sa fille avec une pointe de fierté dans le
regard. Même caractère que sa mère, autoritaire, impétueuse. Comment lui
refuser l’administration d’une fessée réclamée avec autant de conviction et de
véhémence.
« D’accord ma chérie...très bien ! Tu vas flanquer sa
fessée à ton frère pour le punir de son retard inadmissible. Mais je veux que tu lui en mettes une sévère. Il
faut le prendre aux fesses dès son arrivée pour le mettre tout de suite en
condition.
– Fais-moi confiance maman, je te garantis qu’il va avoir du
mal à se reculotter après celle que je vais lui mettre.
– J‘espère bien ! Parce que,
autant que je peux le savoir, ses résultats scolaires de la semaine et son
attitude en général sont tellement désastreux qu’il mérite un sérieux
recadrage. Et comme il risque de passer autant de temps le slip sur les cuisses
que les fesses dedans, il n‘aura pas trop l’occasion d’avoir du mal à se
reculotter !
Patricia lâche un long soupire de satisfaction qui soulève
sa forte poitrine débordant de son bustier. Après une longue semaine sans
fessée, le programme de recadrage s’annonçait particulièrement bienvenu.
« Excellent
maman, merci ! Tu ne seras pas déçue! Ses fesses non plus...fais-moi
confiance, je vais bien m’en occuper, comme tu m’as appris à le faire.
– J’y compte bien ! Il se moque clairement de nous
l‘animal. Il n’a même pas encore mis les pieds dans la maison qu‘il a déjà
une fessée en préparation ...avec un retard pareil il la mérite amplement
! »
Emportée par son élan Gladys laisse monter sa colère.
« Sans compter
les fessées que je lui prépare pour sanctionner ses mauvais résultats de la
semaine et son indiscipline. »
– Mais comment tu sais ça maman? »
– Je suis déjà au courant, c’est tout! La directrice de Ste Marie m‘a envoyé un mail
ce matin pour me prévenir au cas où il ne me donnerait pas la lettre qu‘elle
l’a chargé de me remettre. Il en est bien capable. Les fesses n’ont pas fini de
lui cuire, c’est moi qui te le dis ! »
Tout en écoutant sa mère qui ne décolérait pas, Patricia
jeta machinalement un coup d’œil par la fenêtre.
« Tiens, le
voilà !
– Et bien, ce n’est pas trop tôt, gronda Gladys en se
levant du canapé. Il peut préparer ses fesses, elles n’ont pas fini de chauffer
ce week-end !
– Oui, il arrive même en courant.
– Oh Il peut toujours courir, ça ne va rien changer à
ce qui l’attend. Déjà, un comité d’accueil dont il va se souvenir... Et pour
couronner le tout, ton beau-père n’est
toujours pas rentré ! Incroyable! Il devient urgent de
recadrer ce petit monde qui en prend un peu trop à son aise, à mon goût. Ma
chérie, il va falloir faire claquer les fessées. Plus fortes, plus longues, et
plus souvent ! »
Patricia acquiesça avec un sourire entendu. Quand on aime on
ne compte pas. La perspective d’un renforcement de la discipline à la maison
avec, à la clé, une distribution plus généreuse de fessées ne pouvait que
satisfaire son goût immodéré des corrections, initié et entretenu pas sa mère.
Entre un frère de vingt et un ans qui se comportait comme un
adolescent attardé, irresponsable et un beau-père égoïste, peu respectueux de
son entourage familial, elles n’étaient pas trop de deux pour faire respecter
les règles de vie commune. Une seule méthode, radicale : la fessée. La
fessée déculottée, systématiquement administrée au moindre relâchement, comme
au plus petit écart de comportement. Mais sur des messieurs aussi
récalcitrants, car multirécidivistes, leur efficacité se révélait souvent de
courte durée et nécessitait, par conséquent, un renouvellement permanent des
séances de correction.
C’est ainsi que, les deux hommes se faisaient régulièrement
déculotter et rougir les fesses à peu près dans toutes les pièces de la maison,
avec pour les deux femmes, une préférence marquée pour les pièces carrelées.
Elles amplifiaient le volume sonore des fessées et les rendaient encore plus
impressionnantes. Le vestibule faisait partie de ces endroits, appréciés pour
leur qualité de résonance qui mettait en valeur le savoureux claquement des
mains fermes de ces Dames sur les fesses déculottées de ces Messieurs, Eux, par
contre, appréciaient beaucoup moins.
Les deux femmes étaient campées dans l'entrée, côte à côte,
au moment où Robin, tout essoufflé, fit brusquement irruption, en ouvrant la
porte avec précipitation. Il stoppa net son élan devant sa mère et sa sœur.
Elles l’attendaient d’une main ferme, les bras croisés sur la poitrine. Au
regard noir et sévère de sa maman, il comprit instantanément les conséquences
d’un retard difficilement justifiable. Ses fesses se crispèrent d’appréhension
dans son slip. Il savait ce qui les attendait. Comme si cela pouvait atténuer la colère des deux femmes,
Il referma tout doucement la porte avec précaution en leur adressant une
grimace désolée qui se voulait ressembler à une excuse. Ça n’allait pas tarder
à chauffer.
Ne perdez pas le fil du feuilleton ! Pour ceux qui se seraient égarés ...
Voici l'épisode suivant : chapitre 2
Ramina est l'auteur de nombreux commentaires sur ce blog.
Juste retour des choses il attend les vôtres. Ecrivez vos appréciations, vos retours, vos questions ... dans le cadre ci-dessous. Ramina vous répondra.Si vous voulez un échange plus privé voici un courriel pour le joindre.
Bonjour Mr Ramina,
RépondreSupprimerLa recette est parfaitement réussie !!!
Il est parfois bon de patienter. Rires.
Excellent texte. On attend avec fébrilité /rires/ la suite.
Les illustrations font bien ressortir le physique plus que généreux des deux Maitresses-Femmes. Fidèles au texte.
Les popotins vont... exploser . C'est qu'elles frappent fort, les gourgandines !!! Il ne faut jamais s'amuser avec la patience de ces dames. Gare au retour... du martinet !!!
Et comme je le dis souvent : "ça va chauffeeeeer !
Mais malgré tout : good luck, camarades !
Hou la la ! Qu'ai-je dis ! Si elles m'entendaient...
Peter'
(Hum... Vais-je devoir me mettre au texte. Hum... A méditer)
Re-bonjour Ramina,
RépondreSupprimerBen,dites moi, c'est la "Fête des Mères" pour Madame Gladys.
Mais je doute qu'elle se contenterait d'un bijou fantaisie acheté à la va-vite dans quelque galerie marchande...
En revanche, c'est la "Fêtes des Fesses" pour ces Messieurs.
(Je vois mieux l'usage de Photo-shop pour le rendu du dessin, si tant est que vous avez utilisé ce logiciel.)
Peter'.
ca c'est un magnifique dessin!une grosse paire de fesses bien rouges recevant une magistrale fessée déculottée comme j'aime recevoir.
RépondreSupprimerMerci Peter Pan , Unknown, pour ces commentaires. Heureux de susciter intérêt et émotion. Effectivement ces dames n'ont pas que le physique de généreux. les distributions de fessées aussi! La fête de fesses de ces messieurs ne fait que commencer.
RépondreSupprimerOui Peter c'est bien de Photo-shop dont il s'agit. je vous invite à essayer... Et n'hésitez pas à donner du volume aux fessiers. C'est toujours plus agréable !
Ramina
Bonjour Ramina,
SupprimerCa fait plaisir d'avoir un "concurrent". Rires.
Chacun montre sa façon de voir l'ambiance du texte. Avec son style perso. Ca enrichit le débat.
Tiens, ça me rappelle l'émission de "Tac-o-tac" de Jean Frappat sur la 2è chaine (1972/1975). Elle réunissait alors des "pointures" de la BD qui esquissait chacun un dessin puis,à demi-caché, l'auteur suivant improvisait à partir du petit bout de dessin visible... Et à la fin, l'animateur dévoilait au public la "fresque" entière.
Les plus de quarante ans s'en souviennent, j'imagine. Belle époque.
Peter'
Bonjour Peter Pan,
RépondreSupprimerOh je ne considère pas ça comme de la concurrence, mais plutôt de la complémentarité. Il y a dans vos dessins le charme discret et plein d'humour de l'atmosphère un peu nostalgique d'une autre époque. J'ai déjà évoqué par rapport à vos illustrations en couleur pastel, le style des cartes postales colorisées des années 1950 / 1960. Nous faisons partie, il me semble, d'une génération , dont nous partageons encore certaines valeurs. Comme, curieusement, celle de la fessée, à l'origine éducative, que nous transgressons plus ou moins à travers nos fantasmes.
Mes dessins sont placés dans un cadre plus contemporain qui exprime davantage l'aspect fantasmatique d'une forme de domination féminine, qu'une réalité que je n'ai personnellement jamais vécue. J'ignore les raisons de cet attention particulière et je ne préoccupe pas de le savoir. Tout l'intérêt de ce blog est de pouvoir échanger sur le sujet sans tabou ni complexe, mais toujours avec sincérité, élégance et humour parfois. Saluons, au passage, notre ami JLG à l'origine de cette judicieuse initiative.
Oui je me souviens aussi de cette émission... Comme on en fait plus! Notamment d'une certaine Claire Bretecher qui ne souriait pas souvent.
Cordialement
Ramina.
Bonsoir Ramina,
SupprimerComplémentarité semble plus juste. Une sorte de collaboration par écran interposé. Votre vision est plus ancrée dans l'air du temps. Avec une féminité sûre de son élégance et de son pouvoir... de persuasion ! Rires.
Mais j'aime bien cette "joute dessinée". Ca permet de donner le meilleur en la matière. Pour le profit de notre cercle de passionnés.
Vos personnages me rappellent un autre auteur dans le même contexte: son nom est Chris of England (GB/USA), si ma mémoire est exacte.
Le mot qui qualifierait l'expression de notre fantasme serait peut-être (mais c'est discutable),le mot "nostalgie"
Un plongeon inversé dans des vécus de situations en tant que spectateurs ou non ? Mais bon, inutile de chercher le pourquoi des choses. Tant qu'il ne nuit pas à autrui c'est le plus important, Comme me le disait mon père, marin : "Fiston, dans l'Armée, chercher à comprendre, c'est désobéir".
Ah ça fait plaisir de voir un connaisseur. Une émission qui a été diffusée pendant peu de temps, me semble t-il. Et la dessinatrice Claire Bretécher était la seule femme auteure parmi les invités. D'ailleurs, la proportion de femmes auteures de BD est plutôt minime. Mais c'est un autre débat.
Bonne fin de soirée. Peter Pan.
Comme vous dites, Peter Pan, nostalgie...nostalgie, " Pour le profit de notre cercle de passionnés.
RépondreSupprimerCertains discutent autour d'un verre, d'un café, d'une tasse de thé... Nous échangeons le plus naturellement du monde autour de la fessée!!! je trouve ça à la fois, plaisant, stimulant et finalement assez amusant. Et que ça continue à chauffeeeeeeer!!! Sourires.
Dans le cadre des références il est un auteur américain des années 50/60/70 qui a énormément produit de dessins et illustrations très réalistes sur la domination féminine par la fessée c'est "Eric Stanton." Il est décédé depuis peu.
Sa fille aurait pris le relai mais je n'ai encore pas trouvé de ses travaux.
Bien cordialement
Ramina
Peter Pan,
SupprimerJ'ai regardé ce qu'on trouve sur internet d'Eric Stanton. Il s'agit plus de domination que de fessée. En fait je n'en ai trouvé aucune. Rien d'utilisable sur le blog, à moins que je ne sois passé à côté de ce qui est intéressant pour notre entreprise commune ?
Au plaisir de vous lire,
JLG.
Bonsoir Ramina,
SupprimerMais oui... Le nom m'échappait.
Bien sûr : Eric Stanton,
Il débuta sa carrière comme dessinateur publicitaire, je crois, avant de se tourner vers la BD. C'était un auteur très prolifique de BD sur le thème des maitresses-femmes. D'ailleurs, il surnommait ses héroïnes les "TAm-Azones", mélange de Amazones et Tame, qui signifierait: dompter en VO.
Bref. Des dragons-femelles. Redoutables et redoutées.
En 1997, j'avais acheté sur "laboutiquedezaza.fr" le recueil (300 pages !) intitulé : "Ropes and other stories".
Il était newyorkais et vécut parait-il jusqu'en 1999.
Son grand rival est Bill Ward et ses "Fem-dom" qui fut l'auteur, entre autres, de 3 romans illustrés : Belinda, Pascaline, Gwendoline. Mais il y a d'autres auteurs dans la même veine que je n'ai pas en tête. Des pointures dans leur domaine.
Merci pour ce rappel. Bon WE. Peter'
Bonsoir JLG,
RépondreSupprimerEric Stanton est surtout connu pour la domination féminine et il est plus question de luttes et de gifles que de fessées dans ses œuvres. Mais je regarderais de plus près dans les recueils que j'ai conservé.
En revanche, Bill Ward a dessiné ses "FemDom" dans des situations de fessées administrées à des hommes plus ou moins jeunes.
D'ailleurs, il a commencé par dessiner des hommes fessant des femmes, parfois des femmes se fessant entre elles puis des femmes fessant des hommes (ce qui correspond davantage à notre fantasme).
De belles images en perspective.
Bonne fin de soirée. Peter'.
Peter Pan,
SupprimerAdressez-moi quelques dessins de Ward que vous verriez bien sur ce blog. Un premier tour sur internet ne m'a pas permis d'en trouver de très inspirantes.
Au plaisir de vous lire,
JLG.
Bonsoir JLG,
SupprimerJe n'ai pas retrouvé pour l'instant de dessins de Bill Ward mais en revanche, j'ai retrouvé le recueil des BD de Eric Stanton. Et je vais vous en soumettre avec votre accord quelques pages concernant notre sujet favori. Rires.
Bonne soirée. Peter'.
Intéressant début. Y aura-t-il des domestiques, masculins et féminins, naturellement soumis à la discipline eux aussi mais pouvant peut-être être des auxiliaires de punition pour les femmes. Par exemple le coin ou le piquet sous la surveillance de la bonne.
RépondreSupprimerBonjour,
RépondreSupprimerJustement, Doumik, Stanton à dessiné une série qui met en scène le jeune homme d'une maison copieusement corrigé et fessé par une plantureuse soubrette .
Parmi les nombreuses productions de Eric Stanton ( dont certaines faites sur commande par des amateurs qui lui indiquaient le scénario qu"ils souhaitaient voir illustré ) figurent beaucoup de séances de fessées administrées à des hommes par des femmes, plutôt bien en chaire. Une partie de son oeuvre se rapproche d'une forme de pornographie délirante qui n'a rien à voir avec les contenus de ce blog.
Mais ce qui est remarquable chez E.Stanton, c'est au fil de sa carrière la maîtrise qu'il acquière dans le traitement du dessin. Les femmes qu'il représente sont d'une esthétique remarquable, d'un réalisme et d'une justesse de rendu saisissants. ( je m'en inspire un peu dans mes illustrations.)
je vous invite à visiter le site "E-Hantaï gallery. C'est une mine de multitude d'auteurs. Recherchez "Eric Stanton" Pratiquement toute son oeuvre y figure. Bien sûr il faut trier. je vous recommande "Familly Affair " et "Office Affair ". Belles séances de fessées femmes / Hommes. Cet artiste était précurseur.
Cordialement
Ramina
Bonjour, Ramina.
RépondreSupprimerJe viens de découvrir, avec délectation, ce premier chapitre. C'est un enchantement. Tout est juste. L'atmosphère de cette famille "disciplinée" est remarquablement bien rendue. La complicité entre la mère et la fille, toutes deux fesseuses patentées, est savoureuse. Je vais me plonger avec gourmandise dans les chapitres suivants. Merci.
de bonnesroustes
RépondreSupprimer