Chapitre 2 : Un retard lourd de
conséquences
« Non mais Robin, tu as vu
l’heure ? Tu viens d’où, s’emporte immédiatement Gladys, la poitrine gonflée de
colère qui n‘avait pourtant pas besoin de ça pour s‘émanciper de son
décolleté ? »
Comme d’habitude, elle en rajoute un
peu, histoire d’aggraver la situation et justifier la sévérité de la correction
dont elle a l’intention de lui gratifier le derrière.
« Ta sœur et moi, on en
étaient même à se demander si tu avais l’intention de rentrer,
ironise-t-elle ! »
– Mais...mais maman, j’étais avec Axel. On discutait et …et
… je n’ai pas fait attention à l’heure...j’ai raté mon bus !
– Mince alors, mon pauvre chéri, tu
as raté ton bus ! Tu n’as vraiment pas de chance !
– Ben non…
– Tu te fiches de moi là, hein ?
– Euh…Non maman, je te jure !
– Oui, parce que contrairement à ce
que supposait ta sœur tout à l’heure, tu ne pouvais pas être avec Axel. Je
sais, qu’en ce moment il est en retenue tous les Week-End ! Alors ne nous
raconte pas d’histoire !
– Surtout que de Ste Marie à ici, il
y a un bus tous les quarts d‘heure !
Surenchérit Patricia qui ne
manifeste aucun scrupule à l‘enfoncer un peu plus dans son mensonge. Robin,
bafouille. Il sait que ni sa sœur, et encore moins sa mère, ne vont lui
épargner l’inévitable fessée prévue en cas de désobéissance aux règles de
ponctualité de la maison. Le ton autoritaire de sa mère le tire de sa brève
réflexion sur l’avenir immédiat de son postérieur.
« Tu m’écoutes Robin! Tu viens
de désobéir et de mentir effrontément pour essayer de justifier ta mauvaise
conduite. Tu sais ce qui t’attend ?
– Euuuuh oui… maman… Je sais.
– Bien, alors dis-moi, qu’est ce qui
t’attend ? Je t’écoute !
– Euuuh… une fessée maman.
– Exact, une fessée ! Mais encore,
une simple fessée ?
– Non maman pas une simple fessée…
Une bonne fessée!... Maman !
– Plutôt oui ! Et une bonne fessée
comment ?
– Une bonne fessée déculottée
maman !
– Parfait, ça, au moins, tu l’as
retenu. Alors ne perdons pas de temps. Amène-moi tes fesses pour que je les déculotte. Maman va te
flanquer les deux fessées que tu reconnais avoir méritées.
Robin regarde sa mère, l’air ahuri.
Son cartable lui en tombe des mains. Il le ramasse par réflexe sans se rendre
compte qu’il s’est ouvert tout seul. Quelques livres et une enveloppe restent
par terre.
– Comment ça deux fessées ?
Pourquoi deux maman ?
–
Ah parce que maintenant tu discutes !
Gladys fait semblant de se radoucir
et reprend sur un ton faussement affectueux.
– Mais mon chéri, c’est très simple,
dois-je encore te rappeler les clauses du contrat de discipline pour les
garçons désobéissants, avec le tarif des
fessées en vigueur ? Oui ?
Robin ne répond pas. Il sait de toute façon
que, quoi qu’il dise, sa mère inflexible, va lui flanquer la raclée qu’il a
méritée. Et ça ne va pas traîner. Dans quelques secondes, il va se retrouver,
déculotté, à plat ventre sur ses genoux, le derrière tressautant sous une
magistrale fessée. Car pour Gladys, une petite ou une moyenne fessée, ça
n’existe pas. Au catalogue de ses prestations ne figure qu’un seul modèle, mais
pas n’importe lequel. Le modèle grand format. La fessée magistrale.
Plutôt préoccupé de l’avenir
immédiat de son postérieur, Robin enregistre à peine l’énumération des
sanctions que sa mère lui rappelle avec insistance et une pointe de jubilation
dans la voix.
« Tu sais comment ça fonctionne
Robin. Au moindre écart de comportement, c’est la fessée ! Alors le calcul
n’est pas difficile à faire, deux écarts, deux fessées! Une pour te punir de
ton retard inadmissible et la deuxième pour ton mensonge grossier. Le compte y
est mon cher ! »
« Robin! Tu écoutes ce que te
dit maman? » Le rappelle à l’ordre sa sœur que la main commence à
démanger. Elle caresse d‘un regard enveloppant, la volumineuse paire de fesses
qui gonfle le fond de son pantalon.
« Il n’a pas l’air, dit sa mère, c’est parle à
mes fesses ma tête est malade ! »
Planté dans le vestibule, immobile, le cartable toujours
à la main, Robin semble tétanisé dans une situation qui n‘est pourtant pas
nouvelle pour lui. Les menaces de fessées suivies d’exécution immédiate sont
habituelles, ça se produit régulièrement.
Malgré cela, il sent ses fesses trembler au fond de son slip. Maman n’a
pas l’habitude d’y aller de main morte. Il sait qu’il va encore s’en prendre
des sévères, c’est sûr. Une semaine de fessées en continu à Ste marie lui ont
fait un peu oublier le contexte familial. Conscient, mais souvent trop tard, de
sa tendance chronique à enfreindre les consignes, il ne s’attendait pas un
accueil triomphal. De là à se ramasser deux fessées à peine arrivé...
Patricia reprend l’initiative et le
sort de sa torpeur:
«Tu n’as pas bien entendu Robin,
maman t’a demandé tes fesses ! Et quand maman demande tes fesses, tu sais
qu‘elle n‘aime pas attendre, alors tu les lui amènes et en vitesse ! »
Elle le saisit par le col de son
blouson et le secoue sans ménagement en imitant avec humour les annonces
d’informations diffusées dans certains espaces publics.
« La maman du petit Robin attend ses
fesses sur ses genoux pour lui flanquer sa fessée, claironne-t-elle d’une voix
forte !
Gladys, magnanime, s’en amuse et lui
concède la première salve.
« Puisque tu as l’air d’en
avoir tellement envie, Patricia, à toi l’honneur de la première fessée. Je te
laisse la direction de la cérémonie d’ouverture des festivités.
– Merci maman, avec plaisir! »
Elle enchaîne aussitôt.
« Baisse ton pantalon Robin et viens-ici!
»
Robin sait qu’il n’a pas le choix.
Il s’exécute immédiatement, déboucle sa ceinture, défait sa braguette et, le
pantalon sur les chevilles, s‘approche de sa sœur. Les jambes entravées, il se
déplace d’une démarche chaotique. Il a beau avoir l’habitude, être obligé, à
vingt et un ans, de s’exhiber les fesses à l’air et le sexe en évidence devant
sa mère et sa sœur... Il se sent humilié, ridicule. Elles s’en amusent
ouvertement lorsqu’il essaye de se cacher derrière ses mains plaquées sur son
bas-ventre.
Patricia ne perd pas de temps. Elle
le saisit par les cheveux et, résolue à
lui flanquer sa fessée sur ses genoux, elle cherche du regard une place sur la
banquette, Mais le siège est encombré par les paquets déposés par sa mère. Elle
décide alors de le corriger dans une autre position. Ses gestes sont précis,
rapides, efficaces. Elle le courbe vers le sol, lui coince la tête entre ses cuisses et, le ceinturant de
son bras gauche passé sous son ventre, le soulève pour le positionner, fesses
en l’air, tendues à sa main. Ses pieds ne touchent plus le sol. Robin gémit sourdement. Il couine et transpire
déjà, les joues irritées par le frottement des bas nylons de sa sœur.
« Excellente idée ma chérie,
belle position! s’exclame Gladys On n’y pense pas assez souvent.
– Oui, je la trouve très pratique.
Les fesses sont bien déployées et à égale distance de la main. De plus Il ne
peut pas se les protéger pendant sa correction »
Robin commence aussitôt à supplier
en criant.
– « Pitié maman ! Patricia!
Pas déjà la fessée ! Je ne le ferai plus, je rentrerai à l’heure! Promis juré
! »
Patricia ne se préoccupe pas le
moins du monde de ses protestations. Elle le maintient solidement en position
sa main gauche passée sous son ventre et commence à le déculotter de son autre
main. Celle qui va fesser.
Gladys toujours attentive au moindre
détail, réagit la première.
« Mais dis-moi Robin
s’exclame-t-elle d’un ton faussement étonnée, tu n’aurais pas déjà reçu une
fessée aujourd’hui. Tu as des marques rouges sur les fesses ! Sûrement une
fessée déculottée à la main, et bien appuyée... on distingue encore les traces
de doigts.
– Oui maman, répond la voix étouffée
de Robin d’entre les cuisses serrées de sa sœur. »
Il ne peut manifestement pas nier
l’évidence...
« C’est sœur Marie-Odette avant
de partir. J’avais oublié de prendre mon carnet de correspondance.
– Tu m‘en diras tant ! Encore une fessée bien méritée. Ta sœur va se
charger de la suivante. Aller ma chérie, il est à toi ! Mets lui en une
sévère ! »
Patricia resserre les cuisses autour
de son cou pour le maintenir bien en place pendant qu‘elle le déculotte. Un des
moments le plus excitants en préparation de la fessée avec la mise en positon
des fesses. Elle passe ses doigts sous la ceinture du slip qu’elle fait glisser
avec dextérité sur les courbes volumineuses de la croupe tendue. Robin commence
déjà à gémir. Il sent l’air frais caresser ses fesses au fur et à mesure que sa
sœur les dégage du nylon. L’élastique du slip claque bruyamment sur ses
cuisses. Un regard complice à sa mère qui l’encourage d’un sourire et la fessée
démarre à toute volée. Robin pousse aussitôt des petits cris de douleur.
« Je viens à peine de commencer
qu’il commence déjà à crier. Ça promet pour la suite ! »
Indifférente à ses plaintes Patricia
fait déjà preuve d’une bonne expérience et trouve rapidement le bon rythme, Consciente de remplir avec
efficacité sa noble mission punitive, elle s’applique à bien ajuster les
claques en puissants allers et retours sur chaque fesse. Elle fesse fort, sec
et serré et ça claque dur. Le pauvre, soumis à rude épreuve, Robin clame sa
douleur au fur et à mesure de la montée en température de ses fesses, à peine
remises de la fessée que sœur Marie-Odette lui a flanquée au moment de sa
sortie de l’école.
« Fesse, ma chérie, fesse ! Ne
t’occupe pas de ses pleurnicheries, encourage Gladys qui suit attentivement le
déroulement de la punition. Au contraire, tu le sais bien, quand la voix monte,
c’est que la fessée est efficace !
– Je sais maman, je sais, ce n’est pas la
première fessée que je lui claque au derrière! »
Patricia fesse dur. Elle a voulu
prendre cette initiative pour affirmer, aux yeux de sa mère, son pouvoir
d'autorité sur son frère et la manière dont elle était maintenant capable de
lui administrer ses fessées. La position qu'elle a choisie est aussi
spectaculaire qu'efficace. Les fesses
déculottées du puni sont bien présentées, pleinement déployées, placées à la
même distance de la main, ce qui permet à chacune d’elles de bénéficier d’un traitement
identique. Elles rougissent et chauffent en cadence sous les allers et retours
équitablement répartis.
Patricia s’applique à bien fesser.
Elle veut profiter pleinement du sentiment de possession qu’elle ressent à
contempler les fesses rougeoyantes de son frère, coincées entre ses cuisses,
tressauter en cadence au rythme de la fessée qu’elle lui administre. Robin,
malgré sa taille d’adulte, n’est pas très lourd. Elle lui maintient les fesses
en l’air sans difficulté et lui administre sa déculottée avec une énergie
propre à rassurer Gladys sur ses capacités à fesser avec la sévérité
nécessaire.
Stimulée par sa mère, la jeune femme
ne semble pas disposée à lâcher sa proie, mais plutôt décidée à faire durer la
fessée. Elle accentue la pression et augmente la cadence. Robin reçoit
immédiatement le changement de rythme en ployant les reins sous les claques.
Sachant qu’il finira par céder et éclater en sanglots, il essaye malgré tout
d’en retarder l’échéance en retenant ses larmes. Dernier moment d’une dérisoire
résistance pour conserver un semblant de dignité sous la main ferme qui lui
incendie le derrière. Agrippé aux fortes cuisses de sa sœur, la tête coincée
entre les deux, solidement maintenu en position, il saute d’un pied sur l’autre
et tortille ses grosses fesses dans une vaine tentative d’amortir la percussion
des claques qui s’abattent en rafales. Il saute sur place, en suppliant,
appelant à une clémence que sa charmante sœur n’a aucunement l’intention de lui
accorder.
« Ahhhh Patricia, s’il te
plait, pas si dure la fessée ! Tu tapes trop fort, de plus en plus fort !
Ça fait mal ! »
Indifférente à ses supplications,
elle prend ça plutôt comme un compliment. Les dents serrées par l‘effort, la
main ferme, bien enveloppante pour claquer un maximum de surface de chaire à
chaque fois, elle se concentre sur l’intensité de sa frappe.
Et Robin s’aplatit en pliant les
jambes les relève l’une après l’autre, exécutant une frénétique danse des
fesses. Malgré ses contorsions désespérées, il ne peut soustraire un centimètre
carré de chair aux magistrales claquées qui continuent inlassablement à lui
cuire le derrière. Un derrière sévèrement corrigé qui irradie maintenant le
vestibule d’un resplendissant rouge écarlate uniformément réparti sur toute sa
surface.
« Mais j’espère bien que ça
fait mal! reprend Patricia qui poursuit avec ténacité le claquage intensif de
la paire de fesses qu‘elle a sous la
main. Et elle en profite, sans états d’âme, trop heureuse de l‘avoir à son
entière disposition.
« Les fessées sont faites pour
ça mon cher! Faire mal aux fesses sinon ce ne sont plus des punitions »
Elle est obligée d’élever la voix
pour se faire comprendre tant le niveau sonore de la fessée est assourdissant.
Gladys n’en perd pas une miette et
exprime sa satisfaction en ponctuant chaque claque d’un hochement de tête
approbateur. Ferme, rapide, cuisante, la deuxième main qu’elle a si bien
initiée est prête à entrer en service sur les fesses des messieurs
indisciplinés et mal éduqués qui font partie, en nombre, de leur entourage.
Le dialogue haché entre le frère et
la sœur se poursuit, en partie couvert par le claquement retentissant de la
fessée.
« Oui, mais… mais… quand même,
trépigne Robin qui commence à avoir du mal à respirer, la tête toujours coincée
entre les cuisses de sa sœur, ça… ça cuit ! Pitié ! Pitié arrête ! »
Patricia le corrige à l’énergie et
la fessée ne faiblit pas. C’est un vaste incendie qui embrase toute la surface
de ses fesses du bas des reins jusqu’à l’élastique du slip, tendu sur le haut
des cuisses.
« Robin, ton cirque ça
suffit ! Tu n’es vraiment pas en situation de réclamer quoi que ce soit. »
Intervient soudain Gladys exaspérée par les
protestations intempestives de son fils. « Cesse de hurler et de gigoter
comme ça! Tu acceptes ta fessée, un point c’est tout ! Et arrête de tortiller
des fesses sans arrêt. Contente-toi de les garder en place! Comment veux-tu que
ta sœur te fesse correctement jusqu’au bout ? »
– Ne t’inquiète pas maman, je
maîtrise la situation. Il va se prendre sa fessée jusqu’au bout ! Et aussi
longtemps que je le déciderai.
– Très bien ma chérie. Mais à
l’entendre réagir comme il le fait, je n’ai pas l’impression qu’il en tire
vraiment la leçon. Ce garçon reste insolent et incorrigible. Tu n’es pas assez
sévère avec lui. Il faut que tu fesses avec davantage d‘énergie, qu‘il apprenne
à ne pas protester quand il reçoit sa fessée. Rien que pour ça il en mérite une
autre. Je la lui mettrai tout à l‘heure quand on abordera la question de
ses résultats scolaires »
Stimulée par sa mère Patricia ne se
fait pas prier. Elle reprend la fessée de plus belle, en augmentant la cadence
et la puissance des claques avec un enthousiasme clairement affiché. Robin se
remet aussitôt à hurler et se débat comme un beau diable en tortillant
frénétiquement son postérieur en fusion. Il bouge tellement que Patricia
commence à avoir du mal à le tenir en place pour continuer à lui ajuster les
claques avec précision.
« Bon ça suffit, passe-moi ses
fesses, il m’énerve, s’écrie Gladys furieuse ! Je vais lui ôter l’envie de
faire le malin.
– Comme tu veux maman. Mais tu
sais, je peux continuer, C‘est sûr, tu
as plus l’habitude que moi et tu tapes beaucoup plus fort. Pour autant, je ne
suis pas mécontente de ma fessée, je lui en ai quand même claqué une bonne!
– Mais ma chérie, je ne dis pas le
contraire. C'est une excellente fessée. Bien fournie, cuisante et claquante,
comme je les aime et comme je t’ai appris à les donner. Je ne fais pas beaucoup
mieux tu sais. D’ailleurs Il suffit de regarder la couleur de ses fesses…
Maintenant comme il continue à faire l’intéressant, il est temps que je le
reprenne moi-même en mains. Tu peux le lâcher. »
Patricia desserre les jambes,
libérant son frère, toujours empêtré dans son pantalon et son slip. Il
s’écroule à genoux à ses pieds en gémissant. Ses joues apparaissent marquées de
chaque côté par l’empreinte de ses boucles de jarretelles, Elles sont
brillantes de larmes et presque aussi rouges que ses fesses en pleine cuisson.
Instinctivement, sans réfléchir, il se les prend à deux mains pour essayer d’en
atténuer un tant soit peu l’incendie. L'inconscient
Sa mère le fusille aussitôt du
regard.
« Mais qu’est-ce que tu fais
Robin? S’écrie-t-elle. Qui t’a autorisé à te frotter les fesses, viens-ici !
Tout de suite!
– Mais maman, tu ne te rends pas
compte, ça fait mal ! Patricia claque dur, j’ai les fesses en feu !
– C’est la meilleure celle-là… je ne
me rends pas compte. Viens ici je te dis ! »
Il y avait des moments ou Gladys se
demandait avec inquiétude, si son fils, malgré ses vingt et un ans, faisait semblant
d’être imbécile ou s’il l’était vraiment. A moins qu’il ne jouait simplement la
comédie pour mieux se moquer du monde. Après une telle fessée il trouvait
encore le moyen de se distinguer avec des remarques déplacées et en ignorant
les consignes.
Ne perdez pas le fil du feuilleton ! Pour ceux qui se seraient égarés ...
Ramina est l'auteur de nombreux commentaires sur ce blog.
Juste retour des choses il attend les vôtres. Ecrivez vos appréciations, vos retours, vos questions ... dans le cadre ci-dessous. Ramina vous répondra.
Si vous voulez un échange plus privé voici un courriel pour le joindre : ramina16@laposte.net
Bonjour Ramina,
RépondreSupprimerExcellent récit. On ne laisse pas refroidir les plats, en somme.
Ce cher Axel est le prétexte tout trouvé. Mais comme dit le proverbe : "Ce n'est pas au vieux singe qu'on apprend à faire la grimace !" . Mauvaise stratégie !
Wahou ! Quelle correction ! De sacrées natures, dans la famille !
On entendrait presque l'écho des claques et les supplications du pauvre "héros-malgré-lui". Héros qui ne peut s'empêcher de gaffer !
A croire que ça lui plait de se faire tanner la peau des fesses !
Se faire fesser par sa mère semblerait logique dans le principe et l'action. Mais sa sœur ? Franchement, quelle honte !!!
Visiblement, à la maison, ces dames portent la culotte, et ces messieurs portent... le kilt ? Rires.
Peter'
Merci Peter Pan pour ce commentaire.
RépondreSupprimer( Quelle drôle de fixation sur le kilt!)
Effectivement à la maison ces dames portent la culotte et descendent facilement celle de ces messieurs. La fessée est un plat qui se déguste chaud, à tous les repas.
! C'est vrai que Robin m'apparaît comme un gaffeur un peu ahuri qui ne rate pas une occasion de s'en prendre plein les fesses.
Par sa mère évidemment en tutrice légitime soucieuse de l'avenir et de l'éducation de son grand garnement mais aussi, plus piquant par sa soeur en seconde main, qui prend beaucoup de plaisir à lui rougir aussi les fesses. En attendant,celles du beau père... Sacré famille! Sûr que ça va chauffeeeeeeer!
Ramina.
Bonsoir Ramina,
RépondreSupprimerCa me rappelle le jeu des 7 familles... Sauf que dans votre récit, il n'y en a qu'une. Dans le style de ce jeu :
- dans la famille Tapefort, je demande... la mère !
- Pioche !
- (...) Ouais ! Bonne pioche !
(Rires).
Votre "héros", Robin, est un mélange de Pierre Richard pour ces gaffes et de ce grand dormeur de Gaston Lagaffe (qui ne manque jamais d'astuce pour se faciliter le boulot).
Il a l'art et la manière de se prendre les pieds dans le tapis.
Il est incorrigible. Mais peut-on le changer ? A suivre...
Peter'.
Bonsoir Peter pan.
RépondreSupprimerDrôle, l'idée du jeu de 7 familles. Pour le moment oui, il n'y en a qu'une... Pour le moment... mais quelle famille!
C'est vrai j'ai pensé un peu aussi à Gaston Lagaffe. Il est probable que Robin, lui, reste incorrigible malgré le nombre de fessées que sa mère et sa soeur lui administrent, et celles qu'il reçoit à Ste Marie... Le week End n'est pas encore terminé. Maman tape fort à la manoeuvre , ça encore va claquer dur!
Ramina.
Bonjour Ramina,
RépondreSupprimerCe pauvre Robin prend cher et, qui plus est, de la main de sa petite sœur, une main particulièrement efficace. Reste à savoir si la leçon portera ses fruits. On peut en douter.
En tout cas, comment on se laisse accrocher par votre histoire, écrite dans un style très plaisant!
Quant aux dessins, ils viennent faire chanter le récit.
Merci et à très bientôt.