mardi 26 juin 2018

Ce qu'il en coûte ... de n'en faire qu'à sa tête

Il y a quelques mois, en discutant avec une très bonne vieille copine Monique nos souvenirs de lycée, elle me raconta tout à la fois en riant et rougissant l'aventure qu’elle vécut lorsque nous étions en Première et dont elle n’était pas fière pour me l’avoir tue pendant quelques dizaines d'années.
Quand nous étions tous deux au lycée, moi comme externe, mais en pension chez Geneviève, une amie de mes parents, elle-même professeur dans cet établissement et Monique comme interne, les tenues et comportements des élèves étaient strictement codifiés. Notre directrice ne tolérait pas le moindre écart vestimentaire ou comportemental qui était immédiatement et sévèrement sanctionné. Monique en fit un jour la cuisante expérience.

Il était interdit pour les jeunes filles de porter des jupes trop courtes et des collants avant d’être en classe de Terminale. En Seconde et Première, la jupe plissée bleu marine, le chemisier blanc, le gilet bleu, les chaussettes blanches, les chaussures à talons plats et la blouse étaient obligatoires en classe. Hors de classe, la tenue était la même, mais sans la blouse (bleue pour instruction générale et blanche pour la chimie et les sciences naturelles).
Monique, de caractère entier et à l’esprit rebelle se moquait éperdument des consignes et si elle avait décidé les mercredis après-midi, après la classe, de faire des achats en ville en jupe courte, collant et chaussures à talons hauts, elle le faisait, quitte à se retrouver « collée » le mercredi suivant, ce qui lui arrivait fréquemment.

Rentrant à l'établissement et se dirigeant vers le quartier des internes ce mercredi là, à peine eut-elle franchi la porte de la conciergerie qu’elle se retrouva nez à nez avec une surveillante qui semblait l'attendre depuis longtemps. Pas question de rejoindre l'internat dans être passée cette fois par le bureau de la directrice. La surveillante saisit ma camarade par le bras et l'entraina à travers les couloirs vers le bureau de la directrice, heureusement sans croiser d'autres élèves en cette fin d'après-midi de mercredi
Arrivées toutes deux devant la porte du bureau, tout en maintenant toujours fermement Monique par le bras, la surveillante appuya sur le bouton de la sonnette équipée de voyants lumineux : « Rouge, attendez ! Vert, entrez ! ». Le voyant vert s’alluma presque instantanément ... La surveillante entra, laissant la porte à demi entrebâillée et Monique attendre dans le vestibule. Quelques bribes de conversation lui parvinrent aux oreilles ...
« Madame, vous m’avez demandé de surveiller le retour de, Mademoiselle P… Elle est de retour et attend derrière la porte. »
« Très bien ! Faites-la entrer, je vais m’occuper d’elle. Je vous remercie. Vous pouvez disposer! »

Monique, plutôt inquiète cette fois de se retrouver dans ce bureau, entra en hésitant. La directrice l’observait, bras croisés, debout à côté de son bureau. Elle s’entendit rappeler d’une voix sèche les règles concernant la tenue des jeunes filles, la liste des nombreuses heures de colle dont elle avait déjà fait l'objet depuis la rentrée en septembre dernier, soit trois mois plus tôt et qu'elle avait été punie et collée bien des fois pour violation de ces règles. Il fallait donc mettre un terme à ce caractère indiscipliné et la directrice lui confia qu'elle hésitait entre une mise à pied de plusieurs jours, avec lettre à ses parents ou une punition immédiate comme en recevaient parfois les filles de la section collège…, « même si Monique en avait passé l’âge » précisa-t-elle !!!
"Alors que décidez-vous mademoiselle P... ou me laissez-vous le choix de la sanction ???"
Monique ne sut quoi répondre tout en réfléchissant aux conséquences parentales si elle était renvoyée quelques jour du lycée et ne prenant pas de décision ou n'osant en prendre, ce fut la directrice qui décida. Saisissant une chaise visiteurs en place devant son bureau, elle la déplaça vers le milieu de la pièce, l'y installa, puis s’y assit. Tirant ma camarade par un bras, la bascula à plat ventre en travers de ses cuisses, tout en lui annonçant qu'elle allait lui administrer de suite une bonne fessée, comme Monique n'avait pas dû en recevoir depuis longtemps.

Le temps qu’elle réagisse en entendant le mot « fessée », Monique était déjà en position, ceinturée par la taille, tête au ras du parquet, postérieur en l’air. Aussitôt, la main de la directrice s’abattit, distribuant de fortes claques sur le tissu tendu de la courte jupe. Ce fut très rapide et sous le coup de l’émotion, Monique pensa que c’était fini, que cette fessée n’était en fait qu’une sorte de simulacre en guise d’avertissement. Voulant se relever, elle se rendit compte que la directrice maintenait son étreinte autour de sa taille et tout en saisissant le bas de sa courte jupe, la rabattit au-dessus de ses fesses, Monique se retrouvant en collant et culotte. Une nouvelle série de claques s'abattit directement sur le fond du collant, claques d’autant plus sensibles que Monique n’avait plus que son collant et sa petite culotte pour protéger ses fesses.
Ma camarade de longue date, me précisa qu’à ce moment, allongée comme une fillette sur les genoux de la directrice, jupe retroussée, elle avait espéré que personne n’entre dans le bureau, tout en pensant à la surveillante qui dans le couloir devait l'attendre pour la reconduire à l'internant et dont les oreilles avaient dû entendre la discussion suivie du bruit des claques sèches sur le fond de son collant qui à présent commençait sérieusement à la chauffer, pour ne pas dire la brûler ... Cette seconde série de claques s’ajoutant à la première lui avait échauffé les fesses et arraché quelques gémissements. Il y eut une nouvelle pause ... 
La directrice qui, lui saisissant les deux poignets d’une main et la ceinture élastique du collant de l’autre, commença à le faire glisser le long de ses hanches étroites et s'arrêter juste sous le bas de ses fesses : « Maintenant, passons aux choses sérieuses, ma petite ! ». Surprise et honteuse, elle sentit sa petite culotte suivre le même chemin que le collant, plus rapidement cette fois. La directrice la déculottait généreusement jusqu’à mi-cuisses, exposant la jeune croupe en pleine lumière. Des claques encore plus appuyées et rapides que les précédentes se mirent à crépiter douloureusement sur ses fesses nues. Cela n’avait plus rien à voir avec la fessée précédente. La directrice se déchaînait, sa main claquant à toute volée une fesse puis l’autre, les pénétrant d’une cuisson de plus en plus intense qui fit que Monique criait, pleurait, battait des jambes ...

Enfin, deux dernières claques retentissantes conclurent la fessée. Le bureau retrouva son silence juste perturbé par les sanglots de Monique. En larmes, elle put se relever, remettre de l’ordre dans sa tenue et remonter avec précaution culotte et collant sur ses fesses écarlates et brûlantes. Elle sortit du bureau, après s’être engagée auprès de la directrice à respecter le règlement. Dans le vestibule, la surveillante l’attendait, avec un petit sourire moqueur et elle lui demanda en l’accompagnant à l’étage de l’internat si, enfin, elle avait bien compris et retenu la leçon.

Alain le retour


Alain a déjà sévi sur ce blog, C'est lui qui est, entre autres, l'auteur de la série "les entretiens privés avec Geneviève. Relisez le premier chapitre

Ce qu'il en coûte de...


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