lundi 25 juin 2018

Une visite chez Tante Kassandra


Après une première visite chez Madame Kassandra marquante à tout point de vue, j'ai de nouveau pris rendez-vous chez elle pour une bonne correction.
J’avais déjà testé la sévérité et l’expertise de cette disciplinarian connue des habitués du monde de la fessée. Je savais qu’elle pouvait me fesser encore plus fort et me faire ressentir une plus grande honte. Je me sentais en parfaite confiance. Il fut décidé d’un scénario ou elle jouerait ma tante et moi son neveu au comportement inacceptable. J’avais toute confiance en elle car elle m'avait bien puni et je connaissais bien ses cuisses pour y avoir fait quelques allers-retours.

Je lui envoyé un mail de la part de maman se plaignant de mon comportement

Ma chère Sœur,  je t’écris cette lettre suite à l’incident survenu lors du déjeuner familial du  06 Juin 2018 au restaurant La Rotonde. Lors de ce déjeuner, Luca, ton cher neveu, s’est montré  insolent et impertinent, le ton est monté souvent et  il n’aurait pas du te parler comme il l’a fait. Tu m’as semblé à a fois désabusée et assez furieuse. Te connaissant, tu as du te retenir mais tu étais très en colère. Difficile de punir son neveu au beau milieu d’un restaurant devant tout le monde,  alors que ta main te démangeait de lui flanquer une bonne raclée. En rentrant à la maison, j’ai fermement sermonné Luca, qui m’a semblé amusé de la situation. Je l’ai menacé d’une bonne fessée maternelle, il m’a rit au nez, me mettant au défi….. Je lui ai bien donné quelques paires de claques et quelques tapes sur le pantalon mais je n’ai pas réussi à l’allonger sur mes genoux, ni a lui baisser son pantalon. J’ai, j’avoue, manqué de fermeté et de courage et je n’ai pas pu le corriger comme il le méritait. Je t’ai entendu à la fin du repas quand tu m’as dit que Tu aurais voulu  flanquer à Luca une fessée déculottée jusqu’à ce que ses fesses soient rouges tomate.
C’est la raison pour laquelle je lui ai demandé de venir chez toi ce matin pour qu’il s’excuse en bonne et due forme et pour que tu puisses le punir et le corriger comme il le mérite ! Tu sais y faire avec les vilains comportements et Luca craint beaucoup tes fessées. Il se souvient bien de la fessée mémorable que tu lui as donnée  la dernière fois. Je t’encourage à  le gronder, le punir et le corriger sévèrement y compris avec ton redoutable martinet familial qui a beaucoup servi.
Bon courage avec ce jeune chenapan.

On peut dire que les mails reçus ne laissaient pas le moindre doute sur la sévérité des corrections que ma chère tante allait m’appliquer sur mon joli postérieur.
Suite à mon mail je reçus la réponse cinglante de Madame Kassandra


Mon cher neveu, j’ai pris connaissance du mail envoyé par ta mère. Tu es convoqué chez moi mardi prochain à 10H pour s’expliquer sur ton comportement. Tu n’imagine même pas comme je vais être sévère avec toi petit garnement tu vas faire un long séjour en travers de mes cuisses. D’ici la tiens toi à carreau ou je viens te chercher par la peau des fesses !
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Bonne soirée et à bientôt Tante Kassandra

Le fameux mardi  arrive. Je sonne à sa porte. Madame Kassandra me  reçoit et m’embrasse tendrement comme le ferait toute bonne tante avec son cher neveu. elle se montre tout de suite très sévère et en entrant dans le salon se met à me gronder sur mon comportement déplacé au restaurant
« Tu sais pourquoi tu es là chez moi ?»
– Oui ma tante je t’ai mal parlé au restaurant »
– tu vas commencer par me lire à voix haute le mail de ta mère »
– Non pas question »
Je suis interrompu par une magistrale paire de claque. Cela a le mérite de me recadrer vite fait, je n'en mène pas large. Puis elle poursuit avec un ton encore plus sévère
«  Alors cette lecture j’attends…"
Je m’exécute et plus j’avance dans le récit et plus ma tante fronce les sourcils, me menace de sa main, me jetant un regard noir.
Après m’avoir bien sermonné elle me donne une dizaine de claques sur la joue qui rougit à vue d’œil.
Puis elle m’entoure avec son bras, me penche en avant et m’administre une vingtaine de claques sur mon pantalon, je sens déjà la cuisson car elle frappe très fort et très énergiquement mon fessier.
« Maintenant mon cher neveu, tu mérite de recevoir la fessée pantalon baissé » et avec une dextérité elle déboutonne mon pantalon et me le baisse à mi cuisse. Elle me bascule en travers de ses genoux allongée sur sa chaise à fessée.
A ce moment je décide de me rebeller je refuse de me laisser faire. Madame Kassandra change d’avis et me baisse directement le slip. Me voilà cul nu en travers des jolies cuisses de tante Kassandra attendant avec fébrilité la redoutable fessée familiale. Elle lève la main bien haut.
« Cà me démangeait de t’en coller une bonne au restaurant devant toute la famille, je suis furieuse et je vais te donner la fessée déculottée la plus exemplaire, tu vas avoir du mal à t’assoir après »
Et joignant le geste à la parole elle me claque énergiquement les fesses, j’ai beau me débattre je suis corrigé comme un ado pas sage et je sens monter la chaleur sur mes fesses brulantes.
Après 5 minutes de correction (j’ai compté au moins 250 claques reçues) elle me relève et me met au coin.
Après une courte pause elle me demande de m’allonger en travers de son banc à fessée rouge.
Imaginez-vous penché en travers d’un confortable mobilier, les bras tendus reposant sur le sol, à genoux, pantalon en tire bouchon à vos pieds, culotte baissée à mi cuisse et bien sur fesses nues et déjà bien rougies, attendant la prochaine raclée. Elle prend son temps ma jolie fesseuse.
Elle brandit le martinet et me cingle les fesses, je crie de douleur, les lanières fouettent mes fesses nues.
« Puisque tu continues à me désobéir, je te fesse avec mon martinet »
Une soixantaine de coups frappent mon séant. Je crie, supplie,  je suis rouge de honte et j'ai très mal aux fesses.
Elle décide de tester plusieurs instruments sur mes fesses en commentant les avantages et inconvénients de chaque ustensile.
Je reçois tour à tour des coups de paddle, brosse, strappe, cuillère en bois et pour finir le fameux martinet familial aux longues lanières à bout carré qui cingle comme jamais.
Je retourne au coin et je n’ai pas le temps de me reposer car ma tante me donne une terrible fessée debout main sur la tête. Cette fessée est une délivrance car les claques sur les fesses atténuent la douleur des coups reçus par les divers instruments. Oui la fessée dans ces cas la soulage c’est presque un cadeau de ma fesseuse pour me remercier de lui avoir si bien obéi.
Je dois en pénitence m’assoir fesses nues sur la chaise à paillasson pour écrire sous la dictée de Madame Kassandra la promesse de ne pas être insolent, indiscipliné ou irrévérencieux.

Pendant la dictée, je me montre insolent et je la défie du regard.
« Baisse les yeux mon cher neveu, tu vas prendre une autre raclée »

 Elle se rue sur moi m’immobilise en travers de sa cuisse relevée sur la chaise et d'un mouvement énergique me positionne à la bonne hauteur pour me châtier.
« Je vais t'apprendre à m’obéir, tu vas recevoir la fessée déculottée familiale que tu redoute tant »
Elle me donne la fessée. Ses mains claquent mes fesses de plus en fort. Je crie, me tortille, essaye de me dégager alors elle accélère les claques et sa correction devient très cuisante. J'ai les fesses en feu, je suis puni comme un sale garnement. Après une trentaine de claques, elle me relève, je remonte ma culotte et elle me met au coin. Je reste au coin culotte baissée  comptant les minutes dans ma tête. Elle me gronde et me demande de réfléchir à ma punition en silence
Pendant que je suis au coin je me montre à nouveau insolent
-C’est bon tante vous m’avez assez corrigé, je veux rentrer à la maison »
-Tais toi, silence, je ne veux pas t’entendre, sinon gare à tes fesses »
-Je refuse de continuer »
-Dernier avertissement Luca, la prochaine fois c’est 50 coups du martinet familial ! »
-Mais Ma tante… »
La sanction tombe, cela sera le martinet. Madame Kassandra me reculotte me tire par le bras me fait agenouiller sur la chaise bras tendu sur le dossier. Elle baisse ma culotte. J’attends fébrile le cul nu ma correction.
Elle brandit le martinet et me frappe à toute volée, chaque coup me cingle et provoque comme une décharge. Je ne tiens pas longtemps au bout de 20 coups je crie le safe word.
Elle me reculotte et me dirige vers le canapé. Elle s'assied et m'ordonne de m'allonger en travers de ses genoux. La position la plus agréable et sensuelle pour le puni, je repose sur ses cuisses finement gainé de nylon, le sexe en érection, tout gêné.  Pas de quoi être inquiet dès les premières claques l’érection disparait pour laisser place à la brulure des fesses. Ma tante me gronde comme un petit enfant. Elle me fesse et me parle en même temps, plus son ton monte et plus elle accélère les claques et plus elle fesse fort. Oh que Madame Kassandra peut fesser fort, c’est vraiment une fesseuse exceptionnelle !

«  Je vais t’apprendre à obéir, maman n’est pas assez sévère avec toi, c’est pour ca qu’elle me demande souvent de te corriger et tu sais qu’avec moi une fessée promise est une fessée due ! Tu as du mal à comprendre. Tant pis pour toi, c’est tes fesses qui vont prendre !»
Et la correction recommence, terrible volée, une main très énergique claque mes fesses rendant la cuisson tout de suite difficilement supportable. La fessée déculottée familiale c'est une expérience unique à la fois on se sent humilié, vaincu, à la merci de sa correctrice et en même temps on apprécie  d’être corrigé par une personne avec laquelle on a de profond attaches et qui sait aussi se montrer très rassurante et bienveillante.
Je me relève et je suis conduit au coin ou je dois m'agenouiller culotte baissée sur le sol Quelle honte, d'être ainsi posté les fesses rougies. Jai mal et je me sens comme un enfant sévèrement corrigé.
Ma tante comprenant mon désarroi me prend dans ses bras pour me câliner un peu. Elle se montre alors affectueuse et protectrice. Je sens sa forte poitrine appuyée sur mon ventre, j’apprécie ce bon moment de tendresse.
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« Tu vois Luca, je peux aussi être gentille quand la punition est finie mais il ne faudrait pas recommencer tes bêtises sinon  il me faudrait moins de 3 secondes pour te baisser ta culotte et te claquer les fesses c’est compris mon cher enfant ? »
Elle se dirige vers le canapé, s’assoie, me bascule en travers de ses cuisses et me baisse à nouveau la culotte. Je ne comprends pas, je n’ai rien fait, non je ne veux pas recevoir une fessée gratuite.
Elle me masse délicatement les fesses. Ses mains me caressent les fesses si délicatement c’est très agréable, un massage très sensuel ou elle semble aussi experte que quand elle corrige avec ses mains.je suis surpris très agréablement c’est une pause très sensuelle presque érotique après les nombreuses corrections reçues.
Elle plaisante, se montre assez amicale.
« Tu vois Luca j’aime autant te fesser que te donner de bonnes caresses, tout dépend de mon humeur et de ton comportement. Je peux être douce ou très ferme. » Joignant le geste à la parole
 Elle termine par une formidable fessée déculottée de plus en plus rapide et cinglante, quelle apothéose pour mes fesses câlinées  puis sévèrement claquées.

La correction se termine, je me rhabille
« Alors cela t'a plu mes bonnes fessées ? »
– Oui Kassandra, c'était encore plus cuisant que la première fois.
– C’est normal maintenant que je te connais je sais que je peux t'administrer des corrections encore plus sévères.
– Tu vois tu t'habitues vite à mes fessées, et tes fesses ne marquent pas beaucoup je devrais te fesser encore plus fort !"
Puis son ton change elle redevient charmante et plaisante
"Regarde tes belles fesses dans le miroir, toutes rouges mais pas de traces, incognito »
 « Tu sais j'aime la fessée, j'aime la donner, je la donne régulièrement mais je suis très sélective je ne fesse pas n’importe qui, je dois me sentir en confiance et avec toi c’est le cas. »
« J’ai bien aimé ton scénario mais tu n’aurais pas oublié quelque chose ? »
« Oups, si ma tante ma fessée de prévention »
« Oui c’est exactement cela approche mon enfant »
Et en moins de 3 secondes me voila à nouveau déculotté et allongé en travers de ses cuisses.
Je ne détaillerai pas la dernière fessée reçue je dirais juste que sur l’échelle de la sévérité si celles reçues étaient de 5/10 celle-ci dépassait largement le 7/10. Un festival de claque sur mes fesses rouges tomate.
Moi je repars content de cette nouvelle séance, les fesses bien chaudes justes ce qu'il faut pour que cela soit endurable.

« Au revoir Madame Kassandra, je vais penser à vous pendant quelques heures de cuisson  »

Décidément Madame Kassandra est bien la meilleure fesseuse de Paris, ce n’est jamais la même séance, elle sait s’adapter et adore jouer et c’est aussi une bonne personne avec qui cela doit être sympa de boire un verre ; bref si vous avez besoin d'être recadré et chercher une experte de la correction vous pouvez y aller en toute confiance. Si vous y allez, soyez présentable et laissez-vous faire. Je vous promets que si vous avez besoin d'une bonne fessée, Madame Kassandra saura vous satisfaire !


Luca a déjà écrit sur ce blog

Il nous a faire par de sa première visite, chez Miss Kassandra, il y a quelques temps

Pour faire part de vos commentaires à Luca :

Postez un commentaire ci-dessous ou, pour des messages moins publics, contactez JLG par courriel. Il transmettra.

13 commentaires:

  1. Bonjour Luca,

    Excellent récit. Une situation que les amateurs de "fessées féminines à l'ancienne" rêvent de(re)vivre.
    Excellente l'idée du scénario "classique" de la Tante sévère et de son neveu insolent. Certains d'entre nous l'ont certainement vécu à un moment de leur vie.
    Il y a une quinzaine d'années, j'ai ressenti ce besoin inavoué (?) de faire appel "aux services cuisants" d'une Dame autoritaire. Mais cela n'a pas abouti.
    J'ai reçu une éducation simple mais stricte de la part de ma Maman, mère au foyer, qui exerçait l'essentiel de l'autorité parentale, puisque mon père travaillait en horaires décalés. C'est donc une autorité féminine qui m'a guidé dans ma jeunesse.
    Dans beaucoup de scénarios, le rôle de la "justicière-es-fessée" est dévolu aux sœurs des deux parents. Et c'est cette proximité affective qui fait tout le sel de ces "pugilats domestiques"...
    Et, quant notre Tantine adorée vole au secours de sa chère sœur débordée par les insolences de son fils... ça va chauffeeeeeer !
    Et après qu'est-ce qu'on dit, garnement, à sa bonne Tante:
    "Merci, Ta-tie !" . Rires.
    Bonne journée. Peter'.

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  2. Cher Luca, votre récit semble si réaliste, bravo pour la mise en situation de vos fessées familiales. j'ai beaucoup aimé votre ressenti avant chaque correction, c'est même parfois drôle quand vous parlez de la fessée qui soulage presque... continuez de nous charmer avec vos aventures mais gare à vos fesses qui pourraient marquer plus !!

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  3. Oh comme je comprends tante Kassandra, j'ai moi même corriger régulièrement mes chers neveux et nièces pour leur mauvais comportements.
    Avec moi désobéissance rimait avec fessées déculottées. j'en ai donné des fessées, j'en ai rougi des postérieurs et cela a toujours été dans le but de s'améliorer. Madame Kassandra doit être une fesseuse exceptionnelle et Luca a du être servi.

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    1. Bonjour Jacqueline
      Quel âge avez vous ? Peut être pourriez vous me donner la fessée comme à vos chers neveux et nièces comment procèderiez vous ?
      Merci

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    2. Cher Anonyme est-ce un fantasme ou voulez vous vraiment une correction? Je suis adepte des fessées parentales très sévères déculottées longues et cuisantes vous êtes prévenu.

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    3. Jacqueline,
      Contactez-moi sur mon courriel : josip.legall@laposte.net
      Je souhaiterais avoir plus de précision sur le commentaire ci-dessus que vous avez posté sur le blog.
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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    4. Bonjour Jacqueline
      Combien j aimerai que vous puissiez me donner cette fessée vous seriez ma tante ou mon institutrice...

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    5. Bonjour Jacqueline , je dois avouer que moi aussi il me plairai de vivre cette expérience avec quelqu un comme vous . ceci de la manière qu il vous plaira , toujours est il : a votre disposition pour toutes questions que vous voudriez me poser .

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  4. Kassandra semble avoir aimé votre récit Luca si bien qu'elle a publier le lien sur son site, bel hommage. J'ai moi même été fessé par Madame K qui s'adapte aux désirs et au scénario proposé donc quand je lis votre histoire je sais que vous n'avez rien inventé et que chaque claque reçue ,chaque fessée donnée, chaque mise au coin a été vécue par vous. Cela donne une vraie authenticité et cela change des fictions nombreuses sur ce blog? je n'ai rein contre mais je préfère les histoires vraies ce sont toujours de bonnes leçons à tirer. gare à vos fesses mon cher, la prochaine fois cela risque d'être encore plus cuisant.

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    1. Bonjour,
      Je suis dubitatif. J'ai moi-même rencontré Miss Kassandra. Je n'en ai pas écrit le récit. Il n'y a rien à écrire. Je cherche toujours sa capacité d'adaptation aux scénarios proposés par les "clients". Vous avez lu quelques-uns de mes récits et vous avez sans doute compris que j'ai une certaine capacité à scénariser des situations. Avec Miss Kassandra, rien.
      Sauf si vous considérez que répondre à une scénario, c'est mettre en place toujours la même séquence. Chez Miss Kassandra, vous serez alors servis. J'ai effectivement reconnu, dans les récits de ses autres visiteurs, les accessoires utilisés ; le banc recouvert de fausse fourrure rouge, le paillasson sur lequel il faut s'asseoir et surtout le défilé d'instruments, comme s'il s'agissait de présenter leur diversité : martinet, canne, palette à fesser ... toujours les mêmes. Sont-ils à vendre après cet étalage ? Un peu d'imagination, que diable ! Cela doit être ennuyeux au possible pour ces dames.
      Je suis frappé par le manque de diversité. J'ai eu l'impression d'une recette de cuisine dont il ne fallait oublier aucun ingrédient. Aucun n'a été oublié lors de ma visite, et apparemment lors de celles qui sont racontées par leurs protagonistes. Mon manque de réaction à ce défilé, n'a provoqué aucun changement de la méthode utilisée. Et oui, recevoir la canne courbé sur un élément de mobilier ne me fait aucun effet. C'est lassant, monotone et une fois la sécrétion d'endorphines enclenché, on ne sent plus rien. Ces dames ne le savent-elles pas ?
      Authenticité du récit ? A l'évidence, la situation décrite dans le texte n'est qu'une situation inventée, scénarisée... mais pas une situation réelle, même si elle s'est réellement déroulée. Me fais-je bien comprendre ? Quelle différence avec les fictions qui sont présentées sur le blog ? C'est l'équivalent, en moins inventif. Chacun fera son choix, mais la ligne éditoriale du blog ne changera pas.
      Je suis consterné par le peu d'invention dans les scénarios de fessées que proposent les soi-disantes "professionnelles" de l'art de la fessée. Ce sont tous les mêmes. A quand une fesseuse qui ferait un effort d'imagination pour accorder son fantasme à celui de la personne qui lui rend visite ? C'est sans doute trop demander.
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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  5. Bonjour j aimerais aussi recevoir une fessée longue et sévère si madame Catherine est libre mes fesses seront à leurs dispositions vous pouvez me contacter ici ou michel069@orange.fr

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  6. Moi personelement ma tante ne s'appelait pas Kassandra ,mais elle était trés stricte surtout avec sa fille et surtout avec moi !Lorsque mes parents me forçaient d'aller en vaccances chez elle!Car nous étions en permanance tous les trois en blouses en nylon et en berets ,en plus malgré mes 15 ans je devais etre toujours en culottes courtes tenues par des bretelles !Quant au Martinet Il était employé pour un oui ou un non sur nos fesses et sa place était accroché à coté du frigo ! et au bout de quelques jours deja j'avais mes fesses en feu ,voir aussi mon posterieur aussi .chez elle j'étais obligé de coucher dans la meme chambre que ma cousine avec juste un paravant qui séparait nos lits! et si par malheur ma tante nous entendait parler elle montait comme une furue le martinet en main et tous les deux moi et sa fille nos pyjamas étaient baissés et la en étant à plat sur nos lits on reçevait une bonne dizaine de coups bien appuyés sur nos posterieurs ,ce qui faisait qu'aprés ça on avait du mal à s'assoir sur une chaise ,car en plus on redoutait d'en reçevoir le lendemain et les jours suivants !Surtout que son martinet c'est son amie dont le mari tenait une cordonerie,qui les fabriquaient avec d'épaisses et longues lanieres en cuir cloués sur le manche autant dire qu'il aisait mal!meme je me rapelle qu'il en fabriquait d'atres du meme genre et que sa femme exposaient dans la vitrine et dont les autres meres de la ville achetaient tellement qu'ils étaient efficaçes !Quant à moi j'en reçus encore jusqu'à mes 17 ans sur mon popotin sans compter que jusqu'à cet age j'ai du toujoursporter dess culottes courtes tenues par de larges bretelles à pinces qui elles aussi étaient trés à la mode !

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  7. En effet ,car dans les années 70 et 80 donc il n'y a pas si longtemps que ça j'avais 2 tantes qui habitaient pas loin de chez nous,et leurs filles donc mes cousines étaient calmes et ne parlaient jamais,malgré que donc leurs meres les faisaient porter des jupes plissées avc bretelles,blouses en nylon et le beret tous les jours!Mais un jour je suis arrivé à l'improviste et j'ai entendu un bruit familier qui exsistait chez moi aussi ! ,c'est à dire le bruit des lanieres en cuir du martinet qui claquait !et en effet c'était en fait mes tantes qui fessaient leurs filles blouses et jupes retroussées sur leurs derrieres au martinet à toute volée et ça a duré un bon moment ,donc je me suis approché douçementet et vu à travers le carreau mes cousines penchées sur des chaises en train de se faire fouetter par leurs meres au martinet !puis ensuite elles ont dues se mettre à genoux les mains sur leurs tetes ,et moi pendant tout ce temps j'ai assissté à cela!Mais j'étais tellement occupé par ce spectacle que je n'ai pas entendu une de mes tantes venir deriere moi et m'attraper par mon oreille pour ensuite m'entrainer chez elle et qui m'ont dit ,"alors ça t'as plu ce que tu as vu ,maintenant toi aussi tu vas y avoir le droit et soulevant la mienne de blouse en nylon et détachant mes bretelles de ma culotte courte,et fait tomber mon slip elle m'a fait pencher à mon tour audessus une haute chaise puis rapidement elle a commençée à me fesser au martinet !Au début ça allait puis assez rapidement j'ai senti les douleurs des lanieres en cuir de son martinet sur cette fois ci sur le mien de popotin,et deja au bout de 10 coups j'avais vraiment mal,puis comme elle a continué à me fesser et n'y tenant plus j'ai commençé à pleurer et lui dire " ah non tante s'il te plait arrete arrete !mais elle ne s'est pas occupée de mes paroles et a continuée sa fessée !Puis à mon tour elle m'a fait me mettre à genoux avec mes mains sur la tete et tout en sanglotant j'ai du garder cette position un temps qui m'a paru très long ,puis enfin ma mere est arrivée et mes tantes lui ont tout raconté et ma mere a approuvée en disant que je n'avais eu que ce que je meritais ,et ce n'était pas fini ,car ensuite ma mere m'a habillé de nouveau en prenant soin de tout remettre mes vetements,slip,bretelles, blouse etc...,et une de mes tantes m'a fait assoir sur une des hautes chaises et s'est ammenée avec une grosse tondeuse électrique ,et la branchée puis mettant une serviette autour de mon cou elle a démarrer sa tondeuse et Zzz lentement mais surement elle m'a fait une belle boule à zero ,je n'avais plus un cheveu sur le callou ,et je me suis dit à l'époque mais quelle idée j'ai eu d'etre aussi curieux !En tout cas ma mer était satisfaite malgré que javais été fessé au martinet puis tondu avec ma boule à zero ;et en repartant d'une de mes tanates elle a meme dite c'est bien et aprés moi et ik reviendra dans 45 jours pour et se faire fesser et se faire tondre à la tondeuse,et la je me suis dit bravo la tu as gagné le gros lot ,et s'est comme ça que pendant un longtemps ça s'est passé ,et pourtant j'avais 15 ans et ça a encore duré mais à l'époque tout le monde trouvait que c'était la norme !

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