Quand nous nous sommes connus, puis étions
sortis avant de nous fiancer, puis de nous marier, ma femme Sylvie m'avait toujours
prévenu qu'elle n'aimait pas les menteurs et aussi qu'en cas de mensonge de ma
part elle saurait se venger ... Et bien, figurez-vous qu'une seule et unique
fois, elle tint parole .
A l’époque, nous habitions à Nancy et,
pour nécessité professionnelle, je me rendis en voiture à Paris la veille du
week-end de Pâques. Ce déplacement n’étant l’affaire que d’une bonne demi-journée,
Sylvie me fit promettre de lui téléphoner dans la soirée sur la route du
retour.
A mi-chemin, je fis halte dans un
restoroute avec l’intention de l’appeler. Malheureusement, toutes les cabines
téléphoniques étant occupées, aussi j’en profitai pour me restaurer me
promettant de renouveler mon appel après le repas. Comme un étourdi, je repris
le volant sans plus y penser. Bien entendu, ma femme me reprocha mon oubli dès
mon arrivée à la maison. Bêtement, comme un garçonnet pris la main dans le pot
de confiture, je mentis en prétextant que je n’avais pas trouvé de cabine
téléphonique.
Ne croyez pas que je m’en sois tiré à si
bon compte !
De retour d'un week-end en Champagne, nous
rentrâmes en Lorraine via l'autoroute et chaque fois que Sylvie apercevait une
cabine téléphonique sur une aire de repos, elle me la faisait remarquer avec
une étrange insistance. Une fois chez nous, bagages déchargés et repos pris,
Sylvie me rappela qu’elle n’aimait ni les menteurs ni les gens de mauvaise foi
et qu’en conséquence, j'allais être puni en recevant de suite de ses mains une
fessée !
J’eus beau fanfaronner, lui affirmer que
la fessée était réservée exclusivement aux « vilaines grandes filles », elle me
répondit que son côté « suffragette » l’incitait à penser le contraire et qu’en
vertu de l’égalité des sexes, il n’y avait pas de raison pour que
les « grandes filles » ne puissent pas fesser elles aussi les « méchants grands
garçon et menteurs de surcroît ».
Mes dernières fessées remontaient à une
bonne dizaine d’années, lorsque j’étais adolescent. C’étaient principalement
des fessées déculottées administrées de la main de Geneviève, l'une de mes professeurs
pour me préparer studieusement à mon entrée au lycée. J’avais également reçu
une fessée particulièrement mortifiante de la main d'une voisine pour me
punir d’avoir eu la mauvaise idée de regarder sous sa jupe en montant
l’escalier de notre immeuble.
J’étais loin de m’imaginer de me retrouver
un jour dans la même position, affalé et immobilisé sur les genoux de ma femme !
Or c’était précisément ce que ma femme me faisait comprendre maintenant sans le
moindre doute possible. Sylvie avait déjà pris place sur une chaise de la
chambre et, tout en remontant sa jupe tout en haut de ses cuisses gainées d’un
collant, Sylvie me fit signe de m’approcher
Je ne pouvais que lui obéir tel
l’adolescent que j’avais été autrefois. Je la laissai donc défaire ma ceinture
et l’agrafe de mon pantalon, puis abaisser la fermeture de ma braguette. Je me
retrouvai debout devant elle en slip, mon pantalon autour des chevilles :
«Allez, hop ! Maintenant, allonge-toi sur mes genoux ! »
Impossible de résister à pareille
détermination ! Je m’allongeai en travers de ses cuisses, mes deux mains
prenant appui sur le sol, mes fesses restant en l’air. Elle commença à les
tapoter avec des petites claques ressemblant plutôt à des caresses : « Voilà un
derrière qu’il ne faut pas faire attendre ! »
Je sentis alors qu’elle baissait mon slip.
Elle me donna une autre petite claque pour m’inviter à décoller mon ventre de
ses cuisses pour un déculottage dans les règles.
« Une bonne fessée, ça se donne sur les
fesses nues, Monsieur ! C’est bien ce que tu me dis et fais lorsque je ne suis
pas sage, pas vrai ? »
Bien entendu, elle n’attendit pas la réponse
pour abaisser mon slip qui fut descendu au-dessous de mes genoux, mon pubis
frottant contre le nylon de son collant ; il y eut une pause durant laquelle je
suis certain que, tout comme moi en pareilles occasions les rôles étant
inversés, Sylvie contemplait mon postérieur nu, un petit sourire de
satisfaction sur ses lèvres.
Soudain, la fessée démarra. Claquante et
cuisante dès le départ. Les claques que m’administrait Sylvie étaient de
bonnes claques, vigoureuses, sèches, bien espacées meurtrissant une fesse après
l’autre. Par fierté masculine, je m’efforçais de résister à la douleur
naissante, retenant mon envie de crier et de la supplier. Jamais je n’aurais pu
imaginer que mon épouse pût être aussi forte. Sa main ne ralentissait pas et
bientôt la chaleur cuisante et la douleur devinrent insupportables. Je me mis à
soudain à crier tandis que des larmes commençaient à mouiller mes joues.
Croyez-vous qu’elle ait eu pitié de moi ?
Insensible à mes supplications, Sylvie
continuait imperturbablement à me fesser un bras fermement enroulé autour de ma
taille, tandis que je gigotais, me débattais en travers de ses cuisses. Mais
les claques se succédaient, toujours aussi fortes et retentissantes sur mes
fesses en feu, ravivant le souvenir ému de ma chère Geneviève !!!
C’était le même genre de fessée, tout
aussi rapide et intense, et dont mes fesses ne ressortaient jamais indemnes.
Soudain Sylvie s’arrêta. Le bruit des claques cessa. Je restai prostré en
travers de ses cuisses, des flammes brûlantes léchant mon fessier jusqu’à ce
que Sylvie m’invite à me relever. Une fois debout, tandis que je remontais
ensemble slip et pantalon, Sylvie, le visage rayonnant, tout en lissant la main
punisseuse sur ses cuisses pour la rafraîchir, m’annonça que chaque fois que je
m’aviserais à lui mentir, je serais fessé comme un« gamin »
Elle ajouta que puisque j’avais découvert
les effets bénéfiques d’une bonne « fessée cul nu » (je ne lui avais pas fait
de confidences sur mes fessées de jeunesse), je n’aurais plus l’hypocrisie de
lui demander si cela faisait mal quand je la fesserais à son tour à l'occasion !
Croyez-moi une fois encore : en 35 ans de
mariage, plus jamais je ne lui ai menti.
Alain le retour
Alain a déjà sévi sur ce blog, C'est lui qui est, entre autres, l'auteur de la série "les entretiens privés avec Geneviève. Le premier chapitre
Ce qu'il en coûte de...
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Bonjour, juves,
RépondreSupprimerJ'avais bien reconnu votre style, confirmé par l'allusion à la délicieuse et si sévère Geneviève.
Pour l'anecdote je préfère nettement les bas avec jarretelles que les disgracieux collants. Les fessées n'en sont pas moins cuisantes.
Cordialement
Ramina
nous pourrions en parler longuement de ces dames aux cuisses gainées de bas nylon et bien décidées à nous fesser !!!
RépondreSupprimerjuves.fandor@yahoo.fr