mercredi 27 juin 2018

Ces dames aux mains fermes - chapitre 5


Chapitre 5 : Une matinée à rebondissements

Le slip toujours baissé en travers de ses cuisses, comme son pantalon autour des  chevilles, Robin suivit sa sœur en trébuchant. Il eut du mal à monter les escaliers et faillit tomber plusieurs fois. Même si son allure était ridicule, il préférait malgré tout rester déculotté. Ses fesses lui cuisaient tellement qu’il aurait eu trop de mal à supporter le frottement de son slip sur sa peau incandescente. Dans ce cas-là, mieux valait rester les fesses à l’air.
Patricia redescendit dans le salon une demie heure plus tard les mains luisantes d‘huile de massage.
« C’est fait maman ! Il va dormir comme un bébé. On devrait retrouver une belle paire de fesses en pleine forme demain.

Très bien ! Il reste encore le plus important à régler. C’est bien toi qui as ramassé l’enveloppe qui est tombée de son cartable tout à l’heure dans l’entrée?
– Oui maman, elle doit être toujours sur la commode où je l’ai posée.
– Certainement son carnet de correspondance de la semaine. C’est bien un courrier de Ste Marie ?
– Oui maman, il y a le tampon de l’école dessus. Il est facile à retenir, c’est le dessin simplifié de la façade de l’institut  barrée d’un martinet !
– Amusant, je n’avais pas encore remarqué ça. Au moins c’est explicite, on sait à quoi s’en tenir. En ce qui concerne le bulletin de Robin, je crains le pire et il doit certainement s'y attendre.
– Pour ses résultats ?
– Ses résultats, son comportement bien entendu, mais aussi pour ses fesses !
– Évidement cela va de pair.
– Oui... de paire de fesses même.! »
Un bref moment de silence suivi le jeu de mot. Les deux femmes se regardèrent et partirent d’un grand éclat de rire.
Elles décidèrent de prendre un thé dans le salon pour finir en douceur cette soirée bien agitée. Patricia se rendit dans la cuisine et revint avec un plateau et le service à thé.


« Décidément, je ne comprends pas Edouard. dit Gladys en reposant sa tasse sur sa soucoupe après avoir bu une gorgée.
–  Il sait qu’au moindre écart de comportement je vais le corriger sévèrement. Que je le fesse systématiquement à chaque fois qu’il ne respecte pas les règles ou qu’il se comporte mal, comme ce soir par exemple, et bien, c’est plus fort que lui... Il n’en fait qu’à sa tête! Non mais tu as vu l’heure ? Il va encore rentrer à moitié ivre en faisant un vacarme infernal.
Patricia, avec un naturel frappé au coin du bon sens.
«  Comme ça, au moins, tu auras une bonne raison pour le déculotter et lui flanquer la fessée qu’il aura mérité. Je suis certaine que tu ne vas pas t‘en priver.
Gladys sourit en reprenant sa tasse qu’elle garda en l’air un instant avant de boire. Elle lança un clin d’œil complice à sa fille.
«  De ce côté-là, c’est vrai, je n’ai pas l’habitude de me priver. Je suis d'une nature plutôt généreuse et j’ai tendance à distribuer les fessées sans compter... Pour ça... je ne manque pas d’exercice... et lui non plus. Tu ne vas d’ailleurs pas tarder à le prendre en main, toi aussi.
– Avec plaisir maman, j’attends ça avec impatience, tu sais ! »
– Bien sûr que je le sais. Mais ta patience va très bientôt être récompensée.
La fin de soirée se déroula dans un calme bienvenu, avant la tempête annoncée pour le lendemain.

Robin eu beaucoup de mal à s’endormir. Il s’était couché, les fesses en feu, le pyjama descendu sur les mollets, affalé sur le ventre par-dessus sa couette. Il n’aurait pas supporté une plume sur le derrière, alors,,, le poids d’une couette, même légère ! Malgré l’abondance d’huile de massage que sa sœur lui avait consciencieusement passée sur la peau, la cuisson lancinante de ses fesses mit du temps à lui accorder un sommeil réparateur.
Il dormait depuis peu, lorsqu’il perçu dans une demie conscience, les éclats de voix d’une dispute provenant du salon, suivi de claquements répétés. Il ne mit pas longtemps pour reconnaître, à l’oreille, comme un bruit de claques sur des fesses. Cela dura un bon moment. Il leva la tête de son oreiller, écouta attentivement et identifia très vite un son qu’il connaissait trop bien. Celui, clair et brillant, d’une fessée déculottée. Edouard venait certainement de rentrer et Gladys était manifestement en train de lui en mettre une sévère. Il sombra dans les bras d‘une Morphée accueillante, réconforté que ce ne soit pas cette fois ci sur ses fesses que sa mère ou sa sœur s’activaient.

Il fut réveillé le lendemain matin par la voix forte et autoritaire de Gladys qui l'interpellait au pied de l'escalier. La porte de sa chambre était restée ouverte.
 « Robin, c’est l’heure de te lever. Le petit déjeuner est prêt on t’attend dans la cuisine ! »
Il émergea difficilement. Un œil vers le réveil, neuf heures, ça changeait quand même des levers aux aurores à Ste Marie. 
Il se retourna machinalement sur le dos et sursauta le souffle court. Il avait dormi sa culotte de pyjama baissée, ce qui lui remit aussitôt en mémoire les fessées de la veille. Il constata avec surprise et soulagement que la douleur de son postérieur s’était presque entièrement atténuée pendant la nuit. II se leva et alla vérifier dans la glace de l‘armoire. Ses fesses étaient  égèrement roses, comme le haut des cuisses, mais sans trace particulière des corrections pourtant sévères du jour précédent. L’huile de massage apaisante avait fait preuve d’une régénérante efficacité sur un postérieur habitué à une fréquence de correction assez élevée.
La pratique systématique de la fessée comme méthode d’éducation à Ste Marie était bénéfique et formatrice, non seulement pour l’esprit mais aussi pour le corps. Les progrès scolaires s’accompagnaient d’un développement proportionnel des fessiers qui gagnaient en volume, en endurance et en capacité de récupération. Ce qui, par conséquent et malheureusement pour ces jeunes messieurs, les exposaient à une utilisation croissante de la fessée. Robin, comme tous les autres était soumis à cet enchaînement de cause à effet propre à lui formater un arrière train à toute épreuve.

Passé la satisfaction de récupérer une paire de fesses en bon état en si peu de temps, il réalisa que sa mère et sa sœur allaient sans aucun doute en profiter pour lui infliger, sans retenue, autant de corrections qu’elles l'estimeraient nécessaires pendant la journée. Le contenu de son carnet de correspondance et la lettre de la Directrice ne lui renvoyaient pas une image rassurante de l’avenir immédiat de ses fesses. A défaut de se remonter le moral, il allait remonter sa culotte de pyjama lorsque la voix de sa mère le sortit brutalement de ses réflexions.
– « Robin! Je ne te le demanderai pas une troisième fois! Si tu ne descends pas tout de suite, je monte te chercher, et je m'occupe de tes fesses !
– J’arrive maman, je m’habille et j’arrive!
– Pas la peine, tu t’habilleras après, descends tout de suite! »

Robin arriva dans la cuisine où sa mère et sa sœur l’attendaient devant leur café. Il les embrassa l’une après l’autre, emplit sa tasse et s’assit à table où elles lui avaient préparé son petit déjeuner. C’est seulement à cet instant qu’il aperçut dans le coin près du frigo, Edouard, nez au mur, pantalon aux chevilles, exposant son postérieur fraîchement fessé qui irradiait la pièce d‘un resplendissant rouge écarlate. Il sanglotait en silence. De toute évidence ça avait chauffé dur pour son matricule.
Gladys but une gorgée de café et reposa tranquillement sa tasse en souriant, Elle répondit à une question que personne ne posait, tant la scène était explicite. Mais elle estimait important d'insister sur les motifs qui conduisaient à l'administration d'une fessée.

« Monsieur est sévèrement puni toute la journée après son escapade d’hier soir. Non seulement il est rentré à une heure pas possible mais en plus il était à moitié ivre ! Pris en flagrant délit, il avait à peine passé la porte que j'avais déjà ses fesses en main pour une bonne déculottée. D'ailleurs, tout le monde a dû l’entendre couiner parce que j’étais très en colère et j’ai tapé très fort. Il le méritait amplement !
 «  Ah oui, moi j’ai entendu. Ça m’a même réveillé, s’exclama  Robin complètement inconscient de la situation ! C’est vrai que tu tapais sacrément fort maman. »
Sa sœur, l’air navré, leva les yeux au ciel et le  regarda en soupirant. Gladys poursuivit sans relever.
« Je lui en ai mis une autre ce matin de bonne heure pour le remettre en condition. Une pareille désobéissance ça se paye très cher!  Patricia tu lui flanqueras la fessée suivante quand je te le dirai ! »
Le visage de la jeune femme s'éclaira. Depuis le temps qu‘elle attendait ce moment.
« Certainement maman, avec joie !
– Nous finirons ces messieurs toutes les deux, ce soir, par une bonne tournée de fessées au martinet.  Ça sera l’occasion de tester celui que je viens d’acheter.
– Quel programme ! Ça me va très bien » se réjouit ouvertement Patricia en rinçant sa tasse dans l‘évier.
Robin sentit que ça tournait déjà au vinaigre, dès le matin. Il termina son petit déjeuner sans plus rien dire et fit une tentative de sortie de table pour remonter dans sa chambre.
« Tu fais quoi là Robin ? Le stoppa sa mère dans son élan. Elle se leva à son tour, le dominant du haut de ses quinze centimètres de talons aiguille. Tu penses avoir fini peut-être ?
– Euh… oui maman je monte m’habiller.
– Et ton bol, tes couverts... à débarrasser ! Les miettes sur la table, tu en as mis partout ! Tu crois peut être que c’est ta sœur ou moi qui allons nettoyer les traces de ton petit déjeuner?
– Non maman, bien sûr, je vais le faire.
– Oui, tu vas le faire ? Tu vas le faire, parce que je viens de te le dire alors que je ne devrais pas avoir besoin de te le rappeler. Alors?
– Alors,,, Je vais le faire maman! Je vais débarrasser. Répéta Robin sans comprendre le sens de la question.
– Oui, mais c’est trop tard mon chéri ! Alors,..
– Alors quoi maman ?
– Alors, c’est la fessée !
– Ah non maman, s’il te plaît pas déjà la fessée! Pas la fessée pour ça dès le matin ! »
Gladys s’amuse visiblement et insiste pour le maintenir sous pression. L'annonce d'une fessée est un toujours moment excitant.
– Mais bien sûr que si pour ça !  Manquement aux règles de propreté et de rangement : c’est la fessée! »
Tout en le rappelant à l’ordre en lui faisant la leçon elle retrousse sa jupe sur ses hanches et pose son talon aiguille sur la chaise pour relever sa cuisse à l’horizontale. Elle en tapote le dessus du plat de la main pour lui indiquer clairement la position dans laquelle elle avait décidé de lui administrer sa fessée.
« Tes fesses Robin, tout de suite ! »
Patricia se retient pour ne pas se mettre à rire.
« Mais maman…
– Tu ne discutes pas Robin, je t‘ai demandé tes fesses ! Et tu sais que tu as intérêt à obéir tout de suite. Plus te me les feras attendre, plus ta fessée sera sévère !»
Comme à son habitude, Patricia en remet une couche.
«  Aller Robin, arrête de pleurnicher et ramène tes fesses à maman ! Quoique que tu dises de toute façon ta fessée, elle va te la mettre ! Et moi j'ai envie de voir une belle danse des fesses ! » 
Le malheureux ne peut décidément pas se dérober. Il grimpe sur le barreau de la chaise pour se hisser à la  hauteur de la cuisse de sa mère et s’y courber docilement. Elle supporte son poids sans difficulté. Il sent son ventre glisser sur son bas nylon contre sa jarretelle. La boucle est métallique et lui irrite la peau au passage.
Gladys le regarde se positionner de lui-même sur sa cuisse avec un petit sourire de satisfaction. Comme c'est plaisant de voir le brave garçon obéissant  venir mettre ses fesses à disposition de sa maman pour recevoir la fessée qu'elle a décidée de lui administrer. Il les arrondit, bien tendues à sa main. Prête à claquer.
 « Tu vois mon chéri, ça se passe mieux quand tu y mets de la bonne volonté. Soulève tes fesses que je te déculotte !. »

la culotte baissée par Maman















« C'est incroyable comme il t'obéit maman ! Et regarde ses fesses, aucune trace des fessées d’hier ! »
Le malheureux penché complètement en avant, doit se cramponner au dossier de la chaise pour soulever son bassin et faciliter son propre déculottage sans perdre son fragile équilibre. Gladys apprécie. Elle en profite pour saisir l’élastique de son pyjama et d'un habile tour de main, le déculotte en souplesse.
 « Voilà! Effectivement, aucune trace ! Tes fesses récupèrent vite, elles sont déjà prêtes pour une nouvelle fessée ! Cambre encore un peu les reins pour les faire ressortir davantage s’il te plaît. J'aime les sentir bien épanouies sous la main, elles claquent beaucoup mieux, »
Il doit obéir... toujours, sans hésiter et s’exécute avec empressement. Gladys le laisse faire sans l’aider et s’amuse à le voir creuser les reins sur sa cuisse pour déployer ses fesses  dans la meilleure position possible
« C’est parfait trésor, merci ! On peut commencer! »
L’élastique du pyjama, qu’elle tenait jusqu’alors tendue au-dessus des cuisses, claque sur la peau, annonçant le mise en service de la fessée. Comme à son habitude, elle fesse ferme immédiatement. Sa main souple, paume arrondie, distribue les d’allers et retours bien cuisants, en alternance sur chaque fesse. D’abord sur le sommet charnu, puis sur toute la surface pour bien chauffer la totalité du derrière.


Les fesses toutes rouges


 « Ah ça fait du bien de prendre un peu d’exercice dès le matin, s’exclame t-elle en maintenant une cadence de claques régulière ! Après la fessée d’Edouard, celle de Robin ! Ces messieurs sont gâtés, et moi aussi ! Rien de tel pour bien commencer une journée »
Patricia s’est resservi un café et le déguste en même temps que le spectacle. 
 « Maman, ça vient ! Ses fesses commencent à reprendre une belle couleur! … Quoi de plus efficace comme exercice de discipline...
– Que des fesses rouges et cuisantes au fond d’un slip, ajoute Gladys en riant et en continuant à fesser sur le même rythme ! »
Ça claque sec et brillant. Les fesses chaudes crépitent  agréablement et s‘enluminent d‘un rouge de plus en plus intense. La tête en bas, les jambes pendant dans le vide Robin, en souffrance, est durement secoué et commence à laisser filer une longue plainte lancinante. Ses fesses redeviennent assez vite douloureuses en rappel des fessées précédentes. Elles tressautent violemment, en saccade, et il éprouve bien du mal à garder la position exigée par sa mère. Celle-ci fesse avec l’expérience que confère une pratique régulière et ajuste les claques avec une terrible précision. Pas une à côté, ou mal appliquée malgré les furieux soubresauts du postérieur en pleine cuisson. Robin commence à gémir en hoquetant. Elle fesse plus fort. Il éclate en sanglots.
 « Arr,,, Arrête ma...man, s’il,,, s'il te plaît, pas trop sévère la fessée…je te promets,  la prochaine fois…
– Je sais, la prochaine fois tu penseras à débarrasser la table après ton petit déjeuner. Mais pour arriver à ça il faut de bonnes fessées déculottées, régulières, systématiques comme celle-là, pour que tu t’en souviennes et tiennes tes engagements. » 
Imperturbable, elle continue à lui claquer les fesses à pleine main,


Robin est prêt à promettre d’escalader le mont Blanc en espadrilles pour mettre fin à sa fessée. Il sait que ce n’est qu’un début et que d’autres vont suivre inévitablement d’ici la fin de la journée.
« J’y penserai maman, je te jure! Je le ferai la prochaine fois! Ooooh ça fait mal ! Ça cuit maman !! »
Patricia, impitoyable:
« Il dit ça maman, mais il raconte n’importe quoi pour que tu arrêtes sa fessée !
– Nous verrons bien !  Et en attendant les suivantes… Je vais terminer celle-là »
Elle lui fait sauter les fesses d'une claque terrible et, d’une deuxième encore plus forte, les reprend de volée avant qu'elles ne soient redescendue.  Robin pousse un hurlement, se cabre sur la cuisse de sa mère. Sous le choc, la main marque d’abord en blanc sur les globes écarlates puis reste imprimée en rouge foncé. Maman vient de brillamment signer sa fessée.

« Tu peux redescendre maintenant, dit-elle calmement en se massant le poignet. »
Elle a vraiment tapé fort.
« Tu as été parfait trésor, tu as bien pris ta fessée. Belles fesses, bien rouges, commente-t-elle en lui flattant joyeusement la croupe incandescente avec la main qui vient de fesser. »
Il se contracte sous le contact brûlant.

– Pour ça, elles sont magnifiques ! Rajoute Patricia, qui ne peut retenir ses commentaires  ironiques. C’est décidément la couleur qui leur va le mieux !
– C’est vrai, je ne suis pas mécontente de cette fessée. Elle a bien claqué. C‘est ce qu‘il lui faut. »
Gladys regarde, sans états d’âme, son fils meurtri se laisser glisser lentement de sa cuisse pour se remettre debout. Il grimace de douleur en se retenant de se frotter les fesses. Sinon il sait qu’il y retourne immédiatement. Bien incrustée sur le ventre, apparaît la marque de la boucle de jarretelle de sa mère.
« Qu’est ce qu’on dit à maman qui t’as si bien claqué les fesses ? »
Robin à genoux, des larmes plein les yeux.
«  Merci maman pour cette bonne fessée déculottée.
– C'est tout ?
– Cette bonne fessée que j'ai méritée pour ma négligence.
– C'est bien, tu restes déculotté et tu vas te mettre au coin à côté de ton beau–père, les fesses bien en vue pour qu’on apprécie le résultat de ta correction. Edouard... pousse toi un peu ! Je veux voir vos fesses côte à côte. Évidement les tiennes ont perdu de la couleur mais on va arranger ça tout à l’heure. »
Edouard émit un vague grognement et se rapprocha du mur en piétinant, les mains toujours posées sur la tête. Respectant les consignes de silence en pénitence, il ne s’est pas manifesté depuis la fin de sa raclée.
 « Oh Gladys, ta fessée a été sévère. Mes fesses sont peut-être moins rouges, mais je t'assure qu’elles sont encore en feu.
– Mais enfin, Edouard, qui t’as autorisé à parler ? Que je sache, mon ami, personne ne t’a demandé ton avis sur l‘état de tes fesses, s’exclame Gladys, en dramatisant à plaisir ! »
Puis s‘adressant à son fils, en attente docile des consignes. Il a bien compris, à l’humeur ombrageuse de maman, qu’il a tout intérêt à faire profil bas. Très bas.
 «  Robin, dans une demie heure quand ta sœur te le dira, tu montes dans ta chambre t’habiller, tu révises tes leçons pour lundi, jusqu’au déjeuner et on se retrouve ensuite dans le salon après le repas.
– Oui maman!
– Aller, va te mettre au coin ! »
Après une ample  prise d'élan elle le propulse vers l’avant d‘une énorme claque aux fesses. Elles tressautent encore lorsqu'il arrive à destination deux mètres plus loin.

Le déjeuner se passa, cette fois, sans incident majeur. Ces dames s’amusèrent beaucoup à voir les deux hommes se dandiner sur leur chaise pour essayer de se soulager de la cuisson de leurs fesses. Édouard, pourtant très discret, après ses écarts alcoolisés de la nuit, frôla une deuxième fessée pour avoir taché la nappe en servant Gladys. Celle-ci préféra terminer le repas et régler les comptes un peu plus tard. Le café fut servi au salon par Edouard, qui s’appliqua à ne pas en verser à côté. Il fut consigné dans son bureau en attendant d’être invité à revenir au salon.
 « Robin, viens ici ! dit soudain Gladys en reposant sa tasse vide sur la table basse. Il est temps que nous ayons une petite conversation concernant ton comportement à Ste Marie et tes résultats scolaires. »
Conforme aux prévisions de météo disciplinaire, les rafales de fessées annoncées se profilaient dangereusement à l'horizon de son début de journée. Peu rassuré, il s’approcha d’une démarche, normale, ayant eu l’autorisation de se reculotter en sortant de table. Patricia assise dans un fauteuil suivait la scène avec jubilation, en attendant d'intervenir à son tour.
Gladys s’adossa au canapé avec un sourire qui ne présageait rien de rassurant pour lui. Croisement de jambes nerveux, crissement de bas nylon, long soupir d’impatience, signes de mauvaise humeur.
- « J’ai deux nouvelles intéressantes. Une mauvaise pour toi, et une bonne pour moi… dit-elle en le regardant fixement. Je vais commencer par toi… »
Elle prit le temps de bien soupeser ses mots pour faire monter la tension.


Avec les dessins originaux de l'auteur !

Ne perdez pas le fil du feuilleton ! Pour ceux qui se seraient égarés ...

Le début : chapitre 1
et l'épisode précédent : chapitre 4

Il y a une suite, le chapitre 6

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5 commentaires:

  1. Bonjour Ramina,


    Comme à l'accoutumée, encore un excellent récit. Dessins très explicites.
    Ben, ça chôme pas chez les dames Tapefort.
    Complicité sans faille des femmes de la maison. Et comportement pitoyable de ces Messieurs. Quelle tannée !
    C'est pas bien de désobéir à sa bonne mais intransigeante Maman et Epouse dévouée qui vous aime ! "Qui aime bien châtie bien ! ".
    Robin est un peu comme Gérome : un bon garçon mais terriblement étourdi. Et leurs chères Mamans se chargent de leurs rappeler les consignes.
    Gladys représente la jeune femme, libre et indépendante et bien dans son époque, toujours au fait de la dernière mode.
    Maman Térèze et es sœurs symbolisent un peu l'ambiance tranquille et surannée de la vie en Province, à l'écart du modernisme de la Capitale... Rires. Deux mondes opposés. Mais complémentaires.
    Bonne journée.
    Peter'.

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  2. Bonjour Peter Pan,
    Bonne analyse synthétique des situations et personnages. Mis à part effectivement un décalage dans le temps pas si important, la rigueur disciplinaire imposée par les femmes de la maison est très semblable dans les deux cas.
    Par contre l'univers de Robin, me semble plus fantasmatique que celui de Gérôme inspiré de votre vécu.
    Quant à "l'ambiance tranquille de la vie en province " je ne suis pas certain que les fesses de Gérôme soient du même avis. Les fessées déculottées me semblent claquer aussi fort et aussi souvent chez les " Bellebourge " que chez les "Tapefort"!
    Deux mondes non pas opposés, mais semblables, à des époques différente. La mode vestimentaire et les décors changent, pas le rythme des fessées!
    Cordialement,
    Ramina

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  3. Bonjour Ramina,


    Patricia la grande sœur n'est pas très indulgente avec son frère.
    Telle mère, telle fille. Elle met un point d'honneur à marcher sur les traces... de fessées de sa redoutable maman.
    Remarquez: les grandes sœurs de Gérome ne sont guère plus tolérantes que leur gironde Maman avec leur "petit" frère. Heureusement, Mamie veille. Et même maman Térèze n'ose pas contredire les dires de sa mère. Ah la famille...
    Bon'App'. Peter.

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  4. Bonjour Peter,
    Et oui. Patricia, à la fougue de sa jeunesse. Probablement plus âpre que sa mère, pourtant impitoyable, elle manifeste ouvertement son plaisir redoutable à punir par la fessée, avec la motivation de devoir faire ses preuves.
    Entre sa mère, ses soeurs, ses tantes et ses cousines les fesses de Gérôme sont encore beaucoup plus exposées. Toutes les femmes de la famille se relaient sur son derrière( maintenant bien rebondi) et les fessées claquent de partout! Quelle famille!
    Cordialement
    Ramina

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  5. Bonjour Ramina,

    Ah, elles s'en donnent du mal les femmes de notre vie pour faire de nous des garçons "bien comme il faut". Même si elles nous font les fesses comme des oeufs au plat. Et qu'est-ce qu'on dit :
    "Merci Maman, merci les tantines ! Merci les grandes sœurs et les cousines !!!".
    (Tiens ça rime en plus ! La bonne fessée des familles nous rendrait-elle poétique ?? Rires. )
    Bon WE. Peter'.
    (ce Dimanche: avis de canicule fessière sur les popotins exposés au zénith !!! Indice de protection = 0 ! ).

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