« Je suis très en colère après
toi Robin. Je pensais que la discipline stricte de Ste Marie et son régime de
fessées particulièrement sévère te feraient progresser et t’inciteraient à
élever ton niveau scolaire. Je constate qu’il n’en est rien ! Sans parler
de ton comportement... Inadmissible! »
– Mais
maman…je ... »
– Tu n’as rien à
dire Robin! Aucune excuse ! Ta sœur m‘a montré la lettre de la Directrice
que tu cachais dans ton cartable. Tu l’as laissé tomber hier pendant ta
correction. Je comprends que tu n‘aies pas eu envie de me la montrer. Ça te
vaudra d‘ailleurs une fessée supplémentaire
après le dîner. Patricia se fera un plaisir de te l'administrer en
complément de celles que tu vas recevoir
pour tout le reste ! N'est-ce pas ma chérie ? »
– Bien sûr maman,
avec grand plaisir !
– Parfait dit
Gladys. »
Elle sort de son décolleté la lettre
de correspondance, pliée en quatre et la brandit sous le nez de son fils.
« Elle est édifiante !.. »
Le menton haut levé, elle lit à
haute voix sur un ton professoral.
« Robin ne fait aucun effort.
Ça commence bien ! Intelligent mais paresseux, désobéissant et parfois
insolent. Parce que monsieur est
insolent maintenant ! »
Le malheureux baisse la tête en
rougissant. Gladys poursuit en haussant le ton pour souligner l’importance des motifs qui vont
justifier la sévérité des fessées à venir.
« Elle y voit clair ta
Directrice... Elle précise... écoute bien: Robin ne marche qu’à la
fessée ! Ça pour devoir te rougir les fesses régulièrement, je le sais
depuis longtemps. C’est la suite qui est intéressante. Elle demande
expressément, la contribution des familles au maintien d’une discipline
éducative stricte et sévère, en prolongement, à la maison, de ce qui est mis en
place à l’école ! Intéressant non ? »
– Euuuuh… »
Gladys poursuivit sans attendre de
réponse plus explicite.
« De toute évidence, les
corrections à Ste Marie semblent ne pas suffire. Je vais donc suivre les
conseils avisés de Madame ta Directrice et augmenter la fréquence et la durée
des fessées à la maison. Nous allons d’ailleurs commencer immédiatement.
Considère les fessées que tu as reçues hier et celle de ce matin comme de
simples séances d'échauffement par rapport à celles qui t’attendent ! »
– Oui, parce que
moi aussi j'ai la main qui me démange, ajoute Patricia en se trémoussant
d'excitation dans son fauteuil. Les fessées d'hier l'ont mise en appétit,
forcément elle en redemande ! »
Robin, pris en tenaille entre les
deux fesseuses, commençait à mollir sur ses jambes. Il voulut tenter une
diversion mais Gladys ne lui en laissa pas le temps.
« Non mais Robin!…Mon garçon!
Tu as vingt et un ans !… Qu’est-ce que tu fabriques à l‘école? Tu as vu ton carnet ? Pratiquement toutes tes
notes sont en dessous de la moyenne!
Il réussit quand même une ouverture
pour en placer une.
« Pas
toutes maman… et j’en ai aussi qui ne sont pas très loin de dix! »
dit –il en se rendant compte aussitôt que ce n'était pas avec une réponse pareille qu'il allait arranger son
cas.
Gladys faillit éclater de rire.
C’était tout de même son fils qu’elle entendait
faire preuve d’autant d’inconscience et de mauvaise foi malgré les
punitions auxquelles il était exposé.
« C’est cela, pas très loin de
dix ! Ce n'est pas possible Robin, tu te fiches de moi ?»
– Mais maman
c’est vrai! Je n’invente rien! »
– Exact, bonne note
en Education Physique, ce qui doit te maintenir en forme pour tenir les
positions pendant les fessées, et..., curieusement, ce n'est pas mal aussi en
Anglais ! Le pays des châtiments corporels. Tu dois donc savoir ce
que spanking veut dire? »
Robin sentit que ça tournait de plus
en plus mal et serra instinctivement les fesses, qui frémissaient au fond de son slip. Il tomba
naïvement dans le piège que lui tendait sa mère. Tout fier de connaître la
réponse, il la donna sans réfléchir.
« Oh oui maman, spanking, ça
veut dire fessée ! »
– C’est bien,
je vois que ton professeur d’Anglais vous apprend le vocabulaire adapté à
l’esprit disciplinaire de l’institution. Je constate avec satisfaction que tes
fesses y sont en bonnes mains.
– Oui, poursuit sa
sœur, il y a notamment une certaine sœur
Marie Odette qui a l'air d'en avoir une bien ferme. Ça s'est vu hier quand je
l'ai déculotté, il avait le derrière encore rouge de sa dernière
fessée. »
Robin était de moins en moins à
l’aise, mais devait cependant suivre le sujet de conversation que sa mère lui
imposait pour éviter de la contrarier davantage. Il surenchérit pour la dissuader de suivre les recommandations de la directrice.
« Pour ça oui maman, je
t'assure, les fessées, c’est tous les jours et même plusieurs fois par jour, à
la moindre occasion! A chaque devoir mal fait ou leçon pas apprise. Un
mauvais comportement, une désobéissance, c’est la fessée! Et des sévères,
je te promets! »
Gladys le regarda avec un sourire
ironique.
« A la bonne heure! Tes frais
de scolarité me coûtent assez comme ça. Ça ferait cher la fessée s'il y en
avait trop peu. Et les sœurs, elles fessent déculotté j’espère? »
– Oh
la la oui! Elles déculottent, et je peux te dire qu’elles tapent dur! C’est vraiment des grosses fessées ! Le
slip aux cuisses, à la main, au martinet ou encore à la règle. Et la règle, ça
fait mal !»
Patricia se lève du fauteuil, passe derrière et
s'appuie en soupirant sur le dossier.
« Un peu grosse ta ficelle
Robin. Si tu crois apitoyer maman avec ça ! »
Robin en a rajouté tant qu'il
pouvait, mais c’est encore raté. Maman comme d'habitude est inflexible. Elle est déterminée à suivre les
conseils de la Directrice et ne concède aucun signe de clémence. Elle croise
les bras sous son opulente poitrine qui se soulève dans un soupir
d’exaspération.
« Je dois tout de même
constater, malgré l’énergie déployée par les sœurs à Ste Marie, que les fessées
ne sont pas encore assez sévères et ne font pas suffisamment d’effet sur ton
travail et ton comportement. Alors... ma main qui commençait à s’ennuyer
sérieusement de tes fesses va mettre à profit ce Week-End pour reprendre du
service.
Patricia jubile elle se rassied dans
le fauteuil. Sa courte jupe plissée s'est retroussée en haut de ses cuisses
qu'elle tapote du plat des mains. Elle est déjà prête.
« Je te l'avais dit Robin.
Maman va encore te chauffer les fesses! »
Planté debout devant sa mère, Robin,
les mains croisées dans le dos, écoute en grimaçant. Il se dandine d’un pied
sur l’autre. Quelques faibles gémissements d’appréhension lui échappent. Elle
prend son temps la sévère maman, Elle maîtrise la situation et entretient sa
crainte de la fessée dont elle lui impose la pénible attente. Bien que sachant
inutile d’essayer d’obtenir une quelconque indulgence, il implore sa mère.
« Oh maman, s’il te plait… pas
trop sévère la fessée! »
Gladys, s’en amuse. Sourire aux
lèvres, sereine, détendue, elle croise et recroise haut les jambes en faisant crisser
ses bas nylon. Ça fait partie de la mise en scène.
« Non mon cher, pas
« LA » fessée... mais plutôt
« LES » fessées ! Ce n'est pas le même tarif !
»
Précise-t-elle avec gourmandise.
Elle le tient à sa merci et savoure ce délicieux moment d’autorité. Elle
décroise brusquement ses jambes et, d'un ton ferme, pointe un doigt autoritaire
vers le sol entre ses hauts talons.
« Viens ici ! A genoux ! »
Il s'y précipite immédiatement pour
montrer sa bonne volonté et l’acceptation de sa punition. Elle le saisit
fermement par les oreilles et lui redresse la tête en le regardant fixement
dans les yeux. Ceux du garçon commencent déjà à s’humidifier de larmes.
« Robin, dis à maman, reconnais
tu avoir mérité ces fessées ?
– Oui maman,
j'ai mérité ces fessées.
– Et quel
genre de fessées ?
– Des fessées
déculottées maman.
– Très bien.
J'aime te l'entendre dire, mais je ne devrais pas avoir besoin de te le faire
préciser à chaque fois. Maintenant répète après moi : Je mérite les fessées
que maman et Patricia vont m'administrer, et je n’essayerai pas de m’y dérober.
Je t’écoute… »
Le malheureux récite la phrase en
balbutiant pendant que quelques larmes apparaissent sur ses joues.
« Parfait ! Et cesse de
pleurnicher s'il te plaît. Tu les as bien cherché ces fessées. Remets toi
debout et baisse ton pantalon!»
– Oh
maman, je t’en prie… »
Inutile supplication. Il se résigne.
Imperturbable, Gladys apprécie de le voir docilement défaire la boucle de sa ceinture et
déboutonner sa braguette pour préparer
ses fesses.
« Bon! I Tu as déjà reçu trois
fessées hier et une autre ce matin, mais ce n'est pas suffisant. Il reste à
régler maintenant le problème de ta situation à Ste Marie. »
Patricia frétille de plaisir devant
la démonstration d'autorité de sa mère et ne peut s'empêcher d'y ajouter un
commentaire ravageur.
« Puisque tes résultats ne sont
pas brillants, ce sont tes fesses qu'on va faire reluire ! »
Robin n’est pas bien du tout et
commence à trembler. Il connaît l’inflexible sévérité de sa mère et sait qu’il
va déguster. Celle-ci insiste.
« Paresse, indiscipline,
insolence!… Comme hier, trois motifs,
trois fessées! C’est simple comme une descente de slip sur un derrière à
claquer ! »
Robin fléchit sur ses jambes en se
tenant les fesses à pleines mains comme pour se les protéger à l’avance de ce
qui va leur tomber dessus.
« Oh non maman, pas trois
fessées! S’il te plaît! »
– Non mais
Robin, tu discutes maintenant ! J‘ai dit trois fessées! J'applique simplement le tarif habituel et ce
n’est pas négociable. Travail insuffisant, indiscipline et insolence. Si on y
ajoute, celles que tu as déjà reçues hier et
ce matin, c’est ce qui s’appelle un retour en fanfare mon chéri, je
dirais même, un retour pétaradant !
– Euuuh!... Maman, pitié. »
Robin se liquéfie progressivement.
Il a beau être habitué aux fessées à répétition à Ste Marie, il connaît la
puissance de feu de celles de sa mère et la perspective de s’en prendre trois
consécutives de ce format lui semble difficile à supporter. Se reculotter,
ensuite, les fesses cuisantes, gonflées de claques, préfigure encore une autre
épreuve, quand les élastiques du slip tendues à craquer rentrent dans la chaire
brûlante et dans la raie des fesses. De là imaginer s’asseoir…la simple
évocation d’une chaise le fait frémir ! Surtout que la sienne est
cannelée !»
Très loin de ces préoccupations,
Gladys poursuit, avec un plaisir manifeste, la mise en condition de sa victime.
« Ta sœur et moi, passons
beaucoup de temps et dépensons autant d'énergie à te claquer les fesses pour
assurer ton éducation. J’espère que tu apprécies à leur juste valeur les
fessées que tu reçois. Mention particulière pour celle que j'ai dû te mettre
hier pour être rentré à la maison sans dire bonjour. Tu as osé !
Robin qui traîne à se déculotter,
sursaute, le pantalon à mi-cuisses.
« Mais maman je te l'ai déjà dit,
j’allais le faire, mais je n’ai pas eu le temps, vous m’avez mis une fessée
tout de suite!
– C’était une fessée méritée, pour
ton retard. »
– Oui et Patricia m’en a flanqué une
aussi !
– Bien sûr, c’est moi qui lui ai
demandé. Tu crois qu'elle va se contenter de me regarder te corriger. Deux
fessées valent toujours mieux qu’une mon cher ! Pour le maintien d’une
discipline efficace, je suis partisane inconditionnelle d’un cumul sans limite
des fessées ! Je m‘étonne d’ailleurs que tu n‘y sois pas encore habitué depuis
le temps. C'est comme ton beau-père, j'ai beau lui en mettre des sévères
il recommence à désobéir le lendemain, Alors je le fesse, le refesse, et lui
rougit les fesses, autant de fois qu'il le faut, Et j'entends bien te faire
bénéficier du même traitement. »
Robin, ne sait plus quoi dire. Il
baisse la tête en rougissant, soumis à l‘implacable autorité de sa mère qui se
plaît à faire monter son angoisse en prolongeant l’attente de la fessée. Satisfaite de son petit effet, elle poursuit avec une certaine jubilation.
« Alors voici le programme des
festivités pour aujourd'hui. Après les fessées de la journée pour régler nos
comptes, ta sœur se chargera de conclure avant le dîner. Comme je me plais à le
souligner, rien de tel qu'une bonne déculottée avant le repas. Un derrière
fraîchement fessé et bien épanoui, ça ouvre l’appétit ! »
Robin se rétrécit sur lui-même en
suivant la descente de son pantalon vers ses chevilles. Il sait n’avoir aucune excuse et sans marge
de manœuvre, obligé d’accepter de payer le prix de son manque de travail et de
sa conduite désastreuse.
Son retour à la maison pour le Week-end était
d'autant plus cuisant que ses fesses
avaient déjà bien chauffé pendant toute la semaine à Ste Marie. Il avait
d’ailleurs fait le voyage en bus, les fesses en feu, serrées dans son slip,
après la fessée déculottée que lui avait flanqué sœur Marie- Odette pour
accompagner sa sortie de l’Institut. Soucieuse de ses responsabilités
d’enseignante, et de maintenir son influence sur lui, elle tenait à ce qu’il
garde le souvenir de sa main, bien imprimé sur ses fesses durant le week-end.
Gladys attentive au déroulement de
sa scolarité n’ignorait aucun détail de ce rigoureux traitement. Désireuse d’être régulièrement informée sur
le comportement de son fils, elle communiquait
par mail avec l’institution et notamment avec la stricte Sœur
Marie-Odette. Celle-ci lui avait rapporté la teneur d’une conversation qu’elle
avait eu avec Robin, alors que celui-ci, à genoux en larmes entre ses jambes,
le slip sur les cuisses, cuvait, fesses en feu, la cuisante fessée déculottée
qu‘elle venait de lui mettre pour insolence envers un professeur.
« J’espère qu’à la maison vous
êtes également puni. Est-ce bien le cas ?
– Oui, ma Sœur.
– Votre grande sœur est-elle capable
de vous donner une vraie fessée ?
– Oh oui, ma Sœur. Elle donne de
grosses fessées, aussi fortes que celles de Maman.
– Je vois que ce ne sera pas la
première fois qu’elle vous punira.
– Non, ma Sœur.
– C’est très bien. Je suis certaine
qu’entre votre Maman et votre Sœur à la maison et mes consœurs ici, nous
n’aurons pas de difficulté à vous inculquer le respect que vous devez aux
grandes personnes. »
Gladys approuvait ce discours. Elle
avait particulièrement apprécié la teneur de la conversation entre la sœur
fesseuse et son fils, qui la renforçait dans ses convictions. Il confirmait la
similitude de point de vue avec l’Institution sur l’importance et l’utilisation
systématique de la fessée comme méthode d’éducation. Elle ne s’était pas
trompée en leur confiant la responsabilité et la prise en charge de la
scolarité de son fils. La couleur et la température de ses fesses avaient une
influence directe sur l’évolution de sa personnalité et de sa capacité de
travail. La fréquence, l’intensité et la durée des fessées se devaient d’en
assurer l’amélioration.
Pendant que Robin se déculotte,
Gladys interpelle sa fille à moitié hilare à le voir en équilibre sur une
jambe, le mollet empêtré dans l'élastique de son slip qu'il n'arrive pas à
descendre complètement.
« Patricia, au lieu de rire
bêtement, va me chercher Edouard et ramène le ici. Je veux qu'il assiste aux
fessées de Robin pour le mettre en condition avant les siennes.
– Bonne idée maman,
j'y vais tout de suite, »
Elle revient cinq minutes après en
le tenant par l'oreille. Il geint, courbé en deux.
« Lâche moi Patricia, tu me
fais mal. »
Elle ne l'entend même pas,
« Je le mets où maman ?
– Assieds-le sur un
tabouret à fessée.
– Je le
déculotte ?
– Mais non ma
chérie pas maintenant... Tu es toujours pressée, tu as Robin à corriger
avant. »
Elle se tourne vers sa future
victime.
« Edouard je ne veux pas
t'entendre. Tu regardes comment je fesse Robin et tu ne bouges pas en attendant
que je m'occupe de toi. »
Edouard
se tient à carreaux, il opine de la tête et se garde bien de répondre quoi que
ce soit.
Robin est enfin venu à bout de son
déculottage. Pantalon et slip baissé, il attend sagement, debout près de sa
mère qu’elle se décide enfin à lui administrer sa fessée. Il appréhende
tellement qu’il en viendrait presque à en souhaiter l’exécution immédiate.
Gladys lève les yeux et le regarde avec un sourire entendu, teinté d'ironie.
« Robin, mon chéri, tu n'es
décidément pas très malin. Tu viens de mettre au moins dix minutes à te
déculotter en pensant gagner du temps. Je vais donc rallonger ta fessée
d'autant, C'est tout ce que tu auras gagné !
– Oooh non maman, ce n'est pas ce
que...
–Tu protestes... C'est encore dix
minutes de fessée supplémentaires ! Ça fait vingt ! Quelque chose à
ajouter ? »
Robin se tait, écroulé.
Lentement, sans le quitter du
regard, elle retrousse sa jupe jusqu’en
haut de ses cuisses et, d’un signe de
tête, lui indique de venir y positionner ses fesses. Il n’a guère le temps de
profiter de la vue sur ses jarretelles qui tendent impeccablement ses bas
nylon. Elle le saisit par la taille et
d’un mouvement énergique, le fait basculer sur ses genoux. Son ventre glisse
sur le nylon, facilitant le positionnement de son bassin. Les mains
plaquées au sol, mu par un réflexe
conditionné, il arrondit instinctivement ses fesses, qu'il déploie au maximum.
Il a obligation d'en rendre toute la surface aisément accessible pour le
déroulement efficace de sa fessée
« C’est bien mon chéri, bonne
position. Je constate que tu n’as rien perdu de mes leçons de présentation des
fesses pour faciliter la réception d’une bonne déculottée. Mais ne les monte
pas trop haut s’il te plaît. Il faut que ma main puisse prendre suffisamment
d'élan au-dessus pour les claquer
fort! »
La voix chargée d’appréhension de
Robin parvient du ras du sol, Sa soumission est totale.
« Ou...Oui … Oui maman! Je te
les présente bien comme ça ? »
Il n’a d’autre choix que de
réajuster sa position en plaçant ses fesses, à la bonne distance de
La main de sa mère, comme elle le
lui ordonne. Forte de son emprise sur lui elle le contraint à contribuer à la
préparation de sa propre fessée.
« Parfait, tu es prêt ? Nous
allons donc commencer les fessées que tu as méritées pour ton comportement à
Ste Marie. Première fessée en punition de ton manque de travail et tes mauvais
résultats. J'aurais pu t'en mettre une pour chaque faute mais comme il y en a
encore deux qui t'attendent après, je te fais un lot ! Par contre, je te préviens je vais être très sévère! »
Robin serre les dents et les fesses
en même temps. Ce qui ne plaît pas à maman. Elle le lui fait sèchement savoir.
« Tu es contracté Robin ! Dit-elle en lui assénant une
claque formidable sur la raie des fesses. Fait un effort s’il te plaît. Je veux
des fesses bien détendues sous la main. »
Robin s’exécute encore,
difficilement, et relâche ses muscles fessiers.
« C’est mieux ! » Dit-elle
en lui faisant rebondir le derrière à petite tapes pour en tester la souplesse.
Sa main se lève très haut au-dessus
de la tête, prête à s’abattre. Et la fessée commence, généreuse, tonitruante. La reprise en main
est exemplaire. Très vite, le claquement des fesses déculottées, amplifié par
la résonance du carrelage, retentit avec éclat dans toute la pièce. Fesses en main, fessée à l’appui, elle se
charge avec bonheur de lui remettre en mémoire l’efficacité de sa cuisante
force de frappe.
Robin gémit de plus en plus fort,
car ses fesses commence à chauffer dur sous les claquées qui ravivent la
cuisson de sa fessée du matin dans la cuisine à laquelle s’ajoutait déjà celles
de la veille au soir. Il a beau être habitué ça commence à lui incendier sérieusement le derrière.
Tout en continuant à fesser Gladys,
s'amuse à l'humilier en le questionnant sur la qualité de sa correction.
« Alors mon chéri, qu’est-ce
que ça fait de sentir à nouveau la main de maman claquer sur tes fesses? Hein?
Dis-moi! Tu préfères les fessées des sœurs de Ste Marie ou celles de
maman… hum qui fesse le mieux ? »
Robin, durement secoué sous les
rafales de claques, n'a pas vraiment la tête à comparer.
« Oh c’est toi maman qui
fesse le mieux, ça fait vraiment mal !
S‘écrie le malheureux entre deux sanglots. Oui ça fait très mal ! Tu tapes
tellement fort !
– C‘est normal mon
cher, la fessée est une punition, elle doit faire mal aux fesses. Étant donné
l‘étendue de ta paresse c'est, de loin, la meilleure méthode pour corriger
cette vilaine tendance. Plus elles sont longues et cuisantes, plus tu as de chances
de t‘en souvenir pour renoncer à persister dans cette voie. »
Imperturbable, sans perdre le
rythme, Gladys continue à fesser tout en faisant la leçon. Les reins bien
cambrés, elle va chercher le maximum d’élan
pour donner à son bras la force et la vitesse nécessaire à bien
exploiter sa puissante force de frappe.
Fesse droite! Fesse gauche! Fesse droite! Fesse gauche ! Ça claque
sec et serré sur les fesses du malheureux qui se tortille en souffrance sous le
feu des allers et retours. Bien qu'entravé par son slip et son pantalon, il
tend les jambes les écarte, les replie,
pédale dans le vide en hurlant sa douleur.
Malgré la satisfaction qu'elle
éprouve à le corriger, Gladys doit en garder sous la main pour les fessées
suivantes. Elle s'accorde encore cinq minutes de fessée intensive avant de
l'envoyer au coin, le slip sur les cuisses.
Robin en larmes, exulte sa souffrance en tapant des mains sur le sol au
rythme de la terrible correction. Maman s’en moque comme de son premier
porte-jarretelles et plutôt stimulée par ses cris, fait encore monter la
cuisson sous une fulgurante accélération. Les gifles fusent en rafales, sur les
deux fesses qui s’entrechoquent, tressautent et rebondissent sur ses cuisses.
Enfin, elle se décide à terminer la
raclée d'un formidable aller et retour en plein milieu du fessier.
Robin est complètement sonné. Il
reste prostré, le souffle court, tremblant, sur les cuisses de sa mère qui lui
laisse à peine le temps de récupérer. La mine radieuse, triomphante elle lui
flatte et tapote encore le derrière, à petites claques douloureuses.
« Alors mon chéri, belle fessée
non ? Cuisante et claquante, comme je les aime. »
Bras et jambes ballants, les fesses
luisantes, le malheureux baigne le carrelage de ses larmes.
« Ah maman ! Ta main...
qu'est-ce qu'elle claque fort !… j'ai les fesses en feu.
– Et bien tu
vas aller me cuver ça au coin, déculotté, pour qu'on puisse se régaler à
contempler l'incendie de ton magnifique postérieur écarlate. »
– Moi je dirais
même flamboyant ! S'exclame Patricia admirative.
Pendant que Robin se dirige
péniblement vers le coin en traînant son pantalon par terre, Gladys se tourne
vers Edouard avec le sourire engageant de quelqu'un qui annonce une bonne
nouvelle.
« Une petite pause
pour se raffermir le poignet, et ça va bientôt être ton tour mon ami.
Patricia ma chérie je crois que
c'est l'heure du thé, Veux-tu bien nous en préparer un s'il te plaît ? Le
temps de se reposer la main pour reprendre de la vigueur et on s'occupera
ensuite des fesses de monsieur ! »
Avec les dessins originaux de l'auteur !
Ne perdez pas le fil du feuilleton ! Pour ceux qui se seraient égarés ...
Ramina est l'auteur de nombreux commentaires sur ce blog.
Juste retour des choses il attend les vôtres. Ecrivez vos appréciations, vos retours, vos questions ... dans le cadre ci-dessous. Ramina vous répondra.
Si vous voulez un échange plus privé voici un courriel pour le joindre : ramina16@laposte.net
Bonjour Ramina,
RépondreSupprimerEncore un excellent récit. On reste suspendu à votre stylo.
J'apprécie beaucoup la seconde illustration: cette bonne Madame Gladys est... déchaînée !!! Une "Wonder Woman" du Home Spanking "!
Comment ce cher Edouard va t-il supporter sa terrrible fessée ?
Avec dignité, comme il sied à tout homme pétri de fierté .
Ou bien en implorant honteusement la clémence de son (impitoyable) épouse ? Quelle honte se serait pour lui devant son fils !
Chez les Tapefort, on en redemande encore !
Quel suspense... Peter'.
Re-bonjour Ramina,
RépondreSupprimerIl y aurait un titre générique pour votre saga :
"Qui aime bien châtie bien" !
Elle est une expression issue d'un dialogue extrait d'un roman de cette chère Comtesse de Ségur. Ma mère le répétait souvent.
C'est assez juste: si l'on tient au bien être d'une personne qui nous est chère, on veillera à corriger ses écarts qui pourraient lui être préjudiciables, à son insu. Une mère qui punit souvent n'est pas forcément une mère distante et froide voire une mauvaise mère. Elle peut agir par maladresse par une sévérité excessive. Evidement, ce que je dis n'est qu'hypothèse et donnerait lieu à une petite discussion. Mais bon, restons simple et ne boudons pas notre plaisir.
Dans le domaine des rêves, pas si loin de notre cher univers très fantasmatique, le personnage de la mère qui est interprété de manière diverse se situe entre la mère sévère, voire la gouvernante et la bonne mère, la mère qui nourrit et rassure... Bref toute une symbolique autour de cette figure féminine cruciale dans notre existence.
Vous m'excuserez pour ce petit hors-sujet... Peter'.
Bonjour Peter,
RépondreSupprimerAh! Bien vu l'expression " Wonder Woman" du Home "Spanking" !
Drôle la suspension au stylo alors qu'on écrit au clavier! C'était bien au stylo aussi mais plein de ratures...
Oui, pour le moment ce sont les fesses de Robin qui occupent les genoux de ces dames avec assiduité. Mais celles d'Edouard ne vont pas tarder à passer entre leurs mains... devant son ( beau)fils qui va avoir l'occasion de les voir de bien plus près qu'on imagine!
Oula la... Suspens Hitchkockien!!!
Chez les Tapefort, c'est la fessée d'abord! Après on discute éventuellement.
Cordialement
Ramina