Efficacement
secondée par sa fille Patricia, Gladys, à la baguette, orchestre la séance de
fessées de ce Dimanche après-midi. Punir Robin à cause de ses résultats et de
son comportement pitoyables à Ste Marie, et corriger Edouard pour sa sortie
nocturne alcoolisée. Ces messieurs n’ont d’autre choix que de se soumettre à
ces habituelles fessées de recadrage
prévues à cet effet par les deux femmes de la maison. Celles-ci s’y emploient
avec toute la sévérité requise, augmentée du plaisir de trouver là les raisons
indiscutables de claquer les deux belles paires de fesses à leur disposition.
Qui aime bien, châtient bien… elles adorent, alors, elles fessent fort !
Gladys avait ouvert les festivités en se
faisant la main dès le matin. Edouard
puis Robin, dans l’ordre d’arrivée dans la cuisine, s’étaient fait rougir les
fesses, l’un après l’autre avant même leur petit déjeuner. Façon comme une
autre de leur ouvrir l’appétit. Ils avaient pris leur petit déjeuner assis sur
les cuisses, les fesses débordant du tabouret pour éviter le contact avec le
siège. Gladys leur avait fait la leçon, vantant les stimulants bienfaits d’une
bonne la fessée pour bien commencer la journée. Ils n’eurent d’autre choix que
d’approuver sous la menace de s’en prendre une autre sur le champ en guise
d’argument plus convaincant.
Ce
Dimanche en famille s’annonçait agréablement fessant pour ces dames. En regard
du nombre de fautes relevées, elles avaient prévu de continuer à remplir
consciencieusement leur mission éducative durant tout l’après-midi. Les fesses
des deux hommes reluisaient encore des corrections du matin lorsqu’ils
passèrent ensemble au salon après le déjeuner pour une nouvelle distribution de
fessées.
« C’est qu’ils sont loin d’avoir eu leur
compte de fessées ! »
Avait claironné joyeusement Gladys en les
faisant avancer vers les tabourets une paire de fesses dans chaque main.
Patricia avait précédé le trio comme pour choisir la meilleure place.
« Il reste encore des motifs de punitions
non abordés. » Précisa-t-elle en montrant bien qu‘il n‘était pas question
de leur épargner une seule fessée. Les fesses devaient rougir autant de fois et
aussi longtemps que l’exigerait le nombre de fautes nécessitant une mesure
disciplinaire. Elles en avaient même
toujours quelques-unes en réserve à
rajouter selon leur humeur du moment. On est sévère ou on ne l’est pas. Elles
l’étaient jusqu’au bout des doigts.
L’opération
punitions était menée tambour battant.
Robin à la relance, s’était fait mettre aussitôt sa deuxième fessée par
la sévère maman, en pleine forme, qui sanctionnait ainsi, son indiscipline
caractérisée à l‘institut. Après le passage au coin réglementaire, Patricia
l’avait fait revenir sur ses genoux pour le faire assister à la fessée de son
beau-père, en attendant de lui en remettre une autre au motif de ses manières
insolentes envers ses professeurs.
Comme à chaque fois dans cette position,
Edouard est inquiet. Il est allongé sur les genoux de Gladys, qui avait
interrompu sa fessée pour changer de siège afin de fesser plus à l’aise. Il se
prépare à recevoir la deuxième partie de sa correction. La maîtresse femme
attend une attitude d’entière soumission à la fessée en exigeant une parfaite
présentation des fesses à corriger.
« Aller Edouard, en position ! Arrondis
moi correctement ces fesses pour que je les ai bien en main! Montre-moi
qu’elles sont bien obéissantes et disposées à recevoir leur nouvelle fessée !
Il faut que tu y mettes aussi du tien mon cher… que tu participes activement à
ta correction ! »
En appui sur les mains, le haut du crâne près
du carrelage, Edouard fait ce qu’il peut pour satisfaire les exigences de
l’implacable épouse, sous le regard goguenard de Patricia qui se régale de la
leçon de discipline.
Il
pousse sur les bras, s’efforçant à déployer son postérieur vers sa correctrice,
facilitant ainsi l’administration de sa propre fessée. Gladys apprécie avec un
petit sourire de satisfaction. Elle se tourne vers Patricia.
« Tu
vois, il se prépare à recevoir sa fessée sans discuter et fait ce qu’il faut
pour qu’elle se déroule dans les meilleures conditions. C’est comme ça qu’ils
doivent obéir. »
Patricia
soulève son opulente poitrine d’un grand soupir
d’approbation.
« C’est certain que c’est beaucoup plus
agréable de les corriger quand ils mettent naturellement leurs fesses à
disposition, sans qu’on soit obligée d’utiliser la force. »
Forte
de sa légitimité à sévir sur l’époux indiscipliné, Gladys profite de sa
position dominante. Elle savoure ce délicieux moment d’autorité en prolongeant
à plaisir les préparatifs de sa correction. D’un geste plein d’assurance, elle
lui tapote fermement le bas du dos.
« Cambre
encore les reins pour bien me faire ressortir tes fesses. Plus tu me donneras
envie de les claquer, meilleure sera ta fessée. Voilà, c’est bien! Garde la
position, je vais te déculotter. »
Elle
saisit l’élastique de son slip et d’un geste fluide, naturel, le lui redescend
au milieu des cuisses. Libéré de l’étreinte de nylon, le fessier épanouit ses
appétissantes rondeurs chaudement enluminées de la fessée précédente.
« C’est parfait! Tes fesses sont restées
bien rouges et à la bonne température. Edwige a raison, ces slips de nylon
entretiennent idéalement la chaleur. Nous allons pouvoir reprendre cette
fessée qui avait si bien commencé. Edouard tente une protestation qu‘il sait
vouée à l‘échec. Mais il essaye quand même.
« Oh non Gladys, s‘il te plaît, pas encore
la fessée déculottée ! J‘ai encore les fesses cuisantes de la fessée de ce
matin ! »
Gladys ne prend pas la peine de répondre. Elle
garde quelques secondes l’élastique tendue au-dessus des cuisses et la fait
joyeusement claquer dessus, pleine chaire. Elle les caresse un moment puis
remonte jusqu’aux fesses qui l‘intéressent davantage. Elle les tapote affectueusement du plat de la
main pour les faire rebondir dans sa paume. Elle aime en apprécier la
souplesse, l’élasticité et signifier à son propriétaire qu’elle en reprend
possession.
Il
gémit sourdement, le nez sur le carrelage. Dans son champ de vision au ras du
sol, les talons aiguille de l’élégante femme et la couture de ses bas
nylon qui soulignent le galbe de ses
mollets cambrés. Il n’a guère le temps de s’en émoustiller car la main ferme et
bien enveloppante de l’inflexible épouse se remet en action pour claquer avec
force sur ses fesses. Implacable, plus lourde et plus serrée, la fessée remonte
très vite en puissance, dépassant la précédente en intensité.
Gladys est à son affaire. Elle a maintenant,
bien à sa main, le postérieur rebondissant de l’indiscipliné. Elle le tient
fermement en respect sous le feu de la magistrale reprise de fessée déculottée
qu‘elle lui administre en deuxième partie de punition. Elle fesse avec toute la
sévérité requise, comme elle estime naturel de procéder pour sanctionner les
outrances de comportement inadmissibles d‘un mari irresponsable. Elle fesse
fort, à cadence régulière, pleine fesses d‘abord, puis alternativement sur
chaque fesse, en plusieurs rafales sur une seule pour passer à l’autre et lui
infliger le même traitement.
« Huum, la fessée de ce matin t’a bien
assouplit le derrière. Je le trouve en pleine forme, nerveux, réactif… très
fessant !
–
Comme quoi les fessées à répétition ont du bon ! »
Remarque Patricia en pleine contemplation du
postérieur explosif de son beau-père dont elle suit avec intérêt les furieux
rebondissements.
–
Bien sûr, ça rend les fessiers plus réceptifs ! Ponctue Gladys. Elle confirme
la véracité de son propos en insistant longuement sur la même fesse. Ça claque
fort et ça fait mal.
Edouard
souffre. Il sent ses fesses cuisantes sauter, l’une après l’autre, en cadence,
sévèrement stimulées sous la main
terriblement ferme et claquante de son épouse qui le fait ruer sans pitié sur
ses belles cuisses lisses, tendues de nylon.
Durement secoués par les violents allers et retours de claquées qui
éclatent en continu sur ses fesses, son ventre et son sexe, s’éraflent
douloureusement sur les boucles métalliques des jarretelles élastiques. C’est
un peu comme une double peine. Il a beau maintenant s‘accrocher à deux mains au
pied du tabouret en serrant les dents, Gladys le corrige avec tant d’énergie
qu’il éprouve les pires difficultés à lui maintenir ses fesses dans la position
exigée. S’il ne le fait pas, c’est une nouvelle fessée, sans transition et,
comme le veut la règle établie, encore plus sévère, pour bien marquer la
sanction de la désobéissance. Au niveau de cuisson presque insupportable qu’est
en train d’atteindre allègrement son postérieur, autant essayer de l’éviter.
-
« On est tout de même mieux ici que sur le canapé non ? »
Claironne
Gladys qui profite pleinement du changement de position par un regain d’énergie
sur les fesses du malheureux.
« La position au tabouret offrent une
meilleure résistance dans le derrière. Il rebondit beaucoup moins que dans les
coussins et je peux taper plus fort. ! Tu sens comme elle claque bien ? Tu
profites mieux de ta fessée comme ça!
–
C’est sûr ! dit Patricia. Ça se voit tout de suite. »
Fascinée
par le spectacle de la formidable fessée que sa mère inflige à son beau-père
elle en oublie son frère toujours en attente, sur ses genoux. Il s’est
complètement relâché, bras et jambes pendants. Il sent sur son ventre le
contact crissant des bas nylon et des jarretelles tendues sur les cuisses de sa
sœur. Il pourrait s’en émouvoir, mais l’imminence de la fessée qui l’attend ne
lui en laisse ni le temps ni le loisir. Il sait qu’elle va claquer sur ses
fesses dans peu de temps mais ne peut s’empêcher d’en appréhender le moment du
déclenchement.
La
voix forte de Gladys, obligée de couvrir le formidable claquement de la fessée
qu’elle continue d’abattre sur le postérieur flamboyant de son mari, le fait
sortir de sa torpeur.
« Et bien Patricia qu’est-ce que tu
attends pour corriger ton frère ? S’exclame t-elle en s’appliquant à bien
garder le rythme sur les fesses écarlates d‘Edouard.
–
Euh, oui maman, je te regardais fesser. Tu as une de ces forces de frappe...
–
Oui, merci ma chérie, mais tu pourrais montrer aussi ce que tu sais faire.
C’est l’heure de la deuxième fessée de Robin. Celle que lui vaut son
indiscipline à Ste Marie. Il en restera encore une après pour son insolence que
je lui mettrai pendant que tu corrigeras ton beau-père.
–
Oui maman, tu as raison. »
Patricia rectifie la position de son frère,
affalé n’importe comment sur ses cuisses, lui fait redresser le derrière,
rajuste son slip sur ses cuisses pour bien dégager la cible et lève la main
au-dessus de sa tête. La fessée
peut commencer. Robin serre les dents.
C’est à ce moment précis que le portable de sa mère vibre et se met à sonner
sur la table basse.
Gladys,
en pleine action, s’exaspère alors qu‘Edouard imagine déjà une providentielle
interruption de séance. Hélas pour lui, Il n’en est rien. Elle continue sans
faiblir à lui incendier le derrière.
« Raaaah, je ne supporte pas d’être
dérangée quand je fesse! Une fois cela suffit !
Gronde-t
–elle sans ralentir la cadence.
« Tu veux prendre la communication ma chérie,
tu n’as pas commencé toi.
–
Oui maman, sans problème. »
Patricia
est juste à proximité de la table. La présence de Robin sur ses genoux ne
l’empêche pas de se pencher en avant. Elle le maintient en position d’une main
et saisit le téléphone de l‘autre. Elle le porte à son oreille, et écoute
quelques secondes en fonçant les sourcils. Le niveau sonore des claques que
Gladys distribue sur les fesses d’Edouard est si élevé qu’elle a du mal à
comprendre la personne qui appelle. Elle couvre le portable avec sa main.
« Tape moins fort maman, je n’entends
rien !
–
Tu plaisantes ma chérie… fesser moins fort ! Dis à la personne de rappeler plus
tard. Je suis en train de mettre une
fessée à mon mari et je ne veux pas être interrompue ! »
Patricia s’apprête à faire passer le message,
écoute un instant et revient, du regard, vers sa mère avec un hochement de tête
interrogatif. La fessée continue à claquer au même rythme.
« Maman ?
–
Oui, quoi encore?
Elle
fesse toujours, concentrée sur la montée en cuisson du derrière qu’elle
corrige.
« Qu‘est- ce que je viens de te dire,
Patricia? Je suis occupée! Je fesse!
– C’est Edwige maman … Elle insiste ! »
Gladys
reste un instant la main en l’air au-dessus du fessier en feu. Contrariée, mais
malgré tout, réceptive à l’appel de son amie.
« Edwige…
Ah bon, qu’est-ce qu’elle veut ? »
Et
elle reprend la fessée tout en interrogeant Patricia du regard. Elle peut
fesser sans regarder sa cible, elle connaît par cœur les trajectoires. Edouard
recommence aussitôt à se tortiller sur ses cuisses en pleurant de plus belle.
Patricia,
au téléphone relaie l’information.
« Elle veut te parler de la soirée d’hier
qu’Edouard a passé avec Stephen, son mari. Lui aussi est rentré tôt ce matin,
complètement ivre.
–
Ah ça ne peut pas mieux tomber, ils font la paire ces deux-là! Dis-lui que je
suis en train de corriger Edouard, justement pour cette raison ! »
Patricia
se fait docilement l’intermédiaire. Gladys, tout en continuant à fesser, lui
jette des coups d’œil entre deux claquées.
« Rapproche le téléphone s‘il te plaît…
tiens le devant moi, je vais lui parler… merci ! Allo Edwige ?… Oui… Non mais tu as vu ça ?…
Lui aussi... complètement ivre! ... Bien sûr…
Une belle fessée en arrivant…oui, pareil... Tout l’après-midi... Avec Patricia,... C’est ça oui, nous c’est
une fessée par pub ! C’est sûr...Il en est à sa deuxième… »
Imperturbable
Gladys tenait la conversation en fessant, sans se préoccuper des contorsions et
des cris de sa victime en souffrance sur ses cuisses. Si les hommes, paraît–il,
ont du mal à faire deux choses en même temps, elle parvenait, elle, à discuter
tout en administrant une fessée sans perdre le rythme ni rater une seule
claque.
« Attends…Edwige, poursuit-elle, Il faut que tu entendes ça, tu vas aimer
! …Patricia veux-tu bien mettre le
téléphone au-dessus de ses fesses… Non pas trop près ça va me gêner … comme ça
oui, légèrement sur le côté ! »
Edouard
se cabre sur les genoux de sa femme et
d’une voix hachée par les sanglots tente une protestation.
« Ah non Gladys, pas ça, pitié ! Tu ne peux pas !… »
Patricia
hilare, trouve l’idée de sa mère particulièrement réjouissante et s’en amuse
ouvertement. Elle s’applique à garder le téléphone bien positionné au-dessus du
postérieur, en vue de la démonstration sonore.
« C’est curieux, on dirait qu’il n’a pas
envie qu’Edwige entende claquer ses fesses ! Il devrait pourtant en être
flatté. Une si bonne fesseuse !
« C’est d’autant plus ridicule qu’il
n’aura pas le choix Samedi, c’est elle qui les fera claquer en
direct. »
Gladys,
finalement indifférente à ses supplications reprend avec son amie.
« Tu es toujours là Edwige ? Ecoute comme
les fesses de mon chéri claquent bien ! »
Et
la fessée redouble d’intensité. Edouard pousse des hurlements, maudissant
l’amie de sa femme qui a eu la; malheureuse idée de l’appeler pendant sa
correction. Ses fesses sont maintenant uniformément écarlates.
Patricia,
portable en main au-dessus du champ de tir assure fièrement la transmission.
Consciencieuse, elle se retient de rire pour ne pas troubler, en bougeant, la
diffusion téléphonique en direct du claquement retentissant de la fessée.
« Arrête de crier, ordonne-t –elle au
malheureux beau-père en pleine vocalises, maman va être obligée de taper encore
plus fort pour que Edwige entende bien!
–
C’est exactement ce qui va se passer s’il continue à hurler comme ça ! »
répond l’impétueuse épouse.
La
séance de fessées prévue pour corriger les deux hommes prend une allure assez
inattendue et plutôt piquante. Quiconque, adepte de la fessée rentrerait dans
la pièce à ce moment précis de manquerait pas de trouver le spectacle aussi
excitant qu’amusant. Robin attendant toujours sa fessée, en position
inconfortable sur les genoux de sa sœur.
Celle-ci tient un portable à bout de bras au-dessus des fesses d’Edouard pour
transmettre à une interlocutrice inconnue le claquement de la fessée que Gladys
lui administre. Mis à part l’utilisation originale du portable, tableau de
famille classique d’un dimanche après-midi de discipline domestique.
« C’est bon, indique Gladys qui estime la
démonstration suffisante, tu transmets mes amitiés à Edwige et tu lui confirmes
l’invitation de Samedi. Tu m’excuses auprès d’elle de ne pas le faire moi-même,
j’ai la main prise ! »
Patricia fait une nouvelle fois
l‘intermédiaire.
« Elle t’embrasse maman et te souhaite
une belle paire de fesses à corriger.
–
Et bien c’est exactement ce que j’ai en ce moment sous la main ! »
Gladys
à la manœuvre, a repris le rythme de croisière de la fessée d’Edouard. Le geste sûr, la main ferme, elle maîtrise
parfaitement les trajectoires et claque chaque fesse l’une après l’autre avec
le naturel et la décontraction qui témoignent de sa longue expérience en la
matière.
De
toute évidence la maîtresse femme ne
semble pas disposée à lâcher de si tôt les
fesses de son époux, bien au
contraire. Totalement investie dans son double rôle éducatif et punitif, elle
est bien décidée à les lui monter à l’écarlate, histoire de bien lui faire
comprendre les conséquences de son inacceptable escapade nocturne de la veille.
Sévèrement secoué, le malheureux accompagne les claquées d’une longue plainte
continue et mouille abondamment le carrelage de ses larmes. Il devra nettoyer
après. Gladys se régale, elle fesse dur, sans pitié.
Patricia,
en observatrice attentive, suit le déroulement de la formidable fessée alors
que le pauvre Robin, toujours à plat ventre sur ses genoux sent les crampes
arriver dans ses mollets. Il ne sait plus quel impression nourrir ni quel
comportement adopter. Fessée, pas fessée ?…Il se hasarde à manifester son
trouble par quelques timides mouvements d‘agitation.
« S’il te plaît Patricia, Est ce que je
peux me relever… Si tu…
–
Si quoi ? Le reprend sèchement sa sœur. Si je ne te fesse pas tout de suite?
C’est ça ?
–
Non Patricia ce n'est pas ce que je voulais dire, c’est plutôt… »
Le
pauvre garçon, sans cesse interrompu, ne peut que rarement terminer une phrase.
Ses tentatives d’interventions, sont estimées sans intérêt et n’ont aucune
influence sur le déroulement de ses fessées.
Ce que confirme immédiatement sa sœur en le renvoyant sans ménagement à
sa condition de jeune homme en pénitence.
« Depuis
quand tu donnes ton avis sur les fessées que tu dois recevoir maintenant? Hein?
Ta fessée, tu l’attends c’est tout ! Et sans broncher ! Jusqu’à ce que je me
décide à te la claquer sur le derrière! Et, si j’en ai envie, je t’en mettrai
une supplémentaire pour t’avoir entendu essayer de protester. Non mais tu te prends
pour qui ?
–
Mais… mais... Je ne voulais pas protest…
–
Continue, et tu vas voir un peu ce que tu vas te prendre sur les fesses !
Gladys,
qui s’était finalement décidée à faire une pause afin de se raffermir le
poignet, appréciait d’une main nonchalante la cuisson des fesses de sa victime
tout en suivant la scène avec un petit sourire en coin.
– Des menaces, seulement des menaces ! Je ne
te comprends pas ma chérie. Tu vois bien que ton frère s’ennuie… tellement,
qu’il réclame sa fessée… Il serait peut-être temps que tu t’y mettes au lieu de
rester là à me regarder faire. Ça fait au moins un quart d’heure qu’il est en
position sur tes genoux. Qu’est-ce qu’il
t’arrive, toi qui, d’habitude, es si pressée de le déculotter pour lui rougir
les fesses ?
–
Je prends mon temps maman, on a tout le reste de l’après-midi. Et puis j’aime
bien le faire attendre. Et je te regarde fesser!
–
Oui et bien tu ferais mieux d’en faire autant. Alors fais-moi le plaisir de le
déculotter immédiatement et de lui flanquer la fessée que tu es chargée de lui
administrer. En attendant celle que le dois lui mettre quand j’en aurai fini
avec les fesses de ton beau-père! Aller dépêche-toi et que ça claque! »
Robin
frémit sur les genoux de sa sœur. C’est son tour et ses fesses sont encore
sensibles de la fessée que maman lui a
royalement allongée il y a à peine une heure.
Stimulée
par sa mère, Patricia piquée au vif déculotte son frère en un tour de main et
enclenche une magistrale fessée qu‘elle lui envoie rageusement, à la volée.
« Voilà, comme ça!...C’est bien ! Fesse
ma chérie! Fesse! Plus fort encore ! »
Dit
la mère pour la stimuler. Même si elle n’en a visiblement pas besoin. Puis
s’adressant à son fils qui commence déjà à supplier, violemment secoué sous les
claques.
« Alors, mon cher, la voilà ta deuxième
fessée! Bien méritée, bien servie! Celle-là c’est pour ton indiscipline à
l’institut ! Elle fesse de mieux en mieux ta sœur, tu ne trouves pas ?
–
Rooooh, si ! Sa… sa main… elle claque dur ! Raaaaah ça cuit les fesses maman!
Ça cuit !
–
C’est exactement ce qu’il te faut mon chéri…elle va même taper encore plus fort
! N’est-ce pas Patricia ?
–
Avec plaisir maman, de plus en plus fort !
Robin
souffre le martyre sous la terrible fessée.
–
Aaaaah non maman, pitié ! Ça… ça fait...ass...assez mal co… comme ça !!
–
Pas suffisamment Robin, pas encore. Continue Patricia ! C’est pour son bien! Je
veux des fesses entièrement rouges et cuisantes. Il faut l’encourager à adopter
une meilleure attitude à Ste marie. Pas question de revoir un courrier de la
directrice comme celui qu’il nous a ramené ! »
Satisfaite
de sa démonstration d‘autorité, elle se penche sur le côté vers Edouard,
gémissant sur son sort, les fesses en l’air, la tête au ras du sol.
« Aller mon cher, à nous maintenant ! »
»
Elle
ajuste sa positon, fait glisser son slip un peu plus bas en travers des cuisses
afin de bien dégager toute la surface à fesser, et lui fait remonter le
postérieur à la bonne hauteur, à portée de main.
« Tends tes fesses on reprend… ensemble,
bien en rythme ! »
Dans
un claquement assourdissant les deux fessées retentissent en même temps,
ponctuées des pleurs et supplications des malheureux qui subissent là leur
troisième déculottée de la journée. Peut– être pas encore la meilleure, prévue
pour le bouquet final au martinet, mais du moins particulièrement cuisante dans
la continuité proche des précédentes.
« Et bien ma chérie, voilà ce que
j’appelle une belle séance de fessées !
s’exclame Gladys avec enthousiasme. Je ne sais pas laquelle des deux
paires de fesses claque le mieux mais en tous cas elles sonnent bien ! Quelle
raclée mes chéris! Ils méritaient bien ça!
–
Pour ça oui maman ! Et je crois bien que c’est la première fois qu’on les fesse
ensemble. C’est vraiment stimulant ! Amusant aussi de les entendre brailler
comme ça en même temps ! Ah ils en
donnent de la voix!
–
C’est le signe que les fessées sont efficaces. Plus ils crient fort, meilleures
elles sont !
Les
deux femmes se stimulent l’une et l’autre, et sans vraiment le vouloir, se
laisse emporter dans un jeu de concurrence, à celle qui va fesser le plus fort.
Au grand désespoir de ces messieurs qui, les fesses écarlates, se retrouvent,
malgré eux, mis en rivalité par leur fesseuse respective pour savoir celui qui
crierait le plus longtemps sans reprendre sa respiration.
Les
deux paires de fesses entièrement cuites, rayonnaient en cramoisi lorsqu’elles
se décidèrent, d’un signe de tête complice, à suspendre la séance en les
envoyant cuver leur fessée, dans un coin du salon. Elles les laissèrent là en
larmes, déculottés, slip aux cuisses, les fesses éclatantes, bien exposées à
leurs regards qui exprimaient la satisfaction du devoir accompli.
« Encore une fessée chacun pour arriver
au terme de cette petite séquence de rappel à l’obéissance et à la
discipline. »
Déclare
Gladys d’un ton magistral. Puis elle ajoute, laconique, en se redirigeant vers
le canapé,
« Oh mais leurs fesses n’ont pas fini de
cuire, on a encore de la réserve, Quel week–end ! »
Patricia
acquiesce d’un sourire entendu.
« Oui, rude journée, dit-elle. Vu
l’heure qu’il est maman, un petit Whisky ? Pour se détendre avant le
final.
–
Aller...Pourquoi pas, histoire de reprendre des forces, Mais sans glace
hein ! »
Avec les dessins originaux de l'auteur !
Ne perdez pas le fil du feuilleton ! Pour ceux qui se seraient égarés ...
Ramina est l'auteur de nombreux commentaires sur ce blog.
Juste retour des choses il attend les vôtres. Ecrivez vos appréciations, vos retours, vos questions ... dans le cadre ci-dessous. Ramina vous répondra.
Si vous voulez un échange plus privé voici un courriel pour le joindre : ramina16@laposte.net
Bonjour Ramina,
RépondreSupprimer"Spanking Housewifes": ménagères fesseuses : le retour !
Les fessées de ces Dames se bonifient avec le temps. Et le jeu de rivalité entre elles ajoute un petit plus au récit. Bien vu.
Excellentes illustrations.
Donc : Samedi : tiercé gagnant. 2 + 1 égal 3.
Ca va chauffeeeeeeer !
Peter'.
Bonjour Peter,
RépondreSupprimerTankiou sir!
Le Week End n'est pas terminé et le fameux samedi est encore loin... Mieux qu'un tiercé, on peut plutôt annoncer un safari fessées 4X4 tout terrain. Ouaouuuuuh!
D'ici là, il se pourrait bien que l'amie Edwige fasse une apparition imprévue et montre le bout de ses jarretelles! (sourire). Attention la dame est du genre "pétulante!"
La météo locale s'oriente vers un nouveau pic de chaleur sur les régions fessières de ces messieurs... Qui seront bien obligés de s'y faire. Un avant goût de ce qui les attend la semaine suivante!
Ma pauvre dame, la vie est un perpétuel recommencement...
Ramina.