« C’est bien, tu as tenu ta langue. Ne crois pas que
cela t’évitera des fessées, car j’ai bien l’intention de continuer. Par contre,
tu ne seras pas victime d’un incident qui déciderait Madame Colas à te punir
très sévèrement. Enfin, pas d’un dont je serais à l’origine. »
Pendant plusieurs semaines, la situation resta parfaitement
stable. Magali et moi étions fessés de tous les côtés. Elle par sa mère et moi
par ma logeuse à la maison. Madame Colas prenait la plus grande partie de la
discipline en charge quand nous étions au travail.
Madame Raveneau ne s’y
mettait que rarement. Cela donnait un côté exceptionnel à ses punitions.
Catherine et Béatrice profitaient de toutes les occasions qui leur étaient
laissées.
Elles avaient tiré les conclusions de la chaude alerte que
nous avions tous connue. Elles ne donnaient plus la fessée, passé le milieu de
l’après-midi. Le risque de laisser des marques sur les fesses de l’un de nous
deux était trop grand. Il fallait que toute trace visible ait disparu avant que
nous ne retournions dans nos pénates respectifs.
Les jours où nos deux responsables s’absentaient
conjointement étaient trop rares pour contenter Catherine. Il ne fallait pas
grand-chose pour qu’une erreur, qu’une inattention ou un regard interprété
comme une insolence se transforme en un motif de punition. Béatrice ne prenait
pas ce genre d’initiatives. Elle se contentait de suivre sa collègue. Très
rapidement, Catherine trouva le bon
moment pour sévir sans risque.
Elle créait alors l’occasion de parler en tête à tête à celui
qu’elle ciblait. Cela se faisait très discrètement si Madame Colas était dans
les parages. Quand elle ne pouvait pas nous coincer au sortir des toilettes ou
devant la photocopieuse, elle s’arrêtait quelques secondes devant mon bureau ou
celui de Magali.
« La fessée ! Ce midi ! Sois à
l’heure ! »
Cette simple phrase suffisait à sceller notre sort. Nous
savions alors ce qui nous était ordonné. Je devais négocier avec Madame Tolbois
un retour précoce au bureau, ce que j’obtenais assez facilement. Elle était
satisfaite de mon ardeur au travail qui, c’était vrai, s’était considérablement
améliorée depuis que Madame Colas me donnait la fessée à chaque fois qu’elle la
jugeait insuffisante.
Magali ou moi, et parfois les deux, devions alors nous
présenter vingt minutes avant l’heure officielle de reprise du labeur de
l’après-midi. C’était tenu par l’oreille que le contrevenant était conduit dans
la salle des archives. Elle était idéalement située tout au bout du couloir,
dans la pièce sans ouverture derrière les toilettes. Une fois la porte close,
nous y étions tranquilles.
Quand il n’y avait qu’un puni, c’était généralement Catherine
qui officiait. Béatrice regardait et encourageait sa collègue. Elle n’hésitait
pas quand une occasion lui était donnée de prendre le relais, soit que
Catherine lui proposait de prendre sa place, soit qu’il fallait nous punir tous
les deux en même temps.
La présence de Magali était requise, même si j’étais le seul
à être corrigé, et inversement.
« Cela apprendra à l’autre ce qu’il risque à nous
désobéir, nous informa Catherine. »
Cela lui permettait surtout de maintenir sa domination en
nous contraignant à la soumission bien plus souvent que le rythme de nos
propres punitions l’aurait permis.
Le déculottage s’effectuait aussitôt arrivé, sauf si
Catherine nous avait déjà baissé la culotte dans le bureau que nous avions dû
faire, les jambes entravées par nos vêtements, les quelques mètres qu’il y
avait jusqu’à la salle des archives.
Debout devant notre fesseuse, nous étions alors abondamment
grondés. Catherine tenait à ce que, en avouant nos fautes, nous reconnaissions
la légitimité de la punition. Quand elle n’était pas satisfaite de notre
diligence à le faire, elle claquait le haut de nos cuisses nues aussi souvent
qu’elle le jugeait bon pour obtenir une contrition complète. Je ne mettais
pourtant pas de mauvaise volonté à admettre mes torts, mais le haut de ma
cuisse était souvent brûlant bien avant que la fessée elle-même ne commence.
Magali, les premières fois, refusa de convenir du bien-fondé
de la punition. Il fut nécessaire que Catherine se levât, courbât la jeune
fille sous son bras et lui administrât une fessée qui dura jusqu’à ce qu’elle
admît ses fautes, ce qu’elle réussit à faire entre deux cris de douleur. La
fessée qui suivit lui fut alors administrée à l’aide de la règle qu’elle dut
aller quérir elle-même en traversant le bureau les fesses nues. Catherine ne
vint à bout de son entêtement qu’après lui avoir administré cinq ou six de ces
terribles fessées. Magali renonça alors à ses prétentions, estimant que
conserver sa fierté ne valait pas une fessée à la règle.
J’étais bien plus docile, ce qui contentait nos fesseuses,
mais ne m’épargnait aucune punition. Catherine tenait à donner un caractère
officiel à toutes les corrections qu’elle nous donnait. Au-delà de la cuisson
que provoquaient ses fessées à l’instar de celle que je recevais par ailleurs,
j’étais rétif à celles que je devais subir de sa main ou de celle de Béatrice.
Evidemment, ma pudeur négligée était une gêne, mais pas plus que quand c’était
Madame Tolbois ou Madame Colas qui me déculottait en public, puisque toutes les
punitions de Catherine se déroulaient devant mes collègues.
Je savais, et nous savions tous, que ces fessées n’étaient
pas légitimes. Elles nous étaient volées et je ne pouvais m’empêcher d’éprouver
du ressentiment, ce qui n’arrivait plus jamais avec mes autres correctrices.
Catherine n’avait aucun droit de nous fesser. Ce n’était pas que le caractère
restreint de leur diffusion me gênât. Ce n’était pas, non plus, qu’elles
m’étaient administrées à mauvais escient. La plupart du temps il y avait une
raison bien valable qui m’aurait valu une punition si cela avait été Madame
Colas qui s’en était aperçu. Elle aurait alors été renforcée par une autre en
fin de journée que Madame Tolbois se serait fait un devoir de m’administrer.
C’était étrange de constater comment la même punition, pour
des motifs équivalent provoquait des émotions en même temps aussi semblables et
aussi différentes. La même peur de la correction à venir se retrouvait dans les
deux cas. Dès que je comprenais que la fessée était mon futur proche, une boule
se formait dans mon ventre et elle ne me quittait pas avant la fin de la
punition, avant que j’aie pu reprendre mes esprits et comprendre que la
punition était derrière moi. Catherine ou Béatrice savaient, à l’instar des
autres fesseuses, me cuire les fesses. Je ne notais pas de différence.
Mon déculottage me laissait des sensations différentes. Dans
les deux cas, la honte d’être placé, à mon corps défendant, dans cette
situation infantilisante l’emportait dans un premier temps. Autant je
l’acceptais comme un remède amer mais nécessaire quand c’était Madame Tolbois
ou Madame Colas qui y procédaient, autant je ne pouvais me défaire d’une pointe
de révolte quand Catherine s’apprêtait à me déculotter. Bien entendu, je me
gardais bien de le montrer.
A l’issue de toutes les fessées que je recevais, quelle que
soit celle qui me l’avait administrée, je me promettais d’éviter de commettre
la bêtise qui m’avait valu la punition. La douleur et la honte étaient
généralement assez fortes pour être dissuasives et je n’avais aucune envie de
repasser, de sitôt, par la même épreuve.
Face à mes correctrices officielles, j’avais besoin de remonter
dans leur estime. La punition n’était pas seulement un moment physiquement
douloureux, c’était aussi un moment où j’avais failli à répondre à leur
exigence. J’accueillais alors la fessée comme un mal nécessaire qui permettait
de passer l’éponge sur ce qui l’avait provoquée. Rien de tel quand je devais
être fessé par Catherine ou Béatrice. Je le subissais avec un fort sentiment
d’injustice, mais je m’y soumettais tout de même, de crainte des représailles
dont Catherine pourrait décider.
Catherine semblait, elle, se réjouir de ce moment interdit.
Elle savait qu’elle prenait des risques, mais rien n’égalait le moment où elle
déculottait l’un de nous deux. L’habitude et l’impunité aidant, elles devinrent
plus téméraires, poussant le moment où se finissait la fessée au plus près de
celui où l’une de nos cheffes regagnait son lieu de travail. La salle des
archives leur donnait suffisamment de marge entre le moment où la sonnerie
annonçant l’ouverture de la porte et celui où il aurait été possible de
s’inquiéter de notre absence à nos postes de travail, pour mettre fin à notre
correction et être assise à leur bureau. Nous arrivions quelques secondes plus
tard, après nous être reculottés et en tentant de faire bonne figure.
J’étais surpris que ni Madame Colas, ni Madame Raveneau ne
décèlent quoi que ce soit d’étrange dans nos attitudes qui n’avaient pourtant
rien de naturel. Il y avait quelques minutes pendant lesquelles chacun des
protagonistes de la récente fessée, que ce soit celles qui l’avaient donnée,
ceux qui l’avaient reçues et même ceux qui n’avaient été que spectateurs,
avaient une attitude empruntée qui aurait dû attirer l’attention de nos deux
cheffes.
Il était tout autant curieux que, ni Magali ni moi, ne
dénoncions pas l’abus d’autorité dont venaient de faire preuve nos deux
collègues. Nous restions silencieux, les encourageant à recommencer à la première
occasion, qui ne tardait pas. Bien que j’aie songé plusieurs fois à les
dénoncer, je ne franchis jamais le pas et Magali non plus. L’incertitude quant
aux conséquences d’un tel acte me retenait d’aller plus loin.
Ce jour-là, Catherine nous avait promis une fessée pour
avoir discuté entre nous, Magali et moi, alors que nous devions photocopier des
documents. En étant tout à fait honnête, elle avait raison. Notre conversation
nous avait entraînés à flâner bien au-delà du temps qui était nécessaire pour
réaliser les tâches qui nous étaient imparties.
L’annonce de la sanction avait été accueillie par une
grimace et un grognement proche d’une protestation par Magali, et moi, j’avais
simplement baissé la tête. Je ne savais pas comment réagir entre la
satisfaction d’une fessée qui ne me serait pas donnée par Madame Colas avec les
conséquences qu’elle entraînerait à la maison, et le déplaisir d’être corrigé
par Catherine qui n’en avait aucun droit.
En suivant, Magali, je me rendis pourtant, la tête basse,
dans la salle des archives à l’heure dite. Catherine et Béatrice nous y
attendais. Catherine faisait preuve d’un calme à toute épreuve. Elle regarda sa
montre, fit une moue, mais retint les commentaires qu’elle avait préparés. Nous
n’étions pas en retard. Juste à l’heure. Elle ne pouvait pas nous en faire le
reproche bien que l’envie ne lui en manquait pas. Béatrice semblait bien plus
excitée et bien plus fébrile. Elle n’avait pas si souvent l’occasion de fesser
l’un de nous. Comme nous étions punis en même temps, Magali et moi, ce midi,
elle serait l’une des deux fesseuses.
Comme d’habitude, c’est Catherine qui menait la danse.
« Magali, va voir
Béatrice ! Daniel, tu viens-ici ! »
Nous savions maintenant quelle
correctrice nous était assignée. Je préférais finalement être puni par
Catherine. Elle était plus sûre d’elle-même que Béatrice qui, incertaine sur sa
légitimité, avait tendance à compenser en fessant plus fort que ce que la bêtise
qui avait motivé la correction, ne l’aurait normalement justifié.
Elles avaient, chacune, pris
place sur deux chaises disposées là dans l’intention de nous administrer la
fessée et qui, maintenant, y restaient toutes deux à demeure.
Debout devant Catherine, je la
laissais baisser mon pantalon. Bien que je n’en fusse pas d’accord, je n’avais
pas le choix. Du coin de l’œil, je voyais Béatrice glisser ses mains sous la jupe
de Magali et d’en ramener la culotte à hauteur de ses genoux. Magali n’en était
pas plus réjouie que moi, mais elle ne s’y opposait pas plus.
Catherine s’était emparée de
l’élastique de ma culotte alors que Magali était déjà allongée sur les genoux
de Béatrice., la jupe retroussée sur ses reins. Je me retrouvais dans la même
position quelques secondes après elle. Déculotter un puni habillé d’un pantalon
prenait un peu plus de temps que lorsqu’il portait une jupe, mais cela se
comptait en une poignée de secondes.
« Après cette fessée, je
suis sûre que vous aurez moins envie de bavarder à la photocopieuse au lieu de
faire votre travail ! »
Il y eut une courte pause pendant
laquelle je sentis qu’elle ajustait ma chemise pour l’ôter totalement du trajet
de sa main.
« Allons-y,
ordonna-t-elle ! »
Simultanément, les deux mains
s’abattirent sur nos deux postérieurs. L’écho en résonna dans la pièce. Magali
et moi réagîmes par un cri spontané. La fessée était commencée.
La belle synchronisation du début
ne dura pas, autant en ce qui concerne les claques que je prenais qui étaient
décalées par rapport à celles que Magali recevait, que pour les vagissements,
les grognements et les cris que nous laissions échapper.
Je cessais alors de prêter
attention à ce qui arrivait à Magali. Le traitement que Catherine réservait à
mes fesses suffisait à m’occuper entièrement. J’entendis, au début, les claques
qui tombaient sur les fesses de Magali en contrepoint avec les miennes, mais
très vites mes gémissements et mes cris couvrirent le bruit qu’elles faisaient.
J’en étais au moment où la
cuisson sur mes fesses devenait insupportable, quand il fallait faire un effort
de volonté pour rester allongé sur les genoux sans chercher à se soustraire à
la fessée qui continuait ou à en gêner le déroulement. J’étais rompu à cet
exercice, mais cela demandait une attention à chaque fois pour éviter un geste
instinctif malheureux qui serait considéré comme une nouvelle désobéissance,
avec les conséquences que je connaissais d’avance.
La fessée cessa. J’en fus surpris. Elle durait
habituellement plus longtemps. Je perçus qu’il y avait quelque chose
d’inhabituel, sans identifier immédiatement quoi. Puis, je pris conscience de
la lumière qui entrait maintenant dans la pièce pourtant sans fenêtre. On y
voyait comme en plein jour. La porte avait été ouverte.
« Qu’est-ce que se passe ici ? »
C’était la voix de Madame Colas.
« Cessez cela tout de suite ! »
Béatrice n’avait pas réagi tout de suite à sa présence. Elle
avait donné une dernière claque à Magali, ce qui avait déclenché le courroux de
Madame Colas. Catherine me repoussa, elle me fit glisser de ses genoux et je
tombais à ses pieds.
« Relevez-vous, tous les deux ! »
Debout au milieu de la pièce, culotte baissée, je ne sais
trop quelle contenance prendre. Magali, à mes côtés était tout autant que moi
dans l’incertitude.
« Reculottez-vous ! »
Nous nous empressâmes d’obéir.
« Quelqu’un peut-il m’expliquer ce qui se passe
ici ? »
Il y eut un moment de silence. Béatrice regardait Catherine,
mais elle évitait le regard de Madame Colas qui les fixait l’une après l’autre.
« Catherine ? »
Il n’était pas difficile de savoir qui était susceptible de
donner des explications. Catherine s’éclaircit la gorge.
« C’est que … ces deux garnements avaient largement
mérité une fessée. Vous n’étiez pas là, alors j’ai pris l’initiative de … Ils
l’avaient méritée. »
Catherine attendait un signe d’encouragement de la part de
Madame Colas. Il ne vint pas.
« L’initiative de ?
– Et bien de les punir.
– Et vous, Béatrice qu’avez-vous à dire ?
– Je ne sais pas. Je … je … j’ai cru que … enfin que c’était
… que … »
Béatrice semblait tout à fait dépassée par les événements.
Elle bégayait, incapable d’aligner deux mots cohérents l’un à la suite de
l’autre. Madame Colas reporta son attention sur Catherine. C’était là qu’était
sa véritable interlocutrice. Béatrice ne comptait pas.
« De les punir, dites-vous, Catherine. J’ai pu le
constater. Et de quel droit ?
– C’est que vous n’étiez pas là, alors j’ai pensé qu’il
était préférable que je règle cela tout de suite. Cela vous a évité d’avoir à
vous en occuper. »
Catherine sourit en hochant la tête d’au air entendu. Elle
avait pris un ton léger, comme si elle parlait d’un sujet banal. Une
conversation anodine entre deux femmes qui papotaient.
« Je vous remercie de votre sollicitude, lui répondit
Madame Colas, mais je ne crois pas avoir besoin de votre aide. Je pense pouvoir
m’en sortir sans votre aide.
– Oui, bien sûr. Ce n’est pas ce que je voulais dire. J’ai …
j’ai juste pensé qu’il était préférable de les punir tout de suite.
– Et pour qui vous prenez-vous Catherine ? »
Madame Colas était plus âgée que Catherine, mais guère plus.
Dans d’autres circonstances, elles auraient pu être des amies proches.
Catherine avait cherché la complicité avec Madame Colas. Celle-ci venait de la
repousser. La barrière que Madame Colas maintenait vis-à-vis du personnel dont
elle avait la responsabilité était bien érigée. Aucune familiarité n’était
possible. Quand elle reprit la parole, c’était la cheffe de bureau qui parlait
à l’une de ses subordonnées.
« Je n’ai pas connaissance que l’on vous ait autorisée
à fesser l’un de vos collègues. Fais-je erreur ? »
Catherine hésita un court instant. Elle n’osa pas reprendre
dans le registre qu’elle avait utilisé jusqu’alors.
« Non Madame.
– Punir un employé est une chose sérieuse. Cela ne peut pas
être confié à n’importe qui.
– Mais je ne … »
Le regard de Madame Colas la fit taire.
– Cela demande d’en avoir la légitimité. Autrement, il
s’agit d’un abus. »
Catherine ouvrit la bouche mais aucun son n’en sortit. Elle
jeta un regard à Béatrice, mais il n’y avait aucune aide à attendre de côté-là.
« Dès son retour, Madame Raveneau jugera de la suite
qu’il faut donner à cet incident. Tout le monde retourne au
travail ! »
Nous sortîmes un par un, penauds, sous la surveillance de
Madame Colas qui elle, sans aucun doute, avait toute légitimité pour faire
régner l’ordre dans le bureau.
Que s'est-il passé dans les épisodes précédents ?
Pour tout comprendre, il faut lire ce qui a précédé :
- Le premier épisode : chapitre 1 et les vingt-huit qui ont suivi dans la saison une. Pour avoir accès à un épisode particulier, voir la page mes récits
- L'épisode précédent : chapitre 41
Pour tout comprendre, il faut lire ce qui a précédé :
- Le premier épisode : chapitre 1 et les vingt-huit qui ont suivi dans la saison une. Pour avoir accès à un épisode particulier, voir la page mes récits
- L'épisode précédent : chapitre 41
Les commentaires, les avis sont les bienvenus
Donnez votre avis, postez un commentaire, faites part de vos expériences, de vos protestations, racontez ce que vous avez vécu, laissez libre cours à votre imagination, dites-nous ce que vous avez ressenti, soyez créatif, n'hésitez pas...
Donnez votre avis, postez un commentaire, faites part de vos expériences, de vos protestations, racontez ce que vous avez vécu, laissez libre cours à votre imagination, dites-nous ce que vous avez ressenti, soyez créatif, n'hésitez pas...
J'ai l'impression que c'est deux femmes vont être deculottée
RépondreSupprimerCher lecteur anonyme,
SupprimerC'est une question qui se pose depuis quelques chapitres. Béatrice et Catherine seront-elles fessées ? Il semble y avoir une certaine unanimité, parmi les lecteurs, pour qu'elles subissent cette correction.
La réponse ne devrait plus tarder.
Au plaisir de vous lire,
JLG.
Bonjour,
RépondreSupprimerQuel acharnement à vouloir punir Catherine! Quitte à rompre cette belle unanimité, il est peut être intéressant d'examiner les comportements de plus près.
Forte de son autorité légitime,professionnelle, madame Colas fesse par nécessité de faire respecter, ordre, discipline et assiduité au travail. Les fessées sont régulières, sévères et répondent à une fonction, punitive et, disons, régulatrice. Déculotter et administrer une fessée, fait partie de son travail. Comme madame Raveneau qui supervise l'ensemble des bureaux.
Il en va tout autrement de Catherine dont l'attitude est beaucoup plus divertissante. Elle fesse pour punir, certes, mais à bien y regarder, avant tout pour le plaisir. Les motifs des fessées sont si futiles, si légers, conversation prolongées près de la photocopieuse, papier jeté à côté de la corbeille, qu'ils ressemblent d'avantage à des prétextes qu'a de véritables raisons de sévir.
A l'évidence, Catherine se délecte à menacer d'une fessée, à l'annoncer à ses victimes et les contraindre a accepter le rendez vous dans un endroit qu'elle choisit isolé pour l'administrer à l'aise, sachant qu'elle n'en a pas la légitimité. Déculotter et fesser sont sa passion, au point de s'en approprier l'initiative et l'exécution à la place des dépositaires hiérarchiques.
Elle entraîne même sa collègue Béatrice dans ces rôles de correctrice en lui faisant fesser Magalie.
Catherine est une fervente et redoutable adepte de la fessée. Elle aime fesser, et se montre savoureusement perverse pour trouver n'importe quel prétexte à déculotter et à claquer une paire de fesses.
Il y a un peu de vice dans cette manière de procéder plutôt amusante.
Reconnaissons lui d'assumer avec sincérité et sans complexe ce goût, apparemment irrésistible pour la fessée et d'oser de prendre les risques de créer les occasions de passer à la pratique.
Pourquoi l'en blâmer, il faudrait au contraire l'encourager pour services rendus. Et bien rendus! Au lieu de réclamer sa punition, de lui confier un rôle de seconde main pour prendre en charge les fesses des contrevenants en l'absence des responsables. Elle s'en acquitte si bien, avec tant d'ardeur!
Nous qui rendons régulièrement hommages à ces belles femmes sévères, pourquoi en reprocher la nature à celle ci parce qu'elle n'a pas la légitimité d'en assumer le rôle?
Laissons la fesser comme elle le veut, vive les savoureuses fessées furtives aux archives!
Cordialement
Ramina
Ramina,
SupprimerQuel plaidoyer ! J'en serais ébahi s'il y avait le moindre mot auquel vous croyez. Votre argumentaire est de circonstance, histoire de rompre la belle unanimité.
Impossible de m'influencer our changer le cours de l'histoire. Je suis incorruptible. Surtout d'ailleurs parce que la suite est déjà écrite.
Au plaisir de vous lire,
JLG.
JlG.
RépondreSupprimerBien sûr, il ne s'agit pas de réclamer une suite différente de ce que vous avez déjà écrit.
Bien vu... juste un petit exercice de style. Argumentaire de circonstance pour faire un peu l'avocat de la défense et proposer une autre interprétation du comportement de Catherine que tout le monde voue à recevoir la fessée déculottée qu'elle aurait amplement méritée!
S'il n'y en a qu'une... ce qui m'étonnerait.
Elle méritait aussi d'être défendue.
Cordialement
Ramina
Bonjour Messieurs,
RépondreSupprimerComme l'on dit parfois : " A tout péché, miséricorde". On peut parfois discerner une étincelle de positif dans une ambiance négative.
Toute personne accusée a droit à une défense, si minime soit-elle. Enfin, je le pense.
Bon WE. Peter.