L’ado pervers : une 4ème visite chez Madame Anne Sophie
C’est ma quatrième visite chez Madame Anne Sophie, l’institutrice qui donne
la fessée pour corriger les mauvais comportements. En manque de correction,
j'ai de nouveau pris rendez-vous chez elle pour me faire recadrer et sévèrement
punir.
Les choses sont maintenant assez faciles. Je connais ma fesseuse, je
redoute, je crains ses bonnes fessées, je sais qu’elles font mal et en même
temps j’y prends un certain plaisir car je me sens en parfaite confiance. En
effet elle avait pu tester ma résistance aux claques et connaissait
parfaitement le degré de sévérité à appliquer à mon postérieur. Ce que
j’attendais et en même temps redoutais : va-t-elle me donner des fessées
encore plus fortes et sévères que les précédentes ?
Il fut décidé que je serai convoqué chez elle pour avoir été un ado
pervers. En tant que directrice, elle corrigeait les vilains garnements. A cet
effet je reçus la veille un mail assez explicite sur notre prochain
rendez-vous :
Tu es convoqué mercredi chez moi. Ton
professeur de gymnastique a rapporté que tu avais été espionner les jeunes
filles dans les douches et que tu matais sous les jupes des filles. Madame
Leblanc, la professeure d’anglais t’a pris en flagrant délit dans l’escalier de
l’école à regarder sa culotte sous sa jupe en remontant derrière elle les
marches. Pour ce comportement inadmissible tu mérites une bonne correction. Je
te déculotterai dans mon bureau. Tu iras ensuite au coin. Tu t'expliqueras sur
les bêtises qui te sont reprochées. Tu recevras la fessée cul nu et aussi le
martinet.
A mercredi
Madame
Anne Sophie.
Puis dans la foulée un autre mail
Bonjour Vincent.
Je te demande d’être ponctuel à notre
rendez-vous chaque minute de retard se traduira en dizaine de claques sur les
fesses. D’ici la tiens-toi à carreau sinon gare à toi !
Bonne journée
Madame
Anne Sophie
On peut dire que les mails reçus ne laissaient pas le moindre doute sur la
sévérité des corrections que Madame Anne Sophie avait prévues pour moi. Tout
fébrile je lui répondis :
Madame,
Je serais à l’heure au rendez-vous.
Ne pourrions-nous pas envisager une autre forme de
punition que la fessée ?
Après tout, je ne suis plus un enfant.
Au plaisir de vous
revoir
Bonne fin de journée
Vincent
Je n’ai pas eu de réponse à mon mail. Plus
on se rapprochait du rendez-vous, plus
je m'imaginais Madame Anne Sophie avec sa robe rouge chic, moulant sa belle
poitrine, ses cuissardes en cuir noir montantes sur ses jolies jambes, son air sévère
et ses belles mains expertes dans l’art
de la fessée. J'avais besoin qu'elle me
gronde, me menace. C'est bizarre, plus on se rapproche de la correction et plus
on veut qu'elle soit méritée, annoncée et promise. J’attendais fébrilement la
réponse à mon mail.
Madame Anne Sophie m’envoya un mail la veille de notre
rendez-vous
Mon cher Vincent, décidément tu te
comporte comme un ado de 12 ans et tu mérite une correction à la hauteur de ton
comportement. Je n’admets pas ce genre d’attitude et je me ferai un plaisir de
te donner de bonnes fessées, tes fesses vont déguster mon cher enfant !
Bonne soirée et à demain
Madame Anne Sophie, la Directrice.
Le mercredi arrive. Je sonne à sa porte.
Madame Anne Sophie me reçoit aimablement et me demande de déposer mon manteau
et d'enlever mes chaussures. Elle est charmante et accueillante me proposant un
café. Je suis assis confortablement dans son canapé bleu, nous échangeons sur
nos expériences réciproques de top/bottom
quand soudain l’institutrice change de ton et se met à me gronder sur ma conduite
impardonnable avec les filles.
« Alors comme ça tu fais le voyeur dans les douches de tes camarades
du sexe féminin ? Tu n’as pas honte petit vicieux et pervers, tu sais ce
que cela mérite ? »
– Une fessée, dis-je tout penaud »
– Oui mon garçon tu mérites une fessée longue et cuisante »
Et joignant le geste à la parole me voila debout tiré par l’oreille, penché
sous son bras.
– Non pas question »
Je suis interrompu par une cinglante série
de claques sur mon pantalon. Cela a le mérite de me recadrer vite fait, je n'en
mène pas large. Puis elle poursuit avec un ton encore plus sévère
« Baisse ton pantalon que je fesse
correctement !"
Je déboucle ma ceinture trop lentement à
son goût, Elle se rue sur moi m’immobilise et me coince sous son bras. Elle me
claque les fesses et déboutonnant mon pantalon, elle me le baisse en vitesse.
Poursuivant sur sa lancée à mon grand
étonnement elle me baisse en vitesse la culotte. Me voila penché sous son bras
fesses nues recevant une bonne dizaine de lourdes claques.
Elle
me dirige vers sa chaise et d'un mouvement énergique me bascule en travers de
ses cuisses. Je suis surpris par la poigne de la Directrice et je pose mes
mains tendues sur le sol. Elle me donne
une petite fessée déculottée assez agréable et peu cuisante. Je suis aux anges.
« Je vais t'apprendre à m’obéir, tu
vas recevoir une fessée déculottée des plus cuisantes »
Elle change de cadence et prend plus
d’élan pour me donner la fessée. Ses mains claquent mes fesses de plus en fort.
Je crie, me tortille, essaye de me dégager alors elle accélère les claques et
sa correction devient très cuisante. J'ai les fesses en feu, je suis puni comme
un sale garnement. Après une centaine de claques, elle me relève, je remonte ma
culotte et elle me met au coin. Je reste au coin culotte baissée pendant cinq
minutes. Elle me gronde et me demande de réfléchir à ma punition en silence. J’ai
les fesses toutes rouges et j'ai honte d'être traité ainsi.
Pendant que je suis au coin je me montre
assez impertinent
-Vous ne pouvez pas faire çà Madame »
- Tais-toi, silence, les mains sur la
tête, culotte baissée, sinon gare à tes fesses »
Au bout de quelques minutes j’enlève mes
mains
- Mais quand vas-tu obéir mon
enfant ? Approche que je te
m’occupe de ce fessier bien rougi ! »
- Mais Madame… »
Madame
Anne Sophie me reculotte me tire par le bras me fait monter debout sur une
chaise Elle baisse ma culotte aux genoux. Me voilà fébrile le cul nu en hauteur
devant ma fesseuse.
« Puisque tu aimes mater sous les jupes des filles à mon tour de mater
tes jolies petites fesses ! »
« Je vais t’administrer la fessée
comme si tu étais déculotté devant toutes les filles de l’école »
Et la raclée commence, terrible volée, une
main très énergique claque mes fesses rendant la cuisson tout de suite
difficilement supportable. Madame Anne Sophie a décidé de me surprendre et me
donne une fessée retentissante aussi forte que possible. Après une trentaine de
claques, je me relève et je suis conduit au coin où je dois m'agenouiller
culotte baissée sur le coussin. Quelle honte, d'être ainsi posté les fesses
rougies. Jai très mal. Jamais je n’avais reçu de fessée aussi cuisante, à la
limite des sanglots. Je me sens honteux.
Dans ma tête j’ai 12 ans et j’ai reçu la plus forte des corrections.
Madame Anne Sophie brandit le martinet et
me cingle les fesses, je crie de douleur, les lanières fouettent mes fesses
nues.
Une série de 60 coups claque mes fesses Je
suis rouge de honte et j'ai très mal aux fesses. Elle me reculotte et me dirige
vers la chaise, je dois m’agenouiller bras tendus posé sur le meuble. Elle me
baisse énergiquement la culotte et s’absente quelques minutes. J’attends
fébrilement ma correction. Pour le moment je peux décompresser mais je sais que
mes fesses sont déjà bien rougies, à la merci et à la portée de dame fesseuse Elle
revient avec 2 martinets et la canne.
Quand le premier coup de martinet claque
mes fesses je sais que plus rien ne sera comme avant. Oublié les fessées
précédentes qui font mal mais rien en comparaison des 2 martinets à large bout
carré qui cinglent les fesses marquant quelques zébrures.
Vient le moment d’utiliser la canne. Je tremble je sais que
mes fesses nues sont à portée de main et que la canne fait terriblement mal.
Clac, clac, clac, chaque coup me fait sursauter je compte les coups dans ma
tête elle s’arrête à 15. Ouf je n’en pouvais plus. Elle termine par une rapide
fessée qui a le don de soulager et fait un bien fou effaçant la douleur des
coups reçus aux instruments.
Comme après chaque correction, je retourne
au coin méditer sur ma conduite.
« Tu es un ado vicieux et peu obéissant je vais encore devoir sévir et les petits
garçons qui se comportent mal c’est la FESSEE !!!!".
Me tirant par l'oreille, elle dirige vers sa chambre. Elle me gronde sur le
chemin.
« Tiens tu vas la prendre ta fessée déculottée mon cher enfant. »
Joignant le geste à la parole elle s’assoie
sur le lit, me couche sur ses genoux. Elle me déculotte en 2 secondes et
commence sa fessée. J’entends le bruit de sa main qui claque mes fesses. Je
trépigne et j’encaisse les claques les unes après les autres ne sachant pas
quand la fessée s’arrête, si elle va être plus rapide, plus forte, plus
appuyée. Elle me fesse pendant de longues minutes, je me demande comment elle
fait pour avoir une telle endurance et ne pas avoir mal à la main. Quelle
sportive, championne de France de fessée !
La fessée se termine, je me relève, elle me conduit au coin dans la
chambre. Elle sort de la chambre
« Maintenant tu t’allonges cul nu sur le lit et tu te reposes, je reviens dans cinq minutes et
si tu n'es pas allongé je te flanque une bonne correction compris? »
– Oui Madame »
Je m’assois sur le lit, jambes repliées, résigné et massant mes fesses
endolories.
Madame Anne Sophie m’appelle plusieurs fois, je ne réponds pas. Elle
débarque furieuse dans la chambre et elle explose de colère
« Je t'avais dit de venir, tu ne veux pas m’obéir puisque que c'est
comme ça tu vas recevoir une bonne déculottée »
Joignant le geste à la parole, elle me
tire vers elle, s'assied sur le lit et m’allonge en travers du lit.
Elle me gronde et me donne la plus grosse
fessée de la séance, de plus en plus fort et de plus en plus vite, une fessée
retentissante, interminable et cuisante. Je crie, je supplie, je demande pardon
et au bout de longues minutes, n'en pouvant plus je prononce le safe-word qui
stoppe immédiatement les claques. Je me relève les fesses me brûlent, je rougis
d'être puni de cette façon.
« Ce n’est pas fini mon garçon, mon
cher martinet va t’apprendre ce qu’il en coute de me tenir tête »
Elle m’attire vers elle, je dois
m’agenouiller, elle me bascule sur une cuisse, les fesses bien à portée de sa
main. Et le martinet sévit, une série de 40 coups que je dois compter sous
peine de recommencer à zéro.
Je suis en sanglots, mes fesses me brûlent
Madame Anne Sophie me tire par l’oreille
dans le salon et me met au coin. Comme à chaque fois elle m’a remise ma culotte
après chaque fessée et déculotté après chaque mise au coin. Ce cérémonial est
magique quelle honte et quelle chance de se laisser guider, de s’abandonner, d’obéir
à sa chère correctrice qui a l’autorité nécessaire pour gronder, punir,
déculotter et fesser en toute impunité.
Je suis joueur et je la provoque encore
une fois. Très mauvaise idée....Madame Anne Sophie fond sur moi me reculotte et
me conduit près de sa chaise. Elle pose sa jambe en appui sur la chaise
légèrement en hauteur et m’attire penché vers sa cuisse. Elle me baisse la
culotte.
A ce moment j’ai presque envie de la
remercier car elle a adopté ma position de fessée préférée, celle qui me
trouble le plus, qui est à la fois confortable et honteuse, une position idéale
pour une bonne fessée parentale.
«Tu me provoque et bien tu vas le regretter ! Je vais te donner la fessée
déculottée comme ta maman devrait le faire ! »
Elle prend son élan et me claque vigoureusement
les fesses.Je reçois une bonne cinquantaine de claques très, très fortes. C’est
la fessée qui fait mal, celle ou le garnement va supplier, promettre de ne pas
recommencer, d’être sage, celle ou on pleure comme un enfant, les fesses écarlates.
J’ai beau supplier et demander pardon. Rien n'y fait quand elle a
décidé de fesser, elle fesse et ne s'arrête que quand elle le juge nécessaire.
Elle termine sa formidable fessée déculottée
en travers de sa cuisse, une fessée magistrale, méthodique, presque académique.
La correction se termine, je remonte ma
culotte et remets mon pantalon.
« Alors cela t'a plu mes bonnes fessées ? »
– Oui Madame, mais si je les supporte bien certaines font vraiment
mal !
– Mon cher Vincent tes fesses marquent peu et récupèrent vite donc je peux
te corriger sévèrement »
– Oui Madame, c'est vrai que vous avez été plus sévère, j'ai encore plus
mal aux fesses que la première fois.
– Je peux fesser encore plus fort, tu ne pourrais pas t’assoir après !"
Puis son ton change elle redevient charmante et plaisante
"Regarde tes fesses dans le miroir, toutes rouges mais pas de trace,
contrat rempli »
– Oui merci heureusement mais elles sont bien rouges je vais le sentir
pendant plusieurs heures surtout les coups de martinet et de canne,
heureusement que j’ai demandé soft »
« Tu sais j’ai tant de monde qui me contacte pour que je les corrige,
j'aime la fessée, j'aime la donner, mais je suis sélective, je fesse les gens
que je connais, les réguliers. Certains viennent toutes les semaines, y compris
de l’étranger pour se prendre des fessées. Je ne peux pas satisfaire tout le
monde je suis dans la vie une institutrice respectée, mon métier compte
beaucoup pour moi. Je suis fesseuse à mi-temps mais crois-moi j’en donne des
fessées par dizaines, cela me convient bien.
Je me rechausse et Madame Anne Sophie me gronde
« C’est quoi cet ourlet de pantalon très année 80 cela ne vas pas du
tout. »
Dans son entrée alors que j’étais sur le point de partir elle me baisse
pantalon et culotte en un tour de main et me penche sous son bras
« Je ne peux pas laisser passer cela c’est la fessée déculottée sur
le champ jeune homme ! »
Elle prend son élan et.je reçois une bonne
cinquantaine de claques très fortes. C’est à nouveau la fessée qui fait mal, la fessée
mitraillette tant le rythme est rapide !
Je ne m’attendais pas à cette fessée
surprise et improvisée comme quoi rien n’échappe à la très stricte
institutrice.
Moi je repars, ravi de mon expérience, les fesses très, très chaudes
« Repose bien tes fesses, sûr que d'ici un mois tu auras envie de me
revoir et ce jour-là je te fesserai encore plus fort ! »
« Au revoir Madame Anne Sophie je me souviendrai longtemps de vos
bonnes fessées ! »
Comme quoi rien de tel qu'une Madame Anne Sophie,
l’institutrice qui donne la fessée pour vous corriger quand vous avez besoin
d'être recadré. Si vous y allez, soyez poli et prévenant et laissez-vous
guider. Je vous promets que si vous avez besoin d'une bonne correction, Madame
Anne Sophie saura vous la donner !
Je te demande d’être ponctuel à notre rendez-vous chaque minute de retard se traduira en dizaine de claques sur les fesses. D’ici la tiens-toi à carreau sinon gare à toi !
Bonne journée
Un récit d'une autre visite chez Madame Anne-Sophie accompagné de quelques commentaires, et là celle de Georges, ici celle de Paul et enfin celle de J. Puis ce fut le tour de Pierre, pour finir par le premier passage de Vincent, son deuxième et son troisième
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N'oubliez pas, quand vous la contacterez, de la saluer de ma part. Je vous conseille de le faire respectueusement. Après un passage chez elle, laissez un commentaire ou proposez un récit pour partager vos impressions.
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Oula la! Quelle séance de fessées ! Madame Anne Sophie n'y va pas de main morte comme on dit. Voila une femme sans complexe qui déclare aimer administrer la fessée. Ce qui est évident quand on voit l'ardeur qu'elle y met.
RépondreSupprimerExcellente méthode, joliment perverse aussi, d'imposer le reculottage systématique après chaque fessée pour l' humiliation supplémentaire d'un nouveau déculottage préparant la suivante. Un peu comme une double peine, la honte de subir ces déculottages successifs venant s'ajouter à celle de recevoir la fessée. Emprise efficace pour obtenir la soumission du puni.
De toute évidence, Madame Anne Sophie pratique la fessée avec une sévérité que son savoir faire rend particulièrement redoutable.
Cordialement
Ramina
Bonjour Vincent;
RépondreSupprimerMerci pour ce récit...
J'ai également rencontré dernièrement Madame Anne-Sophie. J'ai reçu une bonne fessée à la main et aux instruments...j'ai même été un peu téméraire et j'ai demandé à "goûter" à certains de ces instruments.
J'ai beaucoup aimé l'humiliation et la honte d'être fessée comme un petit garçon. je souhaiterais un jour en recevoir une devant d'autre personne.
Je ne sais pas si cela vous tente Vincent...mais une fessée commune peut être très humiliant pour les deux.
Merci encore pour vos récits.
Eddy
Vincent est un gentil garçon,courtois,bien éduqué mais il fait encore des bêtises.Il a donc besoin d'être recadré et seule la fessée lui permet d'intégrer qu'il ne faut ni se montrer insolent ni désinvolte .Vincent est un garçon élégant néanmoins il fait parfois quelques faux pas dans son style vestimentaire!La dernière fois j'ai du lui donner la fessée car il avait une fois de plus mis un pantalon trop court.Toute faute de goût,tout laxisme,toute procrastination et toute insolence est sanctionné d'une bonne fessée culotte baissée en travers de mes genoux ou sous mon bras.De plus il faut savoir que chaque fessée est ponctuée d'une mise au coin d'une durée variant entre 2 et 5 minutes.
RépondreSupprimerUne fessée sans le coin c'est comme Paris sans la tour Eiffel!!!
Madame Anne Sophie
Ah oui Vincent... Et surtout Madame Anne Sophie...j'ai oublié de préciser...si madame Anne Sophie est aussi d'accord... c'est une évidence...
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