jeudi 19 juillet 2018

Chambre chez l'habitante - chapitre 41


Le week-end fut assez tranquille côté punition. Tout juste si je reçus une petite fessée le dimanche matin. Je ne compte pas, bien entendu, les claques sur les fesses pour attirer mon attention sur une consigne que je venais de recevoir. Quand j’avais mon pantalon en place, elles étaient symboliques, mais quand ce fut dans la salle de bain alors que j’étais nu et quand j’étais en pyjama dont le fin tissu fournissait une piètre protection, elles étaient à prendre en considération.
Je ne cessais pourtant d’être préoccupé. Ce qui pouvait se passer le lundi matin était très inquiétant. Je ne savais pas jusqu’où pouvait me conduire les réponses que Madame Tolbois obtiendrait quand elle chercherait à comprendre ce qui s’était passé le vendredi. Tout cela était porteur de fessées potentielles et, si mes mensonges étaient découverts, je faisais confiance à ma logeuse pour me les faire regretter.

Je n’aimais pas mentir à Madame Tolbois, mais je n’avais pas eu le choix. J’avais l’impression d’avoir trahi sa confiance. Je ne sais pas trop ce que je craignais. Qu’elle me rejette ? Qu’elle me méprise ? Qu’elle cesse de s’occuper de moi ? Qu’elle se lasse de mes bêtises à répétition ?
Quand, les deux soirs du week-end, elle me prit sur ses genoux pour le câlin qui précédait maintenant quotidiennement le moment où elle me mettait au lit, je ne me sentis pas digne de ce moment de tendresse. J’avais le sentiment que je ne méritais pas autant d’attention de sa part, alors que je lui avais menti sans vergogne.
J’aurais préféré que mon forfait fût découvert et que j’en sois puni sur le champ afin de pouvoir laisser cet épisode derrière moi, bien qu’à cette seule pensée, mes fesses se couvraient de chair de poule. La colère de Madame Tolbois serait forcément terrible. Et mes fesses en paieraient le prix. Je me sentais indigne des attentions qu’elle me prodigua tout au long de ces deux jours.
Je redoublais d’activité. Je devançais ses moindres désirs et je fis bien plus que ma part des tâches quotidiennes que ma logeuse m’assignait.
« Je ne sais pas ce qui t’arrive, Daniel, mais tu es très serviable aujourd’hui. Je t’en félicite. »
Ses compliments n’apaisaient pas ma conscience. Bien au contraire. Mais je ne pouvais vraiment pas lui révéler la vérité. Je gardais un secret espoir que toute cette histoire serait bientôt oubliée. Mes remords finiraient bien par s’apaiser.

L’angoisse m’étreignait le lundi matin pendant que je me préparais pour aller au travail. Madame Tolbois était pointilleuse, comme à son habitude. Rien n’échappait à son regard et certainement pas mon malaise.
« Tu ne sembles pas dans ton assiette, Daniel, que se passe-t-il ?
– Rien Madame, rien. Ça va. J’ai juste un peu mal au ventre.
– Un mal de vente ? Je vois cela. Serait-ce l’un de ceux qui est provoqué par la peur de ce qui va se passer dans la journée ? De ce que je pourrais découvrir quand je vais téléphoner à Madame Raveneau ?
– Non, non Madame. C’est juste un mal de ventre … normal. Ça va passer. »
Elle n’avait bien entendu rien oublié de ses promesses. Madame Tolbois les tenait sans en oublier une seule. J’en avais déjà fait l’amère expérience à plusieurs reprises. Ma réponse peu assurée n’avait fait que renforcer ses soupçons.
« Nous verrons cela. Dépêche-toi de finir de déjeuner que je puisse faire ta toilette. Tu ne voudrais pas recevoir une fessée en arrivant au travail en raison d’un retard ?
– Non Madame. »
Il était effectivement temps de passer à une vitesse supérieure afin de ne pas en rajouter à la punition qui m’attendait.

L’inquiétude que Magali et moi éprouvions était palpable. Nous nous plongeâmes tous les deux  dans notre travail. Il fallait avoir l’air occupé. Je sentis mes entrailles se retourner quand Madame Colas entra dans le bureau.
« Déjà en plein travail, et de bonne heure ! Quelle conscience professionnelle ! Si je ne vous connaissais pas, je serais impressionnée. Voyons un peu ce que cela cache ! »
J’échangeais un regard avec Magali. Elle était tout autant catastrophée que moi. Cela n’annonçait rien de bon. Catherine me regardait, un petit sourire au coin des lèvres. La suite était prévisible pour tout le monde. Madame Colas ne tarda pas à émettre des soupirs de découragement, au fur et à mesure qu’elle découvrait notre travail ou plutôt notre absence de travail. Je ne sais pas pourquoi j’attendais son verdict avec anxiété. Je le connaissais d’avance.
« Daniel et Magali, venez ici ! »
Cela ne faisait pas quinze minutes que j’étais arrivé et la machine punitive s’était mise en route. « Ici », c’était debout à côté du bureau de Madame Colas.
« Magali, je n’ai pas l’impression que vous ayez répondu à toutes les questions que les clients ont posées sur notre site. Est-ce que je me trompe ?
– Non Madame.
– Quatre questions posées vendredi en fin d’après-midi sont restées sans réponse tout le week-end. Vous n’avez donné les explications nécessaires que ce matin pour deux d’entre elles. Pensiez-vous pouvoir y répondre seulement ce matin sans que je m’aperçoive de votre retard ?
– Non Madame, je … je …
– Ne cherchez pas d’explication oiseuse. Nous savons toutes les deux que c’est votre paresse qui en est en cause. En fait vous n’avez rien fait, ou presque, de votre journée de vendredi.
– J’ai rédigé les trois articles sur les nouveaux produits. Ils sont en ligne. Ça m’a pris du temps et j’ai presque fini de …
–Où est l’annonce de la promotion que vous deviez mettre en page d’accueil, l’interrompit Madame Colas ?
– Ce n’est pas encore fini, mais presque et je vais …
– Taisez-vous jeune fille ! Mon opinion est faite. Je vous avais pourtant prévenu que je vérifierai votre travail, mais votre flemme est insondable. Vous allez être punie ! »
Madame Colas glissa ses deux mains sous le bas de la robe de Magali. Elle descendit le fin collant qui recouvrait les jambes de Magali, puis la culotte prit le même chemin.
« Relevez le bas de votre robe afin qu’il soit clair pour tout le monde que la petite fille fainéante que vous êtes va prendre une bonne fessée. »
Magali obéit aussi vite qu’elle le put. Ce n’était pas le moment d’indisposer encore plus Madame Colas. Les conséquences pour ses fesses pourraient en être catastrophiques.
« Patientez comme cela le temps que je m’occupe de votre collègue. »
Elle se tourna vers moi. Je me sentis rougir aussitôt. Je baissais les yeux.
« Regardez-moi, Daniel ! Je vois que vous avez honte de ce que vous avez fait … non, plutôt de ce que vous n’avez pas fait durant la journée de vendredi. »
J’ai relevé la tête et croisé le regard de ma cheffe de bureau. J’en suis devenu encore plus rouge.
« J’ai bien vu votre premier rapport sur l’état des ventes du mois. Je vous signale que vous y avez laissé deux incohérences évidentes, dont une qui est exactement la même que celle que vous aviez faite le mois dernier. Vous ne vous êtes pas relu ou alors avec si peu de soin que cela ne vaut pas la peine d’en parler. Pourtant, je vous l’avais expressément ordonné.
– Mais j’ai relu Madame.
– C’est donc que vous n’avez pas été attentif à ce que vous faites. »
Il est vrai que le spectacle de la fessée de Magali qui se préparait avait absorbé mon attention bien plus que les chiffres du rapport de vente.
« Vous allez me corrigez cela. J’ai entouré de rouge les deux chiffres manifestement faux. »
Je tendis la main pour prendre le document que Madame Colas avait posé sur son bureau et sur lequel elle pointait un index accusateur.
« Pas si vite. Ce sera après votre fessée. Mais auparavant, j’aimerais savoir où le récapitulatif des commandes du mois dernier. Je ne l’ai pas trouvé. »
Je l’avais à peine commencé. Catherine m’avait arrêté dans mon élan et le long temps passé au coin ne m’avait pas permis d’y revenir. J’hésitais une seconde à la dénoncer, mais je me rappelais juste à temps comment avaient fini les précédentes tentatives de Magali, allant dans ce sens.
« Je ne l’ai pas fini, Madame.
– Figurez-vous que je m’en doutais. Vous êtes au moins tout autant paresseux que votre collègue. De plus je trouve inadmissible que vous ayez profité tous les deux d’une journée où ni Madame Raveneau ni moi étions présentes pour vous livrer à votre fainéantise. Catherine et Béatrice, bien qu’elles n’en disent rien, devaient être outrées. Ces enfantillages doivent cesser et je vais vous l’expliquer on ne peut plus clairement. »
Madame Colas me prit la taille du pantalon et elle me rapprocha d’elle. Elle avait maintenant l’habitude de déboucler ma ceinture et de baisser mon pantalon. Ce n’était certainement pas moi qui allais y faire obstacle. Je ne m’opposais pas plus quand elle baissa ma culotte. Magali et moi étions maintenant prêts à recevoir notre fessée.
J’étais le plus près. C’est moi que Madame Colas bascula en premier en travers de ses genoux. Je crispais les fesses, mais c’était inutile. En une dizaine de claques bien senties, Madame Colas maîtrisait mes réactions. Elle me laissait impuissant sur ses genoux tandis que sa main continuait à s’abattre sur ses fesses. Elle atteignit rapidement mon point de rupture, d’autant plus facilement que je ne cherchais pas à résister à la punition qu’elle me donnait.
La fessée fut interrompue brièvement par l’arrivée de la directrice.
« Deux punis, si tôt le matin ! Vous vous préparez tous les deux une journée difficile. Qu’ont-ils fait encore ? »
En quelques mots, Madame Colas lui fit part de de son mécontentement au sujet de notre travail du vendredi précédent.
« Vous faites bien Madame Colas. Ces deux-là ont bien mérité une bonne fessée. Continuez ! »
Et elle disparut dans son bureau.
« Nous n’en avions pas fini tous les deux !
– Aïe ! »
La claque qu’elle m’avait donnée me sembla bien plus forte que les précédentes. Elle continua à ce même niveau pendant encore plusieurs minutes. Je ne savais plus ni depuis combien de temps j’étais là, ni ce qui m’y avait mené. J’espérais, à chaque fois, que cette claque serait la dernière, mais il y en avait toujours une de plus.
« Laisse la place à ta petite collègue, elle doit être impatiente de recevoir la fessée dont elle a besoin ! »
Madame Colas dut m’aider à me relever. Je ne réagissais que très lentement à ses ordres. Faute de consigne plus précise, je restais debout à côté de son bureau pendant que Magali prenait la place qui avait été la mienne pendant de trop longs moments. Je ne laissais pas ma chemise couvrir mes fesses. Ma punition n’était probablement pas terminée et Madame Colas ne m’y avait pas autorisé.
La brûlure qui émanait de mes fesses accapara toute mon attention durant plusieurs minutes et mes yeux brouillés de larmes me coupaient de tout ce qui m’entourait. Je pouvais me recroqueviller sur la cuisson de mon postérieur et la honte d’être, une nouvelle fois, un garçon puni d’une façon dont son âge aurait dû le garantir. J’avais vivement le sentiment que mon comportement avant, pendant et après la fessée justifiait son administration.

Je repris pied avec la réalité quand les cris de Magali montèrent dans l’aigu, plus haut que je l’aurais cru possible. A travers mes larmes, je l’aperçus battant, en vain, l’air de ses pieds. Ses fesses avaient pris une couleur carmin plus sombre au milieu avec un dégradé qui allait jusqu’au rosé normal de sa peau, à la périphérie. La main de Madame Colas déposait à chaque fois une marque plus sombre qui se diffusait lentement aux alentours avant qu’une nouvelle claque ne colorie encore un peu plus l’espace placé tout à côté, donnant une teinte tendant à l’uniformité et  qui allait en se fonçant.
Magali agitait sa tête dans tous les sens. Elle avait planté ses dents dans le gras de l’index de son bras libre. Elle réussissait ainsi à maintenir sa main hors du trajet de celle de Madame Colas. Bien que sa bouche en fût partiellement obstruée, cela ne retenait pas les cris qu’elle poussait. Tout juste si cela en limitait le niveau sonore.
Tous les muscles de son corps étaient tendus et chaque claque déclenchait une vague de crispation qui s’échappait vers sa tête d’un côté et ses pieds de l’autre. Qui aurait pu douter, à ce spectacle, que Magali ferait tout son possible pour ne plus se retrouver en pareille position ? Madame Colas jugea également que la leçon avait été apprise.
« J’espère que tu y réfléchiras à deux fois, quand il te prendra l’idée de paresser au lieu de travailler. Je suis prête à recommencer dès que tu en auras besoin ! »
Elle remit sur ses pieds la jeune fille qui gisait sur ses genoux. Elle dut la tenir par le bras, le temps que Magali cesse de danser d’un pied sur l’autre et reprenne la maîtrise de son équilibre. Il lui fallut gronder un peu.
« Magali, cesse ces simagrées ! »
Cette admonestation calma la jeune fille en un temps record. Désobéir à Madame Colas alors que sa culotte était toujours autour de ses genoux, c’était prendre un risque démesuré. Les pleurs, les reniflements et les gémissements ne cessèrent pas pour autant.
« Reculottez-vous, tous les deux, et mettez-vous au travail. Bien entendu, vous serez en retenue ce soir pour rattraper le travail que vous n’avez pas fait vendredi, ce qui n’ira pas sans une nouvelle fessée, une piqure de rappel en quelque sorte. Vous vous en expliquerez avec vos parents ce soir. Enfin, pour vous, Daniel, ce sera avec Madame Tolbois. »
Madame Colas ne nous laissa pas de répit. Il fallut se remettre au travail sur le champ, malgré le frottement des fesses sur le fauteuil de bureau, ce qui en accentuait la cuisson. La dizaine de secondes que je crus bon de soustraire à mon temps de travail pour passer une main sur mes fesses endolories m’attira l’attention de ma cheffe de bureau.
« N’avez-vous rien de mieux à faire, Josip, que de frotter vos fesses. Je peux vous y aider, si vous le souhaitez. J’utilise une méthode souveraine, mais je crois que vous la connaissez déjà. »
Je reportais mon attention sur mon ordinateur, faisant fi de la cuisson qui me rendait la position assise inconfortable. J’essuyais les larmes de mes yeux d’un revers de manche et je me concentrais sur mon travail. L’exigence de productivité à notre égard, Magali et moi, serait au plus haut toute la journée. Pas le moment de se laisser distraire.

Madame Raveneau sortit de son bureau.
« Pouvez-vous venir dans mon bureau quelques minutes, Madame Colas ? »
Les ennuis commençaient je ne le savais pas encore. Leur entretien se prolongeait mais je n’y prenais par garde. J’étais soulagé de ne plus avoir le regard inquisiteur de ma cheffe de bureau posé en permanence sur moi. C’était un bref répit, croyais-je, jusqu’au moment où levant la tête pur souffler un peu, je fis le tour bureau du regard. Catherine fronça les sourcils.
« Au travail, fit-elle ! »
Je n’insistais pas. Certes, elle ne pouvait me donner une fessée sur le champ, mais elle garderait cette situation dans un coin de sa tête et mes fesses en subiraient les conséquences à la première occasion.
Madame Colas passa sa tête dans la porte du bureau.
« Daniel, nous avons besoin de vous un instant. Venez ! »
Etre convoqué, à l’improvise, dans le bureau de la directrice n’était jamais très bon signe. Je fis mentalement le tour de mes erreurs récentes, mais il n’y avait rien depuis la fessée reçue ce matin. Madame Raveneau voulait-elle y revenir ? J’espérais que non.
Il y avait une chaise libre, mais comme je n’en reçu pas l’autorisation, je restais debout.
« Qu’est-ce qui s’est passé vendredi ? Je viens d’avoir un appel de votre logeuse, Madame Tolbois, elle voulait savoir si l’une de nous vous avait puni ce jour-là. Je lui ai expliqué pourquoi ce n’était pas possible. Pourtant, elle prétend que vous avez dû recevoir une fessée. Qui vous l’a donnée ? »
Mon hésitation fut-elle perceptible ?
« Personne, Madame. Je suis tombé sur les fesses et …
– Oui, je sais. Madame Tolbois m’a dit ce que vous lui avez raconté. Vous avez glissé et vous êtes tombé sur les fesses, vous causant des rougeurs, mais pas de bleus. Etrange.
– Si Madame, je vous assure.
– Et à quelle heure cela s’est-il produit ? »
Je supputais le piège. S’il y avait des témoins, il serait facile de nous confronter et de relever le tissu d’incohérence qui constituait mes déclarations. A quelle heure pouvais-je être seul ?
« C’était en sortant du travail, Madame, en descendant le petit escalier.
– Ah, le soir ! L’une de vos collègues était-elle là ?
– Non, Madame, je ne crois pas.
– Donc personne ne vous a vu.
– Probablement pas. »
Madame Raveneau resta un petit moment silencieuse. Elle échangea un regard avec Madame Colas, puis elle eut un haussement d’épaules.
« Je ne peux m’empêcher de penser que vous nous cachez quelque chose, mais je ne vois pas quoi. Nous en resterons donc là. J’informe Madame Tolbois que vous n’avez pas été fessé vendredi dernier. Par contre, aujourd’hui … »
Un orage écarté, mais un autre se profilait déjà derrière.


Que s'est-il passé dans les épisodes précédents ?

Pour tout comprendre, il faut lire ce qui a précédé :
  • Le premier épisode : chapitre 1 et les vingt-huit qui ont suivi dans la saison une. Pour avoir accès à un épisode particulier, voir la page mes récits
  • L'épisode précédent : chapitre 40
Il y a une suite, le chapitre 42.


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4 commentaires:

  1. Bonjour,
    Toujours plaisant l'enchaînement des fessées et la manière d'en banaliser l'administration comme une pratique punitive tout à fait normale.
    On déculotte et on fesse aussi naturellement qu'on enfile ou enlève son manteau! Belle méthode de discipline.
    Mais quel clin d'oeil, voulu ou non par l'auteur, de voir "Josip" remplacer "Daniel" dans la bouche de madame Colas vers la fin de l'épisode. " N'avez vous rien de mieux à faire..."
    Amusant lapsus d'écriture ?
    Cordialement
    Ramina

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    Réponses
    1. Ramina,
      Je pense que nous devons être dans le champ des lapsus scriptus tout à fait involontaires mais au combien révélateurs. Je ne l'avais pas remarquée.
      J'ai d'abord pensé à rectifier l'erreur. Puis, je me suis dit que c'était une faute intéressante. Je la laisse donc.
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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  2. Josip,
    Oh ce n'est pas une faute... C'est une signature!
    Ramina

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    Réponses
    1. Ramina,
      Vous avez raison. Cela me conforte dans ma décision de laisser le texte tel quel.
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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