mercredi 18 juillet 2018

Ces dames aux mains fermes - chapitre 8


Chapitre 8 /  Duo de fessées sur canapé.


Les deux femmes s’étaient entendues pour augmenter progressivement la sévérité des fessées en les administrant dans un ordre croissant de gravité des motifs de punition. Les fautes les plus lourdes sanctionnées en fin de séance justifiaient la montée en puissance des dernières fessées.  Dans un souci de diversité et pour éviter une accoutumance préjudiciable à l’efficacité des corrections, elles échangeaient les paires de fesses à chaque séquence. Les fesses de ces messieurs passaient alternativement entre les mains de l’une et de l’autre et profitaient ainsi pleinement de la qualité des fessées à travers la diversité des forces de frappe. /

Gladys termina son thé et reposa sa tasse sur la table basse. Elle se sécha délicatement les lèvres avec sa petite serviette. Elle croqua dans un dernier biscuit.

 « Ces petits sablés sont vraiment délicieux... Mais bon, ce n'est pas le sujet, revenons aux punitions de ces messieurs. Nous ne sommes pas encore au bout. Les plans d’action c’est très bien, mais rien ne vaut les « travaux pratiques. Il leur reste encore deux fessées chacun. 
  C’est exactement ça ! dit Patricia avec enthousiasme. Elle aussi tenait les comptes avec précision et ne risquait pas de se tromper.
Gladys prend un plaisir manifeste à faire le point sur le tarif des punitions à appliquer jusqu’à la fin de journée. Les fautes et désobéissances cumulées des deux hommes nécessitent des mesures disciplinaires radicales qui doivent être prises sans faiblesse. Pas question de leur épargner une seule des corrections programmées. La succession de fessées à administrer constituent l’activité physique habituelle du week-end et  permet ainsi de joindre l’utile à l’agréable. 
  Robin, une fessée pour indiscipline et une fessée pour insolence. Edouard encore une tournée de fessées pour les deux pubs qui restent ! On est loin d’en avoir fini avec leurs fesses ! C’est le moment de s’y remettre ma chérie !
– Oui, parce qu'elles sont en train de refroidir !
– Après avoir dépensé autant d’énergie à les faire monter en température, ça serait vraiment dommage. »

Rires des deux femmes qui discutent sans vergogne devant leurs victimes, en attente docile de leur bon vouloir à se remettre en action. Gladys redresse le buste, poitrine en avant, menton levé, sûre de son autorité. Elle tape joyeusement dans ses mains comme pour annoncer une bonne nouvelle.
– Edouard ! Mon chéri, je t’attends, c’est l’heure de la fessée suivante ! »
Il obéit, se lève du tabouret en grimaçant, et avec un petit gémissement craintif, se dirige d’un pas mal assuré vers sa dompteuse. Sûre de son emprise sur lui, elle le regarde s’approcher avec un sourire triomphant.
– Viens là mon trésor bien obéissant. Viens là que je te claque les fesses ! Campagne de sensibilisation aux bienfaits de la discipline conjugale… Un pub, une fessée !! Trois pubs, trois fessées! Et ainsi de suite jusqu’à cuisson intégrale du derrière !
Patricia  jamais en reste pour alimenter la conversation.
 « Et au bout de trois fessée déculottées à la main, une fessée au martinet en supplément gratuit ! » 
Très fière de sa réplique la jeune femme continue sur le même ton avec une de ces idées un peu perverse dont elle est coutumière. Elle interpelle son frère, toujours à se morfondre au coin.
 « Robin, tu te reculottes et tu viens t’allonger sur mes genoux en face de maman. »
Elle s’est positionnée sur l’autre tabouret, devant le canapé, de manière à ce que les deux hommes se retrouvent côte à côte en position inversée. La tête de l’un au ras des fesses de l’autre et inversement. Elle poursuit avec jubilation.
  « Je veux que tu sois aux première loges pour regarder les fesses ton beau-père pendant sa correction. Tu pourras comme ça te faire une idée précise de ce qui attend les tiennes.»
Gladys hoche la tête avec une moue d’approbation.
 « Excellente idée ma chère, j’aime quand tu fais preuve d’imagination ! » 
Les mains toujours sur la tête le garçon se retourne un peu éberlué. Il commence à sentir des crampes dans ses mollets.
 « Tu... tu  veux que je regarde… mais… mais Patricia…!
– J’ai dit, tu viens te mettre en position sur mes genoux! Tu n’as pas à discuter ! Exécution ! »  
Les consignes fusent pour accélérer la préparation des fessées, contraignant les deux hommes à réagir instantanément. L’obéissance c’est au doigt et à l’œil, sans discuter les ordres. Le petit doigt sur l’élastique du slip!
Gladys écarte les jambes et pointe du doigt le sol entre ses talons aiguilles.
« Edouard, qu’est-ce que je viens de te dire? Baisse ton pantalon et viens ici chercher ta fessée ! Dépêche-toi !»
Le ton ferme n’admet aucune réplique. Le mari téméraire s’y essaye quand même.
« Mais chérie, s’il te plaît… J’ai du mal à marcher le pantalon entre les jambes.
– Et alors, c’est ton problème mon cher ? Tu viens chercher ta fessée ! En slip, le pantalon sur les chevilles !
Si ça ne te convient pas tu n’as qu’à marcher à quatre pattes… et à reculons, tiens ! Pour que je me régale à voir onduler ton gros derrière pendant que tu me l’amènes à corriger. » Elle rit de sa plaisanterie en retroussant la manche de son chemisier pour dégager la main qui va fesser.
 Patricia, comme à son habitude surenchérit. Elle tapote négligemment le postérieur de son frère qui vient, sans dire un mot, de le repositionner docilement sur ses cuisses.
 « On a beau les corriger régulièrement, il n’y a rien à faire, il faut toujours qu’ils discutent... à chaque fessée !
– Oui s’en est même agaçant, confirme Gladys. Nous ne sommes pas assez sévères avec eux. Ils mettent encore trop de temps à obéir.
– D’après ce que j’ai cru comprendre de ses derniers exploits nocturnes, Edouard devrait pourtant faire profil bas et ramener ses fesses comme on le lui demande ! N’est-ce pas maman ?
– Je ne te le fais pas dire ma chérie ! »
Edouard est arrivé à destination entre les jambes de sa femme, à quatre pattes et à reculons, les fesses orientées vers elle. Elle s’amuse ouvertement du ridicule de la situation qu‘elle lui impose.
 « Ne reste pas comme ça voyons, tourne toi et mets-toi à genoux... Là ! »

Il s’exécute, fait demi-tour sur les genoux et, pantalon toujours aux chevilles, se traîne entre les cuisses ouvertes de sa femme qui le saisit par les oreilles en lui redressant la tête. 
 « Maintenant regarde-moi dans les yeux et raconte-moi un peu ce que tu as fabriqué cette nuit pour rentrer si tard, dans un état pareil !
Edouard en pleine séance d’humiliation devant sa belle fille et son beau-fils, n’a plus grand chose à voir avec le fringant  cadre supérieur respecté dans son entreprise. Soumis à l’autorité de sa sévère épouse, il doit rendre des comptes sur son comportement avant de venir s’allonger sur ses cuisses, se faire déculotter et recevoir la fessée qu’elle va lui administrer pour ses écarts de conduites. Sans illusion d‘y parvenir, il se fait humble et coopératif pour essayer d’obtenir un semblant de clémence de sa part.
 « Mais...mais chérie, c’était juste une… une  petite sortie avec Stephen pour fêter sa promotion.  Il… il a été nommé …
– Avec Stephen… tiens donc, comme c’est amusant ! Relève Gladys avec un petit sourire narquois. Stephen, le mari d’Edwige ! Le hasard fait bien les choses. Figure toi qu‘ils viennent dîner ici samedi prochain pour une petite soirée fessées entre amies ! Ça risque, en fin de soirée, de chauffer dans les slips, encore plus dur que je le pensais ! »
Patricia d’abord étonnée puis ravie de la nouvelle.
 « Telle qu’on connaît Edwige, l’ami Stephen a dû se faire sacrément rougir les fesses lui aussi !
Edouard essaye un peu naïvement de détourner la conversation qui prend mauvaise tournure.
 «  Ah oui… une, une soirée… Euh… Mais on fêtait sa promo...
– Oui Edouard, on a compris ! Que veux-tu que ça me fasse, sa promo… comme tu dis! Vous avez fait la tournée des Pubs oui, et tu es rentré à une heure du matin complètement ivre! C‘est tout ce que je retiens !
– Mais chérie... C’était l’occasion … Ce n’est que…
– Ce n’est que quoi ? Hein ? Qu’est-ce que tu vas inventer encore. On a attendu monsieur toute la soirée pour le dîner. Voilà ce que c’est ! Tu sais ce que ça va te coûter cette plaisanterie ?
– Euuuh… Ou...oui chérie.
– Oui chérie! Oui chérie ! C’est tout ce que tu sais dire !  Arrête avec tes...  « Oui chérie ! » ridicules !  Tu m’énerves ! Tu as une idée de ce qu’elle va te mettre ta « oui chérie » ?
– Oui cher…
Gladys était sur le point d’exploser. Elle gardait cependant son énergie pour la fessée qu’elle lui préparait.
– Alors, quoi ? Ça coûte quoi un comportement lamentable comme celui-là ?
– Euuuh...Une ...une fessée Gladys… Une fessée… ooooh non, s’il te plaît.
– Une fessée, tu dis !!! Mais tu plaisantes mon pauvre ami ! Une fessée, tu rêves! Tu as fait combien de pub cette nuit ? Hein? Combien ?
Le ton montait progressivement et Gladys commençait à exprimer, avec de plus en plus de véhémence, une colère qui virait à l’exaspération. Edouard planté à genoux devant elle, cligna des yeux en esquissant du bras un geste de protection lorsqu’elle leva la main sur lui comme pour le menacer d’une gifle. Ce qui arrivait rarement, sa main étant naturellement disposée à claquer sur ses fesses plutôt que sur ses joues.
 « Alors, les pubs... combien?  
– Trois… Euh, quatre … non, trois ! 
– Alors, trois ou quatre ? Attention à tes fesses Edouard, tu es en train de me mentir ! Ça va encore claquer ! 
– Trois, Gladys... trois ! Oui c’est ça trois!
– Oui et bien moi, je dirais quatre !  Alors... quatre Pub, quatre fessées ! Et une cinquième en prime pour avoir essayé de mentir !
Edouard s’effondre en gémissant aux pieds de Gladys qui le toise du regard, indifférente à sa détresse.
 « Inutile de pleurnicher. J’ai dit cinq fessées, que tu as toutes méritées !  Et encore... je suis pour la punition équitable. Tu en as déjà pris une cette nuit, plus celle de ce matin. Il en reste donc encore trois d’ici ce soir. Evidemment, trois fessées déculottées !
– Oh non Gladys, pitié pas encore trois fessées... Pas  encore...
Mais bien sûr que si ! Trois fessées ! Une que je vais t’administrer tout de suite, et la suivante par Patricia qui va certainement se faire un plaisir de t’en flanquer une sévère depuis le temps qu’elle en attend l’occasion. ».

Patricia, jamais à court d’idée, surenchérit d‘un ton rigolard.
  « Et estime toi heureux ! On pourrait t’obliger à refaire la tournée avec nous et te flanquer une fessée déculottée en public dans chaque pub ! »
Edouard se plie en deux vers le sol en suppliant de plus belle. Il se tient les fesses à pleines mains en prévision de ce qui les attend
 « Je t’en prie Gladys, ne soit pas si sévère… Pas Patricia ! Pas maintenant ... Elle va vouloir… »
Patricia l’interrompt aussitôt.
 « Vouloir quoi ? Ah tu as peur de la grosse déculottée, bien cuisante que je vais te mettre? Tu as raison, je vais me gêner ! D’ailleurs, maman est bien patiente avec toi. Ça ne tiendrait qu’à moi, cela ferait déjà longtemps que tes fesses seraient en train de claquer sur mes genoux!
Gladys lança un regard un peu agacé à sa fille.
 « Patricia, enfin! Je comprends et j’approuve ton empressement à fesser, c’est très bien, mais tu en oublies trop vite l’aspect éducatif. »
La jeune femme fait son impatiente et se dandine sur ses talons aiguille en levant les yeux au ciel. Imperturbable, le regard sévère Gladys continue son petit sermon sur un ton professoral.
 « Chaque fessée administrée doit être justifiée quelle qu‘en soit la raison. Même une fessée d’entretien sans motif particulier. Il faut prendre le temps de la faire commenter par l‘intéressé pour qu‘il comprenne bien pourquoi il est corrigé. L‘objectif est de lui faire accepter sa fessée et de l‘inciter à ne pas recommencer les même erreurs.
– Oui maman, je sais, mais bon, là il a compris depuis longtemps !
– Ce n‘est pas une raison, enchaîne Gladys. Mais trêve de discours ! Pour terminer en beauté ce Week-End en famille, nous procéderons à l’inauguration du nouveau martinet sur ses fesses... après dîner.
– Excellent programme ! Merci maman ! »
S’exclame Patricia en applaudissant sur les fesses de son frère toujours en attente allongé sur ses genoux. Il réagit en gémissant faiblement. De fait il ne réagit plus trop, soumis à sa condition entre les mains de sa mère et sa sœur.

Gladys lâche enfin les oreilles d’Edouard et retrousse sa jupe sur ses cuisses jusqu’à la lisière noire de ses bas nylon.  Elle se cale dans le coussin du canapé pour avoir une bonne assise et fesser à l’aise. 
 « Pousse un peu la table pour faire de la place et viens te mettre en position sur mes genoux pour que je te déculotte. Attention à ne rien renverser, sinon c’est la fessée supplémentaire !
Edouard s’exécute avec précaution, il s’allonge docilement sur les cuisses de son épouse et, bien dressé, arrondit ses fesses, tendues à sa disposition, pour qu’elle les déculotte. Ce qu’elle fait avec dextérité en un habile un tour de main. Le bruissement de l’élastique du slip le long des cuisses suivi du claquement sec sur la peau annonce l’arrivée de la fessée.
« Patricia, regarde! C’est formidable comme ses fesses récupèrent vite ! Aucune trace de la fessée de ce matin! Pourtant je lui en ai mis une sévère !  
– L’habitude des fessées maman, l’habitude !  Plutôt une bonne nouvelle et raison de plus pour ne pas lésiner sur les suivantes ! »


fessé sur les genoux


– C’est exactement ce que je pense ma chérie. Alors pas d’hésitation ! »
Gladys lève haut la main pour prendre de d’élan et donner le maximum de vitesse à sa main. Edouard la sent arriver. Il frémit en couinant, tremblant sur les forte cuisses gainées de fin nylon, et la danse des fesses commence, bien cadencée sous le rythme régulier des claquées.
Patricia s’est placée juste en face de sa mère, le corps de Robin allongé sur ses genoux, la tête à quelques centimètres des fesses claquantes de son beau-père. La chaleur irradiante du postérieur tressautant lui monte au visage.
« Regarde bien comment maman s’y prend pour chauffer les fesses d’Edouard. »
Dit-elle au malheureux en lui maintenant la tête près du fessier en pénitence. Le visage grimaçant, écroulé, bras et jambe ballants sur les cuisses de sa sœur il se met à pleurnicher, les oreilles éclatées sous les rafales qui retentissent sur le fessier déculotté de son beau-père.
Consciente de l’humiliation qu’elle lui inflige, Patricia continue avec un parfait cynisme.
 « Tu entends comme maman les fait bien claquer ses fesses! Tout à l’heure, ce sont les tiennes qui vont claquer comme ça sur ses genoux ! Tu vois, c’est bien, ça te donne une idée de ce qui t’attend. »
Robin n’a pas besoin de tendre l’oreille il est au première loge pour s’en prendre plein la tête avec, en complément de service la puissante odeur des fesses chaudes qui montent progressivement en cuisson sous les claques.
. 
 Ça ne fait pas dix minutes que la fessée a atteint son régime de croisière et s’accomplit sous l’impulsion de Madame, survoltée, que la paire de fesses qu’elle fait sévèrement rebondir sur ses cuisses, est déjà en mode feu continu. Le pauvre Edouard soumis à la fureur fessante de sa femme  commence à émettre quelques gémissements lorsque celle-ci s’arrête soudain. Il n’en croit pas ses fesses, en pleine montée de cuisson, qui continuent à tressaillir sous l’effet de la dernière salve.

Impossible que cette fessée soit si brève, ce n‘est pas le genre de la sévère épouse plutôt portée sur les grosses déculottées longue distance. Il n’ose pas se redresser et, prudent, reste en position, fesses tendues, dans l‘attente fébrile des consignes. Bien que sur la défensive, il sent malgré lui son corps malmené et tendu, se relâcher lentement sur les cuisses de sa femme. L’attente ne  dure pas longtemps.
 « Relève-toi ! Et reculotte-toi! ordonne-t-elle en le poussant en dehors de ses genoux. Tu remontes seulement ton slip !
Devant son regard ahuri elle précise avec un petit sourire désinvolte.
 « Oui, que le slip, pour le plaisir de te redéculotter par la suite. J’adore déculotter un derrière avant une fessée! 
 – Tu arrêtes déjà maman ? S’interroge Patricia qui ne comprend pas non plus la brusque interruption de programme. Ça fait à peine dix minutes que tu fesses !
– Mais bien sûr que non ma chérie, j'ai simplement décidé de changer de position. Je vais le fesser au tabouret ! »

Edouard,  au sol, à moitié étourdi, les chevilles entravées par son pantalon et son slip tendu en travers de ses cuisses, doit s’y reprendre à plusieurs fois avant de se redresser. Il y arrive péniblement et se reculotte avec précaution, en grimaçant, sous les sarcasmes de son épouse que ses mouvements ridicules amusent beaucoup.
 « Et bien tendu sur les fesses, le slip ! Pour ne rien perdre de la cuisson de la fessée pendant le changement de position ! 
– Oui chérie … Bien tendu. »
 Comme à son habitude, la forte femme n’y est pas allée de main morte. Les fesses d’Edouard sont déjà enluminées d’un resplendissant rouge écarlate largement réparti sur toute la surface, en témoignage de la puissante  fessée pourtant interrompue.
Elle le saisit par l’oreille et le tire d’autorité vers le deuxième tabouret placé au milieu du salon. Le malheureux, courbé en deux, les chevilles empêtrées dans son pantalon, peine à se déplacer. Gladys n’en a cure et le traîne de force sur le lieu de sa nouvelle fessée. Beaucoup plus préoccupé par la cuisson de ses fesses et l’imminence de la suite de sa correction, il ne prête que peu d’attention aux explications du changement de stratégie de l’exigeante épouse qui s‘adresse en fait à sa fille.
« Finalement le canapé est trop mou, et les coussins trop souples pour administrer des grosses fessées. Commente –t-elle. C’est agréable si on veut s’amuser à faire rebondir les fesses sous la main, mais pas très efficace quand on veut fesser dur. Elles sautent un peu trop haut et dans tous les sens dès qu’on commence à taper fort. Il faut sans cesse les remettre en place et cela devient difficile de garder un rythme de fessée régulier. Tu es d’accord avec moi  Edouard ? 
– Ça m‘étonnerait qu‘il te réponde ! dit Patricia.
Elle tient Robin toujours affalé sur ses genoux en position fessée, en pivotant  sur son tabouret pour suivre le déplacement de sa mère. Elle poursuit avec un petit rire sarcastique.
 «  Il a l’air préoccupé par autre chose le pauvre homme, je me demande bien par quoi ! »
Evidemment, pas de réponse. Edouard plongé dans l’angoisse a compris que sa fessée n’est pas terminée.

 La mère et la fille ne se contentent pas de fesser, elles manient l’ironie cinglante et le sarcasme humiliant aussi bien que le martinet, le battoir ou la ceinture en cuir.
Gladys s’installe posément sur le siège, et, d’un geste naturel et pour ne pas la froisser, retrousse sa jupe jusqu’aux jarretelles, impeccablement tendues sur ses belles cuisses gainées de bas nylon noir. 
 « J’ai bien fait de faire fixer les pieds au sol de celui-là. Dit-elle en désignant le tabouret sur lequel elle vient de s’asseoir. En réalité Gladys ne s’assied pas vraiment. Elle pose lentement puis écrase son puissant fessier sur l’assise qu’elle fait littéralement disparaître en dessous, s’assurant ainsi une position parfaitement stable pour fesser à l’aise. Tortillant des hanches, sans lâcher l’oreille de sa victime pliée en deux à côté d’elle, elle prend le temps le temps de bien caler son opulent postérieur.

« Ah, c’est beaucoup mieux ! Pas de doute, ce genre de siège est bien mieux adapté que le canapé pour fesser ferme. Solide, stable, les fesses à corriger restent toujours bien en place et on peut taper aussi fort que l’on veut sans risque de chute ou changement de position non désiré. Et bien  Edouard je ne t'entends plus,… Qui ne dit rien consent... C‘est cela ? » 
Debout à côté d’elle Edouard n’en mène pas large et attend en tremblant la suite de sa deuxième fessée qui n’en finit pas. Toute cette mise en scène lui semble interminable et ne fait qu’attiser l’angoisse de la punition, savamment orchestrée par l’intransigeante épouse.
Elle le tire par l’oreille et le force à se pencher, puis à se positionner à nouveau, plié en deux sur ses genoux. Le bois du tabouret gémit sous le pesant fessier de la plantureuse femme, encore alourdi par le poids des deux corps. Son large derrière solidement rebondi lui offre une confortable assise pour fesser sans retenue, en maîtrisant les furieuses ruades des paire de fesses quelle corrige.

Après un ralentissement de service pendant la semaine, suite à l’absence de Robin en complément de corrections  à l’institut, le tabouret à fessée retrouve, son rythme habituel d‘utilisation. Tel que les choses se présentent, il risque de vibrer souvent  d’ici à la fin de la journée sous une abondante production de fessées et déculottées en tous genres.  Ces messieurs ont des comptes à rendre aux deux femmes de la maison qui n’ont aucunement l’intention de se priver du plaisir de leur claquer les fesses autant de fois que nécessaire, avec toute la sévérité que requière leur indiscipline chronique.

Gladys toujours à la manœuvre.
- « Tu sais, mon ami, que je suis exigeante sur la présentation des fesses que je corrige.
– Oui … oui Gladys... je sais… »


la culotte baissée


Répond aussitôt le mari, conscient dans sa position et même s’il n’en a pas envie, d’avoir intérêt à répondre correctement aux questions ou aux commentaires de sa femme. Il a la tête ailleurs, mais les fesses bien présentes, en exposition, sur ses cuisses.
– « Tu sais aussi que j’ai l ‘habitude de fesser fort.
– Oui chérie, je sais aussi que tu fesses fort.
– Alors, applique toi à bien me présenter tes fesses et les tenir en position. Je déteste être obligée d’interrompre une fessée en cours pour les remettre en place. »


Avec les dessins originaux de l'auteur !


Ne perdez pas le fil du feuilleton ! Pour ceux qui se seraient égarés ...

Le début : chapitre 1
et l'épisode précédent : chapitre 7

Il y a une suite, le chapitre 9

Ramina est l'auteur de nombreux commentaires sur ce blog.

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4 commentaires:

  1. Bonjour Ramina,

    Excellent récit ! Illustrations très réalistes. On entendrait presque le crépitements des claques.
    Ces dames sont largement à la hauteur de leur réputation qui n'est plus à faire. Leurs deux chérubins sont aux anges... Bien que leurs postérieurs, ronds comme des baudruches, soient aussi écarlates que les feux de l'Enfer. Rires.
    La fessée, et déculottée, et au martinet ? Edouard le flatteur ne s'en remettra pas. Le pauvre. Et Dame Edwige qui vient diner dans quelques jours.
    Ca promet une soirée des plus cuisantes. C'est certain. Et comme je le dit souvent : ça va chauffeeeeeeer !!!
    Amicalement votre.
    Peter'.

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  2. Bonjour Peter Pan,
    Et bien si on entend les claques crépiter c'est que les fessées sont efficaces! Je transmets à ces dames!
    Les derrières en "baudruches" de ce messieurs ne chôment pas. Gladys et Patricia savent faire ce qu'il faut pour les maintenir en activité. C'est la rançon de la désobéissance. Et ce n'est pas Dame Edwige qui risque de ralentir le rythme des fessées.
    Il n'est pas dit, d'ailleurs qu'elle ne fasse pas une apparition plus tôt que prévu... Allez savoir... ( rires complices ) Tout est possible chez les Tapefort !

    C'est vrai que les illustrations sont plus proches d'un certain réalisme ( relatif tout de même ) que de la joyeuse fantaisie des vôtre. Bonne complémentarité qui offre aux lecteurs une diversité d'illustrations et personnages sur le thème commun de la fessée.

    D'ailleurs, aurions nous droit à une nouvelle fessée déculottée de la plantureuse Cousine Valérie qui a déjà bien marqué son territoire sur les fesses de Gérôme ?
    Oula la, ça commence à chauffer dur de tous les côtés, et personne ne s'en plaindra... sauf les victimes !
    Cordialement
    Ramina.

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  3. Bonsoir Ramina,

    On attend avec impatience "la soirée entre filles". Rires. Prévoir l'Arnigel !!!
    Oui, nos deux mondes se complètent.
    En effet, il n'est pas impossible que la belle Valérie fasse encore parler d'elle... Gérome est incorrigible. Il n'a pas le choix: la fessée de la cousine ou bien, elle raconte tout à sa tante..
    Alors là :c'est direct le retour au bercail, fini les délicieuses glaces à l'italienne. Et hop, les devoirs de vacances !!! Noooon, pas çaaaa ! Cafteuse, va ! Puf ! 'méchante la cousine et... et moche en plus !! 'Me vengerai !!!
    Amicalement. Peter.
    (En vacances. Mais j'y réfléchirais au retour.)

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  4. " de ceS messieurs "... " des votreS " ... Oula, la!!!

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