Chapitre 8 / Duo de fessées sur canapé.
Les
deux femmes s’étaient entendues pour augmenter progressivement la sévérité des
fessées en les administrant dans un ordre croissant de gravité des motifs de
punition. Les fautes les plus lourdes sanctionnées en fin de séance
justifiaient la montée en puissance des dernières fessées. Dans un souci de diversité et pour éviter une
accoutumance préjudiciable à l’efficacité des corrections, elles échangeaient
les paires de fesses à chaque séquence. Les fesses de ces messieurs passaient
alternativement entre les mains de l’une et de l’autre et profitaient ainsi
pleinement de la qualité des fessées à travers la diversité des forces de
frappe. /
Gladys
termina son thé et reposa sa tasse sur la table basse. Elle se sécha
délicatement les lèvres avec sa petite serviette. Elle croqua dans un dernier
biscuit.
« Ces petits sablés sont vraiment
délicieux... Mais bon, ce n'est pas le sujet, revenons aux punitions de ces
messieurs. Nous ne sommes pas encore au bout. Les plans d’action c’est très
bien, mais rien ne vaut les « travaux pratiques. Il leur reste encore deux
fessées chacun.
– C’est exactement ça ! dit Patricia avec
enthousiasme. Elle aussi tenait les comptes avec précision et ne risquait pas
de se tromper.
Gladys
prend un plaisir manifeste à faire le point sur le tarif des punitions à
appliquer jusqu’à la fin de journée. Les fautes et désobéissances cumulées des
deux hommes nécessitent des mesures disciplinaires radicales qui doivent être
prises sans faiblesse. Pas question de leur épargner une seule des corrections
programmées. La succession de fessées à administrer constituent l’activité
physique habituelle du week-end et
permet ainsi de joindre l’utile à l’agréable.
– Robin, une fessée pour indiscipline et une
fessée pour insolence. Edouard encore une tournée de fessées pour les deux pubs
qui restent ! On est loin d’en avoir fini avec leurs fesses ! C’est le moment
de s’y remettre ma chérie !
–
Oui, parce qu'elles sont en train de refroidir !
–
Après avoir dépensé autant d’énergie à les faire monter en température, ça
serait vraiment dommage. »
Rires
des deux femmes qui discutent sans vergogne devant leurs victimes, en attente
docile de leur bon vouloir à se remettre en action. Gladys redresse le buste,
poitrine en avant, menton levé, sûre de son autorité. Elle tape joyeusement
dans ses mains comme pour annoncer une bonne nouvelle.
–
Edouard ! Mon chéri, je t’attends, c’est l’heure de la fessée suivante ! »
Il
obéit, se lève du tabouret en grimaçant, et avec un petit gémissement craintif,
se dirige d’un pas mal assuré vers sa dompteuse. Sûre de son emprise sur lui,
elle le regarde s’approcher avec un sourire triomphant.
–
Viens là mon trésor bien obéissant. Viens là que je te claque les fesses !
Campagne de sensibilisation aux bienfaits de la discipline conjugale… Un pub,
une fessée !! Trois pubs, trois fessées! Et ainsi de suite jusqu’à cuisson
intégrale du derrière !
Patricia jamais en reste pour alimenter la
conversation.
« Et au bout de trois fessée déculottées
à la main, une fessée au martinet en supplément gratuit ! »
Très
fière de sa réplique la jeune femme continue sur le même ton avec une de ces
idées un peu perverse dont elle est coutumière. Elle interpelle son frère,
toujours à se morfondre au coin.
« Robin, tu te reculottes et tu viens
t’allonger sur mes genoux en face de maman. »
Elle
s’est positionnée sur l’autre tabouret, devant le canapé, de manière à ce que
les deux hommes se retrouvent côte à côte en position inversée. La tête de l’un
au ras des fesses de l’autre et inversement. Elle poursuit avec jubilation.
« Je veux que tu sois aux première loges
pour regarder les fesses ton beau-père pendant sa correction. Tu pourras comme
ça te faire une idée précise de ce qui attend les tiennes.»
Gladys
hoche la tête avec une moue d’approbation.
« Excellente idée ma chère, j’aime quand
tu fais preuve d’imagination ! »
Les
mains toujours sur la tête le garçon se retourne un peu éberlué. Il commence à
sentir des crampes dans ses mollets.
« Tu... tu veux que je regarde… mais… mais Patricia…!
–
J’ai dit, tu viens te mettre en position sur mes genoux! Tu n’as pas à discuter
! Exécution ! »
Les
consignes fusent pour accélérer la préparation des fessées, contraignant les
deux hommes à réagir instantanément. L’obéissance c’est au doigt et à l’œil,
sans discuter les ordres. Le petit doigt sur l’élastique du slip!
Gladys
écarte les jambes et pointe du doigt le sol entre ses talons aiguilles.
« Edouard,
qu’est-ce que je viens de te dire? Baisse ton pantalon et viens ici chercher ta
fessée ! Dépêche-toi !»
Le
ton ferme n’admet aucune réplique. Le mari téméraire s’y essaye quand même.
« Mais
chérie, s’il te plaît… J’ai du mal à marcher le pantalon entre les jambes.
–
Et alors, c’est ton problème mon cher ? Tu viens chercher ta fessée ! En slip,
le pantalon sur les chevilles !
Si
ça ne te convient pas tu n’as qu’à marcher à quatre pattes… et à reculons,
tiens ! Pour que je me régale à voir onduler ton gros derrière pendant que tu
me l’amènes à corriger. » Elle rit de sa plaisanterie en retroussant la
manche de son chemisier pour dégager la main qui va fesser.
Patricia, comme à son habitude surenchérit.
Elle tapote négligemment le postérieur de son frère qui vient, sans dire un
mot, de le repositionner docilement sur ses cuisses.
« On a beau les corriger régulièrement,
il n’y a rien à faire, il faut toujours qu’ils discutent... à chaque fessée !
–
Oui s’en est même agaçant, confirme Gladys. Nous ne sommes pas assez sévères
avec eux. Ils mettent encore trop de temps à obéir.
–
D’après ce que j’ai cru comprendre de ses derniers exploits nocturnes, Edouard
devrait pourtant faire profil bas et ramener ses fesses comme on le lui demande
! N’est-ce pas maman ?
– Je
ne te le fais pas dire ma chérie ! »
Edouard
est arrivé à destination entre les jambes de sa femme, à quatre pattes et à
reculons, les fesses orientées vers elle. Elle s’amuse ouvertement du ridicule
de la situation qu‘elle lui impose.
« Ne reste pas comme ça voyons, tourne toi et
mets-toi à genoux... Là ! »
Il
s’exécute, fait demi-tour sur les genoux et, pantalon toujours aux chevilles,
se traîne entre les cuisses ouvertes de sa femme qui le saisit par les oreilles
en lui redressant la tête.
« Maintenant regarde-moi dans les yeux et
raconte-moi un peu ce que tu as fabriqué cette nuit pour rentrer si tard,
dans un état pareil !
Edouard
en pleine séance d’humiliation devant sa belle fille et son beau-fils, n’a plus
grand chose à voir avec le fringant
cadre supérieur respecté dans son entreprise. Soumis à l’autorité de sa
sévère épouse, il doit rendre des comptes sur son comportement avant de venir
s’allonger sur ses cuisses, se faire déculotter et recevoir la fessée qu’elle
va lui administrer pour ses écarts de conduites. Sans illusion d‘y parvenir, il
se fait humble et coopératif pour essayer d’obtenir un semblant de clémence de
sa part.
« Mais...mais chérie, c’était juste une…
une petite sortie avec Stephen pour
fêter sa promotion. Il… il a été nommé …
–
Avec Stephen… tiens donc, comme c’est amusant ! Relève Gladys avec un petit
sourire narquois. Stephen, le mari d’Edwige ! Le hasard fait bien les choses.
Figure toi qu‘ils viennent dîner ici samedi prochain pour une petite soirée
fessées entre amies ! Ça risque, en fin de soirée, de chauffer dans les slips,
encore plus dur que je le pensais ! »
Patricia
d’abord étonnée puis ravie de la nouvelle.
« Telle qu’on connaît Edwige, l’ami
Stephen a dû se faire sacrément rougir les fesses lui aussi !
Edouard
essaye un peu naïvement de détourner la conversation qui prend mauvaise
tournure.
« Ah oui… une, une soirée… Euh… Mais on
fêtait sa promo...
–
Oui Edouard, on a compris ! Que veux-tu que ça me fasse, sa promo… comme tu
dis! Vous avez fait la tournée des Pubs oui, et tu es rentré à une heure du
matin complètement ivre! C‘est tout ce que je retiens !
–
Mais chérie... C’était l’occasion … Ce n’est que…
–
Ce n’est que quoi ? Hein ? Qu’est-ce que tu vas inventer encore. On a attendu
monsieur toute la soirée pour le dîner. Voilà ce que c’est ! Tu sais ce que ça
va te coûter cette plaisanterie ?
–
Euuuh… Ou...oui chérie.
–
Oui chérie! Oui chérie ! C’est tout ce que tu sais dire ! Arrête avec tes... « Oui chérie ! » ridicules ! Tu m’énerves ! Tu as une idée de ce qu’elle
va te mettre ta « oui chérie » ?
–
Oui cher…
Gladys
était sur le point d’exploser. Elle gardait cependant son énergie pour la
fessée qu’elle lui préparait.
–
Alors, quoi ? Ça coûte quoi un comportement lamentable comme celui-là ?
–
Euuuh...Une ...une fessée Gladys… Une fessée… ooooh non, s’il te plaît.
–
Une fessée, tu dis !!! Mais tu plaisantes mon pauvre ami ! Une fessée, tu
rêves! Tu as fait combien de pub cette nuit ? Hein? Combien ?
Le
ton montait progressivement et Gladys commençait à exprimer, avec de plus en
plus de véhémence, une colère qui virait à l’exaspération. Edouard planté à
genoux devant elle, cligna des yeux en esquissant du bras un geste de
protection lorsqu’elle leva la main sur lui comme pour le menacer d’une gifle.
Ce qui arrivait rarement, sa main étant naturellement disposée à claquer sur
ses fesses plutôt que sur ses joues.
« Alors, les pubs... combien?
–
Trois… Euh, quatre … non, trois !
–
Alors, trois ou quatre ? Attention à tes fesses Edouard, tu es en train de me
mentir ! Ça va encore claquer !
–
Trois, Gladys... trois ! Oui c’est ça trois!
–
Oui et bien moi, je dirais quatre !
Alors... quatre Pub, quatre fessées ! Et une cinquième en prime pour
avoir essayé de mentir !
Edouard
s’effondre en gémissant aux pieds de Gladys qui le toise du regard,
indifférente à sa détresse.
« Inutile de pleurnicher. J’ai dit cinq
fessées, que tu as toutes méritées ! Et
encore... je suis pour la punition équitable. Tu en as déjà pris une cette
nuit, plus celle de ce matin. Il en reste donc encore trois d’ici ce soir.
Evidemment, trois fessées déculottées !
–
Oh non Gladys, pitié pas encore trois fessées... Pas encore...
Mais
bien sûr que si ! Trois fessées ! Une que je vais t’administrer tout de suite,
et la suivante par Patricia qui va certainement se faire un plaisir de t’en
flanquer une sévère depuis le temps qu’elle en attend l’occasion. ».
Patricia,
jamais à court d’idée, surenchérit d‘un ton rigolard.
« Et estime toi heureux ! On
pourrait t’obliger à refaire la tournée avec nous et te flanquer une fessée
déculottée en public dans chaque pub ! »
Edouard
se plie en deux vers le sol en suppliant de plus belle. Il se tient les fesses
à pleines mains en prévision de ce qui les attend
« Je t’en prie Gladys, ne soit pas si
sévère… Pas Patricia ! Pas maintenant ... Elle va vouloir… »
Patricia
l’interrompt aussitôt.
« Vouloir quoi ? Ah tu as peur de la
grosse déculottée, bien cuisante que je vais te mettre? Tu as raison, je vais
me gêner ! D’ailleurs, maman est bien patiente avec toi. Ça ne tiendrait qu’à
moi, cela ferait déjà longtemps que tes fesses seraient en train de claquer sur
mes genoux!
Gladys
lança un regard un peu agacé à sa fille.
« Patricia, enfin! Je comprends et
j’approuve ton empressement à fesser, c’est très bien, mais tu en oublies trop
vite l’aspect éducatif. »
La
jeune femme fait son impatiente et se dandine sur ses talons aiguille en levant
les yeux au ciel. Imperturbable, le regard sévère Gladys continue son petit
sermon sur un ton professoral.
« Chaque fessée administrée doit être
justifiée quelle qu‘en soit la raison. Même une fessée d’entretien sans motif
particulier. Il faut prendre le temps de la faire commenter par l‘intéressé
pour qu‘il comprenne bien pourquoi il est corrigé. L‘objectif est de lui faire
accepter sa fessée et de l‘inciter à ne pas recommencer les même erreurs.
–
Oui maman, je sais, mais bon, là il a compris depuis longtemps !
–
Ce n‘est pas une raison, enchaîne Gladys. Mais trêve de discours ! Pour
terminer en beauté ce Week-End en famille, nous procéderons à l’inauguration du
nouveau martinet sur ses fesses... après dîner.
–
Excellent programme ! Merci maman ! »
S’exclame
Patricia en applaudissant sur les fesses de son frère toujours en attente
allongé sur ses genoux. Il réagit en gémissant faiblement. De fait il ne réagit
plus trop, soumis à sa condition entre les mains de sa mère et sa sœur.
Gladys
lâche enfin les oreilles d’Edouard et retrousse sa jupe sur ses cuisses jusqu’à
la lisière noire de ses bas nylon. Elle
se cale dans le coussin du canapé pour avoir une bonne assise et fesser à
l’aise.
« Pousse un peu la table pour faire de la
place et viens te mettre en position sur mes genoux pour que je te déculotte.
Attention à ne rien renverser, sinon c’est la fessée supplémentaire !
Edouard
s’exécute avec précaution, il s’allonge docilement sur les cuisses de son
épouse et, bien dressé, arrondit ses fesses, tendues à sa disposition, pour
qu’elle les déculotte. Ce qu’elle fait avec dextérité en un habile un tour de
main. Le bruissement de l’élastique du slip le long des cuisses suivi du
claquement sec sur la peau annonce l’arrivée de la fessée.
«
Patricia, regarde! C’est formidable comme ses fesses récupèrent vite ! Aucune
trace de la fessée de ce matin! Pourtant je lui en ai mis une sévère !
–
L’habitude des fessées maman, l’habitude !
Plutôt une bonne nouvelle et raison de plus pour ne pas lésiner sur les
suivantes ! »
–
C’est exactement ce que je pense ma chérie. Alors pas d’hésitation ! »
Gladys
lève haut la main pour prendre de d’élan et donner le maximum de vitesse à sa
main. Edouard la sent arriver. Il frémit en couinant, tremblant sur les forte
cuisses gainées de fin nylon, et la danse des fesses commence, bien cadencée
sous le rythme régulier des claquées.
Patricia
s’est placée juste en face de sa mère, le corps de Robin allongé sur ses
genoux, la tête à quelques centimètres des fesses claquantes de son beau-père.
La chaleur irradiante du postérieur tressautant lui monte au visage.
« Regarde
bien comment maman s’y prend pour chauffer les fesses d’Edouard. »
Dit-elle
au malheureux en lui maintenant la tête près du fessier en pénitence. Le visage
grimaçant, écroulé, bras et jambe ballants sur les cuisses de sa sœur il se met
à pleurnicher, les oreilles éclatées sous les rafales qui retentissent sur le
fessier déculotté de son beau-père.
Consciente
de l’humiliation qu’elle lui inflige, Patricia continue avec un parfait
cynisme.
« Tu entends comme maman les fait bien
claquer ses fesses! Tout à l’heure, ce sont les tiennes qui vont claquer comme
ça sur ses genoux ! Tu vois, c’est bien, ça te donne une idée de ce qui
t’attend. »
Robin
n’a pas besoin de tendre l’oreille il est au première loge pour s’en prendre
plein la tête avec, en complément de service la puissante odeur des fesses
chaudes qui montent progressivement en cuisson sous les claques.
.
Ça ne fait pas dix minutes que la fessée a
atteint son régime de croisière et s’accomplit sous l’impulsion de Madame,
survoltée, que la paire de fesses qu’elle fait sévèrement rebondir sur ses
cuisses, est déjà en mode feu continu. Le pauvre Edouard soumis à la fureur
fessante de sa femme commence à émettre
quelques gémissements lorsque celle-ci s’arrête soudain. Il n’en croit pas ses
fesses, en pleine montée de cuisson, qui continuent à tressaillir sous
l’effet de la dernière salve.
Impossible
que cette fessée soit si brève, ce n‘est pas le genre de la sévère épouse
plutôt portée sur les grosses déculottées longue distance. Il n’ose pas se
redresser et, prudent, reste en position, fesses tendues, dans l‘attente
fébrile des consignes. Bien que sur la défensive, il sent malgré lui son corps
malmené et tendu, se relâcher lentement sur les cuisses de sa femme. L’attente
ne dure pas longtemps.
« Relève-toi ! Et reculotte-toi! ordonne-t-elle
en le poussant en dehors de ses genoux. Tu remontes seulement ton slip !
Devant
son regard ahuri elle précise avec un petit sourire désinvolte.
« Oui, que le slip, pour le plaisir de te
redéculotter par la suite. J’adore déculotter un derrière avant une
fessée!
– Tu arrêtes déjà maman ? S’interroge Patricia
qui ne comprend pas non plus la brusque interruption de programme. Ça fait à
peine dix minutes que tu fesses !
–
Mais bien sûr que non ma chérie, j'ai simplement décidé de changer de position.
Je vais le fesser au tabouret ! »
Edouard, au sol, à moitié étourdi, les chevilles
entravées par son pantalon et son slip tendu en travers de ses cuisses, doit
s’y reprendre à plusieurs fois avant de se redresser. Il y arrive péniblement
et se reculotte avec précaution, en grimaçant, sous les sarcasmes de son épouse
que ses mouvements ridicules amusent beaucoup.
« Et bien tendu sur les fesses, le slip !
Pour ne rien perdre de la cuisson de la fessée pendant le changement de
position !
–
Oui chérie … Bien tendu. »
Comme à son habitude, la forte femme n’y est
pas allée de main morte. Les fesses d’Edouard sont déjà enluminées d’un
resplendissant rouge écarlate largement réparti sur toute la surface, en
témoignage de la puissante fessée
pourtant interrompue.
Elle
le saisit par l’oreille et le tire d’autorité vers le deuxième tabouret placé
au milieu du salon. Le malheureux, courbé en deux, les chevilles empêtrées dans
son pantalon, peine à se déplacer. Gladys n’en a cure et le traîne de force sur
le lieu de sa nouvelle fessée. Beaucoup plus préoccupé par la cuisson de ses
fesses et l’imminence de la suite de sa correction, il ne prête que peu
d’attention aux explications du changement de stratégie de l’exigeante épouse
qui s‘adresse en fait à sa fille.
« Finalement
le canapé est trop mou, et les coussins trop souples pour administrer des
grosses fessées. Commente –t-elle. C’est agréable si on veut s’amuser à faire
rebondir les fesses sous la main, mais pas très efficace quand on veut fesser
dur. Elles sautent un peu trop haut et dans tous les sens dès qu’on commence à
taper fort. Il faut sans cesse les remettre en place et cela devient difficile
de garder un rythme de fessée régulier. Tu es d’accord avec moi Edouard ?
–
Ça m‘étonnerait qu‘il te réponde ! dit Patricia.
Elle
tient Robin toujours affalé sur ses genoux en position fessée, en pivotant sur son tabouret pour suivre le déplacement
de sa mère. Elle poursuit avec un petit rire sarcastique.
« Il a l’air préoccupé par autre chose
le pauvre homme, je me demande bien par quoi ! »
Evidemment,
pas de réponse. Edouard plongé dans l’angoisse a compris que sa fessée n’est
pas terminée.
La mère et la fille ne se contentent pas de
fesser, elles manient l’ironie cinglante et le sarcasme humiliant aussi bien
que le martinet, le battoir ou la ceinture en cuir.
Gladys
s’installe posément sur le siège, et, d’un geste naturel et pour ne pas la
froisser, retrousse sa jupe jusqu’aux jarretelles, impeccablement tendues sur
ses belles cuisses gainées de bas nylon noir.
« J’ai bien fait de faire fixer les pieds
au sol de celui-là. Dit-elle en désignant le tabouret sur lequel elle vient de
s’asseoir. En réalité Gladys ne s’assied pas vraiment. Elle pose lentement puis
écrase son puissant fessier sur l’assise qu’elle fait littéralement disparaître
en dessous, s’assurant ainsi une position parfaitement stable pour fesser à
l’aise. Tortillant des hanches, sans lâcher l’oreille de sa victime pliée en
deux à côté d’elle, elle prend le temps le temps de bien caler son opulent
postérieur.
« Ah,
c’est beaucoup mieux ! Pas de doute, ce genre de siège est bien mieux adapté
que le canapé pour fesser ferme. Solide, stable, les fesses à corriger restent
toujours bien en place et on peut taper aussi fort que l’on veut sans risque de
chute ou changement de position non désiré. Et bien Edouard je ne t'entends plus,… Qui ne dit
rien consent... C‘est cela ? »
Debout
à côté d’elle Edouard n’en mène pas large et attend en tremblant la suite de sa
deuxième fessée qui n’en finit pas. Toute cette mise en scène lui semble
interminable et ne fait qu’attiser l’angoisse de la punition, savamment
orchestrée par l’intransigeante épouse.
Elle
le tire par l’oreille et le force à se pencher, puis à se positionner à
nouveau, plié en deux sur ses genoux. Le bois du tabouret gémit sous le pesant
fessier de la plantureuse femme, encore alourdi par le poids des deux corps.
Son large derrière solidement rebondi lui offre une confortable assise pour
fesser sans retenue, en maîtrisant les furieuses ruades des paire de fesses
quelle corrige.
Après
un ralentissement de service pendant la semaine, suite à l’absence de Robin en
complément de corrections à l’institut,
le tabouret à fessée retrouve, son rythme habituel d‘utilisation. Tel que les choses
se présentent, il risque de vibrer souvent
d’ici à la fin de la journée sous une abondante production de fessées et
déculottées en tous genres. Ces
messieurs ont des comptes à rendre aux deux femmes de la maison qui n’ont
aucunement l’intention de se priver du plaisir de leur claquer les fesses
autant de fois que nécessaire, avec toute la sévérité que requière leur
indiscipline chronique.
Gladys
toujours à la manœuvre.
-
« Tu sais, mon ami, que je suis exigeante sur la présentation des fesses
que je corrige.
Répond
aussitôt le mari, conscient dans sa position et même s’il n’en a pas envie,
d’avoir intérêt à répondre correctement aux questions ou aux commentaires de sa
femme. Il a la tête ailleurs, mais les fesses bien présentes, en exposition,
sur ses cuisses.
–
« Tu sais aussi que j’ai l ‘habitude de fesser fort.
–
Oui chérie, je sais aussi que tu fesses fort.
–
Alors, applique toi à bien me présenter tes fesses et les tenir en position. Je
déteste être obligée d’interrompre une fessée en cours pour les remettre en
place. »
Avec les dessins originaux de l'auteur !
Ne perdez pas le fil du feuilleton ! Pour ceux qui se seraient égarés ...
Ramina est l'auteur de nombreux commentaires sur ce blog.
Juste retour des choses il attend les vôtres. Ecrivez vos appréciations, vos retours, vos questions ... dans le cadre ci-dessous. Ramina vous répondra.
Si vous voulez un échange plus privé voici un courriel pour le joindre : ramina16@laposte.net
Bonjour Ramina,
RépondreSupprimerExcellent récit ! Illustrations très réalistes. On entendrait presque le crépitements des claques.
Ces dames sont largement à la hauteur de leur réputation qui n'est plus à faire. Leurs deux chérubins sont aux anges... Bien que leurs postérieurs, ronds comme des baudruches, soient aussi écarlates que les feux de l'Enfer. Rires.
La fessée, et déculottée, et au martinet ? Edouard le flatteur ne s'en remettra pas. Le pauvre. Et Dame Edwige qui vient diner dans quelques jours.
Ca promet une soirée des plus cuisantes. C'est certain. Et comme je le dit souvent : ça va chauffeeeeeeer !!!
Amicalement votre.
Peter'.
Bonjour Peter Pan,
RépondreSupprimerEt bien si on entend les claques crépiter c'est que les fessées sont efficaces! Je transmets à ces dames!
Les derrières en "baudruches" de ce messieurs ne chôment pas. Gladys et Patricia savent faire ce qu'il faut pour les maintenir en activité. C'est la rançon de la désobéissance. Et ce n'est pas Dame Edwige qui risque de ralentir le rythme des fessées.
Il n'est pas dit, d'ailleurs qu'elle ne fasse pas une apparition plus tôt que prévu... Allez savoir... ( rires complices ) Tout est possible chez les Tapefort !
C'est vrai que les illustrations sont plus proches d'un certain réalisme ( relatif tout de même ) que de la joyeuse fantaisie des vôtre. Bonne complémentarité qui offre aux lecteurs une diversité d'illustrations et personnages sur le thème commun de la fessée.
D'ailleurs, aurions nous droit à une nouvelle fessée déculottée de la plantureuse Cousine Valérie qui a déjà bien marqué son territoire sur les fesses de Gérôme ?
Oula la, ça commence à chauffer dur de tous les côtés, et personne ne s'en plaindra... sauf les victimes !
Cordialement
Ramina.
Bonsoir Ramina,
RépondreSupprimerOn attend avec impatience "la soirée entre filles". Rires. Prévoir l'Arnigel !!!
Oui, nos deux mondes se complètent.
En effet, il n'est pas impossible que la belle Valérie fasse encore parler d'elle... Gérome est incorrigible. Il n'a pas le choix: la fessée de la cousine ou bien, elle raconte tout à sa tante..
Alors là :c'est direct le retour au bercail, fini les délicieuses glaces à l'italienne. Et hop, les devoirs de vacances !!! Noooon, pas çaaaa ! Cafteuse, va ! Puf ! 'méchante la cousine et... et moche en plus !! 'Me vengerai !!!
Amicalement. Peter.
(En vacances. Mais j'y réfléchirais au retour.)
" de ceS messieurs "... " des votreS " ... Oula, la!!!
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