Je suis satisfaite, ma bru de vous voir prendre les choses en main. J'ai cru, depuis toutes ces semaines que vous êtes mariée à mon fils que vous faisiez partie de ces femmes qui considèrent qu'il n'est pas de leur devoir de tenir en main leur famille.
Je vous avoue que je reconnais mes torts. j'aurais dû depuis bien longtemps, dès que j'ai compris que votre engagement avec mon fils était durable, vous montrer comment il convenait de s'y prendre avec lui.
Quand il a eu dix-neuf ans, il y a bien eu au moins au moins six mois pendant lesquels je crois que je ne lui ai pas donné une seule fessée. J'en ai déduit que c'était fini et qu'il avait enfin décidé de se comporter comme un grand garçon. J'ai très vite déchanté.
Il n'avait pas vingt ans quand j'ai dû reprendre les corrections pour l'obliger à travailler correctement comme son métier l'exigeait. Monsieur avait décidé qu'il pouvait travailler quand il le voulait. Il a failli se faire renvoyer et compromettre sa carrière. Deux ans plus tard, il fallait le punir pour qu'il cesse de consommer des psychotropes. Cela n'aurait pas arrêté si je ne m'en étais pas mêlée.
Je me voyais devoir continuer à le tenir en mains jusqu'à ce que j'en sois physiquement incapable et que la vieillesse m'oblige à y renoncer avant d'avoir pu trouver quelqu'un qui prenne ma suite.
J'avais fondé beaucoup d'espoir en vous, dès le début. Vous avez la tête sur les épaules et vous n'avez pas peur de prendre des responsabilités. Vous sembliez tenir à mon fils sans vous laisser apitoyer par ses comédies. Et puis, j'ai cru que vous aviez renoncé face à l'énormité du travail à entreprendre. J'avais tort, je m'en réjouis.
C'est de ma faute, si je m'y étais pris plus tôt vous seriez sans doute intervenue plus fermement. Il n'y jamais eu qu'une seule façon pour lui d'apprendre durablement, c'était quand il était allongé en travers des genoux d'une autre personne, la culotte baissée et les fesses cuisantes. Quoique je le trouve plutôt sage et obéissant depuis qu'il est marié avec vous.
Je n'ai pas vraiment réfléchi, la semaine dernière, quand en votre présence, je l'ai déculotté et fessé pour le punir de son insolence. C'était comme un réflexe. J'ai bien vu que vous approuviez ma méthode. Votre regard ne trompait pas.
Je ne pensais pas que dès cette semaine vous alliez vous y mettre aussi efficacement. C'est une belle fessée que vous lui donner, l'une de celles que je lui aurais volontiers administrée. A croire que vous n'en êtes pas à votre coup d'essai.
C'est cela ? J'ai deviné ? Cela fait longtemps que vous le corrigez ? C'est donc pour cela qu'il se tenait tranquille. Ce n'est pas le mariage qui l'avait assagit, ce sont les fessées que vous lui donnez qui produisaient cet effet. Comment ne m'en suis-je pas aperçu ?
Alors donc c'est ma présence qui vous empêchait de le corriger quand il en avait besoin ! Et moi qui hésitait à le fesser parce que vous étiez présente. Nous aurions pu nous attendre longtemps ! Heureusement que j'ai décidé de sévir la semaine dernière ! Cela clarifie les choses.
Sachez que je n'hésiterai plus à le déculotter et à le fesser quelles que soient les personnes qui y assistent. J'espère que vous ferez de même. Que ce quiproquo nous serve de leçon !
Je vous en prie, finissez cette fessée, nous aurons tout le temps de boire un café quand vous l'aurez mis au coin !
Encore un dessinateur anonyme que je remercie malgré tout
Il s'agit du dessin de couverture d'une revue diffusée par Scarlett Hill , Non nonsens Ladys, numéro 62 (voir lien ci-contre vers le site).
Bonjour,
RépondreSupprimer"Finissez cette fessée..." Final inattendu et malin. Un peu comme finissez votre dessert.
Toujours plaisant la manière de banaliser la fessée comme un acte d'autorité banal, inscrit dans une méthode d'éducation naturelle. Le piquant de l'affaire c'est que la fessée est administrée à un adulte. L'épouse prenant le relai de la mère pour corriger le mari irresponsable. Et les fesses continuent à rougir...pour le meilleur!
Toujours plaisant!
Cordialement.
Ramina.
Ramina,
SupprimerLa fessée, acte d'autorité banal. et pourquoi pas ? Certains adultes n'hésitent pas à banaliser les transgressions et bêtises qu'ils répètent à l'envi. Ne serait-il pas normal, alors, que la fessée, administrée aux adultes transgresseurs, devienne un acte éducatif naturel ? Le monde ne s'en porterait-il pas mieux ? Pour dire le fond de ma pensée, ça reste à prouver.
Au plaisir de vous lire,
JLG.
JLG,
RépondreSupprimer"le monde ne s'en porterait il pas mieux ?" En tous cas, administrer ou recevoir une bonne fessée annihilerait déjà, peut-être , les velléités transgressives de certains esprits, parfois mal éduqués, facilement échauffés, dont les fesses mériteraient le même état de chaleur! Une bonne fessée déculottée... ça calme sans aucun doute! Surtout administrée par une femme.
A défaut de réalité, la preuve en est dans nos attrayants récits!
( sourire )
Ramina
Ramina,
SupprimerJe suis assez d'accord avec vous. La difficulté réside dans le repérage des esprits mal éduqués qui ne mettent pas volontiers leurs fesses à portée d'une main féminine.
Qui sont-ils ? Le niveau de diplôme ne suffit pas pour les repérer. Il y en a à tous les niveaux. Peut-être en fais-je partie ?
Au plaisir de vous lire,
JLG.
JLG,
RépondreSupprimerA mon avis, hors du cercle domestique, les rencontres avec ces esprits "inconvenants " dira -t-on, sont fortuites ou hors de portée de main féminine.
Mais l'éducation ne doit elle pas commencer précisément au sein du cercle de famille, où la pratique juste, et régulière de la fessée peut servir à " désamorcer " l'émergence de mauvais réflexes de comportement.
On prône avec justesse la pratique d'une médecine préventive. Alors pourquoi pas la fessée préventive ? Perspective (utopique?) de contribuer à l'amélioration des relations et des comportements humains.
Là il faudrait beaucoup de " Dames aux mains fermes! "
Cordialement
Ramina.
Bonjour mes amis,
RépondreSupprimerLa rivalité Belle-Mère/Belle-Fille: voilà un grand classique du vaudeville moderne.
Pour une fois, les deux femmes qui gravitent autour du mari vont accorder leurs violons pour un concert de vocalises. Mais cette fois, c'est l'heureuse élue qui tient la baguette et l'infortuné époux qui va chanter !
D'ailleurs, en Italie, la tradition populaire dit que le mari, après son mariage, passe des bras de sa Mama à ceux de son épouse.
Dans ce cas, on pourrait faire le parallèle avec leurs genoux féminins respectifs. Rires.
Heureux homme ? L'avenir nous le dire.
Peter'.