mercredi 11 juillet 2018

Ces dames aux mains fermes - chapitre 7


Ce dimanche après-midi, l’atmosphère dans le salon était un peu pesante pour Robin comme pour Edouard.  Tous les deux pris en flagrant délit, l’un de mauvais comportement à l’institut et l’autre de débauche caractérisée, se trouvaient soumis aux fessées de recadrage que les deux femmes de la maison estimaient nécessaires au maintien de la discipline domestique.
Robin avait pris une légère avance sur son beau-père, Il venait tout juste de se prendre sa première fessée de l’après-midi par sa mère. Edouard attendait la sienne qui n’allait pas tarder à claquer.

Gladys et Patricia, faisaient une pause thé. L’une en profitait pour se détendre la main, avant de reprendre le cours normal des fessées prévues au programme des festivités et l‘autre patientait en attendant de s‘y mettre aussi.  Charmant tableau dominical qui reflétait un rituel ordinaire, presque banal, renouvelé tout au long de la semaine pour monsieur et, chaque week-end pour Robin qui devait affronter les conséquences fâcheuses de ses performances scolaires.

Ces séances fessées se déroulaient toujours en famille mais aussi en public, lorsque Gladys invitaient ses amies, à y assister et souvent même à y participer. Ces dames étaient, bien évidemment, toutes, ardentes adeptes de la fessée comme méthode de discipline éducative et pratiquaient avec assiduité. Elles venaient la plus part du temps accompagnées de leur mari ou leur fils, parfois les deux, qui apportaient leurs fessiers en renfort, contribuant ainsi à varier les plaisirs en diversifiant les surfaces à corriger.

Gladys en maîtresse de cérémonie et Patricia, fervente disciple de sa maman, officiaient au quotidien dans n’importe quelle pièce de la maison. Là où s’imposait naturellement l’administration d’une fessée sur le lieu de la faute commise ou la simple nécessité d‘une fessée d‘entretien en rappel d’autorité. Les deux tabourets placés au milieu du salon constituaient un lieu fréquemment occupé qui permettait un choix intéressant de positions selon les exigences de leur utilisatrice.  Le canapé, souvent fréquenté lui aussi, offrait un espace de confort apprécié pour la conduite des fessées longue durée. Les séances de fessées se déroulaient sans états d’âme, justifiées par la nécessité de faire respecter les règles de comportement convenues avec ces messieurs. Ces accords passés, Ils n'avaient d’autre choix que de s’y soumettre en allant obligeamment présenter leurs fesses à la demande et dans les délais imposés par leurs correctrices.

Les fessées étaient distribuées sans concession et menées systématiquement à leur terme, quel que soit l’état de cuisson de leurs fesses après plusieurs déculottées successives. Elles étaient, commentées, justifiées et administrées après un bilan détaillé des écarts de comportement de la semaine. Robin à Ste Marie, Edouard au bureau comme à la maison.
Le nombre de fessées correspondait à la quantité de fautes répertoriées dans la journée, avec des variantes d’ajustement en fonction de l‘humeur et la forme de ces dames. La remise en mémoire des notions élémentaires de respect et d‘obéissance passait ainsi par la cuisson et la couleur de leurs fesses. Ils séjournaient en général à trois ou quatre reprises sur leurs cuisses pour autant de fessées par séance en changeant à chaque fois de partenaire pour varier les effets.
Mis à part la fessée du matin pour commencer la journée par un rappel à la discipline, les corrections de recadrage se déroulaient la plupart du temps avant le dîner. Ces messieurs fraîchement fessés, passaient régulièrement à table le postérieur en feu, rouge et gonflé de claques. Déculottés, fesses nues posées sur leur chaise cannelée, ou solidement reculottés le slip douloureusement tendu sur les fesses.

Autant dire que ça ne bronchait pas devant les assiettes. La menace d’un supplément de fessée au dessert, se révélait en général très dissuasive et personne ne trouvait jamais à redire sur la qualité de la cuisine dont témoignait d’ailleurs le physique épanoui de ces dames. L’intense activité et l’énergie qu’elles déployaient à travers la pratique régulière de la fessée compensaient par la dépense de calories. Elles se faisaient un devoir de rester   toujours en bonne forme physique pour administrer les solides corrections qu’elles distribuaient si généreusement. La fille comme la mère en avaient, comme on dit,  sous la main et disposaient des capacités de ressources nécessaires pour claquer longuement sans faiblir, les fessiers agréablement endurant de ces messieurs.

Robin, nez au mur près de la bibliothèque, slip aux cuisses, pantalon sur les chevilles, tortillait en gémissant et à défaut de pouvoir y toucher, une reluisante paire de fesses que sa mère venait de sévèrement corriger. La première fessée de l'après-midi d’une série de trois, pour son manque de travail et son comportement inadmissible à l’institut Ste Marie. C'était son week-end à Robin !

Edouard, quant à lui, très cher Edouard, attendait son tour en silence sur son tabouret à fessée. Le cuisant épisode de la nuit et la fessée dans la cuisine au saut du lit s’étaient révélés efficaces et l’avaient calmé dès le matin.  Ses frasques nocturnes  et son retour aviné plus que tardif lui avaient déjà valu un magistral retour de fessée que Gladys lui avait mise sans traîner, dès son arrivée vers une heure du matin. Une fessée ça n’attend pas, il s’était pris celle-là par surprise, les fesses cueillies à la volée, sans sommation. Tout s‘était passé rapidement mais avec une redoutable efficacité.

Gladys, n’était pas encore couchée. Elle était dans la cuisine pour finir de remplir le lave-vaisselle lorsqu’elle avait entendu les roues de la voiture crisser lentement sur le gravier de l’allée. Cela laissait supposer l’intention précautionneuse d’amortir le bruit des roues. Elle décida d’aller attendre le mari dévergondé dans l’entrée et l’entendit jurer en marmonnant au cours de ses tentatives infructueuses à rentrer sa clé dans la serrure. Les yeux au ciel, sourire en coin, elle put évaluer sans peine son niveau d’alcoolémie.  Il finit par réussir à ouvrir la porte qu’il poussa pour entrer en titubant. Il eut à peine le temps de s’étonner de trouver la lumière allumée. Avant de réaliser ce qui lui arrivait il s’était senti immédiatement tiré d’une main ferme par la cravate et courbé en deux sous le bras de son épouse en colère. Le dialogue fut bref, mais stimulant pour Gladys, bien décidée à corriger sévèrement son époux en situation plus que répréhensible.
 « Ah quand même, te voilà ! Tu tombes bien mon ami,  j’attendais tes fesses... avec impatience ! »
S’était écrié Gladys en passant immédiatement la main sous son ventre pour défaire la boucle de sa ceinture.
 « Ah… c’est… c’est toi  Gla...Gladys… tu n’es pas cou...couch… qu’est-ce...
– Non figure toi, je ne suis pas couchée et je viens de te le dire. J’attendais tes fesses! Ivrogne !
  Mais... mais qu’est-ce… qu’est-ce que...que tu...tu fais ?
  Qu’est-ce que je fais? Mon pauvre ami, tu es tellement ivre que tu ne te rends même pas compte que je suis en train de te déculotter ! Vu l’état dans lequel tu rentres, tu n’imagines tout de même pas que je vais laisser passer ça. C’est la fessée mon cher! La fessée déculottée, immédiatement !
– La… la fessée ? … Mais… Mais pourquoi la … la fess… la fessée ?
– Et bien mon cher, tu en tiens vraiment une sévère pour oser demander pourquoi ! »
Son équilibre instable dû à son état ébriété avancé lui avait ôté toute possibilité de résistance ou même de protestation. Elle n‘eut aucune difficulté à lui descendre son pantalon et le déculotter pour le mettre en position de recevoir la fessée amplement méritée qu’elle lui préparait. Elle fit rageusement claquer l’élastique de son slip sur ses cuisses, sans qu’il réagisse. Il était à moitié anesthésié par l’alcool. Elle allait devoir taper fort pour lui faire ressentir l’effet de sa fessée. Ce qui ne changeait pas grand-chose à sa manière habituelle de le corriger.
La tête en bas,  les fesses relevées à la bonne hauteur, prêtes à claquer, Edouard plus ou moins conscient, bredouillait, une main devant sa bouche pour étouffer ses hoquets, l‘autre posée parterre en appui.
 « Pas… Pas trop fort… la … la fess… la fess… la fessée ! S’il… S’il te pl… plait... ché...chérie ! » 
– Tu vas voir si elle ne va pas être forte la fessée !  Répondit Gladys en serrant les dents. Elle prit son élan, la main haut levée au-dessus de sa tête et démarra aussitôt à grandes claques retentissantes.
 « Pas trop fort la fessée… Non mais tu plaisantes ! »
 « Aïiiie ! Ouille! Arggg… arrête, Glad...Gladys tu... Tu fais maaaaal ! »
Gladys, ulcérée ne répondit même pas et accentua aussitôt la force et la rythme des claques qui retentissaient de plus en plus fort. Elle n’avait aucun scrupule à réveiller qui que ce soit. Qui plus est, ça n’aurait pas dérangé Patricia  d’être réveillée par le claquement d’une fessée. Elle serait plutôt descendue pour participer. Et puis une fessée se doit de claquer fort, quelles que soient les circonstances.

Faute de temps nécessaire au vu de l‘heure tardive, elle dura un peu moins longtemps que d‘habitude mais menée au train, avec une exceptionnelle énergie. Une solide fessée qui retentit pendant un bon quart d’heure dans l’entrée, exactement comme celles de Robin quelques heures plus tôt. C’était décidément l’espace fessée de prédilection du jour, et même de la nuit. La belle résonance du carrelage n’y était pas pour rien et de toute manière Gladys avait décidé de le fesser sur place, en flagrant délit, dès le pied posé dans la maison.

« Alors !  C’est – à – cette– heure – ci – qu’on – se – dé– cide – à – ren – trer, le sermonna- t-elle tout en fessant, ponctuant chaque syllabe de rageurs allers et retours d’une fesse à l‘autre !
Emportée par la colère et l’exaspération, elle tapait très fort et lui monta les fesses au rouge en un temps record !
 « Et non seulement monsieur passe la nuit au pub, mais en plus, il se permet de conduire en état d’ivresse pour rentrer ! Rien que pour ça, les fesses vont te cuire mon cher ! Et elles n’ont pas fini de claquer !...Je te garantis que tu vas t’en souvenir ! » 

Une bonne fessée déculottée


Elle était presque obligée de crier pour se faire entendre à cause du niveau sonore élevé des claques qu’elle lui allongeait à toutes volées sur le derrière.

Il se débattit faiblement un moment, trépignant sur place, s’étranglant dans ses hoquets et finit par perdre son équilibre pour s’écrouler à genoux les fesses en l’air. Pour son plus grand malheur encore mieux exposées à la main claqueuse de sa terrible épouse.  Non seulement elle ne mit pas fin pour autant à sa correction, mais elle accompagna sa chute en continuant à lui pilonner le sommet des fesses. Un genou au creux des reins, elle lui fit cambrer le derrière pour l’obliger à le maintenir ferme, tendu, bien claquant.  Elle savoura ce moment de fessée à pleine main. Le malheureux complètement sonné, déjà bien étourdi par ses excès de boisson, empêtré dans son slip et son pantalon baissés, perdit définitivement son équilibre lorsqu’elle le lâcha. Il finit par s’écrouler  et finit à plat ventre sur le carrelage.

« Ah tu ne t’attendais pas à te faire reluire les fesses comme ça dès en arrivant, n’est-ce pas mon chéri ! Et ce n‘est rien à côté de la manière dont je vais te les astiquer demain ! »
Dit Gladys, la mine réjouie. Elle souffla sur sa paume brûlante, satisfaite de sa fessée. Elle avait tapé très fort, avec toute la sévérité nécessaire pour bien lui faire comprendre qu’il allait devoir maintenant payer cher son attitude intolérable.

A quatre pattes sur le sol, pantalon aux chevilles, le slip sur les cuisses, Edouard avait eu du mal à se relever, bien que cette fessée l’eût un peu dégrisé.
 « Tu as entendu ce que je t’ai dit Edouard, insista Gladys d’un ton menaçant. Ça ce n’est qu’un petit échantillon de ce qui t’attend. Les fessées ça continue demain. »
 « Ah non chérie… non... Ça suffit, je...je  t’en prie ! Tu viens de me corriger… J’ai... j’ai fait une erreur… Je ne recommencerai pas. »
  Mais oui, bien sûr. C’est trop facile mon cher. Ne crois pas que tu vas t’en tirer à si bon compte ! Un tel comportement nécessite une correction exemplaire. Nous n‘avons pas fini de régler ça! Ce qu’il te faut, c’est une bonne séance de fessées déculottées pour te remettre les idées en place ! »
Elle l’avait enjambé avec désinvolture, le laissant allongé par terre, larmoyant,  déculotté, les fesses en feu et dans un claquement de talons aiguille s‘était dirigée vers l‘escalier.
 « Prépare plutôt tes fesses pour demain, avait-elle ajouté sans se retourner, d‘un ton joyeux, comme si elle annonçait une bonne nouvelle. Tu vas accompagner Robin. Il a encore trois fessées à prendre. Vous faites la paire tous les deux, ça va chauffer, c’est moi qui te le dis. Maintenant tu ferais mieux de monter te coucher, au lieu de pleurnicher dans l’entrée. Il est tard ! Tu devras être en forme. »

Effectivement, le lendemain matin avait commencé comme s‘était terminée sa lamentable virée nocturne. Par une magistrale fessée, cette fois dans la cuisine. Il était descendu, mal réveillé  pour prendre son petit déjeuner avec un mal de tête tenace et les fesses encore sensibles de sa raclée de la veille. Il existait  bien des cachets pour calmer les maux de tête mais rien de semblable pour atténuer un retour de fessée douloureux.
Gladys et Patricia déjà levées dégustaient des toasts grillés avec leur café.
« Ah voilà notre fêtard du Samedi soir ! S’était exclamé Gladys d’un ton plein d’une joyeuse ironie. Qu’est-ce qu’il t’arrive mon chéri, tu n’as pas l’air en forme ?
– Il a la gueule de bois oui ! Balança Patricia en tartinant son toast. Pas étonnant avec ce qu’il a picolé cette nuit !
– Patricia, parle correctement s’il te plaît ! Tu veux dire : avec ce qu’il a bu.
– C’est ça maman, ce qu‘il a bu. Si tu préfères.
– Oui, je préfère ! Attention à tes fesses toi aussi, je te l‘ai déjà dit, pour tes écarts de langage. En attendant, je sais ce qu’il faut pour l‘aider à récupérer.
– Oui… moi aussi ! Confirma Patricia avec un sourire entendu.
  C’est radical tu vas voir ! »
 Gladys se leva et  écarta la chaise de la table pour se faire de la place. Elle avait toujours besoin d’espace pour fesser à l’aise avec la prise d’élan nécessaire pour pouvoir taper fort. Tortillant des hanches, elle retroussa sa jupe sur ses hanches, toutes jarretelles dehors, pour pouvoir lever haut la jambe et claquer son talon aiguille sur le siège. L’ordre, péremptoire, claqua comme une main sur un derrière déculotté.
 «  Edouard, tes fesses ! »
Edouard émit un couinement craintif.
 « Oh chérie… je t’en prie pas tout de suite… J’ai… »
Elle le coupa sèchement indifférente à ce qu’il allait dire.
– J’ai dit... tes fesses ! Edouard ! Tes fesses, au déculottage, Immédiatement ! Je ne te le répèterai pas une autre fois, insista la maîtresse femme en indiquant d’un doigt autoritaire la position à prendre sur sa cuisse montée à l‘horizontale. »
Une des positions fesses en l’air qu‘elle commençait à utiliser de plus en plus fréquemment depuis un certain temps. Certainement aussi pour la fessée à venir de Robin.

Pendant que sa mère déculottait son beau-père, Patricia, fidèle à son habitude, y était allé de son couplet d’ironie grinçante.
« Aller Edouard, on obéit. On tend gentiment son gros derrière à son épouse pour prendre sa fessée du matin ! »

Culotte baissée pour la fessée


La journée d’Edouard avait donc commencé dans la cuisine, par une retentissante fessée déculottée en complément de celle de la nuit et censée l’aider à dessaouler. Un quart d’heure plus tard c’est une resplendissante paire de fesses entièrement rouges qui redescendit, en feu, de la cuisse de la sévère épouse, ravie de l‘efficacité de sa correction.
« Voilà ce que j’appelle une belle fessée, bien cuisante comme je les aime ! C‘est bien agréable d‘entendre claquer tes fesses comme ça dès le matin, s’était-elle félicitée en rabattant sa jupe sur ses cuisses devant le malheureux, en larmes, qui sautait sur place en se tenant les fesses à pleine main ! »
«  Oh tu peux sauter et danser autant que tu veux mon chéri. Encore une fessée que tu as bien cherchée non? Et ça cuit bien, hein ?
« Pour ça oui ! dit Patricia hilare. Il a l’air tellement content qu’il en saute de joie !
– Comme je le dis souvent, un peu d’exercice au saut du lit, ça ne peut pas faire de mal ! Rien de plus stimulant que de commencer une journée les fesses bien rouges et cuisantes après une bonne fessée déculottée. Il est bien placé pour le savoir mon chéri ! »

Elle ponctua sa phrase en l’expédiant directement au coin d’une formidable claque bien ajustée en plein milieu des fesses. Marquées des cinq doigts en rouge plus foncé, elles tressautaient encore quand il arriva face au mur. Il s’y cala en sanglotant. Gladys revint tranquillement s'asseoir à table en se massant le poignet,
 « Un café par là-dessus et voilà une journée qui s’annonce bien ! Il faut que j’appelle Robin, Il traîne encore au lit celui-là ! »

Robin était descendu presque aussitôt et, à son tour, avait inauguré la matinée par une fessée administrée, encore, par sa mère pour avoir négligé de débarrasser sa place après son petit déjeuner. Il attendait en pénitence  à côté de son beau-père, comme lui, le nez au mur, les fesses déculottées bien en évidence, exposées au regard goguenard des deux femmes.
Calmes et détendues, elles avaient fini tranquillement leur petit déjeuner en discutant du programme de l’après-midi, devant les deux rutilantes paires de fesses.
Gladys estimait que les fessées qu’ils avaient déjà reçues ne suffisaient pas pour sanctionner leur attitude irresponsable. Elle avait décidé qu'il était nécessaire de poursuivre les corrections à la hauteur de la gravité des fautes accumulées. Une nouvelle série de fessées s’imposait naturellement. Heureuse occasion d’en faire profiter Patricia, qui attendait avec impatience l’opportunité de mettre enfin une sévère déculottée à son beau-père.  La journée se présentait sous les meilleurs auspices en offrant à ces dames deux belles paires de fesses à leur entière disposition, pour satisfaire leur légitime exigence de discipline domestique.

Ce Dimanche après-midi, donc, après consultation du carnet de correspondance et bulletin de notes de Robin,  Gladys avait ouvert les festivités  par une première fessée déculottée à la main pour le punir de son manque de travail à l’école. En pénitence, dans un angle du salon, le slip en travers des cuisses il attendait docilement la suite des opérations pendant que ces dames faisaient une pause.
Ces séjours prolongés, au coin après une correction, constituaient toujours des moments forts d’humiliation mais en même temps un retour au calme bienvenu avec une baisse de cuisson progressive après l’épreuve douloureuse des fessées. Les maîtresses femmes ne manquaient pas d’en tirer bénéfice en récupérant des paires de fesses plus détendues et en regain de réceptivité pour les fessées suivantes.

Patricia revint de la cuisine, portant à deux mains le plateau du service à thé qu’elle posa avec précaution sur la table basse devant le canapé.
 « Merci ma chérie, je te sers, dit Gladys en emplissant les deux tasses ? »
Un demi-sucre, une larme de lait. Elle sirota une gorgée et s’adossa au dossier du canapé en caressant du regard le derrière enluminé de son fils.
« Dis-moi chérie, je ne sais pas si c'est l'effet des fessées mais je trouve que Robin a encore pris des fesses. Il en a une de ces paires ! Elles sont vraiment superbes. Presque aussi rebondies que des fesses de femme. Au train ou ça va, elles ne pourront bientôt plus rentrer dans ses slips! Il n‘y aura même plus besoin de le déculotter pour le fesser ! »
Patricia fait une moue dubitative
« Ça serait tout de même dommage. C’est tellement agréable de déculotter une paire de fesses !
– En tous cas, je maintiens que ses fesses ont pris du volume, persista Gladys. »
Elle rit, amusée de sa propre remarque. Patricia approuva.
 «  Mais tu as certainement raison maman, c’est grâce aux fessées qu’on lui administre régulièrement. 
– Mais bien sûr, les fessées régulièrement appliquées ça vous sculpte un derrière !
– Je me suis dit ça aussi quand je l’ai corrigé hier soir. J’avais l’impression d’en avoir un peu plus dans la main que d‘habitude.
– J‘ai eu la même sensation figure toi. Et c'est très bien ! C'est nécessaire d'en avoir plein la main pour réussir une bonne fessée.
– Excitant même, ajoute Patricia en croisant haut les jambes, faisant crisser le nylon entre ses cuisses. Ça claque beaucoup mieux et plus longtemps. Je ne me vois pas fesser un petit derrière sans envergure. »
Gladys reprends une gorgée du bout des lèvres. Le thé est très chaud. Elle fait une petite moue
 « C’est vrai, il faut reconnaître qu’on est plutôt portées sur les gros volumes. Et de ce côté-là, on n’a pas à se plaindre. Nous avons tout ce qu’il faut à la maison.  
– Oui, il y a de la surface à rougir, gloussa malicieusement Patricia !
Les deux femmes éclatèrent de rires. Gladys manqua d’avaler de travers. Elle se racla un peu la gorge avant de répondre.
 « Et comme ces messieurs paresseux et mal élevés sont d’incorrigibles multirécidivistes ce ne sont pas les occasions qui manquent ! D‘ailleurs les corrections ne sont pas terminées. Il nous reste quelques fessées à distribuer d‘ici la fin de la journée. Ils en ont besoin l’un comme l’autre.
 – Pour ça oui, ça ne peut leur faire que du bien ! »

Patricia qui venait de jeter un œil sur son frère en train de se relâcher au coin, interrompt la conversation.
 « Robin, ta chemise, lui lança-t-elle avec autorité. Tu l’as laissée retomber. Relève-la immédiatement et baisse encore ton slip, pour qu’on voie bien tes fesses et tes cuisses rouges ! 
– Et tu ne te retournes pas s‘il te plaît. Ajoute Gladys. Tu es toujours en pénitence. »
Robin murmure quelque chose d’incompréhensible. Patricia réagit immédiatement la main levée, menaçante.
 « Attention Robin, continue à protester et je te remets aussitôt une fessée ! En plus de celles qui t’attendent »
Il s’exécute, redescend son slip à la pliure des genoux et retrousse sa chemise en la maintenant relevée sur ses reins pour bien dégager toute la surface de ses fesses. Il se remet au garde à vous le long du mur.

 Edouard, ne bronche pas. Il se fait tout petit en essayant de se faire oublier sur son tabouret à fessée. Aucune illusion sur son sort, après ses frasques de la nuit. Il sait qu‘il va passer une cuisante fin d‘après-midi. Malgré ses efforts discrets à maîtriser ses réactions, il ne peut empêcher ses fesses de frissonner nerveusement dans son slip et la transpiration suinter entre les deux, dégoulinant le long de la raie.

Les deux femmes sont décidées à leur faire monter la pression en prolongeant l’attente de leur correction. Elles reprennent tranquillement leurs commentaires, à voix haute, bien perceptible, accompagnée du bruit clair des petites cuillères sur les sous-tasses en porcelaine. Elles papotent sans se préoccuper d‘eux, parlent le plus naturellement du monde, de discipline, fesses, fessées, déculottage et instruments de correction,  comme s’il s’agissait de sujets de conversation ordinaires.

Robin entend encore évoquer son indiscipline, sa paresse, son insolence et ce qui attend encore ses fesses. Edouard ses égarements nocturnes, sa conduite inqualifiable et la sévérité des fessées qu‘il va recevoir en conséquence. Elles en discutent de la répartition, de la durée et conviennent du postérieur sur lequel chacune va commencer. Edouard a compris qu’il allait reprendre sur les genoux de sa femme et Robin, tout de suite après, de retour sur ceux de sa sœur. La suite reste une surprise. Pas certain qu’ils apprécient.

Avec les dessins originaux de l'auteur !


Ne perdez pas le fil du feuilleton ! Pour ceux qui se seraient égarés ...

Le début : chapitre 1
et l'épisode précédent : chapitre 6

Il y a une suite, le chapitre 8

Ramina est l'auteur de nombreux commentaires sur ce blog.

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5 commentaires:

  1. Bonjour Ramina,

    Excellent récit. Illustrations adéquates. L'ambiance baigne dans une sorte de clair-obscur. Ce qui entretien l'action musclée de ces dames.
    Je n'avais pas remarqué mais Gladys porte une sorte de voilette, me semble t-il ?
    Alors je rectifie donc: Dame Gladys Elisabeth Louise de la Chambrière. Voilà qui en jette...
    On attend la suite qui promet une surprise...
    Que va t-il arriver ? Voyons voir... une visite impromptue ?
    Une vieille connaissance de passage à Synthol-sur-Mer ?
    Hum, on suppute... Les paris sont ouverts.
    Bonne journée. Peter.

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  2. Bonjour Peter pan,
    Ah quel oeil ! Oui Gladys porte la voilette! On fesse fort mais avec élégance cher ami ! La claque aux fesses distinguée, le gant ajouré sur la paume pour les sensations, et dans la distinction.
    La discipline est stricte, les fessées sont sévères mais c'est le prix d'une bonne éducation.
    Bon, Gladys Elisabeth Louise de la Chambrière... Quel programme !
    Et quelle imagination. Ah ces récits à tiroirs... Que va t-il arriver ? Vous le saurez en lisant le prochain épisode de " Ces Dames... Mais la visite c'est pour plus tard, il faut avant terminer ce merveilleux Week End en famille.
    Cordialement.
    Ramina

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  3. Bonjour Ramina,

    "Le prix d'une bonne éducation...": tout un programme.
    Dame Gladys applique avec zèle les préceptes d'une éducation reçue certainement dans les meilleurs pensionnats d'Outre-Manche ou chez nos voisins helvétiques. Elle fesse avec panache et élégance, c'est juste. Gageons que Tapefort est le patronyme prédestiné que porte son incorrigible époux. Et la suite semble elle tout aussi prometteuse... Rires.
    Bonne journée. Peter'.

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  4. Yes my dear!

    En réalité et en femme accomplie de forte personnalité, Gladys née "Klakerspank " avait gardé son nom : d'origine plutôt Suisse allemande. Ach, die disciplinerei!!!
    Ce nom, estimé marqué d'une résonance trop anglo-saxonne par la famille émigrée en France au milieu du 19è siècle, fut adoucit en "Klaquedur". Puis définitivement francisé au début du 20è en "Tapefort "
    Aujourd'hui, Gladys et sa fille Patricia Tapefort perpétuent la tradition familiale d'une stricte discipline domestique, imposée sans faiblesse par la pratique systématique de la fessée déculottée.
    C'est ainsi que, pour le plus grand bonheur des Dames, Robin le fils et Edouard " Faissaclaque " ( nom prédestiné) le deuxième mari, se font régulièrement rougir les fesses à chaque manquement aux règles de fonctionnement de la maison.
    Ouahhh ! On s'amuse! Crises de rires!
    Good Spanking!
    Ramina

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  5. Guten Tag, mein Freund,

    Ach ! Die strenge Mutter !
    Voilà qui met du piment dans le récit. On comprend aisément l'attachement aux valeurs d'obéissance, de ponctualité , de travail et de respect dont fait preuve Gladys en bonne mère de famille et épouse dévouée. Et par extension sa fille Patricia Isabelle Mélanie, en digne fille de sa mère.
    "Ah, ces hommes, ma chérie, quel que soit leur âge, il faut toujours les fesser pour obtenir un minimum de maintien ! Ton frère et ton cher beau-papa nous épuisent ! Sers-moi donc un scotch, Pat'chérie." Etc, etc... Rires.
    Je lui conseillerais de les envoyer chez Mam'e Bellebourge et ses très chères sœurs. Ca pourrait chauffeeeeeeeer... pour leur matricule !
    Bon WE. Peter'

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