Le coin jusqu’à la fin de l’après-midi.
D’un côté ce n’était pas plus mal. Tant que je m’y tenais
sage, silencieux et immobile, je ne risquais plus de sentir la main de
Catherine me cuire les fesses. En quelques minutes, je sentis s’atténuer les
piques qu’elle avait laissées sur mon postérieur. Elles ne furent bientôt plus
qu’un tiraillement dont une bonne partie devait se trouver dans ma tête, à la
pensée des regards de mes collègues posés sur mes fesses nues.
Je savais pourtant que cela ne constituait plus une
nouveauté digne d’intérêt, tant il était courant de voir Magali ou moi dans
cette position. Mais je ne pouvais m’empêcher d’imaginer le spectacle que je
donnais, pantalon et culotte baissés, les mains croisés dans le dos relevant
soigneusement ma chemise pour montrer mes fesses fraîchement rougies. Malgré
l’habitude, à chaque minute passée au coin, je ressentais la honte de me
montrer dans cette tenue impudique et de ne pouvoir cacher que j’avais reçu une
fessée déculottée. Si j’avais pu me cacher, je l’aurais fait avec empressement,
mais je devais rester ainsi à la vue de tous.
La fin de l’après-midi ne cessait de m’inquiéter. Avec
Catherine, je ne savais prédire quand la fessée allait tomber. Il n’y aurait
plus besoin de prétexte pour me punir une nouvelle fois. La simple confirmation
de ma récente punition serait un motif suffisant pour que je prenne une
nouvelle correction.
J’avais honte de me l’avouer, mais j’espérais que la
promesse d’une nouvelle punition qu’elle avait faite à Magali suffirait pour
l’occuper. Mon espoir était mince. Rien ne l’empêcherait de nous fesser l’un
après l’autre. Il était peu probable qu’elle laissât filer une occasion comme
celle-là : avoir tout le temps et le champ libre pour nous corriger
puisque ni Madame Raveneau, ni Madame Colas n’étaient présentes.
J’avais un autre sujet de préoccupation. Je n’avais
quasiment pas avancé dans mon travail. J’avais achevé de mettre à jour le
premier tableau de bord, mais le deuxième était resté en plan. J’avais été
distrait par la fessée donnée à Magali le matin et je ne pouvais plus avancer,
le coin n’était pas un lieu propice à la productivité.
Ce serait l’une des premières choses que Madame Colas
vérifierait à son retour lundi matin. Il n’était pas bien compliqué d’en
imaginer les conséquences pour mes fesses dès les premières heures de travail.
Tout cela serait complété par une retenue le soir ce qui m’amènerait de façon
certaine sur les genoux de Madame Tolbois. Certes, je n’étais pas seul dans
cette situation épineuse, Magali ne devait pas avoir produit tellement plus que
moi, mais cela ne me consolait guère.
Tout cela me dessinait un avenir de fessées dont je ne
pouvais me détacher. L’oisiveté forcée dans mon coin me laissait tout le temps
de ruminer cet avenir sombre. Toutes ces prochaines corrections tournaient dans
ma tête sans que je puisse trouver une façon de m‘en sortir. Il n’y en avait
probablement pas.
Le temps s’étirait interminablement. C’était un des
inconvénients majeurs du coin, surtout que j’y étais depuis suffisamment
longtemps pour ne plus avoir aucun repère dans le temps. Ce n’étaient pas les
quelques mots échangés entre Catherine et Béatrice qui me donnaient des
indications exploitables pour savoir combien de temps encore je devais rester
là.
« Que fais-tu Magali ?
– Euh … je … enfin … euh … je, je …
– Je te vois dans les nuages depuis un bon moment. Ce que tu
as à faire ne t’intéresse pas ?
– Si Madame, mais …
– Ce n’est pas l’impression que tu donnes. J’ai vraiment
le sentiment que tu ne fais pas grand-chose ! Peut-être es-tu impatiente
que je te donne la fessée que tu dois recevoir avant de rentrer chez
toi ? »
Le ricanement qui suivit venait de Béatrice.
« Non Madame, mais je ne …
– Tu ne sembles pas mettre beaucoup de cœur à l’ouvrage.
Sans doute n’as-tu plus rien à faire ? Va donc te mettre au piquet à côté
de Daniel, les mains sur la tête !
– Mais Madame, je n’ai pas fini ce que j’avais à faire.
– Cela ne semblait pas te préoccuper il y a quelques
minutes. Au piquet ! »
C’était un ordre direct auquel il n’était pas possible de
résister sauf à ce que cela conduise à une fessée immédiate. Magali vint
s’installer à côté de moi. Je perçus son ombre et quelques bruits, mon visage
enfoncé dans le coin ne me permettait pas d’en voir plus.
« Ne sois pas trop impatiente ! Dans une
demi-heure, je viens m’occuper de tes fesses. »
Il y eut quelques commentaires ironiques échangés entre
Catherine et Béatrice, puis le silence retomba. L’attente se poursuivait. Je
n’avais fait que la moitié du temps que j’avais à passer là et l’épisode avec
Magali n’avait distrait mon ennui que pendant quelques courtes minutes. Je
laissais échapper un long soupir.
« Qu’y a-t-il, Daniel ? Tu trouves le temps long
au coin ? Te faut-il une fessée tout de suite pour t’apprendre à y être
plus discret ?
– Non Madame, je …
– Tais-toi et fais-toi oublier. La prochaine fois, je me
déplace. »
J’étais passé tout près d’une correction supplémentaire. Je
devais faire plus attention.
Ce n’était que reculer pour mieux sauter.
« Allons, mes agneaux, venez-ici ! C’est l’heure
de votre fessée ! »
Mes faibles espoirs de passer à travers la punition venaient
de tomber. Je trouvais pourtant une raison de m’en réjouir. Mon long temps au
coin était terminé. Magali avait encore sa culotte à sa place. Cela ne dura
pas. A peine arrivé devant Catherine, celle-ci glissa ses mains sous la jupe de
Magali et fit descendre la culotte.
« La jupe, ordonna-t-elle en faisant un geste de la
main vers le haut. »
Elle attendit que nous soyons tous les deux immobiles devant
elle, les fesses dégagées, prêts à recevoir notre fessée.
« Dix-sept heures trente-cinq ! Il est temps
rentrer à la maison, mais je ne vais pas vous laisser y aller sans vous
réchauffer un peu les fesses. »
Magali, comme moi, restait muette.
« Béatrice, je me chargerais volontiers de Magali. Tu
prends Daniel ?
– Moi ? Ah oui ! »
Elle avait été prise par surprise par la proposition de sa
collègue, mais elle n’avait pas longtemps hésité.
« Avec plaisir. J’ai déjà fessé Magali. Je veux bien
essayer avec Daniel ! »
Elle m’attrapa par le bras et je dus la suivre jusqu’à son
bureau. Catherine avait déjà mis Magali en position en travers de ses genoux et
la fessée avait commencé.
« Tu vas voir, je vais bien m’occuper de tes fesses, tu
ne le regretteras pas ! »
Oh que si ! Je l’ai regretté. Dès les premières
claques, j’ai su que ce serait une bien réelle fessée. Pourtant Béatrice
n’avait pas un physique impressionnant, mais elle y mettait un dynamisme qui
était remarquable pour une débutante. Son bras semblait mu par un ressort et
elle conserva la même force d’application tout au long de la punition. Elle ne
parlait pas et gardait une régularité qu’elle savait faire durer.
Je prenais une claque sur la fesse droite que j’accueillais
avec un cri qui donnait la réplique à ceux de Magali, bien qu’ils soient bien
moins organisés. Puis c’est ma fesse gauche qui était la cible de Béatrice et
tout aussi régulièrement, je répondais par le même cri. Sans que ni Béatrice ni
moi, ne nous en rendîmes compte, nous récitâmes une composition dont la
régularité aurait fait pâlir un métronome.
Béatrice ne se lassait pas. Moi si. Je rompis bientôt le bel
ordonnancement que nous avions construit. Mes pleurs ne respectaient plus le
rythme que leur donnait pourtant sans erreur la main qui frappait mes fesses.
Le bruit de la main de Catherine sur les fesses de Magali
cessa et progressivement les sanglots de celle-ci s’espacèrent. Béatrice
continuait son récital sur mes fesses.
‘Dis donc, fit Catherine, tu as eu du mal à t’y mettre, mais
maintenant que tu es dedans, tu ne t’arrêtes plus !
– J’ai commencé après toi. Il est bien normal que je finisse
après. Autrement, Daniel n’aurait pas eu son compte ! »
Encore quelques minutes et l’avalanche de claques sur mes
fesses cessa également.
« Voilà qui est parfait ! Je pense qu’il sera
attentif à ne plus laisser de bourrage dans le photocopieur ! »
L’heure de la fin de journée de travail était passée, mais
Catherine ne nous libéra pas pour autant.
« Mettez-vous un peu au coin, le temps que Béatrice et
moi nous fermions la maison ! »
Cela ne m’inquiéta pas. Cinq ou dix minutes de plus au coin
n’étaient pas pour m’affoler. J’en voyais le bout. Mes deux collègues
n’allaient pas s’éterniser ici, il n’y avait aucun risque. Cette journée
cauchemardesque tirait à sa fin. Effectivement, un petit quart d’heure plus
tard, nous étions dehors. Je fis attention aux marques de politesse avant de
les quitter et je pris le chemin de la maison.
« Au moins ces fessées ne seraient pas complétées par
une punition de la main de Madame Tolbois, pensais tout en cheminant. »
C’est à ce moment-là la réalité de ma situation me sauta au
visage. J’avais au moins vingt minutes de retard. J’aurais dû être rentré à
cette heure-ci. Même en faisant vite, je n’aurai pas moins d’un quart d’heure
de retard. Si Madame Tolbois était à la maison, cela ne pourrait passer
inaperçu. Elle était très attentive à mes horaires de retour du travail.
Que pourrais-je bien lui raconter. La vérité ? C’était
totalement exclu. Il fallait me lancer dans un mensonge en espérant qu’il ne me
retombe pas dessus. Elle allait tout de suite penser que j’avais été puni au
travail, ce qui était vrai mais il était totalement exclu que j’en fasse état.
Que faire ? Pourvu qu’elle soit absente !
Je fus encore distrait par un accrochage entre deux
voitures, ce qui me fit perdre encore quelques minutes. Un petit attroupement
s’était formé. Il y avait des éclats de voix, mais ils ne venaient que d’une
personne. C’était une femme qui grondait un Monsieur. Il n’y avait pas d’autre
mot. Il restait silencieux sous le torrent de reproches. Même quand la femme
s’exclama :
« C’est une bonne fessée qu’il vous faudrait pour
conduire aussi imprudemment ! Imaginez qu’il y ait eu un
enfant ! »
La promesse d’une fessée me rappela ce qui m’attendait à la
maison compte tenu de mon retard. J’avais assez traîné. Je repris le chemin de
la demeure de Madame Tolbois en accélérant le pas.
« C’est à cette heure-ci que tu rentres ? Où
étais-tu passé ? »
Ça aurait été trop beau. Madame Tolbois était là.
« Euh … je …
– Fais attention à ce que tu me dis, je n’aime pas les
mensonges !
– Non Madame mais je n’ai pas … »
Comment dire les choses sans mentir ? Sans le vouloir,
Madame Tolbois vint à ma rescousse.
« As-tu été fessé aujourd’hui par Madame Raveneau ou
Madame Colas ? »
Je ressentis un soulagement certain.
« Non Madame !
– Es-tu certain que tu n’as pas de courrier à me
montrer ?
– Non, Madame, je suis sûr !
– Ne te fais pas d’illusion, Daniel, j’irai vérifier lundi
et tu sais que si tu ne m’as pas dit la vérité, ce sera une punition
magistrale.
– Oui Madame, je le sais. »
Ma voix n’était pas des plus assurées. Madame Tolbois eut un
petit moment de réflexion.
« Pour l’instant, je vais te croire, mais si lundi
j’apprends que tu m’as menti, tu vas le regretter ! »
Etais-je tiré d’affaire ? Pas encore tout à fait.
« Comment se fait-il que tu arrives si tard ?
Qu’as-tu fait en chemin ?
– Je n’ai pas fait attention à l’heure et j’ai mis plus de
temps.
– Vingt minutes de plus sur un si court trajet ? Si tu
n’avais fait que flâner, tu aurais mis cinq minutes de plus, c’est à peu près
tout. Qu’as-tu fait en chemin ? »
Evidemment, les incohérences de mon récit ressortaient
immédiatement. Il me fallait trouver une raison plausible.
« Je me suis arrêté pour regarder, devant la superette.
– Et qu’y avait-il de si intéressant pour que tu prennes le
risque de recevoir une fessée en rentrant à la maison ? »
Chaque mensonge me renvoyait à une nouvelle question dont je
n’avais pas plus la réponse qu’avant.
« Je … je … je ne sais pas Madame.
– J’ai vraiment l’impression qu’il y a une histoire pas très
claire là-dessous. J’ai l’impression que tu me mens. Ai-je raison ? »
L’idée même que Madame Tolbois allait en rester là était
risible. Elle chercherait jusqu’à ce qu’elle trouve. Il me fallait une raison
coute que coute qui stopperait ses investigations.
« Il y a eu un accident, Madame, et je suis resté à
regarder jusqu’à ce que je me rende compte de l’heure. Un accrochage entre deux
voitures et la conductrice de l’une des voitures a grondé le Monsieur de
l’autre.
– Grondé, tu veux dire qu’ils se sont disputés ?
– Non, pas vraiment. Elle lui a dit qu’il mériterait une
fessée.
– Ah, bien ! Je vérifierai cette histoire également. Pour
le moment, c’est pout ton retard que je vais te punir. »
C’était logique, normal pensais-je dans ma tête. Madame
Tolbois m’attrapa par le bras et elle me fit approcher d’elle. Elle me plaça
debout face à elle et elle entreprit de me déculotter, ce qui se fit sans que
j’y mette aucune entrave. Le droit de me punir de Madame Tolbois n’était pas
contestable.
Je n’étais pourtant en rien responsable. Je n’avais donc pas
mérité cette fessée. Ce n’était pas juste et autant je ne trouvais plus rien à
dire quand Madame Tolbois me punissait à bon escient, cela faisait partie de
son rôle, autant l’idée de recevoir une fessée pour un motif infondé me
révoltait. Il aurait fallu protester, mais j’aurais alors dû dire la vérité, ce
qui n’était pas possible. Je gardais mes objections pour moi et je me résignais
à la fessée. Pourvu qu’elle ne soit pas trop forte.
Avec Madame Tolbois, une fessée était toujours bien trop
forte. Même quand elles étaient courtes et j’en recevais de nombreuses de cette
sorte-là, ma logeuse y mettait une telle intensité que j’en sortais toujours
les fesses brûlantes.
« Viens-ici, mon grand ! »
Culotte baissée, tenu par le coude, je contournais les
genoux de Madame Tolbois qui me plaça à sa droite. Nous avions tous deux
l’habitude de ces situations. Chacun savait ce qu’il avait à y faire et
j’aurais pu me mettre en position tout seul, mais Madame Tolbois tenait à
diriger les opérations. Je me contentais de suivre ses indications. Tenu par le
coude, poussé dans le dos, je tombais à plat-ventre en travers de ses genoux.
J’attendais la première claque. Elle ne vint pas. Je sentis des doigts prendre la
peau de mes fesses, comme pour en vérifier la texture.
« C’est bizarre, la couleur de la peau de tes fesses
donne l’impression que tu as reçu une fessée. Es-tu bien certain de ne pas
avoir été puni ? »
Une magistrale claque embrasa mes fesses.
« Aïe, non Madame, non. »
Je m’enfonçais dans les mensonges. Je songeais avec terreur
au moment où Madame Tolbois découvrirait la vérité.
« Comment se fait-il alors que tes fesses donnent
l’impression d’avoir été rougies récemment ?
– Je suis tombé, Madame, sur les fesses. »
Mon explication n’eut qu’un succès mitigé.
« Tu te doutes bien, mon petit chéri, que je ne vais
pas en rester là. Je tirerai cette affaire au clair ! »
La première volée de claques me fit comprendre que cette
incertitude dans laquelle évoluait Madame Tolbois ne la satisfaisait pas. Mes
fesses en ressentiraient le contrecoup.
« Voyons si je peux t’apprendre à ne plus musarder en
rentrant du travail ! »
La fessée fut cuisante dès le début. C’était l’une de celles
qui ne laisse pas de répit tant le rythme en était rapide. Toutes mes
préoccupations pour le lendemain s’effacèrent. Celles du moment suffirent.
Madame Tolbois persévéra jusqu’à ce que mes sanglots ne lui laissent aucun
doute sur l’ancrage dans ma mémoire du message qu’elle voulait me passer. Elle
insista même un peu plus afin d’être certain que cette fessée ne me fût pas
donnée en vain.
J’attendis le dîner au coin et bien qu’il m’y faille rester
plus d’une heure, je ne trouvais pas matière à m’en plaindre.
Que s'est-il passé dans les épisodes précédents ?
Pour tout comprendre, il faut lire ce qui a précédé :
- Le premier épisode : chapitre 1 et les vingt-huit qui ont suivi dans la saison une. Pour avoir accès à un épisode particulier, voir la page mes récits
- L'épisode précédent : chapitre 39
Il y a une suite, c'est le chapitre 41
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Bonjour,
RépondreSupprimerA quand les fessées de Catherine et Béatrice devant tout le monde ?
Merci
Cher lecteur anonyme,
SupprimerJe ne sais pas s'il faut que ces deux-là reçoivent une fessée. Certes, ce qu'elle font est illégitime, mais s'il fallait que toutes les personnes commettant un acte illégitime, se prennent une fessée... Il y en a en effet quelques-unes qui se perdent. N'en auriez pas, vous-même, mérité quelques-unes ?
De plus, Catherine et Béatrice font oeuvre utile. La plupart des fessées qu'elles donnent sont justifiées.
Enfin, je suis vraiment désolé, mais la fin de cet épisode est déjà écrite et je n'ai pas l'intention de la changer. Rendez-vous dans quelques semaines, vous verrez à ce moment-là !
Au plaisir de vous lire,
JLG.
Dommage ,
Supprimerje ne trouves pas du tout que la fessée de Magalie pour la photocopieuse , plutôt Catherine qui l'a méritée
Tant pis
Bonjour cher lecteur anonyme,
SupprimerNe vous méprenez pas sur le sens de mon précédent courriel. En aucun cas j'ai dit que Catherine et Béatrice ne recevraient pas le juste retour de leurs actions.
Soyez patient. Il va se passer des choses ... mais il faut attendre un peu.
Au plaisir de vous lire,
JLG.
Parfait , cela aurait été trop injuste
SupprimerMerci d'avance
PS:les ages de Catherine et Béatrice ?
Bonjour,
RépondreSupprimerBonnes descriptions imagée des séquences fessées. Les caractères et attitudes des personnages sont bien définis et donnent de la clarté au récit dont on suit le déroulement avec plaisir... de lire...
Ramina
Merci Ramina,
SupprimerLes compliments d'un auteur à un autre en illustration de quelques récents échanges par courriel que nous avons eu.
Au plaisir de vus lire,
JLG.