"Comme cela ne fait que deux jours que j'ai commencé à travailler ici, nous ne nous connaissons pas encore très bien, mais cela va venir très vite. Sachez que j'ai bien l'intention d'exercer mes fonctions avec la conscience professionnelle dont j'ai fait preuve dans toutes les maisons dans lesquelles j'ai été embauchée. Il n'y a pas de raison que cela change.
Je ne sais pas comment s'y prenait votre précédente gouvernante, Mademoiselle, mais vous apprendrez que je tiens toujours mes promesses. Cela fait plus de dix ans que je m'occupe d'éduquer les enfants des personnes chez qui je travaille. Vous n'êtes donc pas la première.
Sans doute ne m'avez-vous pas cru quand je vous ai promis une fessée à votre prochaine désobéissance ? J'ai bien vu votre petit sourire ironique et votre haussement d'épaule dédaigneux quand je vous ai avertie, cet après-midi, que je ne tolérerai pas une désobéissance de plus.
Voyez-vous, d'avoir vingt-six ans ne vous met pas à l'abri de recevoir une bonne fessée. Je suis certaine que vous allez apprendre rapidement à m'obéir.
Je vous avais ordonné d'aller vous mettre au lit tout de suite. Avec moi, pas question que les enfants veillent trop tard. Vingt-et-une heures, c'est le bon moment pour dormir. J'aurai dû vous fesser sur le champ quand vous avez protesté contre ma décision. Non, Mademoiselle, vous n'êtes pas trop âgée pour vous coucher d'aussi bonne heure.
J'ai bien remarqué que vous montiez dans votre chambre en traînant les pieds et en montrant votre mauvaise humeur. Vous gronder et vous donner une petite claque sur le fond de votre robe n'aura pas suffit. Vous auriez dû prendre en compte cet avertissement. J'étais certaine en pénétrant dans votre chambre, de vous trouver à faire tout autre chose que ce que je vous avais ordonné. Je n'ai pas été déçue.
Je vous trouve bien naïve de penser que vous alliez réussir à m'empêcher de vous coucher sur mes genoux pour y recevoir votre fessée. Relever votre chemise de nuit n'a pas pris plus de temps qu'il ne faut pour le dire.
Cessez donc de vous débattre ! Plus vous résisterez, plus la fessée sera longue et douloureuse ! Je n'arrêterai pas avant que vous ayez compris que vous avez mérité cette correction et que vous ayez accepté de vous y soumettre comme une conséquence salutaire de vos caprices. Et si vous insistez de trop, j'irai chercher le martinet. Quelques traces de ses lanières sur vos fesses vous ramèneront à de meilleurs sentiments. Vous aurez toute la nuit pour y penser en sentant la brûlure laissée par le cuir sur votre postérieur.
Je suis d'accord avec vous. Il y a de fortes chances que votre frère et votre sœur entendent le bruit que ma main fait en claquant vos fesses. J'ai d'ailleurs intentionnellement laissé la porte de votre chambre ouverte. Il est bon que ces deux-là comprennent ce qui arrive aux enfants désobéissants. Puisque, à vingt-six ans, la fessée déculottée est encore un mode de punition pertinent pour vous, ils vont savoir qu'à vingt et vingt-trois ans elle sera tout à fait adaptée quand il s'agira de les punir à leur tour. Vous voyez, je fais d'une pierre deux coups !
Je conçois votre surprise. Vous n'étiez pas habituée à répondre de vos désobéissances. J'ai compris que votre précédente gouvernante n'avait plus aucune autorité sur aucun de vous trois. Vous lui avez mené la vie dure depuis que vous vous prenez pour des grandes personnes. C'est pour cela qu'elle a préféré partir. Sachez bien que ces temps-là sont finis.
Vous allez prendre l'habitude, au moindre écart, de vous retrouver à plat-ventre en travers de mes genoux. Ne vous y trompez pas : cela ne se passera pas toujours dans votre chambre. Il est plus que probable qu'une des prochaines fois où je vous administrerai une correction, ce sera en public, soit devant vos parents ou en présences de votre frère ou de votre sœur, soit devant l'un des domestiques de la maison. Ne comptez sur aucune mansuétude de ma part, vous recevrez la fessée là où vous l'avez méritée et je baisserai votre culotte quelles que soient les personnes présentes.
J'ai exigé que Madame me donne carte blanche. J'ai maintenant la haute main sur la discipline dans cette maison. Il y en a grandement besoin. J'ai expliqué à Madame qu'il en avait toujours été ainsi partout où j'ai travaillé. Elle a un peu hésité quand je lui ai expliqué quelle méthode j'employais, mais elle s'est faite à l'idée.
Elle ne sera donc pas étonnée quand elle apprendra que vous avez reçu une bonne fessée à l'heure de vous coucher. Vous irez lui expliquer ce qui s'est passé et lui en demander pardon demain matin, avant de prendre votre petit déjeuner. Il est bon que tout le monde sache comment vous avez été punie. Si Madame le demande, je vous fesserai de nouveau et vous passerez votre petit-déjeuner au coin dans la salle à manger, les fesses nues.
J'ai exigé que Madame me donne carte blanche. J'ai maintenant la haute main sur la discipline dans cette maison. Il y en a grandement besoin. J'ai expliqué à Madame qu'il en avait toujours été ainsi partout où j'ai travaillé. Elle a un peu hésité quand je lui ai expliqué quelle méthode j'employais, mais elle s'est faite à l'idée.
Elle ne sera donc pas étonnée quand elle apprendra que vous avez reçu une bonne fessée à l'heure de vous coucher. Vous irez lui expliquer ce qui s'est passé et lui en demander pardon demain matin, avant de prendre votre petit déjeuner. Il est bon que tout le monde sache comment vous avez été punie. Si Madame le demande, je vous fesserai de nouveau et vous passerez votre petit-déjeuner au coin dans la salle à manger, les fesses nues.
Puisque vous n'avez aucune envie de dormir, dès que cette fessée sera terminée, vous irez au coin. Pour ce soir, ce sera dans votre chambre. Vous y resterez jusqu'à ce que je vous donne l'autorisation d'en sortir, à y réfléchir aux avantages de l'obéissance. Cela vous fera le plus grand bien."
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