Magali n’en pouvait plus. Les deux temps en pénitence
cumulés, cela faisait plus d’une heure qu’elle se tenait au coin, immobile, les
bras croisés dans le dos. Ses fesses avaient eu le temps de refroidir depuis
longtemps. Sans doute portaient-elles encore quelques marques laissées par la
règle. Pas trop, espérait-elle, se demandant bien comment elle arriverait à
l’expliquer à sa mère quand elle lui baisserait la culotte, ce qui, comme
d’habitude, devrait bien arriver deux ou trois fois dans le week-end, fessée
oblige.
Ce n’était pas le petit courant d’air frais qui montait de
ses genoux, ignorant la culotte qui s’y trouvait, glissait le long de ses
cuisses, caressait ses fesses pour se perdre dans les vêtements qu’elle portait
sur le haut de son corps, qui l’indisposait. Il n’avait rien d’agréable, mais
on pouvait faire avec.
Non, c’était du côté de ses bras que se situait le problème.
Ils étaient pourtant dans une position qui n’était pas inconnue. Ce n’était
évidemment pas la première fois qu’elle devait se tenir au coin en croisant ses
bras derrière le dos. Elle n’y était pas restée non plus pour un temps plus
long que d’habitude. Une heure, ce n’était pas anodin, mais cela ne constituait
pas un record. Peut-être avait-elle été trop crispée ou trop relâchée dans les
premières minutes de pénitence ? Elle n’en savait rien.
Ce qui était sûr, c’est quelque ne pourrait pas rester
encore trop longtemps dans cette position, ce qui posait un grave problème.
Catherine attendait la plus parfaite immobilité. Si elle bougeait et que
Catherine s’en apercevait … c’était la fessée à coup sûr ! Magali ne
voulait pas recevoir une nouvelle fessée. Il y en avait déjà au moins une au
programme de l’après-midi et ses fesses étaient encore sensibles. C’était
l’effet de la règle.
Un début de crampe s’empara du bras droit de Magali. Elle ne
pouvait pas rester ainsi. En faisant doucement et discrètement … Magali fit
descendre tout doucement sa main droite. Elle y allait centimètre par
centimètre. Sa main gauche suivait. Il ne fallait pas que l’attention des deux
femmes qui papotaient sans s’occuper d’elle soit attirée par un mouvement trop
brusque ou un changement de position de ses bras.
Tout se déroulait parfaitement. Descendre son bras de dix
centimètres avait suffi. Il était moins replié et cela permit de faire
disparaître la crampe. Pour quelques minutes. Elle réapparut presque aussi vite
qu’elle s’était éclipsée. Il fallait continuer le mouvement.
Un morceau de sa jupe glissa entre ses doigts engourdis.
Elle ne réussit pas à le rattraper. Elle senti le tissu qui tombait sur ses
fesses, en en recouvrant une petite moitié.
« Mais, qu’est-ce que c’est que ça ? »
C’était la voix de Béatrice.
« Cette petite chameau se donne des libertés avec les
règles du coin ! »
Catherine semblait offusquée de l’impudence de Magali.
« Tu ne veux pas, également, qu’on te trouve un
transat, si la position au coin est trop pénible ? Pourquoi crois-tu qu’on
t’y mette ?
– Donne-lui une fessée, proposa Béatrice.
– Non, toi !
– Moi, mais …
– C’est toi qui t’es aperçue la première quelle prenait ses
aises. C’est donc à toi de sévir. Il faut que tu prennes tes responsabilités. »
Béatrice hésita. Elle avait été d’accord avec Catherine pour
qu’elle fesse Daniel, puis Magali, elle l’avait même encouragée. Mais elle
était toujours restée en retrait. Catherine lui proposait, non, elle exigeait
qu’elle jouât le premier rôle.
« Oui, mais je ne saurais pas.
– Parce que tu crois qu’il faut faire des études pour
apprendre à donner une fessée ? Tout le monde sait le faire. A
toi ! »
Béatrice s’approcha de Magali. Elle ne voulait pas décevoir
Catherine qui pouvait devenir acerbe quand on n’accédait pas à ses désirs. Il
était préférable de lui obéir. Béatrice n’avait aucune envie de devenir la
cible des incidents que Catherine était si habile à provoquer.
Elle n’était pas sûre d’elle quand elle s’approcha de
Magali. Elle préféra ne rien dire tant sa gorge était sèche. C’était la
première fois qu’elle donnerait une fessée et elle n’était pas certaine de
savoir comment s’y prendre.
Elle envisagea, dans un premier temps de fesser Magali sur
place, sans lui faire quitter le coin. Elle lui asséna quatre ou cinq claques
sur les fesses dans cette position, mais elle n’était pas bien placée pour y
donner suffisamment de force. La fessée n’avait qu’un effet limité, ce qui
agaça Catherine très vite.
« Prends-la sous ton coude ou sur tes genoux, tu y
seras plus à ton aise. »
Un regard vers Catherine lui confirma qu’elle devait
s’exécuter au plus vite. Saisissant Magali par le bras, elle l’éloigna de
l’angle de la pièce. Elle visualisa, dans sa tête, comment Madame Colas s’y
prenait. C’était une bonne référence, lui sembla-t-il. Son bras entouré la
taille de Magali et elle pesa légèrement, de son coude, sur le dos de la jeune
femme. Celle-ci se courba, obéissant à la pression. Cela se passa en douceur.
Béatrice avait maintenant l’impression de dominer Magali, aussi bien physiquement
que psychologiquement. Cela l’aida à entrer plus à fond dans la tâche qu’elle
avait à accomplir.
Comme Madame Colas le lui demandait habituellement, Magali avait
mis ses bras devant elle, pour laisser le terrain libre à la main qui devait
s’occuper de la punir. Sa jupe, qui n’était plus tenue, était retombée sur ses
fesses. Béatrice n’envisageait plus maintenant autre chose qu’administrer une
véritable correction. Par sa passivité, Magali confirmait qu’elle était
méritée. La désobéissance au coin était flagrante. Béatrice prit le bas de la
jupe et le retroussa au-dessus des reins de Magali.
Magali geignait doucement et ses fesses étaient parcourues
de petites crispations qui se déplaçaient sur toute leur surface. Béatrice posa
sa main sur un globe fessier pour en éprouver la texture et la forme. Sa main
l’épousait parfaitement. Elle y vit un encouragement. Elle resserra l’emprise
de son bras autour de la taille de la jeune femme. Elle n’avait plus aucun
doute sur sa légitimité à fesser Magali. Saurait-elle être assez sévère ?
C’était la seule question important qui attendait encore une réponse.
Béatrice leva le bras. Elle vit les fesses de Magali se
contracter. Quand sa main s’abattit, le bruit qu’elle provoqua, la rassura.
Cela avait claqué fort et là où la main avait porté, une marque rouge apparut,
qui, en quelques secondes fonça légèrement avant de s’estomper un peu, tout en
s’étalant tout autour de là où avait eu lieu l’impact initial.
S’il en avait été besoin, la réaction de Magali la conforta.
La jeune femme tendit ses muscles et son mouvement, presque comme si elle avait
voulu se relever, fut contenu par le bras qui la ceinturait. Un cri net émergea
des gémissements.
« Bon début, pensa Béatrice, c’est bien plus facile que
je ne le pensais. Voyons un peu si je peux faire plus forte impression. »
Elle le pouvait. C’est ce que semblait dire Magali ou plutôt
ce qu’indiquaient ses réactions alors que la fessée n’en était qu’à ses débuts.
Béatrice découvrit l’énergie qu’il fallait mettre pour maintenir la punie à sa
place. Même s’il n’y avait aucune intention de se rebeller dans les gestes de
Magali, ses mouvements instinctifs étaient soudains et désordonnés. Le bras qui
la maintenait en place glissait. Il fallait alors reprendre plus fermement la
taille de la jeune femme sous contrôle.
Béatrice s’aperçut bientôt que cela ne gênait pas vraiment
le déroulement de la fessée. Magali, s’étant tortillée dans un sens, puis dans
l’autre revenait à sa place. Il suffisait de suivre les petites oscillations du
bassin pour trouver les fesses juste sous la main quand il le fallait. Elle
laissa donc un peu plus de liberté pour gigoter à sa punie.
Béatrice sut qu’elle avait atteint son but quand Magali
éclata en sanglots. Les fesses étaient rouges depuis longtemps, mais il était
encore possible de leur faire prendre des couleurs. Elle s’y employa,
satisfaite que Magali réponde aussi pleinement à la punition qu’elle lui
administrait.
« Le pense que tout le monde est satisfait. Catherine à
qui j’ai montré que je la suivais dans l’administration des fessées et Magali
qui a reçu la punition dont elle avait grand besoin. »
Magali se dépêcha de regagner son coin dès que Béatrice lui
en laissa la possibilité. Curieusement, elle ne fut plus assaillie par les
crampes. Elle disposait maintenant d’une excellente raison pour rester
immobile.
« Allons, ma grande, va te remettre au coin dans le
bureau. J’arrive m’occuper de toi dans cinq minutes. »
Magali se doutait qu’il devait bientôt être l’heure de
reprendre le travail. Elle changea de pièce, mais pour retrouver la même
position. Que Catherine veuille s’occuper d’elle l’inquiétait. Elle avait eu un
vague espoir d’en avoir fini avec les fessées pour aujourd’hui, mais les
consignes qui venaient de lui être données, ne la rassuraient pas.
Catherine vint s’occuper d’elle. Ce fut, en fait, Magali qui
se rendit là où Catherine l’attendait. Elle s’était placée exactement là où
Madame Colas lui avait donnée cette série de fessées si douloureuses et
humiliantes en début de semaine.
Elle ne fut pas surprise quand Catherine le replaça en
position disciplinaire, courbée sous le bras et qu’elle retroussa sa jupe. La
fessée était inéluctable, pourtant elle fit une timide tentative.
« J’ai compris, Madame, je vais vous obéir. Je sais que
vous me donnez la fessée quand je l’ai méritée. Vous en avez le droit. Ce n’est
plus nécessaire de me donner la fessée pour ça.
– C’est bien, ma grande. J’ai enfin l’impression que je
n’aurai plus de mal à te punir quand tu en auras besoin. Mais ce n’est pas pour
cela que je n’irai pas au bout de ta punition. Si je m’arrête en chemin, tu
risques d’oublier toutes tes bonnes résolutions. »
Magali laissa échapper un gémissement de désespoir. Elle
n’était pas au bout de la correction, loin de là.
« J’ai trouvé que la punition que Madame Colas t’a
donnée était particulièrement adaptée. Elle t’a laissée les fesses brûlantes
toute une journée. Je vais faire pareil. Je n’y suis pas trop mal arrivé
jusque-là, non ? Qu’en dis-tu ? »
Sa main caressait négligemment les fesses nues.
« Oh oui Madame. »
– Je suis contente que ça te satisfasse. Nous allons pour
voir continuer. Tu as de la chance, je ne vais pas utiliser la règle, seulement
ma main. »
Les bruits que faisait Magali étaient difficilement
interprétables. Soupir de soulagement puisque la règle lui serait
épargnée ? Couinement de résignation à la pensée de la fessée qui ne
saurait tarder ? Râle de dépit quand le doigt de Catherine se mit à suivre
la raie de ses fesses et les plis de peau qui se dessinaient à la jonction de
ses fesses et de ses cuisses.
« Tu as encore deux fessées à recevoir d’ici la fin de
la journée. Deux, en ce qui me concerne. Une tout de suite et une autre avant
de rentrer chez toi ce soir. Avec ça, tu devrais savoir ce qui t’arrivera si tu
me désobéis encore. S’il a une autre fois, ce sera à la règle, et à chaque
fessée ! »
Les punitions étaient bien trop rapprochées pour que les
fesses de Magali aient eu le temps de récupérer entre deux corrections. Le pic
de douleur fut atteint quasi immédiatement mais Magali ne se posait pas cette
question. Tout ce dont elle se rendait compte, c’est que ses fesses étaient une
fournaise qui la brûlait et que ce n’était que le début de la correction. Elle
n’avait pas d’autre choix que de la subir jusqu’au bout.
Elle laissa libre cours à se cris et ses pleurs, c’était la
seule façon qu’elle avait trouvée pour avoir le sentiment d’avoir un peu moins
mal. Ce n’était qu’un faux-semblant, mais c’était le seul qu’elle avait à sa
disposition.
L’abandon de Magali entre ses bras confirma à Catherine que
la jeune femme avait abandonné toute volonté de lui résister. Il était inutile
d’aller trop loin. Au contraire ! Il fallait garder de réserves de
sévérité au cas où elle en aurait besoin lors d’une prochaine désobéissance. Ce
qui comptait, c’était que Magali s’en remettait à elle quand elle avait décidé
de la punir. Elle irait, malgré tout jusqu’au bout.
« Une fessée promise doit être donnée, se dit-elle. Il
faut tenir ses engagements, particulièrement en matière de discipline. »
Elle en rajouta encore un peu, pour faire bonne mesure. Puis
elle relâcha Magali qui mit quelques minutes à reprendre le contrôle de ses
cris et de sa respiration.
« Comme lorsque Madame Colas t’avait punie, tu vas
passer l’après-midi la culotte baissée. Va travailler ! Et je te
vérifierai ce que tu as produit dans ton après-midi ! »
Le calme régna dans le bureau toute l’après-midi. Magali
n’avait aucune envie de parler et moi je ne voulais pas me signaler. J’étais
encore étonné d’avoir pu passer tout le début de la journée sans que Catherine
ait trouvé un prétexte pour me fesser, alors que l’absence de nos supérieurs
hiérarchiques lui en laissait la possibilité. Je commençais à croire que
j’allais passer à travers, mais ma chance m’abandonna.
C’est la photocopieuse qui me laissa tomber. J’avais à
photocopier un document en cinq exemplaires. Je les récupérais et je les mis
directement dans la bannette de Madame Raveneau à qui elles étaient destinées. Je
n’étais retourné à mon poste de travail depuis bien longtemps quand Catherine,
qui était devant la photocopieuse se mit à râler.
« Qui a laissé un bourrage sans s’en
occuper ? »
J’étais assez serein, ayant récupéré mes exemplaires,
jusqu’à ce que Catherine exhibe les feuilles qui empêchaient la photocopieuse
de fonctionner.
« Le tableau de bord des chiffres de la semaine,
Daniel, c’est bien toi qui t’en occupe ?
– Oui, mais je …
– Est-ce toi qui as photocopié ce document ? »
Elle avait posé, sur mon bureau, les feuilles froissées
qu’elle avait retirées de la photocopieuse. Je restais silencieux. Je sentais
que le sang s’était retiré de mon visage. Je savais où tout cela me menait.
« Je vais prendre ton silence pour un aveu. »
Je baissais la tête. Qu’y avait-il à dire ? Catherine
avait raison. Les photocopies que j’avais faites n’avaient pas été jusqu’au
bout. Le dernier exemplaire était resté dans la machine et je ne m’en étais pas
aperçu. Cette négligence m’avait déjà valu des remarques et depuis peu Madame
Colas était passée aux punitions.
« Que ce serait-il passé si tu avais cette bêtise alors
que Madame Colas eût été présente ? »
Je marmonnais une réponse si basse que personne n’entendit,
peut-être Catherine, mais cette discrétion ne lui allait pas.
« Plus fort, on ne t’entend pas !
– J’aurais été puni.
– Faut-il t’arracher les mots de la bouche ? Et comment
aurais-tu été puni ?
– Une fessée.
– C’est exact, une fessée ! Ce serait donc dommage que
tu n’en bénéficies pas sous prétexte que Madame Colas soit absente, tu ne crois
pas ? »
Il n’y avait pas de bonne réponse à cette question. Je
restais donc muet. Cela ne convenait pas à Catherine. Elle me prit par
l’oreille qu’elle secoua un peu.
« J’attends ta réponse !
– Si Madame, si.
– Alors ce serait bien dommage de t’en priver ! »
Tirant sur mon oreille, Catherine m’obligea à me lever. Elle
prit ma place sur mon fauteuil et elle entreprit de ma déculotter aussitôt.
« Tu es beaucoup trop négligent dans ton travail,
gronda-t-elle en me baissant le pantalon ! Tu dois apprendre à faire
attention à ce que tu fais. »
Et ma culotte était à hauteur de mes genoux.
« Puisque tu ne sais pas le faire par toi-même, une
fessée va t’y aider. »
Elle m’avait allongé en travers de ses genoux.
« Puis tu iras au coin pour le reste de l’après-midi. »
Ma chemise, relevée dans mon dos, laissait toute la place
pour administrer la fessée. Malheureusement pour moi, Catherine avait appris de
sa pratique intensive. Dès les premières claques, je sentis mon postérieur s’enflammer
et cela alla crescendo et mes « aïe » accompagnaient chaque contact
de la main de Catherine avec ma peau.
Quand elle accéléra le tempo, ce fut un long cri qui sortit
de ma gorge. Il s’acheva en une cascade de sanglots. Je ne sais d’où vient
cette nécessité d’extérioriser la honte et la douleur quand on prend une
fessée. La fierté d’adulte supposerait plutôt de limiter au maximum les
réactions visibles durant une correction. J’avais, pour ma part, abandonné
toute volonté de conserver un semblant de l’attitude d’une grande personne
pendant une fessée déculottée. Je laissais mon instinct ma guider et cela me
conduisait à crier, à supplier et à pleurer sans me poser aucune question sur
l’image que cela donnait de moi-même. Il me semblait que cela rendait la fessée
plus supportable.
J’observais que, passé les premières corrections pendant
lesquelles certains tentaient de modérer l’extériorisation de leur douleur,
tous ceux qui avaient reçu une fessée devant moi, en étaient venus au même
comportement. Les cris les pleurs et les supplications marquaient leur
renoncement à leurs prérogatives d’adultes.
« Je pense que cela suffira pour cette fois. Le coin
t’attend. Dépêche-toi de t’y mettre ! »
Que s'est-il passé dans les épisodes précédents ?
Pour tout comprendre, il faut lire ce qui a précédé :
- Le premier épisode : chapitre 1 et les vingt-huit qui ont suivi dans la saison une. Pour avoir accès à un épisode particulier, voir la page mes récits
- L'épisode précédent : chapitre 38
Il y a une suite ... le chapitre 40
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