mercredi 13 juin 2018

Ces dames aux mains fermes - chapitre 3


Chapitre 3 – Le respect cela s'apprend,


Gladys était en proie à une colère froide, encore à peu près maîtrisée, mais qu’elle n’allait pas manquer de laisser exploser sur les fesses de son fils, décidément incorrigible. Une seule fessée ne suffisait pas, un deuxième service s'imposait comme une évidence.
 La prestation de Patricia s‘était pourtant révélée convaincante. La belle rougeur veloutée, bien répartie sur toute la surface des fesses de Robin témoignait de la qualité de la fessée qu’elle venait de lui administrer. Pas de marque disgracieuse, aucune trace de doigt. Elle l‘avait fessé avec fermeté et dextérité, d’une main souple, bien enveloppante qui lui avait transformé le derrière en un magnifique brasero incandescent. La raie sombre qui séparait les deux fesses en rendait, par contraste, la couleur encore plus éclatante.

Sa nature généreuse n’avait pas lésiné sur la puissance des claques. La maîtrise dont elle venait de faire preuve dans la conduite de la correction confirmait l’efficacité des leçons de fessée que sa maman lui prodiguait depuis qu’elle était en âge de déculotter et claquer une paire de fesses. Précoce en la matière, elle avait commencé à pratiquer assez tôt, fortement stimulée par sa mère qui avait décelé en elle, une deuxième main prometteuse. Elles ne seraient pas trop de deux pour assurer l’entretien régulier des fessiers récalcitrants de ces messieurs dévergondés.

Selon les règles de politesse et de soumission fixées dans la maison,  Robin aurait dû remercier sa sœur de lui avoir aussi bien claqué les fesses, mais leur niveau de cuisson assez élevé, lui en avait fait oublier l’obligation. Gladys, n’allait certainement pas manquer de le lui rappeler. Cela lui vaudrait naturellement une fessée de rappel pour avoir négligé le protocole de remerciement après l’administration d’une correction. Le respect cela s'apprend.
Gladys quant à elle, nourrissait un sentiment partagé. A la fois songeuse devant l’attitude de son fils dont le manque évident de maturité se révélait tout de même assez préoccupant, et heureusement convaincue de la  bienfaisante nécessité d‘une deuxième fessée. Celle-là  beaucoup plus sévère, ne serait-ce que pour bien marquer la différence avec celle qu'administrait sa fille et affirmer sa position dominante dans la hiérarchie familiale.
« Mon pauvre ami, dit-elle en tirant son fils par l’oreille pour le relever, ce qu’il fait en couinant, les mains accrochées à celle de sa mère pour essayer d’atténuer la douleur.
  Aïe, aïe aïe!  Maman, mon oreille… ça fait mal !
– Ce n’est pas ton oreille qui m’intéresse mon chéri, ce sont tes fesses! Uniquement tes fesses ! J’ai vraiment l’impression que c’est toi qui ne te rends pas bien compte de ta situation. .
– Ah si maman, je me rends bien compte que j’ai les fesses en feu. Patricia a encore tapé fort !
Oui, mais pas encore assez ! Cette fessée n’a pas l’air de t’avoir fait suffisamment d’effet. Je vais remédier à ça tout de suite. Le meilleur moyen de te rafraîchir les idées c’est encore de te chauffer régulièrement les fesses. Tu as besoin de fessées Robin, de grosses fessées ... ça tombe bien, on en a plein la main ! Ta sœur vient de t’en coller une pour tes deux heures de retard, je vais maintenant t'en mettre une deuxième pour avoir essayé de nous mentir. Tu vois mon chéri, la vie n'est pas compliquée, deux ou trois bonnes fessées et tout est réglé !

Patricia éclate de rire en rajustant sa jupe sur ses cuisses. Elle fait quelques pas dans l’entrée pour se dégourdir les jambes et revient se placer devant eux pour assister au spectacle. Chacune son tour. Robin, slip aux cuisses, mains derrière le dos, n’a pas l’autorisation de se déplacer. A l‘annonce de sa nouvelle fessée, il devient soudain tout pâle et se met à trépigner sur place. Il ne se rend pas compte que ses fesses suivent le mouvement en tressautant ce qui les rend encore plus attirantes au regard des deux fesseuses qui n‘ont pas vraiment besoin de ce stimulus supplémentaire pour avoir envie de les prendre en main.
« Oh non Maman, s’il te plaît, pas une autre fessée. Je te promets de ne plus arriver en retard. Je te jure que…
– C’est cela … et pourquoi je te croirais. Combien de fois n’as-tu pas promis, juré, d’obéir, de cesser de mentir sans arrêt ? ... De ne plus recommencer ? Hein, combien de fois ?
Elle le maintient debout en le tenant toujours fermement pas l’oreille qui lui fait vraiment mal.  Au point de lui faire momentanément oublier la cuisson de ses fesses. Ça ne dure pas longtemps. Gladys, tout en le sermonnant, le fait sauter sur place en lui claquant les fesses de son autre main libre.
– « Com – bien – de – fois – tu – as – pro - mis – d’o – bé– ir ! »  
Reprend-elle en rythmant  chaque syllabe de claques sonores, envoyées en aller et retour d’une fesse à l’autre. Elle les claque par en dessous, du bas vers le haut pour les faire rebondir dans sa main et obliger Robin à les tortiller en cadence. C’est toujours plaisant de contempler une belle paire de fesses bien rouge tressauter sous les claques.
– « Alors comme ça je ne me rends pas compte ! Et ma main sur tes fesses là, tu t’en rends compte toi, au moins ?
– Oh oui maman, je la sens ! Arrête s’il te plait ! Elle claque fort, ça fait mal ! Très mal ! C’est trop, après la fessée de Patricia. »
 Gladys ne cède rien, indifférente à ses habituelles supplications, elle l’empoigne par le col de son blouson pour s’assurer une meilleure prise et accélère la cadence des claques.
Le traitement qu’elle lui inflige est d‘autant plus pénible qu‘il n’a pas eu l’autorisation de se reculotter. Il doit prendre sa fessée en sautillant, le pantalon toujours en accordéon sur les chevilles et le slip tendu au milieu des cuisses.

Fortement stimulé sous les claquées qui lui soulèvent le derrière, il amplifie  le mouvement de ses jambes qu’il lève l’une après l’autre, de plus en plus vite, pour finir par galoper sur place. Ça lui claque si rapidement aux fesses qu’il a l’impression d’être assis sur une main brûlante. Celle de sa mère qui s’en amuse et insiste:
« Tant que tu seras aussi insolent et mal élevé, tu t’en prendras plein les fesses mon cher. »
 Sa main ferme, paume ouverte et doigts tendus, virevolte d’une fesse à l’autre avec habileté et précision. Robin suit le rythme en sanglotant. Son nez coule. De la morve mêlée de larmes qu’il essuie sur sa manche de chemise.
 « Maman, Robin vient de se moucher dans sa chemise!  S’écrie aussitôt sa sœur qui ne perd pas une occasion de le stigmatiser.
 « Ça aussi ça mérite une fessée, claironne-t–elle ! Je peux la lui donner après, maman, si tu veux. Pour le moment il n’en est qu’à la deuxième. Retard, mensonges, et maintenant manque de soin de ses affaires… ça fait beaucoup quand même !
– Pour le moment c’est moi qui m’occupe de ses fesses et je n‘en ai pas encore terminé avec. D’ailleurs sois gentille, veux-tu bien débarrasser la banquette  je vais en avoir besoin. »
Tout en donnant ses instructions, et sans perdre une mesure, Gladys continue à faire sauter le postérieur en feu qu’elle a en main, contraignant son propriétaire à exécuter, sur place, un footing improvisé.
– Pose les sacs par terre, à côté. Ça ne craint rien. 
– Comme tu veux maman »
 Patricia s’exécute et libère la place sur la banquette. Elle se doute déjà à quoi elle va servir.
« Merci ma chérie, je vais le changer de position et le prendre sur mes genoux pour terminer sa fessée. Cette position-là est amusante, mais je ne peux pas taper assez fort pour lui cuir les fesses comme je le veux!
Puis s’adressant à Robin qui a profité de la légère baisse de rythme pendant le dialogue entre sa mère et sa  sœur.
« Allez, dernière claquée avant la fessée sur la banquette ! On détend ses fesses, et on me les fait bien souples sous la main, je veux une belle fessée bien retentissante ! »
  Non maman, ça suffit ! Hurle le malheureux, arrête les fessées s’il te plait ! Ça y est, tu m’as puni, je ne recommencerai plus ! ».
Campée sur ses quinze centimètres de talon aiguille elle le dépasse d’une tête ce qui lui permet de le mettre aisément dans la positon qu’elle veut. Elle le courbe sous son bras, le maintient fermement contre sa hanche et, sans difficulté, le soulève du sol pour lui monter les fesses à la bonne hauteur, à sa main.  Pour la deuxième fois en peu de temps Robin voit le sol se rapprocher de sa tête, obligé de prendre appui sur les mains pour tenir la position. Son cuisant fessier, déjà sévèrement corrigé par sa sœur, déploie ses volumineuses rondeurs écarlates à disposition de la nouvelle fessée. Pas de perte de temps, elles sont déjà déculottées, prêtes à recuire.
Gladys s’y emploie avec la fermeté nécessaire. Et ça claque de nouveau ! Robin se débat un peu, pour la forme, puis cette fois vaincu, s’abandonne à la terrible fessée qui lui éclate le derrière. La sœur fesse bien, mais la mère encore mieux.
Complètement relâché sous le bras de sa sévère maman, il se soumet à la correction en se contentant de remuer faiblement les fesses. La puissance des claques se charge de les faire tressauter naturellement. Il pleure, supplie, et  jure, comme d’habitude, d’être obéissant, et de ne plus jamais arriver en retard. Indifférente aux promesses jamais tenues, Gladys continue encore un moment puis, décide du changement de position pour la fessée suivante. Elle prend son élan et ponctue la fin provisoire de la séance de deux énormes claques sur chaque fesse. Robin se cabre sous son bras en hurlant  et se met à taper du pied comme un gamin en crise.
Ça n’émeut pas Gladys pour autant qui ironise sans retenue.
« Tu as raison mon chéri, n’hésite pas exprimer ce que tu ressens. Ces deux fessées commencent à faire leur effet et à justifier leur mission éducative. C’est bon signe. Je suis sûre qu’elles te font énormément de bien. On réfléchit beaucoup mieux les fesses rouges après une bonne déculottée. La fessée qui va suivre devrait confirmer cela. ».
Elle le redresse, en larmes et le traîne avec autorité par le bras, jusqu’à la banquette. Il trottine maladroitement à côté d’elle en se tenant le derrière à pleines mains, la démarche rythmée par le bruit métallique de sa boucle de ceinture qui rebondit sur le carrelage.  Imperturbable, indifférente à sa souffrance et à son humiliation, elle continue à détailler la punition en cours.
« Une fessée pour le retard, une fessée pour les mensonges, et maintenant une  fessée pour avoir manqué de respect à sa maman. Tu as déjà oublié que tu ne m’avais même pas dit bonjour en arrivant.
– Mais maman, je n’ai pas eu le temps, Patricia m’a mis une fessée tout de suite ! »


une fessée déculottée


 Gladys, fait semblant de ne pas avoir entendu.
« Quelle arrivée! En fanfare! Tu les cumules mon chéri !  Et c’est loin d’être terminé. Le meilleur reste à venir demain avec ton bilan scolaire et de ton carnet de punitions de la semaine. Il doit être bien garni,
« Non maman, non ! S‘il te plaît, ça suffit, j’ai promis ! Pas une autre fessée ! J‘en ai déjà eu deux !»
Elle s’en amuse ouvertement et le fait basculer sans ménagement à plat ventre sur ses cuisses. Il exécute  le mouvement dans un râle d'agonie qui se termine au niveau du carrelage,
« Et bien ça ne fera jamais que la troisième, ironise-t-elle. Elle en ajoute, d'une écœurante mauvaise foi. Et de toute façon, ce n’est pas une nouvelle fessée, c’est la même, mais dans une autre position ! »

Elle redescend son slip jusqu’à la pliure des genoux pour bien dégager ses fesses et les soulève en croisant  les jambes pour les placer à la bonne distance de sa main. Elles sont en position idéale, bien arrondies, tendues, prêtes à claquer et fêter avec éclat l’arrivée de la nouvelle fessée.
La tête de nouveau au ras du sol, Robin se prend le visage à deux mains en gémissant. 
« Ooooh maman…s’il te plait...Non.  Pas une autre fess... ! »
Il n’a pas le temps de terminer sa phrase. Gladys reprend les choses en main, sans état d‘âme. Ça claque aussitôt en mode retour aux cadences infernales. Elle ne l’a pas encore envoyé au coin, décidée à marquer la sévérité de sa punition en l’obligeant à encaisser ses fessées les unes après les autres, sans interruption de programme. Il subit cette dernière comme un véritable calvaire.

Appuyée, plus qu’assise, à la commode de l’entrée, Patricia, les bras croisés sur sa poitrine, profite du spectacle et apprécie avec envie, l’expérience et la technique éprouvées de sa mère dont la fessée tourne à la démonstration. Les fesses rouges qu’elle faisait sauter sur ses propres genoux quelques instants auparavant, montent maintenant à écarlate sous l‘impulsion de la main ferme de maman. Comme si l’humiliation de recevoir une fessée déculottée devant elle ne suffisait pas, elle ironise sans scrupule sur le ridicule de sa situation. .
 « Bravo Robin, quel sens du rythme, et quelle belle danse des fesses ! Continue ! »
 – Moi j’appellerais plutôt ça un numéro de claquettes, ou de percussions, plaisante Gladys tout en maintenant la cadence ! »

Robin n’entend rien. Il pleure sous les claquées, mouillant de ses larmes les bas nylon de sa mère, et  accompagne le claquement de sa fessée par une relance de cris de douleur particulièrement stridents.
« Et bien sonorisé, en plus, ajoute Patricia qui n‘est pas en reste d‘un trait d‘humour sarcastique. »

Gladys ne faiblit pas, bien au contraire. Elle poursuit la chevauchée fantastique par une superbe série, en allers et retours bien serrés sur le sommet des fesses, la partie la plus rebondie et la mieux exposée du derrière. Il résonne avec éclat sur le carrelage du vestibule. Puis après une longue prise d’élan pendant laquelle Robin tente de reprendre son souffle et ses esprits, elle conclut la fessée d’une formidable paire de claques sur chaque fesse.
« Et voilà, monsieur est servi ! Et qu’elle était bonne celle-là. S’exclama-t-elle, avec un petit air triomphant ! Je crois bien que c‘est une des meilleures fessées que je ne lui ai jamais mises. Et pourtant je lui en ai flanqué des sévères. »

Robin reste prostré, aplati sur les cuisses maternelles, bras et jambes ballant, le corps secoué de spasmes douloureux. Il gémit faiblement en essayant de reprendre sa respiration. Ses fesses cramoisies, implacablement cuites, tressaillent nerveusement sous l‘effet secondaire d‘une fessée dont il ne sent pas immédiatement qu’elle est terminée. Patricia applaudit.
 « Bravo maman, belle énergie, quelle fessée ! Celle-là au moins il va s’en souvenir. »
Ravie de sa performance, Gladys souffle sur  la main qui a fessé pour en éteindre le feu. Il n'y a pas que les fesses qui chauffent. C’est qu’elle a tapé fort, mais c’était nécessaire.
« C‘est le but ma chérie. Si on lui administre d’aussi grosses fessées c’est pour qu’il s’en souvienne et ne recommence pas les même bêtises. Crois-moi, rien ne vaut une paire de fesses rouges et cuisantes au fond d’un slip pour mémoriser les erreurs commises. Sinon, ce n’est pas la peine de dépenser autant d’énergie.
Au moment où elle finit sa phrase Robin glisse lentement de ses genoux et s’affaisse sur le sol.
 « On dirait que Robin a du mal à s‘en remettre. Remarque Patricia. Quand je te dis qu’il va se souvenir de cette correction.
­ Tant mieux, on ne s’est pas donné du mal pour rien. Et bien Robin, qu’est-ce que tu attends pour te relever? Tu ne vas pas rester là, à pleurnicher affalé par terre parce que tu t’es pris deux ou trois malheureuses fessées ! Le service minimum quoi. Relève toi s‘il te plaît, mais attention, interdiction de te frotter les fesses. Je veux que tu ressentes l’effet de tes fessées le plus longtemps possible.

– Mais maman j’ai mal, ça cuit ! » Gémit le pauvre garçon.
Gladys l’aide à se redresser et le met à genoux devant elle entre ses jambes écartées. De son index replié elle lui soulève le menton pour l’obliger à la regarder. 
 « Regarde-moi bien dans les yeux et n‘en profite pas pour te frotter les fesses. Qu’est-ce qu’on dit à maman et sa sœur qui t’ont si bien corrigé pour te punir de ton retard, de tes mensonges et de ton impolitesse ? Hein, qu’est-ce qu’on dit ?
– Merci maman, merci Patricia pour ces bonnes fessées! Je ne recommencerai plus, c’est promis !


attente culotte baissée


– De rien mon cher, c’est tout naturel, ironise encore Patricia d’un ton détaché.
– Parfait! S‘exclame Gladys. Il suffit de quelques bonnes fessées bien claquées au derrière pour devenir  enfin raisonnable ! Comme quoi la méthode est efficace, n’est-ce pas ?
– Oui maman !
– Très bien. Maintenant  monte dans ta chambre. Tu descendras pour le dîner quand je t’appellerai. 
– Tu ne le mets pas au coin pour qu’on profite de ses fesses ? »
 Demande sa sœur, d’un ton faussement innocent
 « Non, il en a pris assez pour aujourd’hui, il aura l’occasion de faire du coin et d’exhiber ses fesses  demain. La journée va être longue et cuisante à l’examen de son bulletin scolaire de la semaine. A mon avis, les fessées n’ont pas fini de claquer!
 – Bon ! On ne le reculotte pas non plus?  Les fesses bien serrées dans le slip. C’est bon pour entretenir la cuisson. »
Gladys sourit et répond d’un air entendu.
« Tu vas trouver plus pratique qu’il reste déculotté. Il va avoir besoin d’un coup de main pour monter dans sa chambre. Si tu vois ce que je veux dire ?
Patricia hésite un instant et son visage s’illumine.
 «  Oui, tout à fait maman. Je vais même lui en donner plusieurs.»
Les deux femmes échangent un clin d’œil complice et Patricia passe discrètement derrière Robin. Celui-ci, encore à moitié sonné par les fessées qu’il vient de recevoir, attend les consignes en gémissant, debout, toujours déculotté, au milieu du vestibule. Tout juste s’il n’a pas encore son cartable à la main. Elle trace en l'air un grand arc de cercle avec son bras pour lui donner de l’élan et propulse le malheureux vers l’escalier d’une formidable claque aux fesses. Sous la poussée, il trébuche, les jambes toujours entravées par son slip et son pantalon et se rattrape à la rampe de l’escalier pour ne pas tomber.

 « Voilà ce que j’appelle un vrai bon coup de main, s’esclaffe Gladys qui s’est levée de la banquette ! »
Elle rajuste une jarretelle détendue pendant les fessées et redescend sa jupe qu’elle lisse avec soin sur ses cuisses.
« Ah., ça faisait longtemps qu’on n’avait pas autant entendu ses fesses claquer dans la maison !
– Oui, mais monsieur a encore besoin d’être stimulé, enchaîne Patricia en le saisissant de nouveau par le col de son blouson.
Robin se laisse faire, toute résistance annihilée par les fessées successives. Elle lui fait alors monter les escaliers au train, en lui claquant les fesses l’une après l’autre à chaque marche. La main est rapide et claque sec. Elle lui impose une cadence de déplacement qu’il suit difficilement en proférant quelques timides protestations, presque inaudibles. 
« Hop ! Hop ! Hop ! Allez, on lève bien haut les jambes, on remue bien ses fesses et on monte, en vitesse, s’amuse Patricia en lui faisant joyeusement crépiter le derrière ! »
Il était écarlate en bas, il finit cramoisi en haut.
 « C'est bien Robin, tu n’as jamais monté les escaliers aussi vite.
– N’oublie pas de lui mettre sa récompense, lance Gladys campée en bas de l’escalier.
– Oh non, ne t’inquiètes pas maman je ne risque pas d‘oublier. »
En un tour de main elle le reprend sous son bras, lui remet les fesses en position, et lui réactive aussitôt une fessée sur le derrière qui n‘en peut plus...
 « Juste une fessée d’entretien pour finir en beauté, dit-elle en claquant à pleine main le postérieur offert ! »
La fessée est bien rythmée. Un solide fesse droite, fesse gauche, classique, mais nerveux, et vu l’état du fessier, très vite, extrêmement cuisant.
Gladys suit d’en bas le déroulement des opérations.
 « Pas trop longue la fessée Patricia. Brève mais intense. Garde en pour demain! » 
Robin vient à peine de se remettre à crier et à trépigner sur place que Patricia obéit et arrête la fessée. Elle le libère. Une main plaquée sur ses fesses cuites et recuites, le pantalon relevé dans l’autre, il se précipite en pleurant dans sa chambre sous les éclats de rire moqueurs des deux femmes.

 « A mon avis, dit Gladys en se dirigeant tranquillement vers le salon, après ce qu’on vient de lui mettre sur les fesses, ça m’étonnerait qu’il arrive encore en retard la semaine prochaine et qu’il continue à mentir.
– Il n’y a que comme ça qu’ils comprennent, ajoute Patricia en suivant sa mère.
– Oui, la fessée ! Toujours et encore la fessée ! Et on ne va pas s’en plaindre, ça nous fait faire de l’exercice, dit-elle en se massant le poignet pour lui redonner de la vigueur.
– Et ça maintient en forme, surenchérit Patricia.
– A propos de fessée, je me demande bien dans quel état va rentrer notre Edouard. Vu l’heure qu’il est, il a doit encore aller au Pub.
– Décidément incorrigible lui aussi.
– Oui, encore un qui a intérêt à préparer ses fesses en rentrant.
– Au fait, maman, on pourrait  peut-être boire quelques chose nous aussi, après tant d’efforts. Tu veux quoi, un cocktail, du vin, un Whisky ?
– Tu as raison ma chérie. Sers-moi un whisky, sans glace !  Les femmes fortes prennent des boissons fortes.
Fais-moi penser à faire tremper le martinet pour demain, il est tout neuf et les lanières cinglent mieux mouillées. »


Avec les dessins originaux de l'auteur !

Ne perdez pas le fil du feuilleton ! Pour ceux qui se seraient égarés ...

Le début : chapitre 1
et l'épisode précédent : chapitre 2
l'épisode suivant : chapitre 4

Ramina est l'auteur de nombreux commentaires sur ce blog.

Juste retour des choses il attend les vôtres. Ecrivez vos appréciations, vos retours, vos questions ... dans le cadre ci-dessous. Ramina vous répondra.
Si vous voulez un échange plus privé voici un courriel pour le joindre :  ramina16@laposte.net

10 commentaires:

  1. Bonjour Ramina,

    "La chevauchée des Walkyries" ! C'est ce que m'inspire votre récit.
    "les femmes fortes prennent des boissons fortes". Fameux.
    Hé bien, qu'est ce qu'il va prendre Robin (des bois) après la lecture du bulletin et du carnet ??? good luck, camarade!
    Quant à Edouard, il va vite se dégriser.
    Ca va chauffeeeeeeeer !
    La suite s'avère claquante. On apprécie.
    Peter'

    RépondreSupprimer
  2. Bonjour Peter,
    Effectivement, fessées en cascades, fessées cavalcade, chevauchée fantastique et pourquoi pas des Walkyries! Bien vu. C'est du Wagner sur les derrières! Robin n'en a pas fini avec son Week End fessées à la maison. Maman et soeurette à la manoeuvre! Finalement, Les soeurs de Ste Marie, pourtant généreuses sur les fessées, sont presque moins sévères.
    Quant à Edouard, son tour va venir et il n'aura rien perdu pour avoir attendu... Il va vite désaouler!
    Quelle famille! Content que ça vous plaise.
    Cordialement
    Ramina

    RépondreSupprimer
  3. Bonsoir Ramina,

    C'est juste : les Sœurs passeraient pour presque trop indulgentes, en comparaison...
    Et Madame Gladys "Tapefort " (en l'absence de tout autre, voilà un patronyme qui correspondrait à 100 % à son exubérante personnalité de Femme maitresse et...Maitresse-Femme) n'a pas le moins du monde l'intention d'être une pauvre créature effarouchée entre les mains de ses hommes.
    Voilà donc l'ère des Power Girl !!! "Gladys 1 : la revanchere !" . Rires.
    Bonne soirée. Peter'.

    RépondreSupprimer
  4. Bonsoir Ramina,

    Une petite erreur a subsisté dans mon commentaire précédent.
    La dernière phrase exacte était : Gladys 1: la revanche d'une Mère.
    Mais en la raccourcissant, en a subsisté la troncature ci-dessus.
    Incompréhensible, bien sûr.
    A présent. c'est rétabli.
    Peter'.

    RépondreSupprimer
  5. Oui PETER?
    C'est vrai, je me suis interrogé sur le mot. La "Revanchère, revancheuse, revanchaise..." ça m'arrive aussi de changer un mot en laissant une partie de celui que je supprime accolée au nouveau.
    En ce qui concerne Gladys, ça serait plutôt du règlement de compte... je ne suis pas mécontent que la maîtresse fesseuse prenne place et consistance dans la galerie des personnages féminins qui peuplent les récits de ce blog.
    Mais gare à Patricia encore un peu en retrait de sa mère mais non moins redoutable avec son ironie cinglante un peu perverse. ( sourires entendus!)
    Cordialement
    Ramina

    RépondreSupprimer
  6. Bonsoir Ramina,

    J'ai eu raison de faire cette petite mise au point. Rires.
    Madame Gladys prendra t-elle sa revanche sur "les hommes de sa vie "? on suit avec attention ces faits et gestes.
    En effet, une sourde concurrence se joue entre Mère et fille: l'une veut épater l'autre et l'élève semble être en passe de dépasser... la maitresse. Les leçons sont impeccablement retenues et très conscieusement appliquées. Match 100 % féminin.
    Good luck, les gars ! Serrez les dents. "Qui aime bien châtie bien".
    Et comme je le dis souvent (une marque de fabrique): Ca va chauffeeeeeer !!!!!
    (dites moi : que pensez-vous d'une "rencontre au sommet" entre les mères de nos grands garnements, Robin et Gérome ? Hum ?)
    Bonne soirée. Peter.

    RépondreSupprimer
  7. Peter
    Effectivement, Patricia fervente adepte de la fessée, progresse vite sous la direction avisée de sa mère. Elle commence à très bien fesser et brûle d'envie de se faire la main sur les fesses de son beau père, ça promet. chaude ambiance en perspective à la maison pour ces messieurs.
    Quelle concordance de vue !! L'idée m'a traversé l'esprit. La mère de Gérôme et celui ci, rendant à Gladys et Robin une visite de courtoisie... avec, naturellement, échange de bons procédés sur les deux paire de fesses! Joli programme ! Surtout si Patricia saute sur l'occasion pour parfaire sa technique et que la mère de Gérôme fini par prendre en main aussi les fesses d'Edouard!!! Oula, ça aurait de l'allure non?
    Bonne idée! Cordialement.
    Ramina.

    RépondreSupprimer
  8. Bonjour,
    des Femmes prévues d’être fessées dans les épisodes suivants

    RépondreSupprimer
  9. Bonjour, anonyme.
    Et bien désolé mais "Ces dames aux mains fermes" fessent plutôt des hommes dans le cadre d'une discipline domestique stricte et sévère.
    C'est la ligne éditoriale majeure de ce blog. Mais d'autres récits mettent en scène quelques fessée administrées à des femmes par des femmes.( Chambre chez l'habitante ) Notamment.
    Cordialement
    Ramina

    RépondreSupprimer
  10. Le pauvre garçon! ;) Une fessée décrite en long, en large et en travers. Ça te vous a un petit côté hallucinatoire par lequel on se laisse emporter.

    RépondreSupprimer

Un commentaire, une réaction, une proposition ? C'est ici. Une fois validé, le commentaire sera visible par tous les lecteurs du blog.
Si vous le souhaitez et pour des raisons de confidentialité, nous pouvons échanger par courriel. Seuls Huguette et moi verrons le message. Il vous suffit de cliquer dans le champ "pour nous contacter" en haut à droite de cette page.