Chapitre 3 – Le respect cela
s'apprend,
Gladys était en proie à une colère froide, encore à peu près
maîtrisée, mais qu’elle n’allait pas manquer de laisser exploser sur les fesses
de son fils, décidément incorrigible. Une seule fessée ne suffisait pas, un deuxième
service s'imposait comme une évidence.
La prestation de
Patricia s‘était pourtant révélée convaincante. La belle rougeur veloutée, bien
répartie sur toute la surface des fesses de Robin témoignait de la qualité de
la fessée qu’elle venait de lui administrer. Pas de marque disgracieuse, aucune
trace de doigt. Elle l‘avait fessé avec fermeté et dextérité, d’une main
souple, bien enveloppante qui lui avait transformé le derrière en un magnifique
brasero incandescent. La raie sombre qui séparait les deux fesses en rendait,
par contraste, la couleur encore plus éclatante.
Sa nature généreuse n’avait pas lésiné sur la puissance des
claques. La maîtrise dont elle venait de faire preuve dans la conduite de la
correction confirmait l’efficacité des leçons de fessée que sa maman lui
prodiguait depuis qu’elle était en âge de déculotter et claquer une paire de
fesses. Précoce en la matière, elle avait commencé à pratiquer assez tôt,
fortement stimulée par sa mère qui avait décelé en elle, une deuxième main prometteuse.
Elles ne seraient pas trop de deux pour assurer l’entretien régulier des
fessiers récalcitrants de ces messieurs dévergondés.
Selon les règles de politesse et de soumission fixées dans
la maison, Robin aurait dû remercier sa
sœur de lui avoir aussi bien claqué les fesses, mais leur niveau de cuisson
assez élevé, lui en avait fait oublier l’obligation. Gladys, n’allait
certainement pas manquer de le lui rappeler. Cela lui vaudrait naturellement
une fessée de rappel pour avoir négligé le protocole de remerciement après
l’administration d’une correction. Le respect cela s'apprend.
Gladys quant à elle, nourrissait un sentiment partagé. A la
fois songeuse devant l’attitude de son fils dont le manque évident de maturité
se révélait tout de même assez préoccupant, et heureusement convaincue de
la bienfaisante nécessité d‘une deuxième
fessée. Celle-là beaucoup plus sévère,
ne serait-ce que pour bien marquer la différence avec celle qu'administrait sa
fille et affirmer sa position dominante dans la hiérarchie familiale.
« Mon pauvre ami, dit-elle en tirant son fils par
l’oreille pour le relever, ce qu’il fait en couinant, les mains accrochées à
celle de sa mère pour essayer d’atténuer la douleur.
– Aïe, aïe aïe! Maman, mon oreille… ça fait mal !
– Ce n’est pas ton oreille qui m’intéresse mon chéri, ce
sont tes fesses! Uniquement tes fesses ! J’ai vraiment l’impression que c’est
toi qui ne te rends pas bien compte de ta situation. .
– Ah si maman, je me rends bien compte que j’ai les fesses
en feu. Patricia a encore tapé fort !
Oui, mais pas encore assez ! Cette fessée n’a pas l’air de
t’avoir fait suffisamment d’effet. Je vais remédier à ça tout de suite. Le
meilleur moyen de te rafraîchir les idées c’est encore de te chauffer
régulièrement les fesses. Tu as besoin de fessées Robin, de grosses fessées ...
ça tombe bien, on en a plein la main ! Ta sœur vient de t’en coller une pour
tes deux heures de retard, je vais maintenant t'en mettre une deuxième pour
avoir essayé de nous mentir. Tu vois mon chéri, la vie n'est pas compliquée,
deux ou trois bonnes fessées et tout est réglé !
Patricia éclate de rire en rajustant sa jupe sur ses
cuisses. Elle fait quelques pas dans l’entrée pour se dégourdir les jambes et
revient se placer devant eux pour assister au spectacle. Chacune son tour.
Robin, slip aux cuisses, mains derrière le dos, n’a pas l’autorisation de se
déplacer. A l‘annonce de sa nouvelle fessée, il devient soudain tout pâle et se
met à trépigner sur place. Il ne se rend pas compte que ses fesses suivent le
mouvement en tressautant ce qui les rend encore plus attirantes au regard des
deux fesseuses qui n‘ont pas vraiment besoin de ce stimulus supplémentaire pour
avoir envie de les prendre en main.
« Oh non Maman, s’il te plaît, pas une autre fessée. Je
te promets de ne plus arriver en retard. Je te jure que…
– C’est cela … et pourquoi je te croirais. Combien de fois
n’as-tu pas promis, juré, d’obéir, de cesser de mentir sans arrêt ? ... De ne
plus recommencer ? Hein, combien de fois ?
Elle le maintient debout en le tenant toujours fermement pas
l’oreille qui lui fait vraiment mal. Au
point de lui faire momentanément oublier la cuisson de ses fesses. Ça ne dure
pas longtemps. Gladys, tout en le sermonnant, le fait sauter sur place en lui
claquant les fesses de son autre main libre.
– « Com – bien – de – fois – tu – as – pro - mis – d’o
– bé– ir ! »
Reprend-elle en rythmant
chaque syllabe de claques sonores, envoyées en aller et retour d’une
fesse à l’autre. Elle les claque par en dessous, du bas vers le haut pour les
faire rebondir dans sa main et obliger Robin à les tortiller en cadence. C’est
toujours plaisant de contempler une belle paire de fesses bien rouge tressauter
sous les claques.
– « Alors comme ça je ne me rends pas compte ! Et ma
main sur tes fesses là, tu t’en rends compte toi, au moins ?
– Oh oui maman, je la sens ! Arrête s’il te plait ! Elle
claque fort, ça fait mal ! Très mal ! C’est trop, après la fessée de
Patricia. »
Gladys ne cède rien,
indifférente à ses habituelles supplications, elle l’empoigne par le col de son
blouson pour s’assurer une meilleure prise et accélère la cadence des claques.
Le traitement qu’elle lui inflige est d‘autant plus pénible
qu‘il n’a pas eu l’autorisation de se reculotter. Il doit prendre sa fessée en sautillant,
le pantalon toujours en accordéon sur les chevilles et le slip tendu au milieu
des cuisses.
Fortement stimulé sous les claquées qui lui soulèvent le
derrière, il amplifie le mouvement de
ses jambes qu’il lève l’une après l’autre, de plus en plus vite, pour finir par
galoper sur place. Ça lui claque si rapidement aux fesses qu’il a l’impression
d’être assis sur une main brûlante. Celle de sa mère qui s’en amuse et insiste:
« Tant que tu seras aussi insolent et mal élevé, tu
t’en prendras plein les fesses mon cher. »
Sa main ferme, paume
ouverte et doigts tendus, virevolte d’une fesse à l’autre avec habileté et
précision. Robin suit le rythme en sanglotant. Son nez coule. De la morve mêlée
de larmes qu’il essuie sur sa manche de chemise.
« Maman, Robin
vient de se moucher dans sa chemise!
S’écrie aussitôt sa sœur qui ne perd pas une occasion de le stigmatiser.
« Ça aussi ça
mérite une fessée, claironne-t–elle ! Je peux la lui donner après, maman, si tu
veux. Pour le moment il n’en est qu’à la deuxième. Retard, mensonges, et
maintenant manque de soin de ses affaires… ça fait beaucoup quand même !
– Pour le moment c’est moi qui m’occupe de ses fesses et je
n‘en ai pas encore terminé avec. D’ailleurs sois gentille, veux-tu bien
débarrasser la banquette je vais en
avoir besoin. »
Tout en donnant ses instructions, et sans perdre une mesure,
Gladys continue à faire sauter le postérieur en feu qu’elle a en main,
contraignant son propriétaire à exécuter, sur place, un footing improvisé.
– Pose les sacs par terre, à côté. Ça ne craint rien.
– Comme tu veux maman »
Patricia s’exécute et
libère la place sur la banquette. Elle se doute déjà à quoi elle va servir.
« Merci ma chérie, je vais le changer de position et le
prendre sur mes genoux pour terminer sa fessée. Cette position-là est amusante,
mais je ne peux pas taper assez fort pour lui cuir les fesses comme je le veux!
Puis s’adressant à Robin qui a profité de la légère baisse
de rythme pendant le dialogue entre sa mère et sa sœur.
« Allez, dernière claquée avant la fessée sur la
banquette ! On détend ses fesses, et on me les fait bien souples sous la main,
je veux une belle fessée bien retentissante ! »
– Non maman, ça
suffit ! Hurle le malheureux, arrête les fessées s’il te plait ! Ça y est, tu
m’as puni, je ne recommencerai plus ! ».
Campée sur ses quinze centimètres de talon aiguille elle le
dépasse d’une tête ce qui lui permet de le mettre aisément dans la positon
qu’elle veut. Elle le courbe sous son bras, le maintient fermement contre sa
hanche et, sans difficulté, le soulève du sol pour lui monter les fesses à la
bonne hauteur, à sa main. Pour la
deuxième fois en peu de temps Robin voit le sol se rapprocher de sa tête,
obligé de prendre appui sur les mains pour tenir la position. Son cuisant
fessier, déjà sévèrement corrigé par sa sœur, déploie ses volumineuses rondeurs
écarlates à disposition de la nouvelle fessée. Pas de perte de temps, elles
sont déjà déculottées, prêtes à recuire.
Gladys s’y emploie avec la fermeté nécessaire. Et ça claque
de nouveau ! Robin se débat un peu, pour la forme, puis cette fois vaincu,
s’abandonne à la terrible fessée qui lui éclate le derrière. La sœur fesse
bien, mais la mère encore mieux.
Complètement relâché sous le bras de sa sévère maman, il se
soumet à la correction en se contentant de remuer faiblement les fesses. La
puissance des claques se charge de les faire tressauter naturellement. Il
pleure, supplie, et jure, comme
d’habitude, d’être obéissant, et de ne plus jamais arriver en retard. Indifférente
aux promesses jamais tenues, Gladys continue encore un moment puis, décide du
changement de position pour la fessée suivante. Elle prend son élan et ponctue
la fin provisoire de la séance de deux énormes claques sur chaque fesse. Robin
se cabre sous son bras en hurlant et se
met à taper du pied comme un gamin en crise.
Ça n’émeut pas Gladys pour autant qui ironise sans retenue.
« Tu as raison mon chéri, n’hésite pas exprimer ce que
tu ressens. Ces deux fessées commencent à faire leur effet et à justifier leur
mission éducative. C’est bon signe. Je suis sûre qu’elles te font énormément de
bien. On réfléchit beaucoup mieux les fesses rouges après une bonne déculottée.
La fessée qui va suivre devrait confirmer cela. ».
Elle le redresse, en larmes et le traîne avec autorité par
le bras, jusqu’à la banquette. Il trottine maladroitement à côté d’elle en se
tenant le derrière à pleines mains, la démarche rythmée par le bruit métallique
de sa boucle de ceinture qui rebondit sur le carrelage. Imperturbable, indifférente à sa souffrance
et à son humiliation, elle continue à détailler la punition en cours.
« Une fessée pour le retard, une fessée pour les
mensonges, et maintenant une fessée pour
avoir manqué de respect à sa maman. Tu as déjà oublié que tu ne m’avais même
pas dit bonjour en arrivant.
Gladys, fait semblant
de ne pas avoir entendu.
« Quelle arrivée! En fanfare! Tu les cumules mon chéri
! Et c’est loin d’être terminé. Le
meilleur reste à venir demain avec ton bilan scolaire et de ton carnet de
punitions de la semaine. Il doit être bien garni,
« Non maman, non ! S‘il te plaît, ça suffit, j’ai
promis ! Pas une autre fessée ! J‘en ai déjà eu deux !»
Elle s’en amuse ouvertement et le fait basculer sans
ménagement à plat ventre sur ses cuisses. Il exécute le mouvement dans un râle d'agonie qui se
termine au niveau du carrelage,
« Et bien ça ne fera jamais que la troisième,
ironise-t-elle. Elle en ajoute, d'une écœurante mauvaise foi. Et de toute
façon, ce n’est pas une nouvelle fessée, c’est la même, mais dans une autre
position ! »
Elle redescend son slip jusqu’à la pliure des genoux pour
bien dégager ses fesses et les soulève en croisant les jambes pour les placer à la bonne
distance de sa main. Elles sont en position idéale, bien arrondies, tendues,
prêtes à claquer et fêter avec éclat l’arrivée de la nouvelle fessée.
La tête de nouveau au ras du sol, Robin se prend le visage à
deux mains en gémissant.
« Ooooh maman…s’il te plait...Non. Pas une autre fess... ! »
Il n’a pas le temps de terminer sa phrase. Gladys reprend
les choses en main, sans état d‘âme. Ça claque aussitôt en mode retour aux
cadences infernales. Elle ne l’a pas encore envoyé au coin, décidée à marquer
la sévérité de sa punition en l’obligeant à encaisser ses fessées les unes
après les autres, sans interruption de programme. Il subit cette dernière comme
un véritable calvaire.
Appuyée, plus qu’assise, à la commode de l’entrée, Patricia,
les bras croisés sur sa poitrine, profite du spectacle et apprécie avec envie,
l’expérience et la technique éprouvées de sa mère dont la fessée tourne à la
démonstration. Les fesses rouges qu’elle faisait sauter sur ses propres genoux
quelques instants auparavant, montent maintenant à écarlate sous l‘impulsion de
la main ferme de maman. Comme si l’humiliation de recevoir une fessée
déculottée devant elle ne suffisait pas, elle ironise sans scrupule sur le
ridicule de sa situation. .
« Bravo Robin,
quel sens du rythme, et quelle belle danse des fesses ! Continue ! »
– Moi j’appellerais
plutôt ça un numéro de claquettes, ou de percussions, plaisante Gladys tout en
maintenant la cadence ! »
Robin n’entend rien. Il pleure sous les claquées, mouillant
de ses larmes les bas nylon de sa mère, et
accompagne le claquement de sa fessée par une relance de cris de douleur
particulièrement stridents.
« Et bien sonorisé, en plus, ajoute Patricia qui n‘est
pas en reste d‘un trait d‘humour sarcastique. »
Gladys ne faiblit pas, bien au contraire. Elle poursuit la
chevauchée fantastique par une superbe série, en allers et retours bien serrés
sur le sommet des fesses, la partie la plus rebondie et la mieux exposée du
derrière. Il résonne avec éclat sur le carrelage du vestibule. Puis après une
longue prise d’élan pendant laquelle Robin tente de reprendre son souffle et
ses esprits, elle conclut la fessée d’une formidable paire de claques sur
chaque fesse.
« Et voilà, monsieur est servi ! Et qu’elle était bonne
celle-là. S’exclama-t-elle, avec un petit air triomphant ! Je crois bien que
c‘est une des meilleures fessées que je ne lui ai jamais mises. Et pourtant je
lui en ai flanqué des sévères. »
Robin reste prostré, aplati sur les cuisses maternelles,
bras et jambes ballant, le corps secoué de spasmes douloureux. Il gémit
faiblement en essayant de reprendre sa respiration. Ses fesses cramoisies,
implacablement cuites, tressaillent nerveusement sous l‘effet secondaire d‘une
fessée dont il ne sent pas immédiatement qu’elle est terminée. Patricia
applaudit.
« Bravo maman,
belle énergie, quelle fessée ! Celle-là au moins il va s’en souvenir. »
Ravie de sa performance, Gladys souffle sur la main qui a fessé pour en éteindre le feu.
Il n'y a pas que les fesses qui chauffent. C’est qu’elle a tapé fort, mais
c’était nécessaire.
« C‘est le but ma chérie. Si on lui administre d’aussi
grosses fessées c’est pour qu’il s’en souvienne et ne recommence pas les même
bêtises. Crois-moi, rien ne vaut une paire de fesses rouges et cuisantes au
fond d’un slip pour mémoriser les erreurs commises. Sinon, ce n’est pas la
peine de dépenser autant d’énergie.
Au moment où elle finit sa phrase Robin glisse lentement de
ses genoux et s’affaisse sur le sol.
« On dirait que
Robin a du mal à s‘en remettre. Remarque Patricia. Quand je te dis qu’il va se
souvenir de cette correction.
Tant mieux, on ne s’est pas donné du mal pour rien. Et
bien Robin, qu’est-ce que tu attends pour te relever? Tu ne vas pas rester là,
à pleurnicher affalé par terre parce que tu t’es pris deux ou trois
malheureuses fessées ! Le service minimum quoi. Relève toi s‘il te plaît, mais
attention, interdiction de te frotter les fesses. Je veux que tu ressentes
l’effet de tes fessées le plus longtemps possible.
– Mais maman j’ai mal, ça cuit ! » Gémit le pauvre
garçon.
Gladys l’aide à se redresser et le met à genoux devant elle
entre ses jambes écartées. De son index replié elle lui soulève le menton pour
l’obliger à la regarder.
« Regarde-moi
bien dans les yeux et n‘en profite pas pour te frotter les fesses. Qu’est-ce
qu’on dit à maman et sa sœur qui t’ont si bien corrigé pour te punir de ton
retard, de tes mensonges et de ton impolitesse ? Hein, qu’est-ce qu’on dit ?
– De rien mon cher, c’est tout naturel, ironise encore
Patricia d’un ton détaché.
– Parfait! S‘exclame Gladys. Il suffit de quelques bonnes
fessées bien claquées au derrière pour devenir
enfin raisonnable ! Comme quoi la méthode est efficace, n’est-ce pas ?
– Oui maman !
– Très bien. Maintenant
monte dans ta chambre. Tu descendras pour le dîner quand je
t’appellerai.
– Tu ne le mets pas au coin pour qu’on profite de ses fesses
? »
Demande sa sœur, d’un
ton faussement innocent
« Non, il en a
pris assez pour aujourd’hui, il aura l’occasion de faire du coin et d’exhiber
ses fesses demain. La journée va être
longue et cuisante à l’examen de son bulletin scolaire de la semaine. A mon
avis, les fessées n’ont pas fini de claquer!
– Bon ! On ne le
reculotte pas non plus? Les fesses bien
serrées dans le slip. C’est bon pour entretenir la cuisson. »
Gladys sourit et répond d’un air entendu.
« Tu vas trouver plus pratique qu’il reste déculotté.
Il va avoir besoin d’un coup de main pour monter dans sa chambre. Si tu vois ce
que je veux dire ?
Patricia hésite un instant et son visage s’illumine.
« Oui, tout à
fait maman. Je vais même lui en donner plusieurs.»
Les deux femmes échangent un clin d’œil complice et Patricia
passe discrètement derrière Robin. Celui-ci, encore à moitié sonné par les
fessées qu’il vient de recevoir, attend les consignes en gémissant, debout,
toujours déculotté, au milieu du vestibule. Tout juste s’il n’a pas encore son
cartable à la main. Elle trace en l'air un grand arc de cercle avec son bras
pour lui donner de l’élan et propulse le malheureux vers l’escalier d’une
formidable claque aux fesses. Sous la poussée, il trébuche, les jambes toujours
entravées par son slip et son pantalon et se rattrape à la rampe de l’escalier
pour ne pas tomber.
« Voilà ce que
j’appelle un vrai bon coup de main, s’esclaffe Gladys qui s’est levée de la
banquette ! »
Elle rajuste une jarretelle détendue pendant les fessées et
redescend sa jupe qu’elle lisse avec soin sur ses cuisses.
« Ah., ça faisait longtemps qu’on n’avait pas autant
entendu ses fesses claquer dans la maison !
– Oui, mais monsieur a encore besoin d’être stimulé,
enchaîne Patricia en le saisissant de nouveau par le col de son blouson.
Robin se laisse faire, toute résistance annihilée par les
fessées successives. Elle lui fait alors monter les escaliers au train, en lui
claquant les fesses l’une après l’autre à chaque marche. La main est rapide et
claque sec. Elle lui impose une cadence de déplacement qu’il suit difficilement
en proférant quelques timides protestations, presque inaudibles.
« Hop ! Hop ! Hop ! Allez, on lève bien haut les
jambes, on remue bien ses fesses et on monte, en vitesse, s’amuse Patricia en
lui faisant joyeusement crépiter le derrière ! »
Il était écarlate en bas, il finit cramoisi en haut.
« C'est bien
Robin, tu n’as jamais monté les escaliers aussi vite.
– N’oublie pas de lui mettre sa récompense, lance Gladys
campée en bas de l’escalier.
– Oh non, ne t’inquiètes pas maman je ne risque pas
d‘oublier. »
En un tour de main elle le reprend sous son bras, lui remet
les fesses en position, et lui réactive aussitôt une fessée sur le derrière qui
n‘en peut plus...
« Juste une
fessée d’entretien pour finir en beauté, dit-elle en claquant à pleine main le
postérieur offert ! »
La fessée est bien rythmée. Un solide fesse droite, fesse
gauche, classique, mais nerveux, et vu l’état du fessier, très vite,
extrêmement cuisant.
Gladys suit d’en bas le déroulement des opérations.
« Pas trop
longue la fessée Patricia. Brève mais intense. Garde en pour
demain! »
Robin vient à peine de se remettre à crier et à trépigner
sur place que Patricia obéit et arrête la fessée. Elle le libère. Une main
plaquée sur ses fesses cuites et recuites, le pantalon relevé dans l’autre, il
se précipite en pleurant dans sa chambre sous les éclats de rire moqueurs des
deux femmes.
« A mon avis,
dit Gladys en se dirigeant tranquillement vers le salon, après ce qu’on vient
de lui mettre sur les fesses, ça m’étonnerait qu’il arrive encore en retard la
semaine prochaine et qu’il continue à mentir.
– Il n’y a que comme ça qu’ils comprennent, ajoute Patricia
en suivant sa mère.
– Oui, la fessée ! Toujours et encore la fessée ! Et on ne
va pas s’en plaindre, ça nous fait faire de l’exercice, dit-elle en se massant
le poignet pour lui redonner de la vigueur.
– Et ça maintient en forme, surenchérit Patricia.
– A propos de fessée, je me demande bien dans quel état va
rentrer notre Edouard. Vu l’heure qu’il est, il a doit encore aller au Pub.
– Décidément incorrigible lui aussi.
– Oui, encore un qui a intérêt à préparer ses fesses en
rentrant.
– Au fait, maman, on pourrait peut-être boire quelques chose nous aussi,
après tant d’efforts. Tu veux quoi, un cocktail, du vin, un Whisky ?
– Tu as raison ma chérie. Sers-moi un whisky, sans
glace ! Les femmes fortes prennent
des boissons fortes.
Fais-moi penser à faire tremper le martinet pour demain, il
est tout neuf et les lanières cinglent mieux mouillées. »
Avec les dessins originaux de l'auteur !
Ne perdez pas le fil du feuilleton ! Pour ceux qui se seraient égarés ...
Ramina est l'auteur de nombreux commentaires sur ce blog.
Juste retour des choses il attend les vôtres. Ecrivez vos appréciations, vos retours, vos questions ... dans le cadre ci-dessous. Ramina vous répondra.
Si vous voulez un échange plus privé voici un courriel pour le joindre : ramina16@laposte.net
Bonjour Ramina,
RépondreSupprimer"La chevauchée des Walkyries" ! C'est ce que m'inspire votre récit.
"les femmes fortes prennent des boissons fortes". Fameux.
Hé bien, qu'est ce qu'il va prendre Robin (des bois) après la lecture du bulletin et du carnet ??? good luck, camarade!
Quant à Edouard, il va vite se dégriser.
Ca va chauffeeeeeeeer !
La suite s'avère claquante. On apprécie.
Peter'
Bonjour Peter,
RépondreSupprimerEffectivement, fessées en cascades, fessées cavalcade, chevauchée fantastique et pourquoi pas des Walkyries! Bien vu. C'est du Wagner sur les derrières! Robin n'en a pas fini avec son Week End fessées à la maison. Maman et soeurette à la manoeuvre! Finalement, Les soeurs de Ste Marie, pourtant généreuses sur les fessées, sont presque moins sévères.
Quant à Edouard, son tour va venir et il n'aura rien perdu pour avoir attendu... Il va vite désaouler!
Quelle famille! Content que ça vous plaise.
Cordialement
Ramina
Bonsoir Ramina,
RépondreSupprimerC'est juste : les Sœurs passeraient pour presque trop indulgentes, en comparaison...
Et Madame Gladys "Tapefort " (en l'absence de tout autre, voilà un patronyme qui correspondrait à 100 % à son exubérante personnalité de Femme maitresse et...Maitresse-Femme) n'a pas le moins du monde l'intention d'être une pauvre créature effarouchée entre les mains de ses hommes.
Voilà donc l'ère des Power Girl !!! "Gladys 1 : la revanchere !" . Rires.
Bonne soirée. Peter'.
Bonsoir Ramina,
RépondreSupprimerUne petite erreur a subsisté dans mon commentaire précédent.
La dernière phrase exacte était : Gladys 1: la revanche d'une Mère.
Mais en la raccourcissant, en a subsisté la troncature ci-dessus.
Incompréhensible, bien sûr.
A présent. c'est rétabli.
Peter'.
Oui PETER?
RépondreSupprimerC'est vrai, je me suis interrogé sur le mot. La "Revanchère, revancheuse, revanchaise..." ça m'arrive aussi de changer un mot en laissant une partie de celui que je supprime accolée au nouveau.
En ce qui concerne Gladys, ça serait plutôt du règlement de compte... je ne suis pas mécontent que la maîtresse fesseuse prenne place et consistance dans la galerie des personnages féminins qui peuplent les récits de ce blog.
Mais gare à Patricia encore un peu en retrait de sa mère mais non moins redoutable avec son ironie cinglante un peu perverse. ( sourires entendus!)
Cordialement
Ramina
Bonsoir Ramina,
RépondreSupprimerJ'ai eu raison de faire cette petite mise au point. Rires.
Madame Gladys prendra t-elle sa revanche sur "les hommes de sa vie "? on suit avec attention ces faits et gestes.
En effet, une sourde concurrence se joue entre Mère et fille: l'une veut épater l'autre et l'élève semble être en passe de dépasser... la maitresse. Les leçons sont impeccablement retenues et très conscieusement appliquées. Match 100 % féminin.
Good luck, les gars ! Serrez les dents. "Qui aime bien châtie bien".
Et comme je le dis souvent (une marque de fabrique): Ca va chauffeeeeeer !!!!!
(dites moi : que pensez-vous d'une "rencontre au sommet" entre les mères de nos grands garnements, Robin et Gérome ? Hum ?)
Bonne soirée. Peter.
Peter
RépondreSupprimerEffectivement, Patricia fervente adepte de la fessée, progresse vite sous la direction avisée de sa mère. Elle commence à très bien fesser et brûle d'envie de se faire la main sur les fesses de son beau père, ça promet. chaude ambiance en perspective à la maison pour ces messieurs.
Quelle concordance de vue !! L'idée m'a traversé l'esprit. La mère de Gérôme et celui ci, rendant à Gladys et Robin une visite de courtoisie... avec, naturellement, échange de bons procédés sur les deux paire de fesses! Joli programme ! Surtout si Patricia saute sur l'occasion pour parfaire sa technique et que la mère de Gérôme fini par prendre en main aussi les fesses d'Edouard!!! Oula, ça aurait de l'allure non?
Bonne idée! Cordialement.
Ramina.
Bonjour,
RépondreSupprimerdes Femmes prévues d’être fessées dans les épisodes suivants
Bonjour, anonyme.
RépondreSupprimerEt bien désolé mais "Ces dames aux mains fermes" fessent plutôt des hommes dans le cadre d'une discipline domestique stricte et sévère.
C'est la ligne éditoriale majeure de ce blog. Mais d'autres récits mettent en scène quelques fessée administrées à des femmes par des femmes.( Chambre chez l'habitante ) Notamment.
Cordialement
Ramina
Le pauvre garçon! ;) Une fessée décrite en long, en large et en travers. Ça te vous a un petit côté hallucinatoire par lequel on se laisse emporter.
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