Chapitre 4 : A table, il faut finir son
assiette.
Il y avait bien
quatre couverts à table pour le dîner mais seulement trois personnes. Edouard
n’était toujours pas rentré et son cas s’aggravait au fur et à mesure que les
minutes passaient. Ce n’était plus du retard mais de l’absence caractérisée.
Autant de désinvolture et d’irrespect allait lui valoir la correction de
rigueur, que Gladys n’allait pas manquer de lui administrer dès sa
réapparition.
Sûre de sa position dominante et de son autorité, elle savait
maîtriser ses réactions en ne laissant paraître aucun signe d’irritation. Elle
attendait patiemment le moment venu de la punition pour laisser exploser toute
l’énergie accumulée à retenir sa colère montante. L’incorrigible époux,
pourtant au fait des règles de la discipline conjugale, lui procurait, une
nouvelle fois, un excellent motif de lui flanquer une bonne déculottée.
Le dîner se
déroulait donc dans la bonne humeur. Du moins celle de ces dames, joyeuses et
détendues après la stimulante séance de fessées infligée à Robin pour fêter
dignement son retour à la maison, Elles lui avaient interdit de se reculotter.
Il avait dû venir se mettre à table en se déplaçant le
pantalon baissé autour des chevilles, les fesses rouges et cuisantes au
fond du slip. Beaucoup moins à l’aise que ses voisines de tables, il ne vivait
pas la situation tout à fait de la même façon. Son projet de vie du moment se
limitait à essayer de se tenir convenablement devant son assiette en évitant de
trop exprimer la douleur que lui renvoyait la cuisson de ses fesses.
Sous le regard
amusé de sa mère et de sa sœur, il s’était installé à table avec autant de
précaution que s’il avait dû s’asseoir sur du verre pilé, le bout des fesses
posé sur le bord de sa chaise pour réduire au maximum la surface de contact. Ce
qui lui demandait beaucoup d’application et de précaution. Ses fesses, gonflées
de claques et reculottées serrées, dans un slip qui lui semblait devenu trop
petit pour les contenir entièrement, lui cuisaient du bas des reins jusqu‘en
haut des cuisses. Gladys, faisant étalage de son cynisme habituel et, feignant
d’ignorer les raisons de son agitation, l’avait rappelé à l’ordre plusieurs
fois. Cette fois ci était la troisième.
« Mais
enfin Robin, vas tu te tenir tranquille. Qu’est-ce que tu as à gigoter sans
arrêt ? C’est une façon de se tenir à table ça ?
Patricia sans
précaution de langage, enfonce le clou, qui ne dépassait pas de beaucoup.
« Mais
maman, c’est parce qu’il a mal au cul, c’est tout! »
Gladys sursaute
et se tourne vers elle
« Non
mais qu’est-ce qu’il te prend, Patricia ? Tu t’entends parler ? Qu’est-ce que
c’est que ce vocabulaire?
– Oh
pardon maman, excuse-moi, ça m’a échappé...je voulais dire, C’est parce qu’‘il
a mal aux fesses.
– Je préfère...
Mais surveille ton langage s‘il te plait. Je pourrais très bien te prendre sur
mes genoux pour te déculotter et te flanquer une fessée à toi aussi ! Ce n’est pas parce que maintenant tu fesses
ton frère que ça te dispenserait de t’en prendre une ! Il n‘y en a pas que pour
lui. Fais bien attention ! »
Robin regarda
sa sœur du coin de l’œil et esquissa un sourire vite réprimé. Patricia pensa
qu’elle aurait mieux fait de se taire et ne répondit rien. Il n’y avait
d’ailleurs, rien à répondre. Gladys en deux phrases venait de recadrer tout le
monde sous son autorité.
« Bon,
Robin, tu ne finis pas de manger ?
– Euh non maman
je n’ai pas très faim, dit-il en faisant une grimace. Il repoussa timidement
son assiette.
– C’est bien ce
que je disais, insiste Patricia un peu
perverse, ça doit être les fessées qui lui coupent l’appétit.»
Gladys sourit
et but une gorgée de vin en le regardant par en dessous. Elle reposa son verre
et s’essuya délicatement la bouche avec sa serviette y laissant quelques traces
de rouge à lèvres. ..
« Et bien
moi je pense le contraire. Rien de tel qu’une bonne fessée déculottée avant de
passer à table pour ouvrir l’appétit et une deuxième bien cuisante après le
repas pour faciliter la digestion. C’est ce qu’on appelle joindre l’utile à l’agréable
! Non? »
Robin fit une
moue de désapprobation mais n’osa pas protester. Le regard inquiet, il se
dandine sur sa chaise en grimaçant. Il ne se fait aucune illusion, mais tente
malgré tout d’apitoyer les deux femmes en extériorisant la douleur persistante de ses fesses, encore
sous l‘effet de la double déculottée dans l‘entrée.
Gladys fait
comme si elle n‘avait rien vu et insiste.
« Mais qu’est-ce que c’est que ces manière
d’enfant capricieux? Tu pourrais au moins faire honneur à la cuisine de ta
sœur. Elle s’est donné du mal tu sais. Ce rosbeef est excellent, saignant
juste ce qu’il faut. »
Patricia
s’amuse et en remet une couche en s‘esclaffant.
– C’est
peut-être la couleur de la viande qui le met mal à l’aise. Elle doit lui
rappeler celle de ses fesses!
– Ah c’est bien
possible ! dit Gladys. D’abord amusée par l‘allusion de sa fille, puis soudain
menaçante à l’adresse de Robin, sans cependant le regarder, comme si elle
parlait de quelqu‘un d‘autre.
« Mais s’il
persiste à ne pas vouloir finir son assiette, il risque de se prendre sa fessée
d’après dîner plus tôt que prévu. N’est-ce pas mon chéri ?
– Oh mais maman… c’est… c’est parce que ce
n’est pas assez cuit… »
– Mon pauvre
ami, mais pourquoi ne l’as-tu pas dit plus tôt ! S’exclame sa mère d’un air
faussement désolé.
– Si ça ne
tient qu‘à ça. Elle se tourne vers sa fille
– Patricia, ton
frère a un problème de cuisson veux-tu bien t’en occuper ?
– Mais bien sûr
maman, avec plaisir ! Je fais ça où ?
– Là sur la
table, à la place de son assiette, puisque il n’en veut plus. C’est l’endroit
parfaitement adapté pour une bonne exposition. Ça sera très bien ! »
Patricia ne se
le fait pas dire deux fois. Elle pose aussitôt sa serviette, repousse sa
chaise, et se dirige vers son frère
qu’elle saisit par le coude pour le sortir de table. .Il reste quelques
secondes debout, en interrogeant du regard,
alternativement, sa mère et sa sœur. Il comprend aussitôt, à leur air
complice qu’il connaît trop bien, qu’un nouveau pic de chaleur menace son postérieur
encore pour peu de temps à l’abri dans son slip.
« Ah non
maman pas encore la fessée! Pas la fessée! S’il te plait ! Plus de fessée
aujourd’hui ! »
Maman
imperturbable se recule avec sa chaise pour mieux assister au spectacle.
– Quand on fait
des caprices d’enfant à table, on est corrigé comme un enfant. C’est la fessée
!
– Oh maman,
s’il te plaît… C’est bon, je vais finir, je vais finir !
– C’est trop
tard mon cher, il fallait le faire avant. »
Gladys se moque
éperdument des jérémiades de son fils. Elle croise haut les jambes en passant
négligemment un bras par-dessus le dossier de sa chaise et lève son verre comme
pour trinquer à la santé de son derrière.
«
Patricia, ma chérie, fais nous plaisir
et flanque lui une bonne fessée pour l’aider à digérer, même s’il n’a pas mangé
grand-chose. Un peu d’exercice avant de l’envoyer au lit lui fera le plus grand
bien!
– Tout de suite
maman, Déculottée la fessée?
– Enfin
Patricia, où as-tu la tête ? Évidemment déculottée!
Tout en tenant
son frère par le bras, debout à côté d’elle, elle écarte du revers de la main
son assiette et ses couverts pour libérer la place. Elle le saisit alors
derrière la nuque, et le couche de force à plat ventre sur la table. Dans un
même mouvement, elle lui appuie sur les reins pour l’obliger à bien ressortir
ses fesses et de son autre main saisit l’élastique de son slip pour le
déculotter. Gladys en esthète savoure l‘instant.
« Bien
belle coordination, efficace ! Maintenant déculottage. »
Patricia
prolonge son plaisir en faisant glisser lentement le nylon sur les courbes
volumineuses afin de bien dégager
l’ensemble du fessier. Déculotter un derrière en préparation d’une fessée est
toujours un moment émouvant, agréable à exécuter comme à contempler. Elle
ponctue l’exercice en étirant la ceinture élastique au-dessus de la peau, de
chaque côté des hanches, descend un peu plus bas, et la lâche d’un seul coup
pour la faire joyeusement claquer sur les cuisses. Déculottage réussi!
Gladys
apprécie.
« Bravo ma
chérie! Belle descente de slip ! J’attends, une fessée d'aussi belle facture.
Brève mais intense. Pas plus longue que celle dans l’escalier tout à l’heure.
Il faut que ses fesses aient le temps de récupérer pendant la nuit pour
supporter le programme de demain. »
Les postérieurs
de ces messieurs avaient effectivement tout intérêt à bien se tenir parce que
les prévisions de la météo disciplinaire de la maison s’orientaient vers une journée à tendance nettement caniculaire.
Patricia se
positionne hanche contre hanche, à la droite de sa victime qui attend sa fessée
en tremblant sur la pointe des pieds. Elle le maintient d’une main en position,
le buste plaquée à la table, laissant le reste de son corps libre de tout
mouvement pour qu‘il puisse tortiller des fesses à volonté sous les claques et
en offrir le croustillant spectacle.
Robin émet
quelques gémissements étouffés dans le tissu de la nappe. Devant ses yeux, sous
son nez, son assiette non terminée, motif de sa punition qu’il va devoir
contempler pendant sa correction.
Sous
l’injonction de sa sœur qui lui ordonne de mieux présenter ses fesses, il
creuse les reins en poussant sur la pointe des pieds pour les lui arrondir bien
tendues, à sa main. C’est ça aussi l’obéissance. Elle augmente la pression sur
son dos et prend son élan, la main haut levée au-dessus de sa tête.
« Patricia, je
t’en prie, pas trop fort la fessée… S’il te plait, implore Robin pour le coup,
vraiment dans son assiette !
Elle retient encore
son geste pour le maintenir sous pression avant de démarrer la fessée.
« Tu as
bien dit, brève mais intense, n’est-ce
pas Maman?
– Exactement !
– Oooooh non
maman, pitié...Pleurniche Robin c’est ma cinquième fessée aujourd’hui !
– Mon cher,
nous ne sommes pas responsable des fessées que tu reçois à Ste Marie! Ici,
c’est simplement la quatrième. Patricia, qu’est-ce que tu attends? »
Patricia
n’attend plus rien et déclenche la fessée avec enthousiasme. La correction ne
doit pas durer très longtemps, alors elle fesse fort immédiatement, sans tour
de chauffe préalable. Sévèrement pris aux fesses sans préambule, Robin ne
résiste pas longtemps. Dès les premières claques, Il se lâche en petits cris
spasmodiques entrecoupés de sanglots, et sous la terrible cuisson, entame
aussitôt une frénétique danse des fesses.
Brève mais
intense a dit maman. La fessée est intense, nourrie de claquées retentissantes,
encore amplifiées par la belle résonance de la pièce, carrelée à cet effet.
« Alors
comment tu la trouves ta fessée, elle claque bien non ? Commente, la sœur tout
en fessant. Elle a pris ce petit ton sarcastique qu’elle affectionne quand elle
administre une correction.
– Robin, tu pourrais répondre quand ta sœur te parle, relève aussitôt
Gladys ravie du spectacle ! »
Le malheureux en pleine souffrance est pris dans l’interpellation croisée
des deux femmes. Le corps rudement secoué sous les rafales de claques qui lui
pilonnent les fesses en cadence, il a bien d’autres préoccupations que celle de
commenter lui-même sa fessée. Mais il ne peut pas prendre le risque de se
dérober aux questions qu’on lui pose. .
– Oooh oui… oui… elle… elle... claque bien… trop… trop fort même!
Beaucoup trop.....
– Voyons Robin, qu’est-ce que tu racontes… le coupe sa mère. C’est une bonne fessée, sévère, sans plus.
Une bonne fessée dé culottée qui claque
fort comme doit normalement claquer une fessée.
– Ah oui, mais un peu plus… plus ...quand… quand même. Réussit-il à
répondre, d'une voix saccadée,
Patricia y va de bon cœur et met toute son énergie à fesser. Elle
s’applique, à ajuster chaque claque à un endroit différent pour bien chauffer
toute la surface des fesses. Elle fesse bien. La main ferme, enveloppante avec
le petit coup de poignet nerveux pour accentuer le cuisant de la claque au
moment de la percussion. Comme lui a appris sa mère. Le résultat est performant
et le volume sonore des fesses de Robin, bien travaillées sous les fessées
précédentes, atteint un niveau aussi
impressionnant que leur spectaculaire embrasement.
« Tu as remarqué maman comme ses fesses claquent beaucoup mieux après
plusieurs fessées consécutives.
– C’est normal chérie, elles gagnent en souplesse au fur et à mesure et
réagissent mieux sous les claques.
– Ah oui, là c’est flagrant. Ça s’entend ! »
La main bien arrondie sur la courbe des fesses, les dents serrées par l’effort, elle
concentre toute son énergie à rendre la fessée la plus retentissante possible.
Insatisfaite du résultat elle décide de modifier la position pour avoir le
fessier plus tendu et mieux à sa main,
« Maman, s'il te plaît, veux-tu bien m'avancer sa
chaise, là, à ma gauche !
– Mais bien sûr ma chérie, »
Patricia pose une fesse sur le bord de la table tout en le ceinturant sous
son bras gauche, puis, le soulève sans difficulté et le plie en deux sur sa
cuisse qu'elle monte à l'horizontale en posant son talon aiguille sur la
chaise. Dans le même mouvement elle le fait basculer vers le sol pour lui
repositionner les fesses sous un meilleur angle de frappe.
« Voilà, je peux mieux fesser et plus à l'aise ! dit-elle avec
satisfaction, tiens-toi bien à la chaise Je ne veux pas être obligée de
m'arrêter pour te remettre les fesses en place pendant ta fessée. »
Robin s’accroche à la nappe au risque de tout envoyer par terre et finit
par lâcher prise. Il s'agrippe au dossier de la chaise pour garder son
équilibre et s’abandonne à sa correction en laissant à sa sœur lui replacer le
derrière à sa main.
Le changement de positon n'a duré
que quelques secondes et s‘est effectué naturellement, avec maîtrise et
autorité. Claquante et cuisante, la fessée reprend aussitôt en redoublant d’intensité, soumettant les fesses du puni à
une nouvelle fulgurante montée en
chaleur.
Robin n’en peut plus. Il trépigne d’un pied sur l’autre. Un mouvement
réflexe qu’il ne peut contrôler lorsque
ses fesses atteignent un niveau de cuisson difficilement supportable. Cela
n‘émeut pas sa fesseuse qui continue à lui claquer les fesses sans baisser de
rythme. Ses hurlements montent en même temps et ponctuent le claquement de la
fessée dont il finit par extérioriser bruyamment la cuisson en tapant des deux
mains sur la table qu‘il mouille abondamment de ses larmes. Son assiette a volé
à l’autre bout. Les couverts sont tombés par terre.
D’un échange de regard complice la mère et la fille s’entendent pour mettre
fin à la correction que Patricia conclut d’un magnifique aller et retour sur
chaque fesse. Si fort appuyé que le derrière écarlate du malheureux en décolle
de la table. Robin s’y affale, en essayant de reprendre sa respiration,
perturbée par une longue plainte en modulation de fréquence.
« Aaaah, tu as raison maman, ça fait du bien de faire un peu
d’exercice après le repas ! Dit Patricia, elle aussi essoufflée par la débauche
d’énergie déployée. Surtout sur une paire de fesses comme celle-là qui en met
plein la main ! ».
Gladys se lève et vient s’accouder à la table près de Robin. Elle se penche
vers lui en mère attentive et prévenante.
« Et bien mon chéri, comment
vont tes fesses? Elles se sont encore pris une belle déculottée ! On peut dire
qu'elles profitent bien de leur premier week-end à la maison. »
Sa voix se fait douce. Tout en parlant elle a glissé sa main par derrière
et caresse voluptueusement ses fesses brûlantes.
« J’espère qu’elles ont apprécié cette nouvelle fessée à sa juste
valeur et qu'elle va te servir de leçon. »
Elle sait qu’elle ravive sa douleur
mais elle les tapote maintenant l’une après l’autre en les faisant rebondir dans sa main. Robin retient à peine un long gémissement.
« La prochaine fois tu éviteras tes
bouderies de petit garçon capricieux devant son assiette. Sans compter que
c’est une attitude désobligeante pour celle qui se donne du mal à préparer le
repas. Sur ce, elle ponctue sa remontrance d’une claque puissante sur chacune
fesse. Robin pousse un cri de douleur sous le nouvel impact.
– Oui... oui maman j’ai compris... Répond –il faiblement.
Écroulé sur la table, slip aux cuisses, pantalon sur les chevilles, les
fesses écarlates en pleine cuisson, il cuve difficilement sa troisième fessée.
Son corps réagit par secousse, sous l’effet d’une respiration entrecoupée de
sanglots.
Patricia contemple avec satisfaction le postérieur flamboyant qui témoigne
de la sévérité de la cuisante déculottée qu'elle vient de lui administrer.
« Après cette correction, on peut toujours espérer qu’il réfléchisse
à deux fois avant de se comporter à table comme il l’a fait.
– Je ne te le fais pas dire ma chérie, C'est la meilleure méthode, Belle
fessée, bien ajustée. Tu fais d’énormes progrès!
– C ‘est vrai, je commence à avoir ses fesses bien en main et à les claquer
beaucoup plus fort. Il me reste à tenir la distance pour augmenter la durée des
corrections.
– Tu as une très belle frappe ma chérie et tu acquières de l‘endurance. Il
te faut de la pratique. Avec de bonnes séances d’entraînement comme celles-ci,
tu devrais y arriver très vite.
– Merci maman, je ne demande que ça. J’adore administrer des fessées. C'est
vraiment la plus excitante et la meilleure des punitions.
– Oui, ça fait plaisir à voir, et à entendre aussi d‘ailleurs! »
Les deux femmes éclatèrent de rire
en même temps. Gladys enchaîna.
« Maintenant veux-tu bien t’occuper du service après-vente et monter
avec Robin dans sa chambre. Je voudrais que tu lui passes de l’huile de massage adoucissante sur les
fesses. Tu insistes bien pour que ça pénètre. Dans la raie des fesses aussi. Il
nous les faut opérationnelles pour demain. Et surtout tu ne le refesses pas. Je
pense qu’il a eu sa dose aujourd’hui.
– Toujours avec plaisir maman. Tu peux compter sur moi, je m‘en occupe.
– Parfait !
Elle se tourne vers son fils en récupération difficile, toujours à plat
ventre, déculotté, sur la table.
« Robin, avant de monter te faire huiler le derrière par ta sœur, tu
me ramasses tout ce que tu as fait tomber par terre pendant ta fessée. Tu en aurais
bien mérité encore une, pour faire si peu attention. Pas de doute, avec toi,
les fessées ça doit claquer sans arrêt ! Aller exécution et inutile de te
reculotter. Pas de passage au coin pour ce soir on s‘est assez régalé comme ça
avec tes fesses. Tu viens m’embrasser pour te faire pardonner et me dire
bonsoir. Tu montes direct après. Et débrouille toi pour que je ne t’entende ni
gémir, ni pleurer.
– Oui maman… »
Il se releva péniblement de la table où il était toujours effondré, ramassa
son assiette et ses couverts qu‘il apporta dans la cuisine.
Il prenait la direction de l’escalier lorsque la voix de Gladys lui fit
faire demi-tour.
« Et bien Robin, tu ne viens pas embrasser ta maman pour la remercier
après une aussi bonne soirée ?
– Si maman, si !... Je suis
désolé »
Il alla embrasser sa mère qui le gratifia d‘un bref câlin, à genoux entre
ses jambes, le visage humide, écrasé contre l’opulente poitrine maternelle.
Elle lui redressa la tête, l'index replié sous le menton.
« Maintenant mon chéri,
dis-moi, est ce qu'elles étaient bonnes tes fessées ?
- Oh oui maman... Pour ça, elles étaient bonnes !
- Bien, et reconnais tu les avoir parfaitement méritées ces bonnes fessées.
Hum ?
– Oui maman, je le reconnais. Je les ai méritées.
– Parfait ! Alors, monte dans ta chambre, ta sœur va s’occuper de toi.
Avec les dessins originaux de l'auteur !
Ne perdez pas le fil du feuilleton ! Pour ceux qui se seraient égarés ...
Ramina est l'auteur de nombreux commentaires sur ce blog.
Juste retour des choses il attend les vôtres. Ecrivez vos appréciations, vos retours, vos questions ... dans le cadre ci-dessous. Ramina vous répondra.
Si vous voulez un échange plus privé voici un courriel pour le joindre : ramina16@laposte.net
Bonjour Ramina,
RépondreSupprimerLes fessées, c'est comme les bon crus: plus ils prennent de l'âge et meilleurs ils sont. Un régal, si j'ose dire. Rires.
Les repas chez les Tapefort ne manquent pas de sel. Ces Dames s'entrainent pour le prochain diner du Samedi en compagnie de Madame Bellebourge et de son fils. Une belle soirée en perspective.
Excellent récit. Et les illustrations sont bien à-propos.
Quant à Monsieur , ça va être sa fête... des Pères.
Visiblement, tel père, tel fils. Mais Robin a l'excuse de sa jeunesse. Au moins.
Bonne journée.
Impayable Peter pan!
RépondreSupprimerje me demandais quel nom de famille pouvait bien porter la mère de Gérôme. Térèze Bellebourge! Oui, ça s'invente! C'est fait. Quant à la famille de Robin on est donc sur du madame Gladys Tapefort et son orchestre de percussions !!! . Tout un programme n'est ce pas !
les invitations pleuvent et Mister Peter met la pression sur le fameux dîner d'un samedi soir pas encore dans les cartons, mais qui va fatalement arriver.
En attendant les Tapefort on prévu ce samedi une soirée fessées avec Edwige Klaquedur et son mari. ( Retournez au début du chapitre 1, c'est déjà programmé, et si vous passez par la case punition recevez une fessée déculottée! ) Rires en cascade!
Donc il y a de la fesse rouge dans l'air pour encore quelques épisodes.
Au fait Peter Pan, Edouard est le Beau père de Robin, Gladys est remariée. Elle a fini par trouver ce qu'elle cherchait. Un homme à sa main avec un solide fessier bien endurant, adapté à ses exigences disciplinaires. Et ça n'arrête pas de chaufeeeeer!!
Elle est pas belle la vie chez les Tapefort ?
Ramina
Bonjour Ramina,
RépondreSupprimerEt comment !!!
Ma proposition tient toujours donc ? Parfait.
On attend avec impatience ce dîner entre connaissances mondaines.
Voilà qui promet des étincelles... Ces Dames vont se surpasser, comme à l'accoutumée.
Ce qui permettra, pendant ce temps-là, à Ma'me Bellebourge de faire la leçon à son grand poussin chéri : "On est poli, on ne met pas les coudes sur la table et on se tient droit, tu m'a compris, Gérome ?!". Vous savez comment sont les Mères-poules... Rires.
Peter'.
Oui, surtout que chez Gladys ça ne rigole pas avec la tenue à table.
RépondreSupprimerUn fessée est vite arrivée ! Et ça claque sur le derrière, le nez dans son assiette !
Ramina.
Bonsoir Ramina,
RépondreSupprimerNe vous stressez pas pour le récit fictif du diner entre mères-poules. Rires. Je réserve son illustration pour le moment de sa parution.
J'ai finalisé les dessins du Dimanche entre temps qui paraitront (avec l'aimable autorisation de notre éditeur, NDLR) et il y en a un sacré paquet, que je suis en train de coloriser. Dont deux versions du "thé chez Ma'me Bellebourge" avec fessée à l'appui, bien sûr !
Mais bon, ce sera pour plus tard. Chaque chose en son temps.
Bonne fin de soirée.
Peter.
des femmes sévères aux formes généreuses qui fessent des gros fessiers de garnements.tout ce que j'aime!!!
RépondreSupprimerMerci Unknown,
RépondreSupprimerLes beaux fessiers de ces messieurs n'ont pas fini de claquer sous les mains fermes de ces dames plantureuses. Pour le plaisir de faire plaisir aux fidèles amis lecteurs du blog!
Ramina