mercredi 20 juin 2018

Ces dames aux mains fermes - chapitre 4


Chapitre 4 : A table, il faut finir son assiette.

Il y avait bien quatre couverts à table pour le dîner mais seulement trois personnes. Edouard n’était toujours pas rentré et son cas s’aggravait au fur et à mesure que les minutes passaient. Ce n’était plus du retard mais de l’absence caractérisée. Autant de désinvolture et d’irrespect allait lui valoir la correction de rigueur, que Gladys n’allait pas manquer de lui administrer dès sa réapparition.
Sûre de sa position dominante et de son autorité, elle savait maîtriser ses réactions en ne laissant paraître aucun signe d’irritation. Elle attendait patiemment le moment venu de la punition pour laisser exploser toute l’énergie accumulée à retenir sa colère montante. L’incorrigible époux, pourtant au fait des règles de la discipline conjugale, lui procurait, une nouvelle fois, un excellent motif de lui flanquer une bonne déculottée.


Le dîner se déroulait donc dans la bonne humeur. Du moins celle de ces dames, joyeuses et détendues après la stimulante séance de fessées infligée à Robin pour fêter dignement son retour à la maison, Elles lui avaient interdit de se reculotter. Il avait dû venir se mettre à table en se déplaçant  le  pantalon baissé autour des chevilles, les fesses rouges et cuisantes au fond du slip. Beaucoup moins à l’aise que ses voisines de tables, il ne vivait pas la situation tout à fait de la même façon. Son projet de vie du moment se limitait à essayer de se tenir convenablement devant son assiette en évitant de trop exprimer la douleur que lui renvoyait la cuisson de ses fesses.

Sous le regard amusé de sa mère et de sa sœur, il s’était installé à table avec autant de précaution que s’il avait dû s’asseoir sur du verre pilé, le bout des fesses posé sur le bord de sa chaise pour réduire au maximum la surface de contact. Ce qui lui demandait beaucoup d’application et de précaution. Ses fesses, gonflées de claques et reculottées serrées, dans un slip qui lui semblait devenu trop petit pour les contenir entièrement, lui cuisaient du bas des reins jusqu‘en haut des cuisses. Gladys, faisant étalage de son cynisme habituel et, feignant d’ignorer les raisons de son agitation, l’avait rappelé à l’ordre plusieurs fois. Cette fois ci était la troisième.

«  Mais enfin Robin, vas tu te tenir tranquille. Qu’est-ce que tu as à gigoter sans arrêt ? C’est une façon de se tenir à table ça ? 
Patricia sans précaution de langage, enfonce le clou, qui ne dépassait pas de beaucoup.
«  Mais maman, c’est parce qu’il a mal au cul, c’est tout!  »
Gladys sursaute et se tourne vers elle
«  Non mais qu’est-ce qu’il te prend, Patricia ? Tu t’entends parler ? Qu’est-ce que c’est que ce vocabulaire?
–  Oh pardon maman, excuse-moi, ça m’a échappé...je voulais dire, C’est parce qu’‘il a mal aux fesses.
– Je préfère... Mais surveille ton langage s‘il te plait. Je pourrais très bien te prendre sur mes genoux pour te déculotter et te flanquer une fessée à toi aussi !  Ce n’est pas parce que maintenant tu fesses ton frère que ça te dispenserait de t’en prendre une ! Il n‘y en a pas que pour lui. Fais bien attention !  »

Robin regarda sa sœur du coin de l’œil et esquissa un sourire vite réprimé. Patricia pensa qu’elle aurait mieux fait de se taire et ne répondit rien. Il n’y avait d’ailleurs, rien à répondre. Gladys en deux phrases venait de recadrer tout le monde sous son autorité.
«  Bon, Robin, tu ne finis pas de manger ?
– Euh non maman je n’ai pas très faim, dit-il en faisant une grimace. Il repoussa timidement son assiette.
– C’est bien ce que je disais, insiste  Patricia un peu perverse, ça doit être les fessées qui lui coupent l’appétit.» 
Gladys sourit et but une gorgée de vin en le regardant par en dessous. Elle reposa son verre et s’essuya délicatement la bouche avec sa serviette y laissant quelques traces de rouge à lèvres. ..
«  Et bien moi je pense le contraire. Rien de tel qu’une bonne fessée déculottée avant de passer à table pour ouvrir l’appétit et une deuxième bien cuisante après le repas pour faciliter la digestion. C’est ce qu’on appelle joindre l’utile à l’agréable !  Non? »

Robin fit une moue de désapprobation mais n’osa pas protester. Le regard inquiet, il se dandine sur sa chaise en grimaçant. Il ne se fait aucune illusion, mais tente malgré tout d’apitoyer les deux femmes en extériorisant  la douleur persistante de ses fesses, encore sous l‘effet de la double déculottée dans l‘entrée. 
Gladys fait comme si elle n‘avait rien vu et insiste.
«  Mais qu’est-ce que c’est que ces manière d’enfant capricieux? Tu pourrais au moins faire honneur à la cuisine de ta sœur.  Elle s’est donné du mal tu sais. Ce rosbeef est excellent, saignant juste ce qu’il faut.  »
Patricia s’amuse et en remet une couche en s‘esclaffant.
– C’est peut-être la couleur de la viande qui le met mal à l’aise. Elle doit lui rappeler celle de ses fesses! 
– Ah c’est bien possible ! dit Gladys. D’abord amusée par l‘allusion de sa fille, puis soudain menaçante à l’adresse de Robin, sans cependant le regarder, comme si elle parlait de quelqu‘un d‘autre.
« Mais s’il persiste à ne pas vouloir finir son assiette, il risque de se prendre sa fessée d’après dîner plus tôt que prévu. N’est-ce pas mon chéri ? 
 – Oh mais maman… c’est… c’est parce que ce n’est pas assez cuit…  »
– Mon pauvre ami, mais pourquoi ne l’as-tu pas dit plus tôt ! S’exclame sa mère d’un air faussement désolé.
– Si ça ne tient qu‘à ça. Elle se tourne vers sa fille
– Patricia, ton frère a un problème de cuisson veux-tu bien t’en occuper ?
– Mais bien sûr maman, avec plaisir ! Je fais ça où ?
– Là sur la table, à la place de son assiette, puisque il n’en veut plus. C’est l’endroit parfaitement adapté pour une bonne exposition. Ça sera très bien !  »

Patricia ne se le fait pas dire deux fois. Elle pose aussitôt sa serviette, repousse sa chaise,  et se dirige vers son frère qu’elle saisit par le coude pour le sortir de table. .Il reste quelques secondes debout, en interrogeant du regard,  alternativement, sa mère et sa sœur. Il comprend aussitôt, à leur air complice qu’il connaît trop bien, qu’un nouveau pic de chaleur menace son postérieur encore pour peu de temps à l’abri dans son slip. 
«  Ah non maman pas encore la fessée! Pas la fessée! S’il te plait !  Plus de fessée aujourd’hui ! »
Maman imperturbable se recule avec sa chaise pour mieux assister au spectacle.
– Quand on fait des caprices d’enfant à table, on est corrigé comme un enfant. C’est la fessée !
– Oh maman, s’il te plaît… C’est bon, je vais finir, je vais finir !
– C’est trop tard mon cher, il fallait le faire avant.  »
Gladys se moque éperdument des jérémiades de son fils. Elle croise haut les jambes en passant négligemment un bras par-dessus le dossier de sa chaise et lève son verre comme pour trinquer à la santé de son derrière.
«  Patricia,  ma chérie, fais nous plaisir et flanque lui une bonne fessée pour l’aider à digérer, même s’il n’a pas mangé grand-chose. Un peu d’exercice avant de l’envoyer au lit lui fera le plus grand bien!
– Tout de suite maman, Déculottée la fessée?
– Enfin Patricia, où as-tu la tête ? Évidemment déculottée!

Tout en tenant son frère par le bras, debout à côté d’elle, elle écarte du revers de la main son assiette et ses couverts pour libérer la place. Elle le saisit alors derrière la nuque, et le couche de force à plat ventre sur la table. Dans un même mouvement, elle lui appuie sur les reins pour l’obliger à bien ressortir ses fesses et de son autre main saisit l’élastique de son slip pour le déculotter. Gladys en esthète savoure l‘instant.
« Bien belle coordination, efficace ! Maintenant déculottage. »  
Patricia prolonge son plaisir en faisant glisser lentement le nylon sur les courbes volumineuses  afin de bien dégager l’ensemble du fessier. Déculotter un derrière en préparation d’une fessée est toujours un moment émouvant, agréable à exécuter comme à contempler. Elle ponctue l’exercice en étirant la ceinture élastique au-dessus de la peau, de chaque côté des hanches, descend un peu plus bas, et la lâche d’un seul coup pour la faire joyeusement claquer sur les cuisses. Déculottage réussi!
Gladys apprécie.
« Bravo ma chérie! Belle descente de slip ! J’attends, une fessée d'aussi belle facture. Brève mais intense. Pas plus longue que celle dans l’escalier tout à l’heure. Il faut que ses fesses aient le temps de récupérer pendant la nuit pour supporter le programme de demain. »

Les postérieurs de ces messieurs avaient effectivement tout intérêt à bien se tenir parce que les prévisions de la météo disciplinaire de la maison s’orientaient  vers une journée à tendance nettement  caniculaire.

Patricia se positionne hanche contre hanche, à la droite de sa victime qui attend sa fessée en tremblant sur la pointe des pieds. Elle le maintient d’une main en position, le buste plaquée à la table, laissant le reste de son corps libre de tout mouvement pour qu‘il puisse tortiller des fesses à volonté sous les claques et en offrir le croustillant spectacle.

Robin émet quelques gémissements étouffés dans le tissu de la nappe. Devant ses yeux, sous son nez, son assiette non terminée, motif de sa punition qu’il va devoir contempler pendant sa correction.
Sous l’injonction de sa sœur qui lui ordonne de mieux présenter ses fesses, il creuse les reins en poussant sur la pointe des pieds pour les lui arrondir bien tendues, à sa main. C’est ça aussi l’obéissance. Elle augmente la pression sur son dos et prend son élan, la main haut levée au-dessus de sa tête.
« Patricia, je t’en prie, pas trop fort la fessée… S’il te plait, implore Robin pour le coup, vraiment dans son assiette !
Elle retient encore son geste pour le maintenir sous pression avant de démarrer la fessée.
«  Tu as bien dit,  brève mais intense, n’est-ce pas Maman? 
– Exactement !
– Oooooh  non  maman, pitié...Pleurniche Robin c’est ma cinquième fessée aujourd’hui !
– Mon cher, nous ne sommes pas responsable des fessées que tu reçois à Ste Marie! Ici, c’est simplement la quatrième. Patricia, qu’est-ce que tu attends? »

Patricia n’attend plus rien et déclenche la fessée avec enthousiasme. La correction ne doit pas durer très longtemps, alors elle fesse fort immédiatement, sans tour de chauffe préalable. Sévèrement pris aux fesses sans préambule, Robin ne résiste pas longtemps. Dès les premières claques, Il se lâche en petits cris spasmodiques entrecoupés de sanglots, et sous la terrible cuisson, entame aussitôt une frénétique danse des fesses.
Brève mais intense a dit maman. La fessée est intense, nourrie de claquées retentissantes, encore amplifiées par la belle résonance de la pièce, carrelée à cet effet.

la fessée déculottée par sa sœur

«  Alors comment tu la trouves ta fessée, elle claque bien non ? Commente, la sœur tout en fessant. Elle a pris ce petit ton sarcastique qu’elle affectionne quand elle administre une correction.
– Robin, tu pourrais répondre quand ta sœur te parle, relève aussitôt Gladys ravie du spectacle ! »
Le malheureux en pleine souffrance est pris dans l’interpellation croisée des deux femmes. Le corps rudement secoué sous les rafales de claques qui lui pilonnent les fesses en cadence, il a bien d’autres préoccupations que celle de commenter lui-même sa fessée. Mais il ne peut pas prendre le risque de se dérober aux questions qu’on lui pose. .
– Oooh oui… oui… elle… elle... claque bien… trop… trop  fort même!  Beaucoup trop.....
– Voyons Robin, qu’est-ce que tu racontes… le coupe sa mère.  C’est une bonne fessée, sévère, sans plus. Une bonne fessée dé  culottée qui claque fort comme doit normalement claquer une fessée.
– Ah oui, mais un peu plus… plus ...quand… quand même. Réussit-il à répondre, d'une voix saccadée,

Patricia y va de bon cœur et met toute son énergie à fesser. Elle s’applique, à ajuster chaque claque à un endroit différent pour bien chauffer toute la surface des fesses. Elle fesse bien. La main ferme, enveloppante avec le petit coup de poignet nerveux pour accentuer le cuisant de la claque au moment de la percussion. Comme lui a appris sa mère. Le résultat est performant et le volume sonore des fesses de Robin, bien travaillées sous les fessées précédentes,  atteint un niveau aussi impressionnant que leur spectaculaire embrasement.
«  Tu as remarqué maman comme ses fesses claquent beaucoup mieux après plusieurs fessées consécutives.

culotte baissée par sa sœur


– C’est normal chérie, elles gagnent en souplesse au fur et à mesure et réagissent mieux sous les claques.
– Ah oui, là c’est flagrant. Ça s’entend !  »
La main bien arrondie sur la courbe des fesses,  les dents serrées par l’effort, elle concentre toute son énergie à rendre la fessée la plus retentissante possible. Insatisfaite du résultat elle décide de modifier la position pour avoir le fessier plus tendu et mieux à sa main,
«  Maman, s'il te plaît, veux-tu bien m'avancer sa chaise, là, à ma gauche !
– Mais bien sûr ma chérie, »
Patricia pose une fesse sur le bord de la table tout en le ceinturant sous son bras gauche, puis, le soulève sans difficulté et le plie en deux sur sa cuisse qu'elle monte à l'horizontale en posant son talon aiguille sur la chaise. Dans le même mouvement elle le fait basculer vers le sol pour lui repositionner les fesses sous un meilleur angle de frappe.
« Voilà, je peux mieux fesser et plus à l'aise ! dit-elle avec satisfaction, tiens-toi bien à la chaise Je ne veux pas être obligée de m'arrêter pour te remettre les fesses en place pendant ta fessée. »
Robin s’accroche à la nappe au risque de tout envoyer par terre et finit par lâcher prise. Il s'agrippe au dossier de la chaise pour garder son équilibre et s’abandonne à sa correction en laissant à sa sœur lui replacer le derrière à sa main.
 Le changement de positon n'a duré que quelques secondes et s‘est effectué naturellement, avec maîtrise et autorité. Claquante et cuisante, la fessée reprend aussitôt en redoublant  d’intensité, soumettant les fesses du puni à une nouvelle fulgurante  montée en chaleur.
Robin n’en peut plus. Il trépigne d’un pied sur l’autre. Un mouvement réflexe  qu’il ne peut contrôler lorsque ses fesses atteignent un niveau de cuisson difficilement supportable. Cela n‘émeut pas sa fesseuse qui continue à lui claquer les fesses sans baisser de rythme. Ses hurlements montent en même temps et ponctuent le claquement de la fessée dont il finit par extérioriser bruyamment la cuisson en tapant des deux mains sur la table qu‘il mouille abondamment de ses larmes. Son assiette a volé à l’autre bout. Les couverts sont tombés par terre.

D’un échange de regard complice la mère et la fille s’entendent pour mettre fin à la correction que Patricia conclut d’un magnifique aller et retour sur chaque fesse. Si fort appuyé que le derrière écarlate du malheureux en décolle de la table. Robin s’y affale, en essayant de reprendre sa respiration, perturbée par une longue plainte en modulation de fréquence.
«  Aaaah, tu as raison maman, ça fait du bien de faire un peu d’exercice après le repas ! Dit Patricia, elle aussi essoufflée par la débauche d’énergie déployée. Surtout sur une paire de fesses comme celle-là qui en met plein la main ! ».

Gladys se lève et vient s’accouder à la table près de Robin. Elle se penche vers lui en mère attentive et prévenante.
«   Et bien mon chéri, comment vont tes fesses? Elles se sont encore pris une belle déculottée ! On peut dire qu'elles profitent bien de leur premier week-end à la maison.  »
Sa voix se fait douce. Tout en parlant elle a glissé sa main par derrière et caresse voluptueusement ses fesses brûlantes.
« J’espère qu’elles ont apprécié cette nouvelle fessée à sa juste valeur et qu'elle va te servir de leçon.  »
 Elle sait qu’elle ravive sa douleur mais elle les tapote maintenant l’une après l’autre en les faisant rebondir dans sa main. Robin retient à peine un long gémissement.
 « La prochaine fois tu éviteras tes bouderies de petit garçon capricieux devant son assiette. Sans compter que c’est une attitude désobligeante pour celle qui se donne du mal à préparer le repas. Sur ce, elle ponctue sa remontrance d’une claque puissante sur chacune fesse. Robin pousse un cri de douleur sous le nouvel impact.
– Oui... oui maman j’ai compris...  Répond –il faiblement.
Écroulé sur la table, slip aux cuisses, pantalon sur les chevilles, les fesses écarlates en pleine cuisson, il cuve difficilement sa troisième fessée. Son corps réagit par secousse, sous l’effet d’une respiration entrecoupée de sanglots.
Patricia contemple avec satisfaction le postérieur flamboyant qui témoigne de la sévérité de la cuisante déculottée qu'elle vient de lui administrer.
«  Après cette correction, on peut toujours espérer qu’il réfléchisse à deux fois avant de se comporter à table comme il l’a fait.
– Je ne te le fais pas dire ma chérie, C'est la meilleure méthode, Belle fessée, bien ajustée. Tu fais d’énormes progrès! 
– C ‘est vrai, je commence à avoir ses fesses bien en main et à les claquer beaucoup plus fort. Il me reste à tenir la distance pour augmenter la durée des corrections.
– Tu as une très belle frappe ma chérie et tu acquières de l‘endurance. Il te faut de la pratique. Avec de bonnes séances d’entraînement comme celles-ci, tu devrais y arriver très vite.
– Merci maman, je ne demande que ça. J’adore administrer des fessées. C'est vraiment la plus excitante et la meilleure des punitions.
– Oui, ça fait plaisir à voir, et à entendre aussi d‘ailleurs!  »
 Les deux femmes éclatèrent de rire en même temps. Gladys enchaîna.
«  Maintenant veux-tu bien t’occuper du service après-vente et monter avec Robin dans sa chambre. Je voudrais que tu lui passes de  l’huile de massage adoucissante sur les fesses. Tu insistes bien pour que ça pénètre. Dans la raie des fesses aussi. Il nous les faut opérationnelles pour demain. Et surtout tu ne le refesses pas. Je pense qu’il a eu sa dose aujourd’hui.
– Toujours avec plaisir maman. Tu peux compter sur moi, je m‘en occupe.
– Parfait !  
Elle se tourne vers son fils en récupération difficile, toujours à plat ventre, déculotté, sur la table.
«  Robin, avant de monter te faire huiler le derrière par ta sœur, tu me ramasses tout ce que tu as fait tomber par terre pendant ta fessée. Tu en aurais bien mérité encore une, pour faire si peu attention. Pas de doute, avec toi, les fessées ça doit claquer sans arrêt ! Aller exécution et inutile de te reculotter. Pas de passage au coin pour ce soir on s‘est assez régalé comme ça avec tes fesses. Tu viens m’embrasser pour te faire pardonner et me dire bonsoir. Tu montes direct après. Et débrouille toi pour que je ne t’entende ni gémir, ni pleurer. 
– Oui maman…  »
Il se releva péniblement de la table où il était toujours effondré, ramassa son assiette et ses couverts qu‘il apporta dans la cuisine.
Il prenait la direction de l’escalier lorsque la voix de Gladys lui fit faire demi-tour.
«  Et bien Robin, tu ne viens pas embrasser ta maman pour la remercier après une aussi bonne soirée ?
– Si maman, si !...  Je suis désolé  »
Il alla embrasser sa mère qui le gratifia d‘un bref câlin, à genoux entre ses jambes, le visage humide, écrasé contre l’opulente poitrine maternelle. Elle lui redressa la tête, l'index replié sous le menton.
 «  Maintenant mon chéri, dis-moi, est ce qu'elles étaient bonnes tes fessées ?
- Oh oui maman... Pour ça, elles étaient bonnes !
- Bien, et reconnais tu les avoir parfaitement méritées ces bonnes fessées. Hum ?
– Oui maman, je le reconnais. Je les ai méritées.
– Parfait ! Alors, monte dans ta chambre, ta sœur va s’occuper de toi.


Avec les dessins originaux de l'auteur !

Ne perdez pas le fil du feuilleton ! Pour ceux qui se seraient égarés ...

Le début : chapitre 1
et l'épisode précédent : chapitre 3

Il y a une suite, le chapitre 5

Ramina est l'auteur de nombreux commentaires sur ce blog.

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7 commentaires:

  1. Bonjour Ramina,


    Les fessées, c'est comme les bon crus: plus ils prennent de l'âge et meilleurs ils sont. Un régal, si j'ose dire. Rires.
    Les repas chez les Tapefort ne manquent pas de sel. Ces Dames s'entrainent pour le prochain diner du Samedi en compagnie de Madame Bellebourge et de son fils. Une belle soirée en perspective.
    Excellent récit. Et les illustrations sont bien à-propos.
    Quant à Monsieur , ça va être sa fête... des Pères.
    Visiblement, tel père, tel fils. Mais Robin a l'excuse de sa jeunesse. Au moins.
    Bonne journée.

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  2. Impayable Peter pan!
    je me demandais quel nom de famille pouvait bien porter la mère de Gérôme. Térèze Bellebourge! Oui, ça s'invente! C'est fait. Quant à la famille de Robin on est donc sur du madame Gladys Tapefort et son orchestre de percussions !!! . Tout un programme n'est ce pas !
    les invitations pleuvent et Mister Peter met la pression sur le fameux dîner d'un samedi soir pas encore dans les cartons, mais qui va fatalement arriver.
    En attendant les Tapefort on prévu ce samedi une soirée fessées avec Edwige Klaquedur et son mari. ( Retournez au début du chapitre 1, c'est déjà programmé, et si vous passez par la case punition recevez une fessée déculottée! ) Rires en cascade!
    Donc il y a de la fesse rouge dans l'air pour encore quelques épisodes.
    Au fait Peter Pan, Edouard est le Beau père de Robin, Gladys est remariée. Elle a fini par trouver ce qu'elle cherchait. Un homme à sa main avec un solide fessier bien endurant, adapté à ses exigences disciplinaires. Et ça n'arrête pas de chaufeeeeer!!
    Elle est pas belle la vie chez les Tapefort ?
    Ramina

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  3. Bonjour Ramina,


    Et comment !!!
    Ma proposition tient toujours donc ? Parfait.
    On attend avec impatience ce dîner entre connaissances mondaines.
    Voilà qui promet des étincelles... Ces Dames vont se surpasser, comme à l'accoutumée.
    Ce qui permettra, pendant ce temps-là, à Ma'me Bellebourge de faire la leçon à son grand poussin chéri : "On est poli, on ne met pas les coudes sur la table et on se tient droit, tu m'a compris, Gérome ?!". Vous savez comment sont les Mères-poules... Rires.
    Peter'.

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  4. Oui, surtout que chez Gladys ça ne rigole pas avec la tenue à table.
    Un fessée est vite arrivée ! Et ça claque sur le derrière, le nez dans son assiette !
    Ramina.

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  5. Bonsoir Ramina,

    Ne vous stressez pas pour le récit fictif du diner entre mères-poules. Rires. Je réserve son illustration pour le moment de sa parution.
    J'ai finalisé les dessins du Dimanche entre temps qui paraitront (avec l'aimable autorisation de notre éditeur, NDLR) et il y en a un sacré paquet, que je suis en train de coloriser. Dont deux versions du "thé chez Ma'me Bellebourge" avec fessée à l'appui, bien sûr !
    Mais bon, ce sera pour plus tard. Chaque chose en son temps.
    Bonne fin de soirée.
    Peter.

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  6. des femmes sévères aux formes généreuses qui fessent des gros fessiers de garnements.tout ce que j'aime!!!

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  7. Merci Unknown,
    Les beaux fessiers de ces messieurs n'ont pas fini de claquer sous les mains fermes de ces dames plantureuses. Pour le plaisir de faire plaisir aux fidèles amis lecteurs du blog!
    Ramina

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