Dès le lendemain, Catherine fit une nouvelle tentative pour
soumettre Magali. Alors que ni la directrice, ni Madame Colas n’étaient
présentes, elle prétexta un papier jeté à côté de la poubelle pour annoncer à
Magali qu’elle avait mérité une fessée.
« Viens-ici que je te punisse !
– Tu peux toujours courir, il n’en est pas question !
– Magali, c’est mon dernier avertissement. Si tu n’obéis pas
sur le champ, je te renvoie sur les genoux de Madame Colas, mais pour une
fessée comme tu n’en as encore jamais reçue.
– Essaye seulement et je raconte ce que tu fais à Daniel !
– Tu ferais mieux de t’assurer avant qu’il confirmera tes
dires. J’ai ordonné à Daniel de se taire, il le fera. N’est-ce pas
Daniel ? »
Je ne voulais pas prendre le risque de courroucer Catherine.
J’abondais dans son sens. Magali retourna à son bureau, furieuse autant avec
moi qu’avec Catherine.
« De toute façon, tu ne peux rien m’obliger à faire. Tu
peux toujours attendre que je sois d’accord, ça n’arrivera jamais !
– Je n’oublierai pas cette insolence, Magali. Tu en seras
punie !
– Pas par toi, en tous cas ! »
Elles en restèrent là, mais la tension était montée d’au
cran.
La routine continuait. Une ou deux fois par semaine, Madame
Colas trouvait un motif pour me punir. Elle me déculottait et me fessait, sans
se soucier du lieu où cela se passait. Consciencieusement, Madame Tolbois
doublait la punition par une autre correction à la maison. J’avais au moins la
consolation, presque à chaque fois, de finir dans ses bras pour un câlin
pendant lequel elle me faisait promettre de m’amender. En rajoutant les fessées
que je recevais, du propre chef de Madame Tolbois, cela ne me permettait pas
d’oublier mon statut de grand garçon puni.
A tout cela se rajoutaient les punitions de plus en plus
fréquentes de Catherine. Elles se déroulaient aux moments où nos deux
supérieures hiérarchiques s’absentaient conjointement. J’étais sûr, moins d’une
demi-heure après qu’elles aient tourné le dos, de me retrouver allongé en
travers des genoux de Catherine, la suppliant de cesser la fessée. Heureusement
ces fessées non officielles n’étaient pas doublées, à la maison, par une dont
Madame Tolbois avait le secret.
Très rapidement, cette possibilité aléatoire de me punir ne
lui suffit plus. Il me semblait que la frustration de ne pas arriver à ses fins
avec Magali renforçait d’autant plus son envie de me corriger. Elle repéra un
court moment, un quart d’heure juste à la fin de la pause déjeuner, pendant
lequel, généralement, ni Madame Raveneau, ni Madame Colas n’étaient présentes.
Cédant à ses menaces, j’obtenais l’autorisation de Madame Tolbois de retourner
au travail un peu plus tôt. Le prétexte de pouvoir consacrer un peu plus de
temps à des tâches professionnelles, eut un franc succès.
A chaque fois qu’elle avait décidé de me punir, Catherine me
convoquait à treize heures quarante-cinq. Je n’osais pas me dérober. Je me
rendais donc, sans faute, à son injonction. Presque à chaque fois, elle me
conduisait par l’oreille dans le local à archives. J’y arrivais courbé en deux
pour rester à la hauteur à laquelle elle mettait sa main qui me tenait
l’oreille. Béatrice nous suivait. Elle osait parfois une claque ou deux sur le
fond de mon pantalon.
Elle y avait placé une chaise. C’était là où elle prenait
place. Elle s’occupait aussitôt de me déculotter. Je devais alors me tenir,
pantalon et culotte baissés, devant elle et Béatrice n’était jamais loin,
pendant qu’elle me grondait en me rappelant ce qui motivait la punition. Cela
ne durait jamais très longtemps, le temps nous était compté.
Elle me couchait alors sur ses genoux et la fessée
commençait sans plus attendre. J’aurais pourtant bien voulu qu’elle m’accordât
un délai. Au fur et à mesure, sa technique s’améliorait. Même si elle
n’arrivait pas à atteindre la sévérité dont savait faire preuve Madame Tolbois,
les fessées qu’elle m’administrait n’avaient rien d’une partie de plaisir.
J’avais pris le parti d’extérioriser ma douleur sans retenue comme je le
faisais habituellement, mais je reçus la consigne de modérer mes ardeurs. Il ne
s’agissait pas que des bruits attirent d’intempestifs visiteurs, même si
l’ouverture de la porte d’entrée et le carillon qu’elle déclenchait, nous laisserait
le temps de revenir à une situation plus normale. Encore que, pour moi, être
déculotté et recevoir une fessée en public pouvait paraître assez habituel.
Je finissais en pleurs à la grande satisfaction de
Catherine.
« J’espère que tu retiendras cette leçon ! Même si
je suis sûre que tu auras besoin encore de nombreuses corrections avant que ton
attitude ne devienne acceptable ! »
Elles me laissaient là avec la consigne de passer me
rafraîchir aux toilettes, histoire de faire disparaître les larmes qui
coulaient sur mes joues. J’avais une telle habitude d’obéir que je suivais
scrupuleusement leurs ordres. Cela ne suffit pas toujours pour faire
disparaître les séquelles de la fessée, je ne parle pas là de celle qui
pouvaient demeurer sur mon postérieur, mais de celle qu’on pouvait lire sur mon
visage.
C’était en effet difficile de faire comme si de rien n’était
quand on vient de recevoir une fessée. Je n’y avais pas fait attention, jusqu’à
récemment, ayant plutôt évité de me regarder dans un miroir juste après avoir
reçu une correction. Je ne tenais pas à voir ce que j’allais y découvrir, ce
n’était pas très valorisant. Fréquentant maintenant régulièrement Magali qui
recevait la fessée aussi souvent que moi ou peu s’en faut, j’étais capable de
dire, le matin quand elle arrivait, de dire si elle avait corrigée avant de
venir travailler.
Je ne savais trop que faire face à l’insistance de Catherine
à me fesser quand elle l’avait décidé. D’un côté, ce droit qu’elle s’était
arrogé, me paraissait un abus de pouvoir. Elle n’avait aucune légitimité à me
corriger et j’en ressentais l’injustice. D’un autre côté, je constatais qu’une
partie non négligeable des motifs de punition qu’elle trouvait, m’auraient valu
une punition de Madame Colas si cela était parvenu à ses oreilles. L’avantage,
avec Catherine, c’était que les fessées n’étaient pas doublées à la maison et
elles avaient tendance à être plus courtes que celles que me donnait ma cheffe
de bureau qui, quand il fallait sévir, prenait tout son temps. J’en venais à me
demander si je n’étais pas finalement gagnant dans l’affaire en recevant clandestinement
plusieurs fessées plutôt qu’une officielle.
Ce jour-là, le grelot qui indiquait l’ouverture de la porte
d’entrée fit entendre sa musique aigrelette alors que la fessée battait son
plein. Catherine y mit fin immédiatement et elle m’expulsa de ses genoux. Je
tombais à ses pieds. Mon genou heurta violemment le sol et j’y restais
incapable de tout mouvement.
« Relève-toi ! Ce n’est pas le moment de faire une
comédie. Veux-tu que je te fesse pour t’y aider ? »
Je n’avais pas l’aplomb de la mettre au défi de le faire. Il
était évident que ce n’était ni l’heure, ni le lieu. Avec leur aide conjointe,
j’arrivais à me remettre sur pieds.
« Reculotte-toi ! Tu passes par les toilettes et
tu vas te mettre à ta place ! »
J’exécutais leur consigne, mais je me déplaçais en boitant.
J’avais à peine repris ma place, que Madame Raveneau faisait son entré. Son
inspection du regard identifia ma mine défaite.
« Madame Tolbois aurait-elle dû sévir ce midi, mon
garçon ?
– Oui Madame, répondis-je rapidement, pris au dépourvu.
– J’espère que cette fessée vous a fait le plus grand
bien ! »
Je penchais ma tête sur mon clavier d’ordinateur ce que ma
directrice prit pour l’expression de ma honte d’avoir été puni et que ça se
sache publiquement. Elle n’était pas complètement à côté du sujet, mais je ne
lui en fis pas la remarque.
Madame Raveneau avait identifié sans difficulté mon air de
garçon puni et elle en avait tiré une conclusion erronée. Je ne savais pas si
c’était un bien ou pas, mais Catherine et Béatrice en avaient paru soulagées.
J’espérais que rien ne permettrait à Madame Raveneau de recouper mes
affirmations avec ce que pourrait lui dire Madame Tolbois. Mon mensonge serait
alors mis en lumière avec des conséquences que je ne savais pas calculer.
Cette chaude alerte n’arrêta pas Catherine dans ses
entreprises punitives. Deux jours plus tard, elle m’administrait une sérieuse
correction qui ne fut pas, cette fois-ci, interrompue par un retour imprévu.
Les choses ne pouvaient en rester là.
Tout se déclencha un jour où Magali fut convoquée chez la
directrice. Madame Raveneau avait fait une apparition sur le pas de sa porte.
Elle était visiblement furieuse.
« Magali, dans mon bureau, dit-elle d’un ton
sec ! »
Nous savions tous ce que cela voulait dire. Une telle
convocation ne se faisait que quand notre directrice avait un reproche sérieux
à nous faire. C’est Madame Colas qui réglait les petites choses du quotidien.
Madame Raveneau se chargeait des recadrages importants, ce qui signifiait une
réprimande en règle, complétée pour Magali et moi par une fessée.
Bien qu’elle ait été déculottée et fessée devant nous tous
de nombreuses fois, Magali n’avait pas renoncé à rechercher un peu d’intimité
afin de ne pas s’exposer dans une situation aussi embarrassante. Elle voulut
fermer la porte derrière elle, mais elle en fut empêchée.
« Laissez donc cette porte ouverte. Je tiens à ce que
tous vos collègues profitent de la punition qui vous attend. Cela contribuera à
leur édification. »
En matière d’édification, l’efficacité n’y était pas. Malgré
la porte ouverte, je ne comprenais pas quelle était la nature du reproche que
Madame Raveneau faisait à Magali. C’est un brouhaha qui passait la porte. Nous
savions juste que Magali se faisait vertement gronder, mais nous n’en
distinguions pas la raison. Une courte pause, sans doute le temps de déculotter
Magali, annonça le début de la fessée.
La porte ouverte laissait passer sans problème les bruits
provoqués par la fessée, que ce soit le son sec de la main sur les fesses ou
les plaintes de Magali. Nous étions tous focalisé sur ce qui se passait dans le
bureau d’à côté. Madame Colas se rendit dans la porte du bureau afin de voir ce
qui s’y passait. Elle approuvait les mesures prises par notre directrice d’un
lent hochement de tête.
Catherine en profita. Elle se dirigea vers les toilettes.
Madame Colas n’y fit pas attention. En passant près du bureau de Magali, elle
plaça le verre de café en équilibre sur le bord du clavier de l’ordinateur.
D’un coup d’œil circulaire, elle vérifia que nul ne l’avait vue. J’étais le
seul à avoir repéré son manège. Elle fronça les sourcils, puis elle mit son
doigt sur sa bouche pour m’ordonner de me taire et enfin un geste de menace de
sa main ouverte, elle m’indiqua la nature du risque que je prendrais si il me
venait l’envie de bavarder. Elle poursuivit alors son chemin.
Magali ne tarda pas à refaire son apparition, des larmes
dans les yeux. Elle se frottait les fesses, dévoilant le bas de sa culotte, un
réflexe malheureux qui soulignait quelle punition elle avait reçue. Dès qu’elle
nous vit elle stoppa son geste et elle remit sa jupe en place.
« Retournez au travail, petite paresseuse. Et
rectifiez-moi toutes ces erreurs ! »
Pas de souci cette fois à comprendre ce que disait Madame
Raveneau. Magali accéléra le pas et elle se réinstalla à sa place. Son fauteuil
de bureau toucha un peu son bureau, ce qui suffit pour faire basculer le
gobelet de café. Le liquide se répandit sur le clavier.
« Oh non, cria-t-elle ! »
Bien évidemment cette exclamation attira l’attention de
Madame Colas qui vint aux nouvelles.
« Mais ce n’est pas vrai ! Quand allez-vous cesser
vos bêtises ?
– Mais Madame, ce n’est pas moi qui …
– Il suffit ! Allez chercher de quoi réparer votre
maladresse ! De l’essuie-tout, dans les toilettes !
– Aïe ! »
Malgré la jupe, la claque sur les fesses avait porté. Sans
doute les effets de la fessée de Madame Raveneau n’étaient pas encore dissipés
et avaient laissé le postérieur de Magali à vif. Les efforts pour éponger le
liquide furent vains. Il fut impossible de remettre en route le clavier de
l’ordinateur. Il avait définitivement rendu l’âme.
La fureur de Madame Colas n’éclata pas tout de suite. Elle
réussit à la contenir, le temps d’obtenir des explications.
« Expliquez-moi, Magali, ce que ce gobelet de café
faisait là ? Je croyais avoir été très claire : pas de café à
proximité des ordinateurs.
– Mais Madame ce n’est pas moi qui l’ai posé là. Il était à
côté de …
– Encore, la coupa Madame Colas. A chaque fois que vous
commettez une bêtise, ce n’est jamais vous. Qui croyez-vous qui aurait posé
votre gobelet dans un endroit aussi inapproprié ? Avez-vous un
nom ? »
Magali regarda Catherine qui innocemment leva les yeux de
son travail. Sa mimique d’incompréhension était très réussie. Magali se tourna
vers moi.
« Daniel, tu as vu, toi. Qui a fait cela ? »
Derrière son bureau, Catherine répéta son geste de menace.
Je n’avais pas assez de courage pour me mêler de rétablir la justice.
« Non, je ne sais pas. Je n’ai rien vu.
– Mais, mais … commença Magali.
– J’ai une autre explication bien plus rationnelle. Avec
votre négligence habituelle, vous avez posé votre café tout à côté de votre
clavier. En reprenant votre place, furieuse de la fessée que vous aviez reçue,
vous avez bousculé le tout et renversé le gobelet. Vous voyez, nul besoin d’une
intervention extérieure pour comprendre ce qui s’est passé.
– Mais non Madame, il était à l’autre bout du bureau. Je
vous assure !
– Magali, la voix de Madame Colas s’était faite patiente, je
suis fatigué de vos piètres mensonges que personne ne peut croire. Vous allez
payer sur vos fesses cet incident dont vous êtes à l’évidence totalement
responsable.
– Mais Madame, ce n’est pas moi … »
Ignorant l’interruption, Madame Colas poursuivit.
« Le café posé là où c’est formellement interdit, un
refus de reconnaître sa responsabilité, une accusation d’on ne sait trop qui,
un mensonge évident et par-dessus tout, un clavier d’ordinateur inutilisable.
Cinq. Cela fait cinq raisons de vous administrer une fessée. Je vais donc vous
donner cinq fessées d’ici ce soir et je peux vous promettre qu’elles seront
carabinées.
– Ce n’est pas moi …
– Magali, encore un mot sur ce sujet et je double votre
punition ! Soyez plutôt contente que je n’ai pas retenu l’acte volontaire
pour vous venger de la correction que Madame Raveneau a pris soin de vous
donner. C’est pourtant une hypothèse qui ne me paraît pas si absurde que cela. »
Magali se tut enfin. Son sort ne dépendait plus d’elle.
« Allez donc me chercher ma règle sur mon bureau !
– Oh non Madame, s’il vous plait. »
La voix de Magali était sur le point de se briser. La règle,
c’était un très mauvais souvenir. Madame Colas pouvait en faire un moment qu’on
n’oubliait pas de si tôt, Magali et moi le savions d’expérience. Compte tenu de
ce qui lui avait été annoncé, Magali savait qu’elle devait s’attendre à l’un de
ses moments douloureux dont Madame Colas avait le secret.
Tout son corps exprimait l’angoisse des moments à venir.
Elle était toute pâle et ses jambes flageolaient, peinant à la tenir debout.
Ses mains tripotaient nerveusement le bas de sa jupe froissant et défroissant
le tissu. Ses lèvres tremblaient légèrement et ses yeux étaient déjà humides
des prochaines larmes.
Elle restait les bras ballants devant Madame Colas, sans
songer qu’ainsi elle désobéissait une nouvelle fois.
« Magali, gronda Madame Colas, la règle ! Tout de
suite ! »
Obéir à cette voix quand elle exprimait ce niveau de colère,
n’était plus un choix mais un acte réflexe contre lequel il n’y avait rien à
faire. Avant d’avoir compris ce qu’elle faisait, Magali avait la règle en main
et elle la tendait à sa cheffe de bureau.
« Tendez la main, Magali ! »
Madame Colas abattit la règle sur la paume ouverte. Magali
cria et se mit à pleurer.
« L’autre main ! »
Magali n’hésita pas. Elle plaça sa main là où Madame Colas
l’attendait. La règle claqua sur la paume. Magali cachait ses mains
douloureuses sous ses aisselles.
« Encore, ordonna Madame Colas ! »
Cinq fois Magali dut tendre ses mains, l’une après l’autre,
pour y recevoir le plat de la règle.
« Cela, c’était pour n’avoir pas obéi tout de suite
quand je vous ai demandé de me ramener la règle. Passons à la
fessée ! »
Ce fut une Magali passive que Madame Colas ploya sous son
coude. Pas un mouvement quand la jupe fut relevée. Juste une petite crispation
quand la culotte glissa le long des cuisses. La règle commença alors son ballet
claquant sur les fesses.
Madame Colas mettait toute sa force dans cette fessée. Elle
finissait son geste par un mouvement du poignet qui augmentait considérablement
la force avec laquelle la règle s’abattait sur les fesses. Elle ne prenait pas
de pause entre les coups qui se succédaient à un rythme endiablé.
La réaction de Magali fut spectaculaire. Elle ne se
débattait pas vraiment, mais elle n’avait plus aucun contrôle sur ses
mouvements. Elle poussa un long cri qui ne s’éteint que lorsqu’elle fut à bout
de souffle. Elle soulevait la jambe du côté où la règle venait de frapper et
elle avait à peine le temps de la reposer avant de devoir recommencer de
l’autre côté. Elle effectuait ainsi une danse dont le rythme était déterminé
par la règle, une gigue au tempo endiablé qui donnait l’impression que ses
pieds touchaient à peine le sol.
« Petite Peste, grogna Madame Colas en suspendant la
fessée, vas-tu me laisser faire ? »
Elle recula d’un pas pour pouvoir poser ses fesses sur le
bord du bureau. Son assise était bien meilleure. Même avec des mouvements
brusques et saccadés, Magali ne risquait plus de lui faire perdre l’équilibre.
La fessée pouvait reprendre.
Madame Colas cherchait le point où, renonçant à ce que sa
fessée ait une fin, Magali se remettait entièrement entre les mains de sa
fesseuse. Son corps réagissait encore aux contacts de la règle, mais c’était
sans la spontanéité du début. Il était temps de mettre fin à la correction.
Que s'est-il passé dans les épisodes précédents ?
Pour tout comprendre, il faut lire ce qui a précédé :
- Le premier épisode : chapitre 1 et les vingt-huit qui ont suivi dans la saison une. Pour avoir accès à un épisode particulier, voir la page mes récits
- L'épisode précédent : chapitre 35
Il y a une suite ... c'est le chapitre 37
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Cette Catherine devient agaçante , elle mériterait d’être fessée aussi et devant tout le monde ( a propos son age ? mariée ? fonction ? )
RépondreSupprimerCher lecteur ou lectrice anonyme,
SupprimerJe suis assez d'accord avec vous. Catherine devient agaçante. J'ai peur que cela ne s'arrange pas dans les prochains épisodes.
Quant à la fesser ... publiquement qui plus est ...
Réponse dans les prochains épisodes.
Au plaisir de vous lire,
JLG.