lundi 22 mai 2017

Les entretiens privés avec Geneviève - chapitre 1

Une histoire écrite par Alain, lecteur de ce blog. Fiction, réalité ? A vous de juger ! Première contribution écrite d'une autre main que la mienne, elle en appelle d'autres.

J'allais avoir 18 ans et à la rentrée suivante en septembre, m'attendait la rentrée en classe de terminale, y préparant la seconde partie du bac scientifique ; mes résultats étant moyens, ma mère décida de faire appel à sa meilleure amie, Geneviève G., professeur dans un collège-lycée voisin à une cinquantaine de kilomètres de chez moi et toutes deux convinrent que cette dernière année de terminale, je la suivrais dans le lycée où exerçait Geneviève, tout en étant non pas interne au lycée, mais chez Geneviève qui occupait seule une grande maison dans laquelle elle pouvait m'héberger toute l'année scolaire, ne retournant chez les miens que durant les vacances scolaires.

Ce n’est pas sans crainte que je bouclais mon cartable et ma valise pour plusieurs semaines (rentrée en septembre et premières vacances scolaires pas avant Noël en fin d'année !), connaissant la solide réputation d’autorité que Mlle Geneviève avait acquise au cours de sa carrière. Presque de l’âge de ma mère, entre 35 et 40 ans, c’était une célibataire endurcie et un professeur très exigeant avec ses élèves qu’elle se jurait de faire réussir par tous les moyens.

La jeune femme qui habitait seule dans un pavillon, m’y reçut, puis m’informa en détail des arrangements matériels de mes après-midis à venir, avant d’en venir au programme de son enseignement qui s’annonça plutôt strict.

« Seras-tu assidu dans tes efforts ?  Sinon, si tu montres des signes de paresse ou de distraction, j’userai sans hésitation avec toi de la même méthode qu’avec mes élèves féminines de la sixième à la terminale pour lesquelles leurs parents m’ont demandé de les prendre en cours privés. Chaque mercredi et samedi après-midis, j’examinerai ton travail pour juger de ton assiduité et de tes résultats et sache qu’il te sera inutile de me cacher ou taire tes mauvaises notes. Je t’autorise à une seule et unique mauvaise note en dessous de la moyenne, toutes matières confondues. Si cela arrivait, tu seras sévèrement puni et, malgré tes 18 ans, tu recevras une magistrale fessée, couché sur mes genoux et déculotté le mercredi ou/et le samedi ».

Elle ne semblait pas du tout plaisanter et l’éventualité de cette menace me fit rougir jusqu’aux oreilles …


Geneviève, munie de mes relevés de notes des années précédentes, me demanda de la suivre dans son salon et nous primes tous deux côte à côte sur le canapé. Pendant de longues minutes silencieuses, elle consulta silencieusement mes bulletins trimestrielles de mes classes de sixième à la première, dans un silence que je n’osais rompre, seulement interrompu par le crissement du nylon de son collant lorsqu’elle croisait et décroisait les jambes … Elle me fit remarquer qu’en langues (anglais et allemand … elle était prof d’anglais) elle n’avait aucune remarque à me faire, ni en histoire et géographie, mais ce qui n’était pas le cas pour  les mathématiques et sciences physiques, aussi me demanda-t-elle pourquoi et il me fallut bien lui avouer que puisque ces matières ne m’intéressaient pas, je les étudiais superficiellement.

Elle me précisa qu’il était inutile de lui cacher dans le cas où cela arriverait dans les semaines et mois à venir mes mauvais résultats ou de lui mentir car bien souvent elle en aurait connaissance avant moi, car elle allait se mettre en rapport avec mes principaux professeurs. J’appris alors que si je revenais dans la semaine avec plus d’une mauvaise note, toutes matières confondues, que je pouvais préparer le mercredi ou samedi mes fesses dès qu’elle me convoquerait dans son bureau quand elle jugerait seule du moment à me punir. Dès ce moment fixé, je devrais l’y rejoindre, debout devant le bureau de justifier mes résultats, sans mentir. Ensuite, elle se lèverait de son bureau, placerait une chaise au milieu de la pièce, s’y assiérait et ensuite je devrais la rejoindre, pantalon et culotte baissés, prendre place sur ses cuisses et y recevoir la fessée.Elle me précisa qu'une fois la sanction prononcée, plus je la ferais attendre en retardant mon déshabillage, puis ma mise en place sur ses genoux, qu'elle n'hésiterait à me déculotter elle-même et à me positionner, qu'elle pouvait me faire confiance car elle était sportive et plus grande que moi et que je paierais les conséquences de mon manque d'obéissance, en plus de celui de travail, de quelques bonnes claques supplémentaires sur mes fesses nues !!!


La première semaine me sembla parfaite. Elle consista essentiellement en travaux de révisions et j’étais plutôt content de moi … Geneviève aussi … La semaine suivante, commencèrent à la fois les travaux sérieux et les ennuis pour mes fesses … Si j’effectuais régulièrement en soirée mes travaux scolaires et devoirs dans toutes les matières, il n’en était pas ainsi pour réviser les leçons apprises la veille et dans certaines matières, mais à ma surprise, les professeurs avaient adopté,  le principe de l’interrogation écrite rapide sur un quart de feuille ; nous devions alors extraire de notre classeur, une feuille format A4 (nous écrivions alors sur des feuilles à petits carreaux) et en silence et rapidement, en moins de 5 minutes, répondre à 5 questions écrites sur le tableau, portant sur le cours de la veille, chaque question rapportant 4 points chacune … les copies étaient ensuite redistribuées au hasard par le prof et corrigeaient par nous ; ainsi nous connaissions aussitôt nos notes … C’est ainsi que le mardi suivant tombèrent deux « interro » surprises : une en mathématique et une en français (sur un auteur) et chacune me rapporta que 8 points, soit deux notes inférieures à la moyenne … 


Je suis sûr, maintenant avec le recul, que dès le soir même, Geneviève avait connaissance de mes résultats, mais ne me fit aucune remarque, attendant le lendemain, le mercredi après-midi. En ce début d'année scolaire, ce tout premier mois, mes mercredis après-midi n'étaient pas encore occupés par des devoirs surveillés, aussi après les cours, le midi , un peu inquiet, même si en moment fort je pensais fermement convaincu que la menace d'une fessée à mon âge n'était qu'une menace dissuasive, je rentrais déjeuner, Geneviève n'ayant pas de cours les mercredis m'attendant pour déjeuner. Pendant tout le temps où dura notre repas en commun dans la cuisine, je ne fus donc pas étonné de deviner son mécontentement, mais elle ne fit aucune allusion à mes mauvais résultats. Comme après chaque repas, nous fîmes la vaisselle, Geneviève lavant et moi essuyant. J'allais récupérer mes affaires et monter rapidement en chambre à la fois pour y travailler, mais aussi ne pas attendre les questions de Geneviève, lorsqu'elle m’ordonna de la suivre dans la pièce lui servant de bureau pour lui expliquer mes mauvais résultats ... Prenant place, assise derrière, derrière son bureau, elle attendit mes explications, qui tout compte fait étaient fort simples et ne nécessitaient pas de longues explications. Je n’avais ni révisé, ni appris ce que nous avions vu la veille en français et en mathématiques et la surprise de l'interrogation écrite rapide était tombée, avec correction immédiate et mauvaises notes.

Geneviève se leva de son bureau, prit sa chaise sur laquelle jusqu'à présent elle était assise, la positionna au milieu de la pièce, s’y assit et me fit signe de venir debout face à elle.  D’un ton autoritaire, elle m’ordonna de baisser mon pantalon et mon slip pour me fesser tel que cela avait été convenu dès le premier jour de mon arrivée, deux semaines auparavant. Je me sentis soudain penaud, cette exigence vestimentaire et cette punition me paraissant  aberrante, vu mon âge, je me mis à protester et à lui faire part de mes réticences de lui obéir pour être puni de cette méthode et dans cette tenue, ce qui eut comme effet de la contrarier, de l'irriter ensuite et de la rendre encore plus autoritaire et déterminée qu’elle n’y paraissait.
Regardant sa montre, elle conclut ainsi :
"Très bien, mais de toute façon, tu ne sortiras de cette pièce qu'après avoir été bien fessé comme promis, même s'il faut attendre. De toute façon, dans une trentaine de minutes, une de tes camarades vient pour un cours particulier et tant pis pour toi et ta réputation s'il doit attendre dans le salon que tu aies fini de recevoir la fessée et du salon elle entendra bien sûr le bruit des claques sur tes fesses nues. A toi de choisir, mais je n'ai vraiment pas de temps à perdre avec les caprices d'un jeune homme, alors approche !"
Elle prit alors, elle-même les choses en mains, avec une force que je n’avais pas soupçonnée, m’attirant sur sa droite, tout contre ses cuisses, me tirant par la taille et entreprit de me déculotter. Et comprenant qu'il était pour moi, inutile de lui résister, avec en plus la crainte d'être surpris en délicate posture par l'arrivée programmée d'une camarade, je ne lui résistais pas, mais ne fis rien pour l’aider dans ce déshabillage laborieux.
Geneviève, dégrafa le bouton de la ceinture du pantalon, puis rapidement en baissa le zip de la braguette et avant d’avoir eu le temps de protéger mon intimité de mes deux mains, mon pantalon et mon slip étaient déjà baissés à mi-cuisses. Décroisant les jambes, ce qui remonta sa jupe et découvrit ses cuisses, faisant apparaître la lisière de bas nylon, Geneviève fermement, me tira en avant vers elle, me basculant et m’allongeant en travers de ses cuisses. Cette posture désagréable m’obligea d’essayer de me rétablir à l’horizontale, Geneviève me lâcha alors momentanément la taille, me poussa les épaules, jusqu'à me faire bien pencher en avant, mes mains touchant les lames du parquet. Pour ne pas tomber plus bas, par réflexe, je posais les mains à plat sur les lattes de bois, puis saisit à deux mains les pieds de la chaise, craquant sous nos poids, gardant la tête baissée.
Une main me maintenant fermement par la taille, l’autre continuant à me déculotter, pantalon et slip baissés plus bas que mes genoux, elle commença à me sermonner sur mon manque d’assiduité,  mes négligences à travailler, remarquant avec humour que de « préparer une jeune fille pour une fessée était beaucoup plus simple et rapide qu’un garçon … les filles étant moins récalcitrantes et plus résolues à être fessées jupes retroussées et culottes baissées… question d’habitude ! »
Rougissant, je m’imaginais mal alors, fille, jupe retroussée, culotte baissée, fesses rehaussées comme l’étaient les miennes à ce moment précis, tandis que Geneviève continuait de me sermonner. Dans cette tenue et position, je ressentis plusieurs choses … d'abord un courant d'air frais sur mes fesses nues, mais aussi la paume fraîche de la main de Geneviève sur mes fesses. Un sentiment à la fois de honte et de culpabilité d'être ainsi livré fesses nues sous le regard d'une "étrangère" et surtout sa main qui me semblait à la fois longue et fine, épousant la forme arrondie de mes fesses. Enfin, un sentiment de bien être d'être ventre nu, mais aussi intimité nue contre le tissu de sa jupe en laine et le nylon glacé et rêche de ses bas ...
Sans prévenir, sa main décolla de mes fesses nues et la fessée débuta sévèrement à grandes claques cuisantes, alternativement d’une fesse à l’autre, marquant une courte pause entre chaque fesse, avant de reprendre. Cette fessée me surprit par sa sévérité, sa durée et la cuisson rapide de mes fesses. La longue main de ma « préceptrice » continuait à me fesser avec la même force et sévérité, la paume de sa main tombant bien à plat, tantôt en plein milieu de la fesse tantôt sur le dessous, et parfois sur les plis fessiers au-dessus des cuisses. Je ne savais jamais vraiment quand les claques allaient tomber, serrant des dents et aussi des fesses dans l’attente, mais Geneviève qui avait une vue privilégiée sur mes fesses nues à portée de sa main, savait, elle, comment et quand les claquer, au moment où je m’y attendais le moins et que la tension de mes fesses se relâchait.
Après un temps relativement long de plusieurs minutes, Geneviève mit fin à ma punition, et convaincue qu’elle venait de chauffer mes fesses pour mon plus grand bien, elle m’autorisa à me relever. Empêtré par mon pantalon qui avait glissé sur mes chevilles, après chacune de mes ruades, je restai agenouillé à ses pieds, contre sa jupe et ses cuisses, un moment à me frotter les fesses, espérant une diminution rapide de la cuisson.
Geneviève attendit la fin de mes massages, puis m'ordonna de me reculotter et de monter dans ma chambre y travailler. Après avoir remis de l'ordre dans ma tenue, slip et pantalon remontés sur mes fesses brûlantes, je quittais rapidement le bureau, traversant le salon où par chance l'élève attendue n'était pas encore arrivée.

Episode suivant : Chapitre 2

Pour réagir directement auprès d'Alain : "Juves Fandor" 

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

Un commentaire, une réaction, une proposition ? C'est ici. Une fois validé, le commentaire sera visible par tous les lecteurs du blog.
Si vous le souhaitez et pour des raisons de confidentialité, nous pouvons échanger par courriel. Seuls Huguette et moi verrons le message. Il vous suffit de cliquer dans le champ "pour nous contacter" en haut à droite de cette page.