Elle s'occupait de moi en toutes circonstances
et en tous lieux comme elle l'aurait avec un petit garçon. La première fois
qu'elle m'emmena chez le docteur fut emblématique de son attitude à mon égard.
Cela faisait plusieurs jours que j'avais un peu mal au ventre. Madame Tolbois
s'en aperçu. Je fus soumis à un questionnaire en bonne et due forme.
"Je vais prendre ta
température, me dit-elle."
D'une petite tape sur les fesses,
elle me guida vers ma chambre. Après son détour par la salle de bain elle
revint munie d'un thermomètre. Assise sur mon lit, elle me baissa le pantalon,
puis la culotte et elle me plaça à plat ventre en travers de ses genoux et
retroussa ma chemise dans mon dos. Bien qu'elle ne m'ait pas annoncé de punition,
j'étais assez inquiet de la position qu'elle me faisait prendre. A chaque fois
qu'elle m'avait installé ainsi, j'avais été fessé. Je fus pris au dépourvu
quand elle voulut écarter mes globes fessiers pour avoir accès à mon anus. Je crispais
les fesses, contrecarrant son geste.
"Crois-tu que parce que tu as
mal au ventre je vais laisser passer tes caprices ?"
Je sentis qu'elle changeait de
position. Sa main claqua mes fesses sèchement une première fois, puis elle y
fit tomber un déluge de fessées m'arrachant indistinctement des cris et des
demandes de pardon. Dès qu'elle arrêta de ma fesser, elle reprit son geste.
Cette fois-ci, elle n'eut aucun mal à écarter mes fesses et à glisser le
thermomètre dans mon anus.
Je geignais doucement, encore sous
le coup de la correction. Elle posa ma main sur la peau de mes fesses, là où
venait de m'asséner la fessée.
"Etait-ce vraiment nécessaire
de faire un caprice pour si peu ?"
Elle me laissa dans cette position
pour laisser au thermomètre le temps de monter en température. Elle me caressait
les fesses et le bas du dos, comme elle l'aurait fait pour faire patienter un
petit enfant.
Cette prise de température ne donna
rien. Comme je continuais à me plaindre, Madame Tolbois prit rendez-vous chez
le médecin. Je l'appris en rentrant du travail le lendemain et je ne
m'offusquais pas de m'avoir pas été consulté dans cette décision. Madame
Tolbois l'avait jugé nécessaire, il ne me restait plus qu'à obéir. Bien
évidemment, elle m'accompagnait.
Nous dûmes patienter plusieurs
minutes dans la salle d'attente dans laquelle il y avait plusieurs personnes,
essentiellement des mères amenant leur enfant en consultation. Au bout d'un
temps qui me sembla long, je consultais ma montre en soupirant.
"Faut-il que je me fâche,
questionna Madame Tolbois ? Je veux que tu attendes en étant bien
sage !"
Cette réprimande m'avait été
adressée à haute voix. Elle attira sur moi des regards étonnés. Madame Tolbois
m'avait grondé, pour la même raison et de façon tout à fait analogue à ce que
venait de faire, quelques instants plus tôt, une femme à l'encontre de sa fille
qui devait avoir environ six ans. Pour ce qui me concernait, j'avais compris
l'avertissement. Je ne tenais pas à tester la résolution de Madame Tolbois à me
punir pour avoir été dissipé. Je craignais qu'elle considérât la salle
d'attente comme un lieu tout à fait adapté malgré les spectateurs qu'elle
contenait.
A notre tour, nous fûmes admis dans
le cabinet. Le docteur était une doctoresse. Après les politesses d'usage, il
semblait que Madame Tolbois et le médecin se connaissaient bien,
l'interrogatoire médical commença. C'est Madame Tolbois qui faisait les
réponses me concernant sans que cela semblât étrange à la doctoresse.
Après un petit temps de réflexion,
celle-ci sembla prendre une décision.
"La première chose qu'il
faudrait faire, c'est lui prendre sa température. Quand l'avez-vous fait pour
la dernière fois ?"
J'assistais à la conversation dans
laquelle on parlait de moi à la troisième personne. Nul ne songeait à me
demander mon avis. La réponse de Madame Tolbois conforta le médecin dans sa
résolution.
"Le seul souci, ajouta-t-elle,
c'est que mon thermomètre auriculaire est cassé. Je n'en ai plus qu'un
traditionnel. Pour qu'il soit précis, il vaut mieux prendre la température
rectale, je ne sais pas si …"
"Aucun problème, conclut
Madame Tolbois, Daniel, viens ici !"
Je savais ce qui m'attendait, mais
je ne pouvais désobéir à un ordre aussi explicite sans en subir les
conséquences. Je me levais donc de ma chaise et je m'approchais de Madame
Tolbois. Dès que je fus assez proche, elle déboutonna mon pantalon et le fit
glisser jusqu'en dessous de mes genoux. Elle baissa alors ma culotte. Je jetais
un œil à la doctoresse qui avait pris un air étonné. Je ne pus pas aller plus
loin dans mon observation, Madame Tolbois m'avait couché sur ses genoux.
"Donnez-moi le thermomètre, je
m'en charge."
D'une main elle écarta mes fesses
sans que j'esquisse la moindre résistance. Je sentis alors l'instrument
pénétrer dans mon rectum. Dans la position dans laquelle elle m'avait mis, je
n'avais plus qu'une vision assez limitée de la situation. Elle se limitait au
bas de la chaise sur laquelle était assise Madame Tolbois. Mes jambes,
entourées de mon pantalon, dépassaient de l'autre côté. Je ne voyais plus notre
hôte, mais elle ne devait rien perdre de cette scène inhabituelle, même pour un
médecin. Comme à son habitude, Madame Tolbois posa sa main sur mes fesses et
commença à les caresser et à les tapoter.
"Vous semblez surprise,
demanda Madame Tolbois à la doctoresse."
"Oui, en effet ! Je suis
étonné qu'il se laisse aussi facilement déculotter, de plus devant moi, une
personne qu'il ne connait pas."
"Mais je ne lui laisse pas le
choix !"
La conversation aborda alors la
question de mon obéissance et Madame Tolbois expliqua en détail comment la
fessée lui permettait de maintenir la discipline. J'eus alors l'imprudence
d'émettre un grognement de protestation. Madame Tolbois me donna quelques
claques sèches sur les cuisses.
"Veux-tu une fessée dès que
nous en aurons fini avec cette température ? Sois sage."
Elle ponctua cette dernière
recommandation d'une claque sur le haut de mes cuisses. Je me le tins pour dit.
Sur l'indication de la doctoresse,
Madame Tolbois ôta le thermomètre. Posant alors sa main sur le sommet de mes
fesses, elle me laissa dans cette position que je trouvais très exposée.
"Pas de température, observa
le médecin, je vais procéder à un examen. Il serait plus pratique de lui
enlever son pantalon."
Madame Tolbois délaça alors mes
chaussures et me les ôta. Puis elle fit glisser le pantalon qu'elle posa sur
mon dos. Je la sentis alors se saisir de ma culotte pour lui faire prendre le
même chemin. Elle me remit sur mes pieds et m'ordonna :
"Monte sur la table
d'examen !"
D'une petite claque sur mes fesses
nues, elle m'encouragea à me rendre là où le docteur m'attendait déjà. Je
n'avais plus de vêtement en dessous de ma taille, excepté mes chaussettes. Dans
ce simple appareil je marchais vers le docteur qui me regardait venir avec un
sourire amusé.
"Allonge-toi sur la table, me dit-elle."
Seule ma chemise couvrait encore
mes fesses et mes parties génitales. Cela ne dura pas.
"Lève tes fesses que je puisse
remonter ta chemise !"
La doctoresse avait maintenant vue
dégagée sur mon anatomie intime. Cela ne la troublait pas. Elle gardait une
attitude très professionnelle. Elle procéda alors à un examen approfondi.
"Je pense que ce ne sera pas
grave, déclara-t-elle en se tournant vers Madame Tolbois. C'est un début de
constipation. Depuis quand n'a-t-il pas été à la selle ?"
Quelques phrases d'échangées et
elles se mirent d'accord sur ce diagnostic.
"Le mieux, poursuivit la
doctoresse, c'est de lui donner un laxatif. Avec un suppositoire, c'est ce
qu'il y a de plus efficace!"
"Pouvez-vous le faire dès
maintenant ?"
"Oui, j'ai ce qu'il faut, mais
ce qui est souvent compliqué avec les adultes c'est qu'ils acceptent ce genre
de médicament. Il faut l'introduire par voie rectale."
"Ne vous en faites pas, assura
Madame Tolbois, je vous garantis qu'il va vous laisser faire. Au besoin,
n'hésitez pas à le fesser."
Le médecin préleva une boite dans
sa pharmacie et revint vers moi en tant une grosse capsule dont elle ôta
l'emballage. Elle posa un tube et un morceau de coton à portée de sa main. Elle
s'assit sur le tabouret à côté de la table d'examen dont je n'avais pas bougé.
"Approche,
m'ordonna-t-elle !"
Je descendis de la table et je me
tenais alors debout devant elle. Ma chemise était retombée recouvrant de
nouveau mes fesses.
"Viens ici !"
La doctoresse plaça ses mains des
deux côtés de mes hanches et me fit faire un pas en avant. Elle tapota sa
cuisse gauche.
"Mets-toi là !"
Elle m'aida à me positionner mon
bassin juste sur sa cuisse, puis elle entoura ma taille de son bras gauche, me
permettant ainsi de conserver un équilibre précaire, la tête et le buste dans
le vide. Elle remonta ma chemise sur mes reins.
"Ecarte tes
jambes !"
Comme je n'obtempérais pas assez
vite à son goût, elle me donna une claque sur les fesses.
"Mieux que ça !"
Mes jambes totalement écartées,
elle devait avoir accès à mon anus sans difficulté.
"Je vais d'abord lui mettre un
peu de vaseline, cela facilitera l'introduction du suppositoire."
"Daniel, attention à la fessée
si tu ne laisses pas le docteur faire. Non seulement je lui demanderai de t'en
administrer une pour t'apprendre à lui obéir, mais après je t'en donnerai une
autre de mon cru sur le champ. Et si le docteur n'a pas assez de temps, ce sera
dans la salle d'attente."
Ainsi encouragé, je tendis ma
volonté pour me laisser faire, priant pour qu'un réflexe incontrôlé ne vienne
pas se mettre en travers de si bonnes résolutions. Je sentis une main se poser
sur mes fesses et un coton venir déposer une pommade sur mon anus. Je ne
bougeais pas.
"C'est bien, commenta la doctoresse.
Maintenant le suppositoire."
Je sentis un objet froid posé au
fond de la raie de mes fesses, puis d'une petite pression, la doctoresse le fit
pénétrer dans mon anus. Elle le poussa avec son doigt pour l'enfoncer
profondément. Je sentis le suppositoire faire son chemin dans mon fondement. La
doctoresse me tapota alors les fesses.
"C'est bien, fit-elle, tu as
été sage. Tu es un grand garçon !"
Elle m'aida alors à me relever. Je
pensais cette séance infantilisante presque terminée, mais le docteur ajouta :
"Il est préférable qu'il
patiente quelques instants sur les toilettes. Je ne suis pas certaine qu'il
arrivera à se retenir jusqu'à chez vous."
Elle désignait une porte qui
donnait dans son cabinet médical.
"Je vous en remercie. Je ne
voudrais pas prendre le risque qu'il fasse caca à la culotte. Je serai obligée
de l'en punir, alors que ce ne serait pas totalement de sa faute."
Madame Tolbois me prit par le coude
et m'entraîna vers la porte que la doctoresse lui avait indiquée. Elle s'arrêta
alors qu'elle n'avait fait que quelques pas.
"Mais peut-être vous a-t-on
pris assez de temps. Vous préférez sans doute que nous utilisions celles de la
salle d'attente."
Mon cœur s'emballa. Je voyais bien
Madame Tolbois me faire traverser la salle d'attente les fesses à l'air devant
tous les patients.
"Non, je vous en prie. J'ai
encore une ordonnance à faire. Comme cela je pourrai surveiller que le suppositoire
ait bien fait son effet."
Madame Tolbois me conduisit
jusqu'aux toilettes, puis elle m'installa sur la cuvette. Elle revint prendre
sa place devant le bureau de la doctoresse. Elle avait laissé la porte ouverte.
De cette façon, toutes deux pouvaient me surveiller du coin de l'œil.
"Bon, fit la doctoresse, vous
lui mettrez un suppositoire matin et soir pendant trois jours. Ensuite, vous le
laissez sur les toilettes jusqu'à ce qu'il défèque. En général une dizaine de
minutes suffisent. Si au bout de trois jours ce n'est pas réglé, continuez les
suppositoires jusqu'à ce que le flux intestinal se rétablisse naturellement.
Vous surveillerez ses selles. Si ce n'est pas guéri au bout d'une semaine, il
faudra revenir me voir."
Puis, elles devisèrent en
m'attendant. Madame Tolbois eut une nouvelle occasion d'exposer ses théories
sur l'efficacité de la fessée pour l'éducation de certaine personnes dont je
faisais partie à n'en pas douter. La doctoresse ne sembla pas difficile à
convaincre.
"Il est clair, ajouta-t-elle,
qu'avec la plupart des patients, quel que soit leur âge, j'aurais eu un mal fou
à obtenir leur collaboration aussi bien pour leur prendre la température que
pour leur mettre un suppositoire. Avec vous, cela s'est déroulé sans
difficulté. Je dois reconnaître que votre méthode fait ses preuves."
La conversation se poursuivit sur
ce thème quelques minutes, puis Madame Tolbois revint vers moi.
"As-tu fait caca ?"
"Oui Madame !"
"Et qu'attendais-tu pour le
dire ?"
Elle claqua le haut de ma cuisse
pour souligner sa réprobation. Alors elle se livra à son travail de nettoyage
de mes fesses. Mon sexe tout d'abord alors que j'étais encore assis sur les toilettes,
puis elle me courba sous son bras et elle m'essuya la raie des fesses. Mon
visage était forcément tourné vers la doctoresse qui contemplait la scène avec
attention.
Quand Madame Tolbois fut satisfaite
du résultat obtenu, elle me m'amena de nouveau près de se chaise où elle me
rhabilla.
"Vous prenez également en
charge sa toilette et son hygiène intime ?"
"Oui, je préfère, répondit
Madame Tolbois. Sa première semaine de résidence chez moi, il était censé s'en
charger lui-même. En quelques jours, plusieurs fois, j'ai trouvé des culottes
qu'il laissait traîner. Elles étaient vraiment sales la plupart du temps.
Maintenant, j'ai au moins l'assurance qu'il a les fesses propres deux fois par
jour."
Ce dévoilement de mes turpitudes
intimes était on ne peut plus gênant. Bien que ma tenue soit redevenue décente
et plus conforme à mon âge, je rougissais de honte au récit de Madame Tolbois.
"Cela ne règle pas tout,
poursuivit Madame Tolbois. Quand il est en dehors de la maison et qu'il doit
s'essuyer les fesses lui-même, c'est très approximatif. Il revient bien souvent
avec une culotte pas très nette. Bien qu'il reçoive alors la fessée, je trouve
qu'il ne progresse pas beaucoup dans ce domaine. Je vais devoir prendre des
mesures plus draconiennes."
Je fus soulagé en quittant le
cabinet médical. Je n'avais en effet, pas reçu de réelle fessée devant la
doctoresse.
Premier épisode : chapitre 1
Episode précédent : chapitre 19
Episode suivant : chapitre 21
la doctoresse va pouvoir fesser ses prochain clients
RépondreSupprimerJ'ai attendu le vingtième épisode pour mettre un commentaire gentil. Bravo pour le récit. Allons nous, après les fessées, avoir des lavements?
RépondreSupprimerBonjour Marie-Souillon,
SupprimerQuel pseudonyme ! Il fallait le trouver !
Je vous remercie pour votre appréciation sur mes récits. Au-delà de trouver de la satisfaction à les écrire, il est gratifiant de savoir qu'ils plaisent à d'autres personnes.
Par contre, j'ai bien peur de vous décevoir : pas de lavement en vue.
Au plaisir de vous lire,
JLG.
on peut parler cage de chastete dans les recit?
SupprimerBonjour,
SupprimerJe n'ai aucune envie de parler de cage de chasteté.
Désolé.
Au plaisir de vous lire,
JLG
Le pauvre Daniel va probablement connaître la honte des jeunes enfants qui sont trop négligeants avec leurs fonds de slips. ...et alorsmalheureusement les voici vêtus de drôle de sous vêtements. ...
RépondreSupprimerJÉRÔME
Ce chapitre me rappelle une mésaventure remontant à déjà presque 20 ans.
RépondreSupprimerJ'avais 35 ans, marié et père de famille. Je réorientais ma situation professionnelle et j'avais besoin de valider un diplôme afin de pouvoir exercer
Je m'étais inscrit en BTS dans une formation en alternance. Résultat: une année perdue, je n'étais même pas admis en seconde année. Il m'a bien fallu me résoudre à mettre mon activité professionnelle en alternance pour suivre les deux années de BTS en formation initiale.
Cette formation était dispensée dans un gros lycée, j'étais de loin l'élève le plus âgé... plus que certains professeurs. Il m'a fallu me réadapter à un rythme scolaire, à une vie où tout est ordonné et où on n'a pas souvent son libre arbitre et surtout à faire face à une discipline oubliée. Je vous rassure, les corrections corporelles n'étaient déjà plus en vigueur. Cependant j'ai été bien vite recadré lorsque je ne restais pas à la place qui aurait dû être celle d'un élève et j'ai même eu l'affront d'éponger des heures de retenue. Tout ça pour dire que ce statut d'élève a sans doute conditionné mon comportement lors de cette mésaventure.
Comme tout bon élève j'ai été convoqué lors de ma dernière année à la visite médicale. N'ayant pas pu me rendre à la première convocation dont la visite se déroulait au sein même du lycée, j'ai été convoqué une seconde fois mais directement au centre médical scolaire. Mon épouse avait fait le choix pratique de m'y accompagner car le quartier était commerçant et elle voulait en profiter pour y faire vitrines et achats.
Dans la salle d'attente il n'y avait que des enfants avec leurs mamans et immanquablement mon épouse a engagé la conversation avec certaines d'entre elles.
Au bout d'une bonne heure d'attente j'ai été prié de suivre une infirmière, mon épouse emboîtant mon pas. Après vérification des carnets de santé et de vaccinations que ma femme avait pris soin d'amener, j'ai dû me présenter en slip à un médecin d'une bonne cinquantaine d'années. Peu avenant ce praticien avait constamment les yeux rivés sur la fiche qu'il remplissait et semblait s'adresser à mon épouse comme il l'aurait fait avec une maman.
Moi qui pensais bêtement que cette visite serait rapidement expédiée, j'en étais quitte pour un bilan méticuleux.
Alors que je croyais les examens terminés, le médecin m'a autoritairement baissé le slip sans même m'avertir. En d'autres circonstances j'aurais protesté, mais ce jour-là et dans ce contexte... rien.
Le docteur voulait m'examiner les organes génitaux, le tout en présence de ma femme. Il m'a d'abord longuement palpé les testicules, les pressant, les faisant rouler sous ses doigts puis les faisant remonter dans mon abdomen. Ensuite il m'a saisi la verge voulant la décalotter.
C'est à ce moment-là que j'ai eu comme réflexe de résister en ayant un pas de recul pour me dérober. Le docteur, sans doute habitué à ce genre de réaction, a réprimé cela d'une main ferme au niveau de mes fesses pour me retenir.
D'un coup sec de son poignet il m'a alors franchement décalotté me faisant fléchir et reculer à nouveau. Là ce n'est plus un geste de retenue que le docteur a manifesté mais un geste de reproche. Sa main a claqué bruyamment sur mes fesses en une magistrale fessée puis une seconde plus insistante pour me remettre bien en place devant lui.
La vexation plus que la douleur m'a valu un versement de larmes, silencieux au début puis entrecoupé de sanglots lorsque j'ai pris conscience que mon épouse assistait à la scène.
Ce qui lui a fait dire après coup que je m'étais comporté comme une petit garçon, le contexte aidant et la façon de procéder du docteur également.
Je précise que mon épouse n'était pas portée sur le fantasme de la fessée et qu'à ce jour, elle ne l'est toujours pas. Ce qui rend d'ailleurs encore plus croustillants ses propos.
J.Claude