Elle tira sur l’oreille pour obliger Reynold à la suivre vers
l’un des bancs qui agrémentaient la promenade sur le trottoir.
« Aïe, non, vous ne pouvez pas, je ne suis plus votre
élève ! »
Mademoiselle Roudault l’avait placé debout entre ses jambes
qu’elle avait refermés sur celles de son ancien élève. Il était immobilisé,
sauf à se débattre, ce qui était contraire à ses habitudes acquises à l’école.
« C’est exact, tu n’es plus mon élève et apparemment,
c’est dommage ! Mais cela ne m’arrêtera pas. Je vais te donner une bonne
fessée déculottée, comme quand tu étais dans ma classe et tu vas me laisser
faire.
– Non, non, c’est non !
– Si tu n’obéis pas, je pense qu’il y a plusieurs de ces
dames qui se feront un plaisir de me donner un coup de main, N’est-ce pas
Mesdames ?
– Avec plaisir… Bien volontiers… Vous n’avez qu’un mot à
dire… »
Le cercle s’était resserré autour de Reynold. Il y avait une
dizaine de femmes qui s’étaient avancées.
« Soit tu restes sage pendant que je te déculotte et
que je te fesse, soit je demande l’aide de ces dames, mais alors, tu auras une
fessée par chacune d’elles. A toi de choisir ! »
Mademoiselle Roudault avait pris place sur le banc. Elle ne
laissa pas le temps à Reynold de réfléchir. Elle posa ses mains sur la boucle
de la ceinture et commença à la défaire.
« Non, attendez ! »
Les mains de Reynold empêchaient d’aller plus loin.
« Attention, mon garçon ! Tu enlèves tes mains
tout de suite ou ce sont ces dames qui s’en chargent ! »
Lentement, à regret, Reynold obéit. La ceinture fut
débouclée en un rien de temps. Mademoiselle Roudault s’attaqua alors au
pantalon sans que Reynold ne réagisse. Quand son ancienne institutrice fit
glisser le pantalon, il eut un geste de défense pour le retenir.
« Tes mains Reynold ! »
La voix était ferme et sèche. On sentait que c’était le
dernier avertissement. Reynold laissa Mademoiselle Roudault baisser son
pantalon. La culotte était la dernière protection. Mademoiselle Roudault glissa
ses deux pouces sous l’élastique que Reynold saisit à deux mains.
« Non, pardon Mademoiselle, pardon, je ne le ferai
plus ! »
Des larmes roulaient sur ses joues.
« Mets tes mains sur ta tête immédiatement ! J’ai
dit une fessée déculottée, il faut donc baisser la culotte ! »
Elle donna une formidable claque sur le haut de la cuisse du
garçon qui se tenait debout devant elle. Reynold ne pouvait pas tout faire. Il
avait besoin de ses deux mains pour éviter que sa culotte ne soit baissée. Il
ne pouvait pas esquiver la main de Mademoiselle Roudault.
« Les mains ! »
Comme Reynold n’obéissait toujours pas, il reçut deux autres
claques tout aussi sonores.
« Aïe, aïe, non attendez… »
Deux autres claques. Le haut de sa cuisse commençait à être
sérieusement rouge.
« Aïe, non !
– Dernière fois que je te le dis. Ensuite, ce sont ces dames
qui s’en occupent ! »
Deux claques ponctuèrent cet ultime avertissement. Le regard
que Reynold jeta autour de lui, lui fit prendre conscience qu’il n’y avait pas
d’autre issue. Les femmes autour de lui n’attendaient que le signal de
Mademoiselle Roudault pour fondre sur lui. Il éclata en sanglot, mais il écart
ses mains et les posa sur sa tête.
Mademoiselle Roudault baissa la culotte. En un réflexe,
malgré tout assez compréhensible, Reynold plaça ses mains devant son sexe. C’était
ce qu’il ne fallait pas faire. C’est sur ses fesses maintenant nues que
Mademoiselle Roudault administra une fessée pour punir cette dernière
désobéissance.
« J’ai dit les mains sur la tête ! »
Reynold avait perdu le combat. Il se retrouvait, comme
jadis, sous la coupe de son institutrice à laquelle il n’était pas question de
désobéir sous peine d’une punition encore plus sévère. Ses vieux réflexes
d’obéissance, à cette femme sévère qui l’avait si souvent fessé, remontèrent à
la surface. Il replaça ses mains là où elles auraient dû rester.
Mademoiselle Roudault l’obligea alors à se courber sur sa
cuisse, tout en le mettant à genoux entre ses pieds. Elle encercla son buste de
son bras gauche et ses genoux se refermèrent sur les cuisses de Reynold. La
fessée pouvait commencer.
Mademoiselle Roudault n’avait pas perdu la main. Elle
administra une dizaine de claques sur chaque fesse. Reynold accompagna chacune
d’elles par un cri de douleur. Mademoiselle Roudault fit une pause.
« J’espère que tu te rappelles les règles pendant une
fessée. Nous allons appliquer les mêmes. : pas de main pour protéger ses
fesses, tu restes en place sans bouger jusqu’à la fin. Tu as le droit de
pleurer, de crier tant que tu veux. Tu peux battre des pieds, mais seulement si
ça ne me gêne pas pour te fesser. Est-ce compris ?
– Oui Mademoiselle, j’ai compris !
– Tu te souviens que si tu enfreins ces règles, tu auras une
deuxième fessée, ou plutôt non, une troisième. En t’opposant à ton déculottage,
tu en as déjà mérité une deuxième que je te donnerai ce soir. »
Reynold accueillit cette nouvelle par un long gémissement.
« Alors, des fesses aussi rouges que celles de
Mademoiselle qui est si sage au piquet, c’est ce que l’on veut
obtenir ! »
Les réactions de Reynold montraient que c’était une sérieuse
punition qu’il recevait. A chaque claque qu’il recevait, une contraction de
douleur parcourait ses fesses et descendaient sur ses cuisses.il frappait le
goudron du bout de ses pieds au même rythme que la main de Mademoiselle
Roudault tombait sur ses fesses qui devinrent rouges en un rien de temps.
Comme souvent, Reynold avait tenté de ravaler ses cris, mais
il n’avait pas tenu bien longtemps. Il ne suppliait plus. Il criait à chaque
claque qu’il recevait, ce qui interrompait à peine les sanglots qui montaient
de sa poitrine. Mademoiselle Roudault faisait durer la fessée sans donner
l’impression de se fatiguer. Quelques dizaines d’années d’entraînement, sans
doute.
Les réactions de Reynold commençaient à devenir moins vives
quand Madame Schneider tendit sa règle en bois à Mademoiselle Roudault.
« Si vous voulez obtenir des fesses de la même couleur
que celles d’Enora, vous aurez besoin de ça. »
Mademoiselle Roudault approuva d’un hochement de tête. Elle
prit la règle et l’abattit sur les fesses de son ancien élève. L’effet fut
immédiat. Reynold tenta de se libérer, mais Mademoiselle Roudault avait prévu
cette manœuvre désespérée. Elle avait resserré sa prise pour éviter à Reynold
de gagner un quatrième fessée que, selon ses propres règles, elle serait
obligée de lui donner afin de tenir ses promesses, ce qu’elle faisait toujours.
Une vieille habitude d’institutrice.
Une volée d’une quinzaine de coups de règle, très
rapprochées les uns des autres, sur chaque fesses mit fin aux velléités
d’évasion de Reynold. Curieusement, il ne se débattait plus. Si ce n’était les
contractions de tous ses muscles du bas des cuisses jusqu’aux épaules, ainsi
que les sanglots qui ne faiblissaient pas, on aurait pu croire que la fessée ne
lui faisait plus d’effet.
Il ne fallut pas longtemps pour qu’apparaissent de longues
marques rouges sur les fesses de Reynold. Elles les traversaient de part en
part juste interrompues par la raie des fesse, grossièrement parallèles, et
bordées de traits plus sombres. C’était exactement semblable à celles qui
ornaient les fesses d’Enora quelques minutes plus tôt et qui s’estompaient
lentement.
« C’est exactement ce que nous voulions obtenir,
n’est-ce pas Mesdames ? »
Les approbations furent unanimes.
La fessée avait cessé. Mademoiselle Roudault avait relâché
sa prise sur le buste et les genoux de Reynold. Malgré cela, il ne bougeait
pas. Il restait à plat-ventre là où il avait été placé. Ses pleurs ne cessaient
pas, mais ils étaient maintenant plus réguliers.
Mademoiselle Roudault le laissa là, un petit moment. Elle
posa sa main sur les fesses et Reynold réagit par un gémissement, mais il
n’émit aucune protestation. Il n’était, d’une part, pas en position pour le
faire et, d’autre part, il n’avait plus aucune envie de rébellion contre son
institutrice. Il se sentait de nouveau son élève et n’avait plus qu’une
aspiration : lui obéir.
« Je vous rends votre règle. Très
efficace ! »
Elle caressait doucement les fesses qu’elle venait de punir
si sévèrement. Reynold gémissait tout doucement, mais il ne faisait pas un
geste pour interrompre sa correctrice, alors que la position dans laquelle il
restait montrait sans ambiguïté qu’il avait été puni.
Mademoiselle Roudault recevait les félicitations des
personnes qui l’entouraient. La démonstration qu’elle avait faite donnait des
idées à plus d’une parmi elles. Qui n’aurait pas rêvé de pouvoir punir certains
de ses proches quand ils étaient coutumiers d’écarts répétés et de les avoir
ensuite, allongés sur ses genoux, acceptant un câlin prolongé, comme un petit
enfant repenti ?
C’était l’image même de ce que pouvait apporter une bonne
fessée. Que cela se soit déroulé en public et que Reynold y soit indifférent ne
faisait que renforcer la sensation de pertinence de la punition. En l’espace de
quelques minutes, elle avait changé le garnement insolent qu’il était en un
grand garçon obéissant. Obéir à son institutrice était maintenant plus
important que préserver sa pudeur.
Une à une, les spectatrices partaient. Il était temps de
passer à autre chose. Une claque un peu plus appuyée sur les fesses.
« Relève-toi ! »
Reynold mit un petit temps à sortir de sa torpeur, mais il
fallait suivre les ordres de Mademoiselle Roudault. Il se releva et attendit,
debout devant sa correctrice, qu’elle lui indique ce qu’il fallait qu’il fasse.
Son sexe et ses fesses visibles par tous ne le concernaient plus. Il était
redevenu le petit garçon que sa maîtresse avait, fort justement puni.
« Va te mettre au piquet, comme Enora, à côté
d’elle ! »
Reynold regarda le chemin qu’il avait à parcourir. Quatre,
cinq mètres peut-être. Pas plus. Il soupira, mais il se mit en route. Il ne se
posa pas la question de savoir s’il pouvait ou pas remonter sa culotte.
Pourtant, un pantalon baissé, c’est mal pratique pour marcher. A l’école, quand
la maîtresse l’envoyait au coin après une fessée, ce qu’elle faisait à chaque
fois, il devait y aller les fesses nues, sous les regards de ses camarades. Il
en avait honte, mais cela faisait partie de la punition. Pourquoi y aurait-il
une raison, aujourd’hui, pour qu’il n’en soit pas ainsi ?
Il posa son nez contre le mur et il croisa ses mains sur sa
tête. Le reste dépendait maintenant de Mademoiselle Roudault. Il n’avait plus
qu’à attendre, sans bouger, sans parler. C’était la règle du piquet qu’il avait
apprise il y a si longtemps, mais qu’il n’avait pas oubliée.
Mademoiselle Roudault le regardait se placer le long du mur
en souriant. Quel enfant adorable il aurait pu être s’il avait trouvé un peu
plus de monde pour lui prêter attention. Elle avait ce qu’elle avait pu, à
l’époque, et il le lui avait bien rendu.
Elle se rappelait ce dernier jour d’école où il était arrivé
avec un petit bouquet de fleurs des champs à la main. A force d’exigence, de
punition, mais aussi de récompenses et d’encouragement, il avait atteint un
niveau scolaire qui lui permettait d’envisager des études secondaires
fructueuses. S’il continuait à travailler. Là-dessus, le doute était permis.
Bien qu’elle ait reçu des gerbes magnifiques composées par des fleuristes
compétents, c’était le petit bouquet qui l’avait le plus touchée.
Elle avait pris Reynold dans ses bras et malgré ses dix ans
bien sonnés et ses airs de petit homme émergents, il s’était laissé aller
contre sa poitrine. Elle lui avait caressé les cheveux, le dos, les fesses, là
où elle avait si souvent apporté la cuisson. Elle avait déposé un bisou sur
chaque joue et cela s’était arrêté là.
Ensuite, elle l’avait perdu de vue jusqu’à aujourd’hui,
quand elle l’avait reconnu dans la rue. Malgré ses quarante ans passés, il
n’avait pas changé. Même dégaine un peu négligée, même voix gouailleuse qui
savait se faire entendre par-dessus celle des autres, même langage vulgaire
destiné à choquer ses interlocuteurs, même attitude de petit macho qui pensait
que les femmes tomberaient toutes à ses pieds.
En trente ans, il n’avait pas fait de progrès, au contraire.
Mais tout cela était perfectible. Elle en était certaine. Son obéissance après
la fessée le montrait. C’était un défi qu’elle voulait relever. C’était décidé,
désormais, elle surveillerait ce qu’il faisait et cette fessée n’était que la première
de celles dont il avait besoin pour devenir un adulte respectable.
Elle
se tourna vers Madame Schneider.
« J’ai
une course à faire. Vous me le gardez jusqu’à ce que je revienne ?
–
Pas de souci, il peut rester ici.
– J’en
ai pour une heure environ. Il peut rester au piquet tout ce temps. Cela lui
donnera le loisir de réfléchir et comme cela, bon nombre de personnes auront pu
constater, de visu, comment il a été puni. Je compte sur la honte qu’il va
ressentir pour qu’il comprenne que ses attitudes doivent changer.
–
N’ayez pas de crainte. S’il ne se tient pas bien au piquet, je sais quoi
faire !
–
N’hésitez pas ! Il a besoin de personnes qui le cadrent. Je veux que ses
habitudes d’obéissance que je lui ai connues quand il était petit, reviennent à
compter d’aujourd’hui. Recevoir la fessée quand on l’a méritée, l’aidera à les
retrouver.
–
Vous pouvez compter sur moi !
–
Je le raccompagnerai chez lui à ce moment-là. J’ai encore une fessée à lui
donner ce soir. Il faut que je m’occupe de lui. »
Bien
que la conversation se déroulât à moins d’un mètre de lui et qu’il en entendît
tous les propos, Reynold ne réagit pas. Si c’était ce que Mademoiselle Roudault
avait décidé pour lui, alors c’était ce qu’il lui fallait. Il ferma les yeux et
se prépara à une longue attente.
Les
premières dix minutes, en fait ce qu’il imaginait avoir duré dix minutes,
furent les plus faciles. La douleur lancinante qui venait de ses fesses lui
occupait l’esprit. Il ne songeait quasiment à rien d’autre. Puis, peu à peu,
les pointes de douleur qui transperçaient sa peau se firent plus espacées et
moins aiguës.
Cela
lui laissa alors le temps de penser à ce qu’avait dit Mademoiselle Roudault.
Elle allait revenir. Reynold ne savait pas si c’était une bonne ou une mauvaise
nouvelle. Cela lui préparait, à l’évidence, des moments difficiles. Elle avait
parlé d’une autre fessée. Reynold le comprenait très bien. Où irions-nous si,
quand il était puni, il se permettait d’essayer d’empêcher la maîtresse de
baisser sa culotte. Il avait pu constater que c’était inutile. La réaction de
son ancienne institutrice, même face à sa tentative infructueuse, n’avait rien
de surprenant. Mais tout de même !
Déjà,
quand il était à l’école, il n’aimait pas quand la maîtresse le déculottait,
surtout quand c’était devant toute la classe. Il avait honte d’exposer ses
fesses et son sexe aux garçons et surtout aux filles. Une fois la culotte
baissée, sa pudeur naissante n’avait plus droit de cité. Ses fesses étaient
exposées à ses condisciples sur tous les côtés, comme si c’était indifférent à
la maîtresse. Il sentait que tous le prenaient alors pour un bébé incapable de
grandir dans sa tête. Cela le mortifiait, bien qu’il n’y eût jamais eu de
moqueries. Mademoiselle Roudault ne l’aurait pas permis et celui qui s’y serait
essayé aurait subi ses foudres.
« Exactement
ce qui m’est arrivé aujourd’hui, se dit-il ! »
On
pouvait faire confiance à Mademoiselle Roudault pour tenir une rigueur absolue
sur ces sujets.
Si
seulement elle pouvait décider de ne le fesser qu’en privé. Ce serait moindre
mal et son ego en serait un peu ménagé. Il soupira. Il n’avait aucune influence
sur ce que déciderait Mademoiselle Roudault. La pensée d’être de nouveau
déculotté et fessé dans un lieu public, devant des personnes qu’il ne
connaissait pas, fit monter une bouffée d’angoisse. Mademoiselle Roudault
pourrait quand même comprendre qu’à son âge, c’était encore plus humiliant que
quand il avait dix ans.
« C’est
justement là-dessus qu’elle compte, pensa-t-il ! »
Oui,
il reconnaissait bien les méthodes implacables de son ancienne institutrice.
Puisqu’il était incapable de se comporter en grand personne, elle le traitait
comme un bébé dont on peut exposer les fesses sans dommage. Il fallait s’y
résigner et espérer qu’elle n’aurait plus à sévir dans les mêmes conditions que
cet après-midi.
Tout
le paradoxe de la situation lui sauta aux yeux. Il n’envisageait pas une
seconde de se soustraire à l’autorité que Mademoiselle Roudault avait
réinstaurée à son égard. Les fessées qu’elle déciderait de lui infliger lui
semblaient, d’avance, légitimes et nécessaires. Il était dans le même état
d’esprit que quand il était l’élève de Mademoiselle Roudault, il y a plus de
trente ans.
Il
tenta d’imaginer comment se défaire de l’ascendant que Mademoiselle Roudault
avait pris sur lui. Pourquoi ne pas partir en courant de là où il avait été
placé ? Ce serait simple et ce n’était pas la propriétaire du magasin qui
serait en mesure de la rattraper. Mademoiselle Roudault ne retrouverait pas de
sitôt des circonstances aussi favorables pour le soumettre à sa volonté. La
probabilité de retrouver opportunément une nouvelle assemblée de matrones
prêtes à lui prêter main-forte juste quand il le fallait, était on ne peut plus
faible.
Il
aurait fallu pour cela qu’il rejette la relation que Mademoiselle Roudault
venait de renouer avec lui. L’une des phrases qu’elle avait prononcée, bien
qu’énigmatique, avait retenu son attention : « Il faut que je
m’occupe de lui », avait-elle dit. Qu’avait-elle à l’esprit quand elle
avait prononcé cette phrase ? L’idée de reprendre les relations avec son
ancienne institutrice là où il les avait laissées, il y a de nombreuses années,
lui provoquait des frissons dans le dos, sentiment mitigé de peur et de
contentement.
Que s'est-il passé dans les épisodes précédents ?
Pour tout comprendre, il faut lire ce qui a précédé :
- Le premier épisode : chapitre 1 et les vingt-huit qui ont suivi dans la saison une. Pour avoir accès à un épisode particulier, voir la page mes récits
- L'épisode précédent : chapitre 56
- Le premier épisode : chapitre 1 et les vingt-huit qui ont suivi dans la saison une. Pour avoir accès à un épisode particulier, voir la page mes récits
- L'épisode précédent : chapitre 56
Il y a une suite ... le chapitre 58.
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