"J'étais étonné, mon gendre, depuis deux jours que Suzie t'a mis sous ma surveillance et que tu vis sous mon toit, que tu n'ais pas fait la moindre bêtise. A ce que me dit Suzie, cela ne t'arrive pas souvent d'être sage deux jours de suite. Sans doute prenais-tu toutes les précautions pour que je n'aie pas de motif à me fâcher.
Cela ne pouvait pas durer. Etre un adulte responsable pendant autant de temps, tu as dû avoir un mal fou. Il fallait bien que tu retombes un jour ou l'autre dans tes enfantillages.
Dans quel état tu as laissé ta chambre ce matin ! Le lit pas fait, une culotte sale par terre, des chaussettes qui traînaient, un vieux papier tout gras sur la table de nuit, et j'en passe.
Je te l'avais pourtant dit, dès que tu as mis le pied dans ma maison : ta chambre devra être correctement rangée, chaque matin.
Approche, c'est le moment de te baisser la culotte !
Ne t'inquiète pas ! J'ai déjà vu des grands garçons tous nus et ce n'est pas de contempler tes fesses et ton zizi qui va me poser problème. J'en ai vu de bien plus impressionnants que le tien. Il n'a rien de remarquable. Je me demande bien ce que Suzie lui trouve.
Dorénavant, il faudra que tu t'y habitues. Je te déculotterai à chaque fois que ce sera nécessaire. Si tu ne te comportes pas comme un grand garçon, tu vas passer du temps à montrer tes fesses dans cette maison. Je n'hésiterai pas à te fesser quelles que soient les personnes présentes.
Voilà une position dans laquelle tu te trouveras souvent à partir d'aujourd'hui. Tu vas voir comment on y apprend vite à être obéissant.
Bon, c'est l'heure de ta première fessée sur mes genoux. Il y en aura d'autres !
Etre obligée de te donner la fessée, à ton âge, tu devrais en avoir honte !
Si ta mère a été laxiste quand tu étais petit, tu peux compter sur moi, ta belle-mère, pour rattraper le temps perdu. Comme tu n'as pas passé assez de temps, sur ses genoux, tu vas en passer sur les miens, à plat ventre et la culotte baissée.
Je n'aurai aucun mal à te rougir les fesses et à les laisser toutes brûlantes. Quand ce sera nécessaire, je prendrai le martinet. Il n'est pas rangé bien loin. Il va reprendre du service. Il laisse de jolies marques sur les fesses des vilains petits garçons.
Je n'ai pas perdu la main. Je sais encore colorer des fesses de façon tout à fait adéquate.
Ne te fais pas d'illusion, il y aura d'autres fessées. Tu ne pourra pas corriger tous tes manquements après une seule punition. Il faudra que je sois persévérante.
Dans cette maison, après une fessée, on va au piquet. Tu vas aller mettre ton nez contre le mur et les mains sur la tête. Tu y resteras toute la soirée, jusqu'à ce que je te mette au lit. Si tu veux un conseil : fais-toi oublier !
Bonjour...
RépondreSupprimerBelle-Maman ! Voilà deux mots qui symbolisent aussi l'autorité.
Mère-Poule ou Mère Mac-Miche, elle ne laisse personne indifférent.
Elle vole au secours de l'une ou l'autre de ses progénitures. Et gare à sa main leste !!!
Peter'
Hmmm ! Quelle belle histoire de fessée qui sort de l'ordinaire et superbes illustrations !
RépondreSupprimerOh ! Comme j'aimerai ainsi me faire corriger par ma belle mère que je soupçonne d'en avoir envie aussi…
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