Tout a commencé par un courriel
posté sur ce blog. C'était celui que j'attendais depuis longtemps, mais je ne le savais pas encore.
« J’ai longuement hésité avant de vous
contacter. Je suis votre production sur votre blog depuis assez longtemps, et
je ne sais pas si ce que je pressens correspond à ce que vous cherchez. Vos
écrits pourraient laisser penser que vous remettriez volontiers la
responsabilité de votre éducation à une personne qui saurait faire preuve
d’autorité. Ai-je correctement interprété le contenu du blog ? »
C’était signé de deux initiales
et l’adresse courriel avait visiblement été construite à partir d’un
pseudonyme.
J’ai pour habitude de répondre à
tous les courriels qui me sont adressés. Cela me semble la moindre des choses
quand on sollicite des retours de la part de ses lecteurs. J’ai donc envoyé une
réponse.
« Bonjour,
Effectivement, je pense que je reconnaîtrais facilement
la légitimité d’une personne qui prendrait en charge la correction des
compromissions que je m’accorde par facilité. Elle aurait l’autorité d’une
gouvernante et en aurait les droits et les obligations. Vous avez noté le
féminin du mot « gouvernante ». Je ne me vois pas obéir à un homme et
subir les punitions qu’il pourrait décider de m’administrer. Avec une personne
de sexe féminin, le rapport d’autorité est plus « maternel ». Il conviendrait
mieux à ce dont j’ai besoin.
Au plaisir de vous lire
JLC »
Le plus souvent, les échanges ne
vont pas plus loin. Ils s’arrêtent à un envoi et je n’ai plus de nouvelle suite
à ma réponse. Je fus donc un peu surpris que l’échange continuât.
« Bonjour JLG,
Vous parlez de punition. C’est un thème
récurrent sur votre blog. Il est aisé d’en parler sous l’anonymat d’un
pseudonyme, mais il est plus difficile d’être soumis effectivement à l’autorité
d’une tierce personne, fut-elle féminine. Seriez-vous prêt à abdiquer tout
droit à décider par vous-même et à confier réellement cette charge à une autre
personne ? »
La tournure de l’échange devenait plus personnelle. Je pouvais toutefois suivre cette personne sur ce terrain. Elle avait parfaitement compris l’une de mes motivations à tenir, depuis deux ans, un blog dans lequel il était exclusivement question de punition. Il fallait donc poursuivre pour voir où cela pouvait me conduire.
« Bonjour,
Je pense que je serai capable d’abandonner
les prérogatives qui sont habituellement celles d’un adulte pour me remettre
aux décisions de la personne dont j’aurais accepté l’autorité. Vous comprendrez
que cela nécessite l’établissement d’une confiance réciproque. J’aurais besoin
de savoir que les punitions seront justifiées par mon comportement, qu’elles
viseront à mon repentir et qu’elles seront proportionnées à l’importance de
l’écart qui les a motivées. Elles pourront être sévères, mais elles devront rester
dans le cadre d’une punition domestique. »
Je ne savais pas encore vraiment à qui j’avais affaire, mais les questions fouillaient dans mon intimité qu’il était possible de dévoiler partiellement dans un échange de courriel. Je ne reçus pas de réponse pendant plusieurs jours. J’avais pensé que le lien était rompu comme cela arrivait fréquemment. Une petite semaine plus tard, mon correspondant refaisait surface.
« Bonjour JLG,
J’ai hésité à poursuivre notre conversation.
J’avais même décidé d’y mettre fin. Puis, je suis revenue sur ma décision.
Toutefois, avant d’aller plus avant, je crois
qu’il est nécessaire de clarifier deux ou trois petites choses. Tout d’abord,
votre profil sur le blog, indique que vous êtes un homme d’un peu plus de 55
ans. Pouvez-vous me confirmer ces éléments ? Ensuite, je pense que nous
nous sommes engagés dans nos échanges en utilisant des euphémismes. Quand je
parle de punition, il s’agit avant tout de fessée déculottée. Sommes-nous sur
la même longueur d’onde ? »
J’avais noté l’accord au féminin
dans sa première phrase, mais il fallait en avoir le cœur net.
« Bonjour,
Les informations qui figurent sur mon blog
sont exactes. Je les ai juste rendu imprécises afin qu’on ne puisse pas faire
le lien avec ma vraie personne. Je ne pourrais assumer, ni familialement, ni
professionnellement mon intérêt pour la fessée. Il convient donc que je reste
discret.
Le choix de la nature de la punition ne me
semble pas m’appartenir. Il reviendra à la personne qui me prendrait en charge
de la déterminer. Cependant, je ne vois rien de plus adapté pour corriger un
garçon, quel que soit son âge, mais surtout si son état civil indique que c’est
un adulte, que de lui administrer une fessée. Baisser la culotte me semble une
condition de base de son efficacité.
A mon tour de vous questionner. Etes-vous
réellement une femme ? Votre âge ne me semble pas un critère fondamental,
quoique, à choisir, je préfèrerais une personne pas beaucoup plus jeune que
moi. Par contre votre lieu d’habitation est un critère décisif. Habitez-vous à
proximité de mon lieu de résidence ?
Au plaisir de vous lire,
JLG »
J’ai cru être allé trop vite,
trop loin et que mon interlocutrice avait décidé de ne pas aller plus avant. Au
bout d’une semaine sans nouvelle, je me résignais à faire le deuil de cette
relation. Je m’apprêtais à relancer un courriel, une ultime tentative pour renouer le fil quand je
reçus sa réponse.
« Bonjour JLG,
Vous aurez les réponses à vos questions
quand nous nous rencontrerons. Vous pourrez constater par vous-même.
Il m’a fallu le temps de la réflexion, mais
ma décision est prise. Comprenez bien que si votre réponse à ma
proposition vous engage, je me sens tout autant engagée par celle que je vous
fait : j’accepte d’exercer les fonctions de gouvernantes à votre égard.
Je pose cependant certaines conditions que je vous expose ci-dessous.
En premier lieu, mon périmètre de
responsabilité comprendra toute votre vie privée. Il ne débordera pas sur votre
vie familiale qui restera en dehors de mon champ d’intervention. Il ne
concernera pas, non plus, votre vie professionnelle. Nous ferons tous deux en
sorte que mon emprise n’empiète pas sur ces deux aspects. Au-delà, j’aurai
toute autorité sur votre comportement, votre travail, votre hygiène et votre
propreté, votre rythme de vie, vos fréquentations. Il n’y aura pas de domaine
sur lequel ma supervision ne s’exercera pas.
Désormais, j’attends, de votre part, une
obéissance sans faille et un comportement de garçon bien élevé. Je comprendrai,
bien sûr, que vous ayez, comme tout enfant, des moments d’égarement qui vous
conduiront à outrepasser les règles que je vous fixerai. Il sera alors de mon
devoir de vous remettre dans le droit chemin, ce qui se traduira par une bonne
fessée déculottée.
Ne vous faites pas d’illusion, ce seront de
véritables punitions qui vous feront regretter d’avoir commis les écarts qui
les ont motivées. Je me fais fort de vous rougir les fesses et d’y provoquer
une cuisson suffisamment ardente pour que vous y réfléchissiez à deux fois
avant d’en risquer une nouvelle. Pour ce faire, quand cela sera nécessaire,
j’utiliserai des instruments punitifs. Il est fort probable que vous connaîtrez
bientôt l’efficacité d’une règle, d’un martinet, d’une ceinture ou d’une poigne
d’orties quand je les applique sur les fesses d’un garçon désobéissant. J’y
laisserai parfois des marques quand il sera nécessaire que vous gardiez à
l’esprit, pendant plusieurs jours, le souvenir de votre punition.
Dorénavant, je suis la seule juge de la
nature et de la sévérité des punitions qui vous seront administrées. J’en
déterminerai également le lieu et le moment. Il est donc probable que vous
serez, un jour ou l’autre, fessé devant témoin ou mis au coin, la culotte
baissée, en leur présence. Je me garde également le droit confier, de façon
permanente ou temporaire, à une tierce personne, l’administration de l'une de vos
punitions. Toute grande personne, homme ou femme, est maintenant susceptible de
vous fesser. Je ne vois pas pourquoi je ne vous ferai pas profiter des
bienfaits que vous apportera une main masculine claquant vos fesses en réponse
à une bêtise.
Afin d’aller plus loin j’ai besoin que vous
acceptiez formellement ces conditions. Faites-le-moi savoir par retour de
courriel. »
A mon tour, j’ai beaucoup hésité.
L’engagement demandé était total. Si j'acceptais ses conditions, je ne
maîtriserais plus grand-chose quand je serais en sa présence. C’était un saut
dans l’inconnu. Cela nécessitait que je me remette entièrement entre les mains
d’une personne que je ne connaissais pratiquement pas. J’étais tenté de le
faire. Cela correspondait à un fantasme et je n’aurais probablement pas de
multiples occasions de réaliser. J’avais beau tenir ce blog depuis plus de
deux ans, ce n’était que la première fois qu’une personne envisageait d’assumer
réellement un rôle d’autorité à mon égard.
Il fallait que j’aille un peu
plus loin, mais je devais obtenir plus de garanties.
« Bonjour,
Je dois avouer que j’imaginais les séances
disciplinaires dans un espace plus privé. Il ne me semble pas approprié que des
personnes assistent aux corrections que vous déciderez de me donner.
Recevoir la fessée, qui plus est quand elle
est déculottée, oblige à exposer son intimité. J’en comprends bien la
nécessité, mais est-il besoin de le rendre public ?
Je me sentirais plus à l’aise si vous
n’alliez pas jusque-là.
Au plaisir de vous lire,
JLG »
La réponse ne tarda pas.
« Mon cher JLG,
Mettons les choses au point.
Tout d’abord, je vais désormais te tutoyer.
Il n’est pas naturel qu’un adulte qui a un enfant sous sa responsabilité lui
dise « vous ». Par contre, tu me vouvoieras et tu me diras « Madame »
à chaque fois que tu d’adresseras à moi. Cette consigne sera valable pour
toutes les grandes personnes avec qui tu entreras en contact : vous ainsi que Monsieur ou Madame. Les enfants
doivent marquer leur déférence envers les adultes. C’est une question de
politesse et de respect du statut social supérieur des adultes vis-à-vis des
enfants. Etant donné que je te traiterai comme un enfant, tu en adopteras le
statut et les obligations qui vont avec.
Ensuite, je pense que tu n’as pas bien
compris la situation. Mes décisions ont force de loi en ce qui te concerne. Je
n’ai pas l’intention de te demander une quelconque autorisation ni même un avis
et pas plus de négocier les modalités de tes punitions.
Les enfants, quel que soit leur âge, sont
soumis à l’autorité des adultes qui ont la responsabilité de leur éducation. La
punition administrée au plus près de la bêtise qui l’a motivée est un excellent
moyen d’apprentissage. Je ne reporterai pas à plus tard une fessée, sous
prétexte qu’elle doive se dérouler en public. Au contraire, quand tu ne seras pas sage
et obéissant en présence d’autres personnes, recevoir la fessée sur le champ, devant eux, constituera une leçon salutaire.
J’ai donc bien peur de ne pouvoir prendre en
compte ta pudeur. Exposer tes fesses nues quand j’estimerai que tu as besoin
d’une fessée, fera désormais partie de ta vie de tous les jours. Je ne vois
aucun inconvénient à ce que d’autres personnes y assistent. Sans doute cela
renforcera ton sentiment de honte et l’effet de la fessée elle-même en sera décuplée, ce qui
sera parfait.
J’attends ton accord, accompagné d’une demande
de pardon pour m’avoir répondu insolemment. »
C’était l’heure du choix :
me placer sous sa coupe ou mettre fin à cette situation. Je pouvais encore
refuser. Je pris une journée de réflexion. Elle fut difficile. Je n’étais pas
très concentré sur ce que je faisais et mes collègues m’en firent la remarque.
J’avais bien souvent rêvé être
soulagé de la pression de la vie quotidienne, en quelque sorte d’être déchargé
de mes responsabilité de grande personne. C’est ce qui m’était proposé.
Recevoir de temps en temps la fessée en était la conséquence normale et la contrepartie des exigences d'obéissance. Ce
n’était pas pour m’effrayer. Il fallait bien à ma nouvelle gouvernante une
façon de contrôler mes actes.
Je pressentais toutefois que la
situation pouvait échapper à mon contrôle. C’était une chose d’accepter de me
soumettre, une fois, à la fessée, un événement isolé dans ma vie d'adulte. Je voyais bien que ce n’était pas ce que me
proposait mon interlocutrice. Si j’acceptais ce qu’elle décrivait dans son
courriel, mon consentement ne serait plus nécessaire. Que je consentisse à être
puni ou pas n’aurait aucune influence sur la décision de ma gouvernante.
Il fallait prendre le risque, franchir
le pas, mais il y avait encore un point à discuter.
« Bonjour,
Je vous demande pardon d’avoir discuté vos
conditions.
J’accepte de me placer sous votre autorité
et je reconnais votre droit à me punir.
Je voudrais tout de même évoquer encore un
point. Je ne suis pas attiré par les fessées à l’anglo-saxonne, le puni le buste posé sur une table, l’accoudoir d’un canapé ou un bureau, ou courbé dans le milieu
d’une pièce. Ces positions, ainsi que les instruments le plus souvent adoptés
dans ces cas-là – la canne ou le paddle – me paraissent trop impersonnelles.
Il me semble que les positions à adopter
doivent être plus « maternelles » : couché sur les genoux ou
ployé sous le bras. Je souhaiterais que nous nous mettions d’accord sur ce
point.
Au plaisir de vous lire,
JLG »
La réponse me parvint quasiment par retour de courriel.
« Josip,
Ton courriel s’adresse à une grande personne
de façon très impolie. Après ton « bonjour », il manque le mot que je
t’ai ordonné d’utiliser quand tu t’adresses à moi.
C’est une désobéissance flagrante. Nous en
reparlerons.
Recommence ton courriel et cette fois-ci,
j’espère qu’il sera à la hauteur de la politesse que j’attends de toi. »
Je voyais bien ce qu’elle voulait faire. Je devais me soumettre totalement à ses règles dès maintenant et prendre l’habitude d’y obéir sans discuter. C’était très cohérent avec la situation qu’elle me proposait. Là où j’en étais, il n’était plus question de reculer. Je rectifiais mes propos et je le lui envoyais de nouveau.
« Bonjour Madame,
Je vous demande pardon d’avoir discuté
… »
La réponse fut cinglante.
« Josip,
Je suis lasse de tes ergotages.
Je te ferai adopter les positions
disciplinaires que je jugerai les plus appropriées pour que tu te repentes de
tes écarts. Cela n’est pas de ton ressort d'en décider, ni même d'avoir un avis sur la question. Si je pense qu’il faut utiliser la
canne pour te punir et que, pour ce faire, tu doives te positionner à plat
ventre sur mon bureau ou mettre tes fesses à disposition, courbé dans le milieu
d’une pièce, tu n’auras d’autre solution que de t’y soumettre.
Cela fait donc deux fois que tu contestes
mes décisions, malgré mon interdiction formelle. J’y rajoute ton impolitesse.
Ton ardoise commence à être lourde, mon garçon. Nos solderons tout cela lors de
notre première rencontre.
J’attends donc , sans délai, ton acceptation
pleine et entière de mes conditions. »
Il n’y avait plus le choix.
« Madame,
J’accepte de me soumettre à votre autorité à
vos conditions. Je reconnais votre autorité et votre légitimité à me punir quand
vous le jugerez nécessaire.
Je vous demande pardon de vous avoir désobéi
et de mon impolitesse.
JLG »
Il ne restait plus qu’une marche
à monter. Elle en prit l’initiative.
« Josip,
Tu ne seras pardonné qu'après avoir été puni pour les fautes que tu as commises. Tu dois commencer à comprendre que cela passera par une fessée. Il es sera ainsi désormais.
Tu ne seras pardonné qu'après avoir été puni pour les fautes que tu as commises. Tu dois commencer à comprendre que cela passera par une fessée. Il es sera ainsi désormais.
Avant de conclure définitivement notre
accord, il est nécessaire que nous nous rencontrions. Cela se fera dans un lieu
public. »
Elle me donna l’adresse d’un café
sur une place dans une petite ville de la périphérie de Rennes.
« Tu y seras vendredi prochain à
dix-huit heures. Sois ponctuel, je n’accepterai aucun retard. Tu prendras un
change et un nécessaire à toilette pour deux jours. Tu le mettras dans un sac à
dos que tu porteras sur ton épaule du côté droit. Sous le bras gauche, tu auras
un roman.
Je pourrai ainsi te reconnaître et si tu
corresponds à ce que tu as annoncé, je t’aborderai.
Toi comme moi, nous pourrons alors décider
de mettre fin à la situation. Nous partirons alors chacun de notre côté et nous
n’aurons plus de contact, de quelque nature que ce soit.
Si nous continuons, il n’y aura plus de
retour en arrière possible. Nous signerons le contrat pour une gouvernante que
tu proposes sur ton blog. J’en apporterai un exemplaire.
Je t’emmènerai alors chez moi. Tu y resteras
jusqu’au dimanche matin. Cela devrait amplement suffire pour que tu intègres
les règles principales de la vie sous ma surveillance.
N’oublies pas que nous avons quelques
désobéissances et insolences en attente. Je m’en occuperai à cette occasion.
Confirme-moi que tu as bien compris mes
consignes. »
Les dés étaient jetés.
« Madame,
Je vous confirme que j’ai bien compris vos
consignes. Je serai ponctuel au rendez-vous. »
Voilà. J’ai mon sac sur l’épaule
et un roman sous l’autre bras. Dans deux minutes, il sera dix-huit heures. Je prends une profonde respiration et je pousse
la porte du café dans lequel j’ai rendez-vous.
Inaccessible rêve ou perspective probable ? A vous de répondre, Mesdames.
Inaccessible rêve ou perspective probable ? A vous de répondre, Mesdames.
Lien vers le contrat pour une gouvernante
Bonjour,
RépondreSupprimerAlors ? Belle rencontre ? Une suite ?
Je ne suis pas une femme mais je pense qu'une rencontre est probable encore faut t'il mettre tous les atouts de son côté.
Je peux déjà vous dire que cela ne se passe pas de cette façon, tout au moins comme vous la fantasmez, c'est beaucoup plus simple comme une rencontre normale, voilà.
Je vous donne une première clé :
- La visibilité.
Réfléchissez bien à cet indice, c'est primordial.
Amitiés
Bruno
Bonjour Bruno,
SupprimerEt non, pas de rencontre. Des clés d'un côté, une serrure de l'autre mais elles ne se sont pas encore trouvées. Savent-elles des deux côtés qu'elles se cherchent ?
Je vous remercie de votre indice, mais il est assez mystérieux ou tout du moins, il peut s'interpréter de façons assez différentes.
Visibilité, dites-vous. Ce blog en est un élément. Les articles orientés clairement vers la punition donnée par une main féminine en est un autre. Les appels à passer à l'acte en sont un troisième.
Bien sûr, il reste l'anonymat d'internet : le pseudonyme, la localisation approximative. Il ne peut être levé que quand le clé aura trouvé la serrure.
Je suis impatient que vous alliez un peu plus loin dans vos indices.
Au plaisir de vous lire,
JLG
Bonsoir,
RépondreSupprimerLa visibilité ou l'art de se montrer sous son meilleur angle vous permettra de rencontrer certainement la personne qui vous fera du bien mais le fait de rester caché derrière un écran est un obstacle qu'il va bien falloir surmonté un jour. L'expression "sortir de sa zone de confort" me plait bien et à vous ?
Si vous prenez plaisir à me lire, j'apprécirais de pourvoir vous entendre.
Amitiés
Bruno
Bonsoir Bruno,
SupprimerPerplexité.
Effectivement, il faudra, à un moment donné, que je sorte de ma zone de confort que représente l'écran derrière lequel je me protège. Toute la question est : quand ?
Je ne me vois pas exposer à la vue de tous, sur internet par exemple, qui je suis, où j'habite, et lancer un appel à venir me fesser. J'espère, je suppose, que ce n'est pas ce que vous suggérez. ce serait une impasse.
Il est évident que, pour concrétiser une rencontre, il faudra passer d'une situation virtuelle à une confrontation physique qui nécessitera que je prenne le risque de me dévoiler, au moins en partie.
L'heure venue, je pense que je pourrais le faire, face à une possibilité d'aboutir à une relation d'obéissance et de punition. Encore faut-il que des premières étapes soient franchies: une personne identifiée, des échanges dans un cadre confidentiel permettant d'aller plus loin, pas dans les commentaires d'un blog par exemple, une certaine sécurité réciproque dans les modalités de rencontre ... autant d'éléments restant à construire.
Dernier élément. La possibilité de s'entendre et non plus seulement d'échanger des courriels. Pourquoi pas. Quel en serait le but et les modalités ? Que pourrions-nous nous dire que nous ne pouvons pas nous écrire ?
Dans l'attente de vous entendre, au plaisir de vous lire.
JLG
Bonsoir (et votre prénom ?)
RépondreSupprimerC’est bien l'exposition qui compte, pas question de divulguer le moindre indice sur le net mais il faut bien susciter l'envie d'une partenaire pour réaliser ses fantasmes.
L'envie de vous parlez de vive voix ? J'en éprouve le besoin peut-être que nos fantasmes sont proches ?
Je suis disposé à le faire aujourd'hui mais ce désir peut rapidement s'estomper.
J'ai l'expérience de vivre ce que vous fantasmez et vous comprendrez aisément que peu d'oreilles peuvent entendre mon envie de communication.
Voilà, j'apprécie votre travail et comme récompense je vous donne un autre indice:
- La volonté de franchir le pas ou " Osez"
Amitiés
Bruno
Bonjour Bruno,
RépondreSupprimerAllez donc me poster un message par courriel à partir de ce blog. Vous découvrirez, dans l'adresse, mon prénom. il y est inscrit en toute lettre.
Désolé pour avoir manqué le rendez-vous que vous aviez fixé à hier soir, mais ce n'était pas envisageable à ce moment-là. J'espère que vous n'avez as trop attendu, c'était en vain. Convenons plutôt conjointement de la date de notre échange, ce sera certainement plus efficient.
Je suis curieux de nature et je considère que c'est une qualité. Je suis donc disposé à "franchir le pas" ... de vous contacter.
Vous conviendrez qu'il s'agit d'un petit pas. Apparemment, vous êtes un homme, et je ne me vois pas exercer mon fantasme avec une personne de même sexe. Notre échange peut être fructueux, mais il y aura, peut-être, d'autres pas plus grands à franchir, en particulier quand il s'agira "d'oser" se dévoiler avec une personne, de sexe féminin qui prendra les choses en mains.
Un message peut donc s'avérer utile, ne serait-ce que pour savoir de quelle façon nous pourrions échanger de vive voix.
Au plaisir de vous lire,
JLG.
Bonjour Josip,
RépondreSupprimerJe trouve votre début de paragraphe un tantinet autoritaire :
« Allez donc me poster un message par courriel à partir de ce blog »
Vous prenez de l'assurance, ma foi c'est un bon début
Et puis je vous rassure quand j'utilise l'adverbe "aujourd'hui" je ne suis pas dans l'instantané, c'est une façon de dire que notre échange ne peut pas être constructif en restant en l'état et à mon avis l'étape suivante est une communication verbale.
C'est très important pour déjà s'assurer que la personne est vraiment ce qu'elle prétend être dans ses écrits et ensuite l'échange verbal valide la volonté de progresser et de s’engager.
Bon, je vais vous « obéir » en allant poster sur votre mail mes coordonnées aujourd’hui ou peut-être demain ou jamais, enfin quand j’en aurais envie.
Amitiés
Bruno
Bonjour Bruno,
SupprimerEffectivement, j'ai trouvé que vous étiez assez largement dans l'injonction vis à vis de moi, ce qui ne me semblait pas justifié, compte tenu de la nature de nos relations plutôt embryonnaires. Je vous ai donc retourné votre tendance à donner des ordres. Je suis heureux que vous l'ayez remarqué.
Une preuve d'assurance ? Sans doute, mais plutôt la reproduction du type de relation dont j'ai l'habitude, autant dans mon univers professionnel que domestique.
Bien entendu si, un jour, je me trouve soumis à l'autorité d'une femme, sa légitimité à me punir ne pourrait que me conduire à accepter ses injonctions ... ou à en subir les cuisantes conséquences. Ce sera son rôle et son devoir.
En imaginant qu'elle vous donne un jour autorité sur moi, cela changera la nature de nos relations et je me verrai alors contraint à vous obéir. Si vous le jugerez bon, vous pourrez, à ce moment-là, me sanctionner pour mes actuelles insolences puisque vous semblez vous en alarmer. Cela fera partie de vos prérogatives. Je n'aurai plus à m'en plaindre. Nous n'en sommes pas là.
J'attends donc de vos nouvelles probablement par courriel. Je suis curieux de découvrir le contenu de notre prochaine conversation.
Au plaisir de vous lire ou de vous entendre, un jour peut-être.
JLG.