"Enfin un peu de calme ! Je vais pouvoir récupérer de ma journée qui a été éprouvante. Une tasse de thé, mon émission de télévision préférée et une bonne heure devant moi pendant laquelle je peux rester assise dans le canapé. Quel bonheur !
C'est le premier soir depuis longtemps où tu ne te plains pas de tout ce qui t'est arrivé depuis le matin. Et pour une fois, ce n'est pas toi qui a choisi la chaîne de télévision que nous regardons. J'aurais dû prendre des mesures drastiques depuis bien longtemps.
Je me disais bien que ce que tu faisais tous les soirs ressemblait à des caprices. Je me trompais ! Ça ne ressemblait pas à des caprices, c'étaient des caprices ! Sous prétexte que tu occupes un poste important à ton travail, tu ne pouvais rien faire d'autre que t'affaler sur le canapé lire ton journal et regarder la télévision.
Pendant ce temps-là, c'est moi qui faisais tourner la maison, qui m'occupais des courses, qui faisais le ménage, la cuisine et la lessive et tout le reste. Et de plus, Monsieur râlait quand les choses n'étaient pas faites à son goût.
Heureusement que j'en ai parlé à ta mère hier quand elle est passée boire un café. Elle m'a expliqué qu'il y a quelques années, quand tu révisais pour le bac, tu t'étais comporté de la même façon en la prenant, elle et tes deux sœurs, pour tes bonniches.
Elle m'a surtout expliqué comment elle avait fait cesser cette attitude le jour où elle en avait eu assez : une bonne fessée déculottée. Elle m'a assuré qu'elle avait continué à te fesser malgré ton âge, à chaque fois que tu en avais besoin. Cela t'avait fait changer d'attitude. J'ai été surprise d'apprendre que tu as reçu ta dernière fessée de sa part, la veille de notre mariage.
Pour être plus exacte, c'était ta dernière fessée. Ce n'est plus le cas. Maintenant c'est ton avant-dernière fessée depuis celle que je t'ai donnée ce soir.
Heureusement que j'en ai parlé à ta mère hier quand elle est passée boire un café. Elle m'a expliqué qu'il y a quelques années, quand tu révisais pour le bac, tu t'étais comporté de la même façon en la prenant, elle et tes deux sœurs, pour tes bonniches.
Elle m'a surtout expliqué comment elle avait fait cesser cette attitude le jour où elle en avait eu assez : une bonne fessée déculottée. Elle m'a assuré qu'elle avait continué à te fesser malgré ton âge, à chaque fois que tu en avais besoin. Cela t'avait fait changer d'attitude. J'ai été surprise d'apprendre que tu as reçu ta dernière fessée de sa part, la veille de notre mariage.
Pour être plus exacte, c'était ta dernière fessée. Ce n'est plus le cas. Maintenant c'est ton avant-dernière fessée depuis celle que je t'ai donnée ce soir.
Je dois avouer que je ne croyais que moyennement que je pourrais recourir à une telle méthode. J'ai pourtant été tout de suite séduite par l'idée. Ça a été une révélation pour moi. Je venais de comprendre ce qui me titillait depuis six mois que nous vivons ensemble. J'avais l'impression d'avoir un adolescent à la maison et non un mari, mais sans avoir l'autorité pour lui imposer des règles de vie décentes.
J'ai dû "emprunter" l'autorité de ta mère. On peut le dire comme cela. Elle m'a proposé de venir te donner une fessée en ma présence. J'ai saisi sa proposition au bond, mais en l'améliorant. J'ai été étonnée de ton changement d'attitude lorsque je t'ai donné le choix : soit je te donnais une fessée moi-même, soit j'appelais ta mère pour qu'elle vienne te l'administrer. Tu dois avoir quelques souvenirs cuisants des fessées maternelles ! Le choix a été vite fait. Je ne sais pas si tu as gagné au change.
Il y a bien eu encore quelques récriminations quand je t'ai baissé la culotte, mais c'était un baroud d'honneur. Il m'a suffit d'élever la voix pour que tu cèdes. J'ai compris que j'aurais dû le faire bien plus tôt. Tu as besoin d'une figure d'autorité pour contrôler ce que tu fais. Une fois admis que j'exercerai ce rôle, les choses ont été plus simples. Ce ne sont pas les supplications quand tu as compris que j'utiliserai la brosse, qui y ont changé quoi que ce soit.
J'ai bien eu un peu de mal à te maintenir en place à plat-ventre en travers de mes genoux. Non pas parce que tu as cherché à te soustraire à la punition, mais à cause de tes gesticulations désespérées. Je pense qu'avec un peu d'expérience, j'y arriverai beaucoup mieux. Je vais demander à ta mère de me donner quelques conseils.
Elle m'a bien recommandé de te mettre au coin après t'avoir corrigé. "Comme à la maison" a-t-elle dit. Je dois constater qu'elle avait, encore une fois raison. Tu y es bien sage. La menace d'une deuxième fessée y est peut-être pour quelque chose. Je vais t'y laisser un bon moment pour que tu aies le temps de songer à tout ce qui va changer dans ta vie à compter de ce soir.
J'espère que tu es bien conscient que je recourrai désormais à la fessée aussi souvent que je le jugerai nécessaire. S'il faut te fesser deux, trois ou quatre fois par jour, cela ne me posera pas de problème. Par contre, je n'admettrai de ta part aucune tentative pour t'y soustraire, que ce soit pendant le déculottage ou la fessée elle-même. C'est moi qui déciderai quand et où te sera donnée la fessée. Si tu t'y opposes, tu auras une deuxième correction, plus sévère que la première.
Je vais aussi demander à ta Maman de ne pas hésiter à te fesser quand tu en auras besoin. Que tu sois marié ne change rien. Elle doit pouvoir poursuivre son travail d'éducation à ton égard. Je suis sûre que tu profiteras grandement de te retrouver, la culotte baissée, allongé sur les genoux de ta Maman. Tes vingt-six ans ne sont pas un obstacle. Bien évidemment, te donnerai la fessée déculottée en sa présence.
Bon, bien entendu je ne veux ni t'entendre, ni te voir bouger pendant tout le temps que je vais te laisser au coin. Je regarde ce reportage puis j'irai te mettre au lit. Puisque tu prétends en permanence être fatigué, je vais te coucher bien plus tôt qu'habituellement. Je te conseille de ne pas grogner quand je te mettrai en pyjama ou quand tu seras au lit. Au cas où, une bonne fessée réglera la question. Dorénavant, ce sera comme cela chaque soir."
J'ai dû "emprunter" l'autorité de ta mère. On peut le dire comme cela. Elle m'a proposé de venir te donner une fessée en ma présence. J'ai saisi sa proposition au bond, mais en l'améliorant. J'ai été étonnée de ton changement d'attitude lorsque je t'ai donné le choix : soit je te donnais une fessée moi-même, soit j'appelais ta mère pour qu'elle vienne te l'administrer. Tu dois avoir quelques souvenirs cuisants des fessées maternelles ! Le choix a été vite fait. Je ne sais pas si tu as gagné au change.
Il y a bien eu encore quelques récriminations quand je t'ai baissé la culotte, mais c'était un baroud d'honneur. Il m'a suffit d'élever la voix pour que tu cèdes. J'ai compris que j'aurais dû le faire bien plus tôt. Tu as besoin d'une figure d'autorité pour contrôler ce que tu fais. Une fois admis que j'exercerai ce rôle, les choses ont été plus simples. Ce ne sont pas les supplications quand tu as compris que j'utiliserai la brosse, qui y ont changé quoi que ce soit.
J'ai bien eu un peu de mal à te maintenir en place à plat-ventre en travers de mes genoux. Non pas parce que tu as cherché à te soustraire à la punition, mais à cause de tes gesticulations désespérées. Je pense qu'avec un peu d'expérience, j'y arriverai beaucoup mieux. Je vais demander à ta mère de me donner quelques conseils.
Elle m'a bien recommandé de te mettre au coin après t'avoir corrigé. "Comme à la maison" a-t-elle dit. Je dois constater qu'elle avait, encore une fois raison. Tu y es bien sage. La menace d'une deuxième fessée y est peut-être pour quelque chose. Je vais t'y laisser un bon moment pour que tu aies le temps de songer à tout ce qui va changer dans ta vie à compter de ce soir.
J'espère que tu es bien conscient que je recourrai désormais à la fessée aussi souvent que je le jugerai nécessaire. S'il faut te fesser deux, trois ou quatre fois par jour, cela ne me posera pas de problème. Par contre, je n'admettrai de ta part aucune tentative pour t'y soustraire, que ce soit pendant le déculottage ou la fessée elle-même. C'est moi qui déciderai quand et où te sera donnée la fessée. Si tu t'y opposes, tu auras une deuxième correction, plus sévère que la première.
Je vais aussi demander à ta Maman de ne pas hésiter à te fesser quand tu en auras besoin. Que tu sois marié ne change rien. Elle doit pouvoir poursuivre son travail d'éducation à ton égard. Je suis sûre que tu profiteras grandement de te retrouver, la culotte baissée, allongé sur les genoux de ta Maman. Tes vingt-six ans ne sont pas un obstacle. Bien évidemment, te donnerai la fessée déculottée en sa présence.
Bon, bien entendu je ne veux ni t'entendre, ni te voir bouger pendant tout le temps que je vais te laisser au coin. Je regarde ce reportage puis j'irai te mettre au lit. Puisque tu prétends en permanence être fatigué, je vais te coucher bien plus tôt qu'habituellement. Je te conseille de ne pas grogner quand je te mettrai en pyjama ou quand tu seras au lit. Au cas où, une bonne fessée réglera la question. Dorénavant, ce sera comme cela chaque soir."
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