Je suivis le groupe d’élève vers
le cours suivant. Ils se dirigèrent vers le gymnase qui avait été construit de
l’autre côté de la grande pelouse qui occupait le centre de l’établissement.
Comme Sœur Marie-Madeleine ne l’avait annoncé, nous continuions notre matinée
par un cours d’éducation physique. Nous fumes rejoints par une autre classe de
terminale. Alors, garçons et filles se séparent. Le cours d’éducation physique
n’est pas mixte, contrairement à tous les autres.
Je n’avais pas encore eu l’occasion de la rencontrer, mais Sœur
Gabrielle était une sorte de légende à St Marie. Quand on voyait sa stature, on
voyait tout de suite que c’était une athlète accomplie et aucun des garçons ne
pouvait rivaliser avec elle dans la plupart des disciplines sportives. Elle
était grande, autant que les plus grands des garçons de notre classe. J’étais
d’une taille moyenne, elle me dépassait donc d’une bonne demi-tête. Elle ne
portait pas le costume traditionnel de son ordre pendant les cours d’éducation
physique, le survêtement était sa tenue de travail. Dès qu’elle se déplaçait, on
sentait sa musculature qui avait l’habitude d’être sollicitée et qu’elle ne
manquait pas d’entretenir.
Quand elle avait pris le voile,
cela avait la couverture des journaux sportifs. C’était une championne de judo
qui avait toutes ses chances pour remporter la victoire lors du prochain
championnat du monde. Rentrer dans les ordres avait brutalement fin à sa
carrière. Les commentateurs sportifs n’avaient pas compris cette orientation et
ils avaient tenté de la faire changer d’avis en faisant monter la pression sur
elle et sur son entourage. Rien n’y avait fait. Elle devait avoir à peu près
vingt-cinq ans, à l’époque. Elle en avait environ dix de plus aujourd’hui.
Visiblement, avec Sœur Gabrielle,
les garçons filaient droit. Dès qu’elle fut à proximité du groupe de garçons,
le silence se fit.
« Rangez-vous correctement,
ordonna-t-elle. »
Les garçons s’alignèrent en deux
rangs parallèles. Je restais à côté d’eux, sans vraiment me mettre dans
l’alignement.
« Vous êtes bien Axel
Fournier, le consultant ?
– Oui, ma Sœur.
– Si vous avez l’intention de
suivre ces garçons pendant le cours que je dispense, mettez-vous dans le
rang. »
J’hésitais un court instant. Elle
m’obligeait à me conformer aux règles
qui s’appliquaient aux élèves. C’était nier mon statut différent au sein de
l’école. Cependant, nous avions convenu avec la directrice que je devais me
faire discret. Quoi de mieux que de me fondre dans la masse des élèves ?
–Oui, si ça peut vous faire plaisir. »
Je suivis les élèves qui
pénétrèrent dans le gymnase vers le vestiaire des garçons. Chacun prit une
place sur le banc qui était fixé au mur et commença à se déshabiller pour
enfiler une tenue de sport. Dans la grande tradition des uniformes, chacun
avait la même. Elle se composait d’un polo rayé jaune et noir, floqué aux armes
de St Marie, d’un short noir qui s’arrêtait au ras des fesses et de chaussures
de sport blanches.
Je regardais ce groupe de garçon
qui s’appétait pour leur heure d’éducation physique, quand Sœur Gabrielle
m’interpella
« Qu’avez-vous l’intention
de faire durant cette heure ? Si c’est uniquement regarder, je ne souhaite
pas que vous restiez. Vous nous gêneriez tous. Les garçons n’ont pas besoin
d’un consultant qui les observe. Ce ne sont pas des animaux en cage que l’on
observe, nous ne sommes pas au zoo. Le plus pertinent est que vous observiez de
l’intérieur, en participant. »
La proposition me séduisait.
J’étais las des insinuations des religieuses sur ma posture d’observateur et
sur les privilèges qu’elle supposait. De plus, je ne disais pas non à une heure
d’exercice physique qui me permettrait d’évacuer les tensions accumulées lors
des deux premières heures de la matinée. J’étais un pratiquant assidu de
différents sports, c’était une activité qui avait plutôt mes faveurs.
« Je participerais
volontiers à votre cours. Ce sera un plaisir. »
Je m’apprêtais à suivre les
élèves qui sortaient du vestiaire.
« Une seconde, Sœur
Gabrielle m’arrêta dans mon élan, vous ne pouvez pas pratiquer une heure de
sport en tenue de ville. Il faut que vous mettiez une tenue de sport.
– Je n’ai pas prévu ces
accessoires, je ne savais pas que j’en aurai besoin.
– Ce n’est pas un problème, je
vais vous en prêter. »
Sœur Gabrielle fouilla dans un
placard qui se trouvait derrière elle en sortit un polo aux couleurs de St
Marie.
« Approchez ici, mon garçon,
que je voie si ce polo est à votre taille. »
Quand je fus assez près d’elle,
elle me fit pivoter d’une poussée sur mes épaules. Cela me fit pivoter
aussitôt, et je lui présentais mon dos. Elle y ajusta le polo.
« Cela vous ira parfaitement.
Voyons le short. »
Sœur Gabrielle m’équipa de la
tête aux pieds. Je me retrouvais avec une tenue complète antre les bras.
« Je vous remercie, ma
Sœur. »
Je jetais un œil autour de moi.
« Allons, mettez-vous en
tenue !
– Où puis-je me changer ?
– Prenez-une place qui vous
convient dans ce vestiaire, il y a tout l’espace dont vous avez besoin.
– C’est que … j’ai l’habitude de
plus de … d’intimité pour m’habiller. »
Sœur Gabrielle me regarda d’un
air amusé.
« Que croyez-vous ? Que
nous allons vous fournir un vestiaire privatif ? Vous savez, qu'il y a de
nombreux garçons de tous âges qui se sont changés dans ce vestiaire sans que
l’un d’entre eux trouve à y redire. Croyez-vous que vous avez quelque chose de
différent ? Tout le monde ici a vu des garçons en sous-vêtements sans que
cela offusque qui que ce soit. »
Comme elle voyait que j’hésitais
toujours, elle rajouta :
« Vous cherchez décidemment
toujours les privilèges. Ce que Sœur Françoise vous a dit n’a pas suffi pour
que vous reveniez à plus d’humilité. A moins, que ce ne soit le prétexte que
vous cherchiez pour rester encore une fois en dehors de ce que vivent les
élèves de St Marie ? »
Je sentais le défi dans les
propos de Sœur Gabrielle. Je haussais les épaules, trouvais une place
disponible et je tournais le dos à Sœur Gabrielle. J’ôtais mes vêtements et je
passais ceux qu’elle m’avait donnés. En passant devant elle, je vis son regard
ironique, comme si elle avait obtenu ce qu’elle voulait à mes dépens. Je
rejoignis les autres garçons.
Une fois dans le groupe, il fut
clair pour moi que plus rien ne me distinguait des autres élèves. Certains
étaient bien plus grands que moi et, comme j’avais toujours paru plus jeune que
mon âge, je ne semblais pas le plus âgé.
Durant l’heure de sport,
j’oubliais toutes les questions que je me posais sur St Marie, sur la place que
j’y occupais et sur la façon de mener à bien l’étude qui m’avait été confiée.
Je m’intégrais au groupe de garçons et je pris du plaisir à jouer avec eux. Il
s’agissait d’un match de football et j’avais été assez bon à ce jeu lorsque
j’étais plus jeune. Il m’en restait encore de beaux restes. Je me prenais au
jeu et j’avais l’impression que les autres garçons avaient oublié que je ne
faisais, en principe, pas partie de leur groupe. Comme les autres, je finis
essoufflé, fatigué, mais complètement détendu, mon tonus renouvelé et prêt à
m’engager dans les autres cours de la journée.
Sœur Gabrielle siffla la fin de
la partie. Il n’y eut pas une seconde de jeu supplémentaire. Le plus près du
ballon le prit à la main et, traversant le terrain d’une petite foulée, il le
remit à Sœur Gabrielle. Celle-ci frappa deux fois dans ses mains :
« On rentre !
ordonna-t-elle en élevant à peine la voix. »
Chacun se dirigea promptement
vers le vestiaire. Je suivis la troupe, content, après cet intermède, de
retrouver mon statut et mon activité de consultant.
Le dernier garçon de retour dans
le vestiaire, Sœur Gabrielle ferma la porte. Assis sur le banc à ma place, je
fermais un instant les yeux pour récupérer un peu d’énergie avant d’entamer mon
rhabillage. Quand je les rouvris, la première chose que je vis, c’était un
garçon qui baissait sa culotte.
« Allons les garçons, à la
douche ! annonça Sœur Gabrielle. »
Chacun entreprenait de se
déshabiller et patientait nu comme un ver. Je venais de deviner l’usage de la
pièce attenante : chaque élève se lavait sous la douche après une heure de
sport. Aucun de ces jeunes adultes ne prêtait attention à Sœur Gabrielle,
pourtant seule personne de sexe féminin dans la salle. Elle circulait entre les
garçons, surveillant attentivement ce que faisaient ses élèves. L’un deux, qui
rêvassait reçut une claque sur les fesses.
« Allons, Mathieu, à la
douche. »
Bientôt tout le monde fut
totalement nu, si on excepte Sœur Gabrielle et moi. La religieuse ouvrit la
porte de la douche et tout le monde s’y engouffra. Sœur Gabrielle, au passage,
attrapa un garçon par le bras un garçon qui avait pourtant pris soin de se
tenir du côté du flot de garçons où ne se tenait pas la religieuse. Elle le
rapprocha d’elle :
« Je compte sur vous pour
prendre votre douche correctement, jeune homme, pas comme la semaine dernière.
À moins que tu ne préfères que ce soit de nouveau moi qui te lave ?
– Non, ma Sœur, je vais faire
attention.
– Si nécessaire, cela ne me pose
aucun problème de faire prendre sa douche à un garçon, même s’il est aussi âgé
que toi. Je viendrai vérifier si tu t’es parfaitement lavé et tu sais comment
cela finira si ce n’est pas le cas.
– Oui, ma Sœur. »
Sœur Gabrielle donna une bonne
claque sur les fesses nues du garçon qui ne put retenir un cri. Il en fut
propulsé dans la salle de douche, sans émettre une quelconque protestation.
J’aurai volontiers pris une
douche avec mes condisciples avec lesquels j’avais partagé ce moment de sport,
mais je ne me voyais pas passer, dans le plus simple appareil, sous le regard
de Sœur Gabrielle et encore moins prendre ma douche sous son œil inquisiteur.
Je rassemblais donc mes vêtements et je me dirigeais vers la porte du vestiaire.
« Où allez-vous jeune
homme ? »
Sœur Gabrielle se tenait sur le
chemin que je devais prendre pour mettre mon projet à exécution. Je ne pouvais
donc pas tout simplement l’ignorer.
« Je trouve que c’est une
très bonne idée de prendre une douche après cette activité physique. Je vais
donc faire comme mes partenaires de sport.
– Je suis contente que certaines
de nos habitudes à St Marie trouvent grâce à vos yeux. Vous vous trompez juste
de direction : les douches sont par là. »
Je ne m’attendais pas à ce
qu’elle souhaite me faire prendre une douche en même temps que ses élèves.
Malheureusement pour elle, je n’en étais pas un et je n’étais pas soumis à son
autorité comme l’étaient tous les garçons qui s’étaient déshabillés devant
elle.
– J’ai bien compris qu’il y a des
douches là-bas, mais il y en a une également dans ma chambre. C’est là que je
vais prendre la mienne. J’ai l’habitude de faire ce genre de chose dans un
espace plus privatif.
– Il n’en est pas question. Je
tiens à vérifier que chaque garçon, après une heure de sport, se lave correctement
pour évacuer toute la sueur produite. Je sais que même aux âges de ceux qui
sont en terminale, beaucoup de garçon par paresse ou par négligence n’observent
pas ces règles élémentaires d’hygiène. Dans ma classe, il n’y a pas
d’exception : tout le monde prend une douche et je vérifie que c’est bien
le cas. Cela fait partie de mon travail.
– Je ne doute pas que vous faites
parfaitement votre travail, consciencieusement, surtout quand il s’agit de voir
trente jeunes gens se déshabiller devant vous. Je suis désolé de vous annoncer
que, n’étant pas l’un de vos élèves, je ne ferai pas partie de ceux qui se
promèneront totalement dénudé devant vous. Je ne me sens pas obligé de
respecter vos règles, surtout quand elles sont aussi douteuses. »
Les yeux de Sœur Gabrielle
lancèrent des éclairs.
« Ah oui ? C’est ce que
nous allons voir. »
Avant que je puisse réagir, Sœur
Gabrielle m’agrippa le bras. Sa poigne ne me laissa pas le choix je dus la
suivre, d’autant plus qu’elle souleva mon poids sans difficulté pour m’envoyer
vers le banc d’où je venais. Elle m’arracha des mains mes vêtements de
rechange. Puis, elle posa son pied sur le banc et me ceinturant de son bras
droit, elle me souleva sans sembler forcer.
Je mis une ou deux secondes à
comprendre que je me trouvais, à plat ventre, courbé sur son genou, dans un
équilibre instable. Je mis mes mains devant moi pour me protéger de la chute
sur le sol que je voyais venir avant de pouvoir reprendre mon équilibre. Sœur
Gabrielle me rattrapa et me colla contre son bassin. Cela se fit en tellement
peu de temps que je n’avais pas encore repris mes esprits quand je sentis le
pouce de la religieuse se glisser sous l’élastique de mon short. Je lançais en
arrière ma seule main encore disponible, mais mon short était déjà descendu
sous mes genoux, là où je ne pouvais plus l’attraper.
Comprenant enfin les intentions
de Sœur Gabrielle, j’agrippais ma culotte. Elle saisit mon poignet le remonta
dans mon dos où elle le maintint fermement. Alors, de sa main libre, elle me
baissa la culotte et l’abandonna à mi-cuisses.
« Non, non, vous n’avez pas
le droit, lâchez-moi !
– Vous savez qu’il est interdit,
à St Marie, de protéger ses fesses pendant une fessée. Vous n’êtes pas
totalement un élève, pour cette fois je n’en tiendrai pas compte. Sachez que la
prochaine fois que vous gênerez l’administration d’une punition, vous serez
fessé une deuxième fois. »
La main de Sœur Gabrielle me
claquant les fesses, une cuisson intense, un bruit éclatant dans toute la
pièce, un cri de douleur. La séquence recommença avant que je puisse me
remettre de la première : la main me claquant les fesses, une cuisson
intense, un bruit éclatant, un cri de douleur. Encore une nouvelle fois :
la main me claquant les fesses, une cuisson intense, un bruit éclatant, un cri
de douleur. Puis encore … et encore … cela ne s’arrêtait pas. Je commençais à
sentir un embrasement sur tout mon postérieur. La fessée cessa.
« Etes-vous prêt à aller
prendre votre douche ? »
Je repris péniblement mon
souffle, reprenant le contrôle de mon corps. C’est seulement alors que je
m’aperçus que je battais frénétiquement des pieds dans le vide.
« Laissez-moi, vous n’avez
pas le droit !
– Pas encore suffisant, commenta
Sœur Gabrielle. »
La main de Sœur Gabrielle reprit
son ballet douloureux sur mes fesses.
« Aïe, … laissez-moi, aïe, …
partir, aïe, … vous ne pouv, aïe, … pouvez pas, aie, … me, aïe, … je, je , je,
aïe, … »
Il ne fallut pas bien longtemps
pour que, la douleur devenue trop intense et submergé par mon sentiment
d’impuissance, j’éclate en sanglots. Il y eut une nouvelle pause dans
l’administration de ma correction.
« Alors, décidé à aller
prendre votre douche ? »
Je m’agrippais au mollet de Sœur
Gabrielle et fort de cette prise instable, je tentais de me relever. Sœur
Gabrielle pesa juste un peu plus sur mon dos et je retombais dans ma position
d’origine.
« Bon, fit-elle je vois que
nous ne sommes pas encore au bout.
– Non, criais-je
désespérément. »
Je ne pus aller plus loin dans
mes protestations cohérentes. Il suffit de deux claques sur chacun de mes
globes fessiers pour que je n’arrive plus qu’à intercaler des « aïe »
pitoyables entre mes sanglots. Assez vite, Sœur Gabrielle s’arrêta. Je la
sentis examiner ma culotte.
« Dites-moi, mon garçon,
cette culotte n’est pas très nette. Quand l’avez-vous changée pour la dernière
fois ? »
Je sentis alors ses doigts
s’insinuer entre mes deux globes fessiers qu’elle tentait d’écarter.
Instinctivement, je crispais les fesses. La fessée reprit aussitôt de plus
belle, mais plus lentement, chaque claque bien détachée de la précédente.
« Vous allez … me laisser …
vérifier … la propreté … de vos… fesses.
Sœur Gabrielle m’assénait une
fessée entre chacun de ses mots qui étaient évidemment ponctués par un cri que
je laissais échapper. Elle reposa sa main sur mes fesses et je la laissais
écarter mes globes fessiers.
« Les fesses ne sont pas
mieux, commenta-t-elle. Et le reste est probablement à l’avenant. »
Elle releva mon polo et écartant mon bras, elle passa son doigt
sous mon aisselle. Elle émit alors un grognement désapprobateur.
« Ecarte tes
jambes ! »
Comme je n’obéissais pas assez
vite à son goût, la fessée reprit.
« Je … vous … dis … d’é …
car … ter … vos … jambes… »
Cette fois-ci, je m’empressais d’obéir. Elle déplia
la peau plissée au niveau de l’aine entre mes jambes.
« Quand as-tu pris ta
dernière douche, mon garçon ?
Je crois que, depuis le début de
la fessée, je n’avais pas encore ressenti la honte liée à ma pudeur ignorée.
Elle me submergea pendant cette inspection intime. Mon mutisme incita Sœur
Gabrielle à recommencer à me fesser. Elle s’interrompit assez vite, peu de
temps après mes premiers pleurs.
« Vous avez raison, peu
importe maintenant. Vous serez propre dans quelques minutes. Prêt pour la
douche ? »
Je n’attendais plus rien d’autre
que la fin de la fessée. J’aurai obéi à tout ordre donné par Sœur Gabrielle.
Elle voulait que je prenne une douche, j’en prendrai donc une comme elle
l’avait décidé.
« Oui, oui, je vais obéir.
La fessée reprit aussitôt, pour
une dizaine de claque sur chaque fesse.
« On dit : oui ma Sœur,
rectifia-t-elle, comme tous les garçons polis. »
Encore quatre ou cinq claques.
« Alors ?
–Oui ma Sœur, oui ma Sœur !
– Enfin, nous y
sommes ! »
Axel n'a pas senti le piège et s'y est enfermé lui-même...
RépondreSupprimerBonjour Jeancla,
SupprimerAvait-il le choix ? Sans doute était-il dans une situation où il n'avait pas d'autre solution que de s'immerger un peu plus dans son statut d'observateur. Sœur Gabrielle a joué son rôle d'éducatrice en y englobant Axel qui ne pouvait bénéficier longtemps de privilèges qui grippaient la belle machine qu'est St Marie.
Au plaisir de vous lire,
JLG.
Magnifique série, vivement la suite
RépondreSupprimerBonjour cher Fessologue,
SupprimerLa série continue dès ce matin et pour un long moment.
Ravi que vous trouviez un intérêt à la lire, j'ai trouvé le mien à l'écrire.
Au plaisir de vous lire,
JLG.