Sur les cuisses de Madame de Blagnac.
Sa réputation de femme de
caractère, autoritaire et intransigeante, avait depuis longtemps dépassé le
simple cadre de sa boutique de lingerie. Maxime connaissait trop bien les amies
de sa mère. Elles étaient toutes ferventes adepte d'une stricte discipline
éducative par l'utilisation systématique de la fessée. Béatrice savait ce
qu'elle faisait, où elle l'envoyait et entre quelles mains elle lui faisait
mettre ses fesses. Il trouvait déjà humiliant de devoir se rendre dans cet
univers exclusivement féminin pour acheter une paire de bas, mais il se doutait
bien que sa punition, pourtant largement commencée à la maison, n'allait pas en
rester là. Béatrice pouvait compter sur un entourage complice pour prolonger
les séances de correction en dehors du cadre domestique. Avec sa mauvaise foi
habituelle, elle en soulignait la nécessité pour des ''raisons éducatives''.
Elle avait unilatéralement décrété que la diversité des intervenantes sur ses
fesses contribuait, à une meilleure efficacité pédagogique.
Elle le lui avait encore rappelé, alors qu'il
rechignait timidement à ''rendre visite'' à son amie de Blagnac pour lui
ramener une paire de bas.
– « Tu ne peux pas tout avoir mon cher. Des cours de danse des fesses gratuits par
une virtuose de la fessée, sans payer de ta personne. Et ne te trompes pas
comme la dernière fois. Nylons noir à
couture, marque ''Gio '' … Sinon gare à tes fesses en rentrant !
Je ne te ferai pas de cadeau. Aller file, dépêche-toi ! Tu
souhaiteras le bonjour à Claridges de ma part ! »
Un des moyens efficaces
de prendre immédiatement le dessus sur une future victime c'est de la prendre
au dépourvu. Claridge de Blagnac excellait dans ce genre de méthode,
provocation, maîtrise, soumission, fessée. Le pauvre Maxime se trouva d'emblée
en situation d'infériorité. A peine arrivé, elle le cueillit à froid, le
traitant comme un petit garçon qui vient se faire punir pour réparer une
bêtise.
« Alors
mon petit Maxime, approche, n'aie pas peur ! Tu as encore filé un bas
nylon à ta mère pendant qu'elle te corrigeait ? Elle t’envoie lui en racheter une
paire ? Les fameuses fessées au martinet, c‘est ça ? »
Le pauvre garçon,
impressionné par la force et l’autorité qui se dégageait de la belle femme,
reste pétrifié devant la porte qui se referme toute seule. Il lui semble être
devant sa mère. Un frisson désagréable lui parcoure l’échine et il sent ses
fesses se serrer nerveusement dans son slip. Il les imagine déjà sauter sous la
main ferme de la forte femme. Il balbutia un timide :
– Parfait ! Je sais que ses
fessées au martinet sont très efficaces. Mais moi, vois-tu, je préfère claquer
les fesses à la main. J'aime les sentir chauffer et vibrer sous la paume, ça
procure de meilleures sensations et on fesse beaucoup mieux. D'ailleurs tu vas
très vite t'en rendre compte !»
Un silence tout relatif règne dans
la boutique où il n'y a pour l'heure que Stéphanie, la collaboratrice de
Claridge, occupée à réapprovisionner des tiroirs avec un arrivage de nouvelles
pièces de lingerie. Grande, blonde, bien
en chair, la prestance d'une belle quarantaine épanouie, elle dégage la même
impression d'aisance et de force de caractère que la propriétaire des lieux. Ces
maîtresses femmes, à la personnalité affirmée sont toutes faites d’un subtil
équilibre entre physique imposant et féminité triomphante.
Maxime n'a ni la tête ni l'esprit,
pour répondre à la provocation délibérée de son interlocutrice, qui, de toute
façon, semble peu intéressée par son avis. Elle se tourne vers son amie.
« Stéphanie, si vous avez un moment,
Edwige doit passer tout à l'heure chercher une commande. Elle vient avec son
mari, pour un essayage de martinets et de slips à fessée. On les a reçus ce
matin, Vous voudrez bien l'accueillir pendant que je m'occupe de ce jeune
homme. Vous l'avez reconnu, c'est le fils de Béatrice.
– Bien sûr, c'est Maxime. Elle l'envoie souvent lui racheter des bas
après ses corrections. Il paraît qu'il lui en file régulièrement quand
elle le fesse au martinet ! »
La boule à l'estomac, le malheureux,
très mal à l'aise, a du mal à respirer. Il commence à transpirer. Une goutte de
sueur perle dans son dos, dégouline le long de sa colonne vertébrale et
s'insinue dans la raie de ses fesses. Il se rend bien compte que la terrible
femme s'amuse de son appréhension, aussi palpable qu'un derrière avant une
fessée. Il ne sait pas à quel moment, mais il se doute qu'elle va lui en mettre
une. Et il n'a pas tort. Elle se trémousse d'aise sur son tabouret. Un joli
tabouret recouvert de velours rouge... Comme par hasard sa couleur
préférée ! D'ailleurs toute sa boutique est tendue de velours rouge.
« Ta mère
m’a appelée pendant que tu étais en route. Si j'ai bien compris, elle t'a déjà
corrigé à la maison pour ta conduite irresponsable au volant !
– Pour ça oui, et pas qu'un
peu ! Une fessée au martinet et deux fessées à la main !
– Trois fessées, c'est une bonne
dose ça ! Comme tu le sais nous avons convenu que je t'en flanque une supplémentaire, à chaque fois qu'elle t'enverra
ici, racheter une paire de bas pour te punir de lui en avoir filé un.
– Oui madame, mais s'il vous
plaît... pas trop fort... j'ai encore mal aux fesses avec celles que j'ai déjà
prises aujourd'hui.
– Ça mon cher, c'est moi qui décide.
Tu pourrais même en avoir deux au lieu d'une pour avoir osé réclamer !
–
Oh, madame... »
Claridge aime beaucoup
ces petits dialogues de mise en condition. Elle s'amuse même à poser des
questions dont elle connaît les réponses. Stéphanie suit l'échange avec un
sourire entendu.
« Serait-ce,
mon garçon, que ta mère n'a pas assez de temps pour s’occuper de tes
fesses ?
– Oh si
Madame ! Pour ça elle a le temps ! ».
– Sans aucun doute ! Elle te met de sacrées
bonnes fessées, n'est-ce pas ! Des cuisantes et bien sévères ! Et
elle te fesse souvent.
– Pour
ça oui madame, tous les jours.
–
Une fessée par jour, c'est un bon rythme.
–
Parfois même plusieurs fois par jour !
– C'est encore mieux ! Et il
faut croire que tu les mérites... Des fessées
déculottées, bien sûr. Il n'y a rien de mieux pour dresser les garçons désobéissants
– Oui
madame, des fessées déculottées, des grosses fessées, à la moindre
occasion !
– Je n'en doute pas une seconde.
Mais tout ça c'est pour ton bien. Et je suis certaine qu'elle fesse dur.
–
Pour ça oui, elle tape fort ! Très fort, tout le temps ! Et je crois bien qu'elle aime ça.
–
C’est bien normal. Quand on a sous la main une
paire de fesses aussi bien rebondie que les tiennes, si tu vois ce que je veux dire
! »
– Euuuuh... Madame...
– Qu'est-ce que ça veut dire
''euuuh !'' Ce n'est pas une
réponse ça ! »
Jusqu'ici plutôt complaisant, le ton
de la belle femme change soudain pour devenir plus menaçant. L'attitude aussi.
Elle retrousse sa jupe sur ses cuisses, et commence à relever la manche droite
de son chemisier pour dégager la main qui va bientôt entrer en action. Ça sent la fessée !
« D'ailleurs, assez discuté comme
ça. Amène moi tes fesses ! Je sais que tu en as une belle paire, bien
claquante... je vais vérifier ça tout de suite !! »
Maxime a un mouvement de recul en
portant les mains à ses fesses. Il a beau être habitué à ce genre de situation avec sa mère, cette
femme l'impressionne par son assurance et la force physique qu'elle dégage. Il
a la désagréable sensation que ses fesses, pourtant bien entraînées, ne vont
pas peser lourd entre ses mains.
« Baisse ton pantalon et viens ici
que je te mette ta fessée, au lieu de me regarder comme si tu voyais une apparition en petite
culotte dans le magasin ! Ce qui ne serait d'ailleurs pas un
événement !»
Il s'exécute en essayant
de ne pas prendre trop de temps à déboucler sa ceinture et défaire sa
braguette. Il sent que ça ne plairait pas du tout et que ce serait très
dommageable pour ses fesses qui s'attendent déjà à s'en prendre une sévère.
Son pantalon est à peine
tombé sur ses chevilles qu'elle le saisit par le bras et
l'attire brutalement à elle pour le basculer sans ménagement à plat ventre sur
ses genoux. Bien qu'habitué à s'en faire mettre des cuisantes par sa mère, il
redoute la fessée qui s'annonce magistrale sous la poigne de l'imposante femme.
Par réflexe conditionné il pose ses
mains au sol, pendant qu'elle le plaque sur ses cuisses et lui positionne le
derrière à sa guise. On voit que madame est très loin de son premier claquage
de fesses. Le geste sûr, les mouvements maîtrisés, démontrent une pratique
régulière de la fessée et une réelle expérience dans la manière de préparer un
derrière. Elle lui appuie sur les reins, le forçant ainsi à se cambrer et faire
ressortir ses fesses pour faciliter son déculottage.
Elle marque un petit
temps d'arrêt pour jouir pleinement de sa maîtrise de la situation. Elle adore
ce moment de préparation avant le déclenchement de la fessée.
« Voyons voir ce que nous avons
d'intéressant dans ce slip, qui m'a l'air sacrément bien garni ! » Dit-elle
en passant sa main sous l'élastique.
Le regard inspiré, levé vers le plafond
en signe de concentration, elle prend possession du volumineux derrière en le
palpant sans retenue sous le nylon. La paume bien enveloppante, elle le caresse
et le soupèse avec gourmandise.
« Hummm... Souplesse et
fermeté ! Compliment mon cher. Il y a largement de quoi remplir la main
d'une bonne fesseuse ! Ça ne
m'étonne pas que ta mère en profite autant pour te corriger, ''à la moindre
occasion'' comme tu dis. Elle aurait tort de s'en priver... Moi aussi
d'ailleurs !»
Sur ces paroles pleines
de bonnes intentions, elle sort la main de son slip et le déculotte dans la
foulée en enroulant le nylon autour de l'élastique. Elle le descend juste sous
les fesses pour les mettre en valeur en resserrant le haut des cuisses.
Maxime n'a pas le choix.
Il se laisse faire et sursaute juste un peu au claquement sec de l'élastique
sur ses cuisses. Il n'a plus qu'à serrer les dents en attendant que ça commence
à claquer.
« Oh mais c'est qu'on a encore le
rouge aux fesses ! On voit que maman a déjà sévi... et je reconnais bien
là son coup de main, pas une marque de doigt !... A mon
tour maintenant ! »
Cinq belles claques sur
chaque fesse afin d'en tester la réactivité, ajustement de la position pour
trouver la meilleure trajectoire, et la fessée commence, magistrale et
terriblement forte.
Durement secoué, Maxime
râle sourdement sous la violence de l'assaut. La vigueur que Madame de Blagnac
met à le fesser, fait reprendre, dès les premières claques, une belle couleur
rouge foncé à l’ensemble de son postérieur. Il ne faut pas longtemps pour
entendre les supplications du malheureux qui deviennent de plus en plus déchirantes
au fur et à mesure que rougissent ses fesses.
Les doigts serrés, la paume bien tendue sur l'arrondit des fesses, la main de madame de Blagnac agit comme un battoir et allonge les claquées sur un rythme fesse droite, fesse gauche, d'une éprouvante régularité. Ça claque très sec, en salves bien serrées pour chauffer un maximum d'espace charnu à chaque aller et retour.
Les doigts serrés, la paume bien tendue sur l'arrondit des fesses, la main de madame de Blagnac agit comme un battoir et allonge les claquées sur un rythme fesse droite, fesse gauche, d'une éprouvante régularité. Ça claque très sec, en salves bien serrées pour chauffer un maximum d'espace charnu à chaque aller et retour.
Sous l'effet bénéfique
de la fessée, la poussée de cuisson simultanée des deux fesses se traduit par
une magnifique montée à l'écarlate uniformément réparti sur toute la surface.
Les hurlements de douleurs du puni progressent en proportion. Madame de Blagnac
fesse sans états d'âme. Insensible aux éclats de souffrance du malheureux, elle
n'a d'autre préoccupation que de claquer à plein régime son rutilant fessier.
Malgré les tentures de velours, la brillance du claquement retentit dans tout
le magasin. C'est dire si elle tape fort !
L'administration d'une fessée par
madame De Blagnac est toujours un grand moment de discipline qui force respect
et admiration. Elle ne néglige rien et a pris soin d'orienter les fesses de
Maxime vers le comptoir placé près de la porte pour que Stéphanie profite
entièrement du spectacle et pour le plaisir d'une clientèle en très grande
majorité féminine. Quel meilleur accueil
pour ces Dames, friandes de corrections, que le réjouissant spectacle d‘une
belle fessée déculottée en cours d‘administration.
« Pouvez-vous suivre correctement le
déroulement de la fessée Stéphanie ?
– Tout à fait madame. C'est toujours
un plaisir de vous voir claquer une paire de fesses. Surtout comme celle-là !
– Vous les voyez bien rougir... Ou voulez-vous
que je me décale un peu pour vous offrir un meilleur angle de vue ?
– Non, non, d'ici je vois très
bien ! Je peux même apercevoir son anus quand vous lui faites écarter les fesses
entre deux claques sur la raie ! C'est charmant ! » Elle rit de
sa remarque.
– Ça c'est un autre avantage des
fessées déculottées ! »
Les fessées déjà reçues favorisent
une montée en chaleur et en couleur plus rapide sous les suivantes. Le résultat
est tout à fait satisfaisant. Maxime est en larmes, son corps exulte de pleurs
entrecoupés de cris et de supplications. Parfaitement neutralisé, sous la poigne
de la forte femme qui lui écrase le ventre sur ses cuisses, il ne peut que
remuer les jambes en l'air comme une manifestation dérisoire de souffrance.
Indifférente à ses réactions, elle lui maintient fermement les fesses en
position, domptées, soumises, claquantes, à la fessée.
Comme à son habitude Claridge
sermonne en fessant. Elle rythme sa diction sur ses fesses comme si elle
voulait lui imprimer les mots et les phrases dessus.
« Voilà une nouvelle correction... amplement
méritée... Ta mère à raison de te corriger... Tu lui dois le respect... elle
qui tient à rester toujours élégante... pour toi ! Tu viens de lui filer
un bas... tu dois faire attention... c'est une marque qui coûte cher !
– Mais... mais Madame..., gémit le
pauvre garçon en reniflant sa morve entre deux sanglots,
– C'est... c’est à cause de la
position qu'elle me fait prendre quand...
– Mais oui, bien sûr... Garde la
position au lieu de discuter ! Les fesses bien tendues pour qu'elles
claquent fort !»
Elle allait continuer de
plus belle lorsque Edwige, suivie de son mari, entrèrent dans la boutique. La
mine réjouie à la vue du fessier en feu que Claridge faisait sauter sur ses
genoux, elle s'exclama d'une voix forte, avec sa gouaille habituelle.
« Et bien ça claque sec ici ! Quelle
ambiance... J'adore ! Je ne sais pas ce qu'a fait ce jeune homme pour
mériter une telle fessée, mais quel accueil ! Elle se tourne vers son
mari. Tu vois, mon chéri, ce qui attend tes fesses si tu ne te tiens pas
bien ! »,
Le mari ne dit rien et
esquisse juste une grimace d'appréhension.
Claridge a interrompu la fessée.
Elle garde sa main en l'air au-dessus du fessier en feu, prête à retomber.
« Bonjour, ma chérie ! Tu viens
chercher ta commande ?
– Oui, mais prends ton temps, finis
ta fessée, je ne suis pas pressée.
– Je n'en ai plus pour très
longtemps. Stéphanie va s'occuper de toi. Stéphanie, soyez gentille, voulez-vous
bien accompagner Edwige et son mari aux cabines d'essayages. Les commandes sont
dans la réserve. Son nom est dessus.
– Mais certainement ! Madame
Edwige, si vous voulez bien me suivre.
– C'est bien aimable à vous chère
amie, mais ne vous dérangez pas, je sais où ça se trouve, ce n'est pas la
première fois qu'on vient ici.
– Dans ce cas je vais chercher votre
commande.
– C'est cela, merci
Stéphanie... Stephen ! Passe
devant ! A partir de maintenant, je veux toujours avoir tes fesses en
ligne de mire.
– C'est comme tu veux Edwige... La
cabine du milieu ?
– Celle-là oui... la plus grande...
je vais avoir besoin d'espace pour prendre du recul. »
La fessée a repris de plus belle.
Les claques recommencent à retentir sur le postérieur de Maxime qui n'en peut
plus, de douleur, et de honte aussi, de recevoir sa fessée déculottée en
public. Ce n'est pas la première fois, loin de là, mais il ne s'y fait toujours
pas. Encore cinq bonnes minutes de claquage intense, et Claridge conclut la
fessée de deux claques fulgurantes sur chaque fesse. Projeté en avant sous la
violence de la frappe, il en tombe par terre car elle a lâché sa prise en même
temps.
A genoux à ses pieds il se répand en
lamentations en se tenant les fesses à pleine main, Ecarlates et cuisantes
elles rayonnent de chaleur dans tout le magasin. Claridge les contemple avec le sourire,
satisfaite du résultat.
« Voilà comme j'aime voir les
paires de fesses que je corrige après une bonne déculottée. Rouges écarlates et
cuites à point ! C'est toujours un plaisir de s'occuper de tes fesses mon petit
Maxime. Elles claquent tellement bien !
– Oh oui... Oui Madame, mais qu'est-ce
que vous tapez fort, vous aussi !
– Mais c'est pour mieux te faire
retentir le derrière mon cher ! Et tu vas pouvoir comparer avec les
fessées de ta mère... Maintenant, qu’est-ce qu'on dit à la Dame quand on est un
garçon bien fessé ?
– Euuuh... Merci... Merci madame
pour cette bonne correction !
–
Très bien ! Je vois que ta mère t’a bien dressé. Tu la remercieras de ma
part de t'avoir envoyé ici. Ça m'a permis d'avoir cette petite conversation
très agréable avec tes fesses. ».
Humble
et soumis, maxime est trop préoccupé par la cuisson de son derrière pour
relever l'ironie. Il la regarde les yeux brillants de larmes, la bave aux
lèvres. Le jeune homme plutôt fringant est redevenu petit garçon morveux sous
la fessée.
« Oui madame... Je... je lui
dirai... Euuh, est ce que je peux me
reculotter maintenant... s'il vous plaît ? »
De Blagnac le regarde avec le
sourire entendu d'une maman qui vient de flanquer une sévère raclée à son fils,
sans être entièrement satisfaite de la punition. Un ange traverse le magasin, le slip sur les
cuisses.
« Pas encore mon ami, tu vas rester
déculotté et aller te mettre en pénitence près de la porte, les mains sur la
tête. Je veux que tout le monde, en entrant, soit accueilli par le spectacle
d'une belle paire de fesses bien rougie sous la fessée. Stéphanie je vous le
confie. Au moindre relâchement vous lui en remettez autant qu'il faut sur le
derrière, très fort ! Ça doit faire mal !
– Avec plaisir madame, comptez sur
moi ! »
Les
mains sur la tête, pantalon aux chevilles, le slip en travers des cuisses,
Maxime se dandine vers son lieu de mise au coin, sous le regard amusé de
Stéphanie. Il manque de trébucher et pleurniche
« Et les bas nylon pour ma mère...
je vais prendre encore une fessée si je ne les lui ramène pas.
– Mais bien sûr que si tu vas lui
amener ! »
Stéphanie ouvre un tiroir derrière
elle, cherche quelques secondes et pose une pochette sur le comptoir.
« Bas nylon '' Rio'', noirs, à
couture, taille 3 … Pour madame Klakerspank. »
Elle ajoute en riant.
« Modèle Spécial, fessées au
martinet... Pour monsieur Maxime ! »
Contente de son trait d'humour elle reprend
son sérieux.
« Tu les prendras tout à l'heure en
sortant quand tu auras fini ta pénitence ».
Maxime au coin, les fesses à l'air,
marmonne entre ses dents. « De toute façon, elle va quand même me remettre
une fessée quand je vais rentrer. Elle m'en met toujours une... Pour étrenner
la paire de bas neufs ... qu'elle dit »
Claridge
s'est levée du tabouret. Elle rajuste ses jarretelles qui se sont détendues
pendant la fessée, rabat sa courte jupe sur ses cuisses, et revient vers
Stéphanie.
« C'est bon, vous avez donné sa
commande à Edwige ? Vous avez vérifié, c'est la bonne ?
– Oui madame, deux martinets à douze
lanières et un assortiment de ''Spanking slips'' pour le mari. Elle est à
l'essayage avec lui. D'ailleurs, on ne devrait pas tarder à les entendre.
– Parfait... La dernière fois nous
avions fait une petite erreur sur la taille des slips.
– Maintenant je sais madame. Elle
les lui fait porter une taille en dessous.
– Hummm, ça ne m'étonne pas d'elle...Jamais
satisfaite... Certainement pour rendre les
fessées plus cuisantes !
– Oui ! Monsieur à de fortes
fesses et elle les veut bien serrées dans ses slips quand elle le fesse à la
main avant de le déculotter. Elle dit que ça les rend plus fermes, plus
claquantes et que les sensations sont meilleures.
– Elle a tout à fait raison. Ces
slips ont été conçu pour ça et c'est une des raisons de leur succès auprès de
nos clientes exigeantes. Par contre, une petite remarque Stéphanie,
– Oui Madame ?
– Je sais que la tendance est à
l'utilisation de l'anglais partout et même si ces modèles sont produits en
Angleterre, de grâce parlons français... Disons « Slips à fessée »
c'est tout de même plus évocateur !
– Vous avez raison madame, je
préfère aussi, ça parle mieux tout de suite ! »
Des éclats de voix parvinrent de l'espace où se situaient les
cabines d'essayage.
Avec les dessins originaux de l'auteur !
Ne perdez pas le fil du feuilleton ! Pour ceux qui se seraient égarés ...
Le début : chapitre 1 de la saison 1
et celui de la saison 2 : chapitre 1
Voici l'épisode précédent : chapitre 11
Il y a une suite, le chapitre 13
et celui de la saison 2 : chapitre 1
Voici l'épisode précédent : chapitre 11
Il y a une suite, le chapitre 13
Ramina est l'auteur de nombreux récits et commentaires sur ce blog.
Juste retour des choses il attend les vôtres. Ecrivez vos appréciations, vos retours, vos questions ... dans le cadre ci-dessous. Ramina vous répondra.
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