Faute grave
L’après-midi
se passa sans encombre pour moi et pour tout le monde, il faisait tellement
chaud que nous étions tous abattus mais concentrés sur notre travail. Anna
n’eue aucune plainte à émettre, quelques petites recommandations à l’une ou
l’autre des ouvrières, à Noémie dont c’était la première cueillette mais rien
qui méritait un recadrage ou une punition.
De
mon côté je n’arrivais pas à oublier ce qui m’était arrivé ce midi, des larmes se
formaient à chaque fois que j’y songeais, la honte me gagnait et une boule se
formait dans mon ventre. Je devais faire des efforts prodigieux pour penser à
autre chose et faire disparaître ce malaise mais la douleur sur mes fesses m’en
empêchait systématiquement. Le frottement de la combinaison sur mes fesses nues
était là pour me rappeler sans cesse que j’avais été fessé il y a à peine une
heure ou deux. Il y avait donc en plus de la douleur physique, une sorte
d’emprise psychologique. Je me rendais compte à quel point les fessées étaient
efficaces puisque je me jurais de progresser très rapidement, de faire tous les
efforts nécessaires pour éviter de me retrouver à nouveau cul nu soumis à la
fessée de cousine Martha ou d’Anna.
Le
travail terminé je prenais mon temps pour ranger et nettoyer le matériel pour
que tout soit prêt le lendemain. En fin de compte j’attendais que la voie soit libre,
j’imaginais bien que la douche extérieure sans intimité me serait à nouveau
imposée. J’entendis les ouvrières saluer Anna puis le calme gagna les environs.
Je sortais deux minutes plus tard et croisais Anna.
« Je
pars chez une cliente Maxime, passe sous la douche et essaie de profiter un peu
de ta soirée. Tu trouveras un peignoir et des claquettes sur le banc à
l’arrière des douches, tâche d’en prendre soin et de les prévoir systématiquement
pour ta douche du soir après le travail. Madame n’est pas encore rentrée de son
déplacement, je te conseille donc de refaire un peu le point sur le rangement
de ta chambre ou sur autre chose qu’elle pourrait te reprocher à son retour. En
général elle est plutôt exigeante et sévère lorsqu’elle a eu une grosse journée
comme aujourd’hui. Gare à toi !
–Merci
Anna, je vais suivre vos conseils. »
Anna
me sourit puis elle monta dans son Quashkai et prit la route.
J’étais
tout de même heureux, fier d’avoir achevé cette première journée de travail, je
m’étais senti utile et considéré malgré les punitions et la soumission au
régime si autoritaire de ces femmes.
Je
croisais Louise et Noémie à la porte de la ferme, elles avaient déjà revêtu
leur tenue de sport. Quel courage me dis-je ! Qu’est-ce qu’elles ont prévu
de faire ces deux-là ? Une séance de sport intensive à 19h ?
« Maman
n’est pas encore rentrée Maxime, Noémie et moi allons en profiter pour courir
une vingtaine de minutes. A tout à l’heure ! »
Louise
était souriante, je me demande bien ce qui pouvait la motiver autant et la
rendre si souriante. Sans doute la satisfaction du travail accompli également…
Les
deux femmes me tournèrent le dos et empruntèrent le chemin menant au portail de
la propriété à petites foulées. Je ne pus ne pas remarquer leurs fesses galbées
rebondir dans leur short moulant. Leur postérieur était serré dans ce si petit
vêtement, je remarquais encore quelques traces de précédentes fessées sur le
haut des cuisses des jeunes femmes qu’un si petit short ne pouvait pas couvrir.
Malgré ces marques de corrections, ce sont des fesses joyeuses et arrogantes
qui dansaient de droite à gauche, au rythme des foulées. Le tissu s’étirait à
chaque mouvement puis regagnait sa tension normale, ces petits shorts de sport
peinaient à retenir les globes fessiers des deux jeunes femmes en place. Elles
n’avaient rien enfilé d’autre en dessous de leur court vêtement de sport, sans
doute pour éviter la marque disgracieuse d’un élastique de culotte... A moins
qu’elles aient opté pour un mini-string ce qui n’était pas du tout du goût de
cousine Marta... Ces visions me donnèrent l’idée de les accompagner la
prochaine fois, je n’étais pas un grand joggeur mais courir en compagnie de ces
deux belles sportives me faisait tout à coup envie...
Je
regagnais ma chambre, mon sexe était à moitié dur, ces petites pestes avaient
provoqué cette réaction et toutes sortes de pensées obscènes défilaient dans ma
tête. Je décidais de ranger rapidement ma chambre puis assis sur mon lit, dans
la calme de la ferme inoccupée, je guettais, sexe en main, leur retour du
jogging.
Les
deux jeunes femmes ne tardèrent pas à réapparaître au portail au bout du
terrain, elles avaient une bonne allure, elles arrêtèrent leur foulée à quelques
pas de la porte d’entrée. Elles rentrèrent au pas dans la ferme et s’engagèrent
dans l’escalier. Toute mon attention était portée sur elles, j’éprouvais un
sentiment de bien-être et je me sentais excité de partager ce lieu avec ces
belles jeunes filles. Je les écoutais parler tout bas dans le couloir à quelques
pas de ma porte.
« J’enfile
mon peignoir et je file sous la douche ! »
Je
reconnus la voix de Noémie. Celle qui suivi fut donc celle de Louise.
« Je
vais en faire autant, le temps d’étendre mes affaires de sport pour qu’elles
sèchent et je te suis. »
Il
est vrai que n’ayant pas de douche dans leur chambre, Louise et Noémie devait
utiliser la salle de bain qui était au milieu du palier. L’oreille contre la
porte de ma chambre je guettais les faits et gestes de mes colocataires...
La
porte de la chambre de Louise située en face s’ouvrit puis se referma une
petite minute après, je l’entendis alors se diriger vers la salle de bain.
Quelques instants plus tard c’est une autre porte du couloir qui se referma et
je devinais que Noémie entrait également dans la salle de bain. La ferme
restait silencieuse quelques instants puis c’est un son doux d’écoulement d’eau
qui se fit entendre. Les deux jeunes femmes devaient être nues, j’imaginais
leur corps, je voyais l’eau ruisseler entre leurs seins, emprunter le sillon de
leurs fesses puis parcourir leurs jambes…
Je
ne tenais plus derrière la porte de ma chambre, je bandais comme un taureau et
il ne me fallut pas longtemps pour décider de me rapprocher de la porte de la
salle de bain. J’ouvris la porte de ma
chambre en silence et, pieds nus, boxer à mi-cuisses, j’avançais à tâtons. Le
bruit d’écoulement de l’eau de la douche était très franc depuis le couloir, on
n’entendait que ça, hormis une petite voix étouffée de temps à autre, on aurait
dit qu’une des deux femmes donnait de brèves consignes à l’autre.
Approchant
à quelques pas de la porte de la salle de bain ma curiosité fut
récompensée ! La porte n’était pas complètement fermée, une fente d’une
bonne dizaine de centimètres me permis de découvrir une scène terriblement
sensuelle et excitante…
Louise
était nue au pied du receveur de la belle douche à l’italienne, à quelques
mètres de moi. Elle était de ¾ dos à moi, le pommeau de douche en main elle
arrosait la nuque de Noémie qui m’apparaissait au travers de la cloison
transparente. Les deux femmes ne pouvaient pas m’apercevoir étant toutes les deux
dos à la porte.
La
petite ouverture et la pénombre du couloir me permettait de me dissimuler
tranquillement mais de ne rien rater du spectacle. Sexe en main je prenais un
plaisir immense, j’assistais à une scène d’une sensualité sans pareil. Louise
concentrait maintenant les jets de la douche sur le derrière de Noémie, elle
lui demanda de se cambrer en avant et Noémie s’exécuta. La belle rousse se
courba en avant et posa ses mains contre le mur de la douche.
Son
cul était désormais complètement exhibé et offert, on ne voyait plus que lui
dans la pièce. A l’aide de sa main libre Louise passait doucement la main sur
les quelques marques rouges qui étaient dessinées sur ce postérieur blanc et
luisant. Noémie émettait quelques râles, elle se mordait la lèvre inférieure, je
me demandais si elle souffrait des vestiges de sa fessée du matin ou si elle
prenait du plaisir à se soumettre aux caresses de Louise. Je perdis de vue la
main libre de Louise qui s’engouffra entre les cuisses de Noémie, je ne voyais
pas exactement ce qu’elle faisait mais ça avait l’air de plaire à l’intéressée.
Cette
scène me rendait fou, se fut encore pire quand Louise se mit à genoux pour lui
savonner les pieds. Elle s’occupait soigneusement de la toilette de sa
congénère, prenant un pied puis l’autre. Mon attention était maintenant attirée
par l’arrière train de Louise… A genou, penchée en avant, son derrière était
exorbitant, son sexe et son anus m’étaient offerts. Le spectacle était parfait,
on aurait dit une scène d’un magnifique film érotique à succès.
La
beauté de ces femmes nues, leurs fesses exhibées en arrière à ma vue, le sexe,
l’anus de Louise, toutes ces visions me firent atteindre un niveau de torture
insupportable et sans prendre garde je ne parvins pas à me maintenir au bord de
l’orgasme. De nombreuses saccades s’emparèrent de moi et le liquide visqueux gicla.
Je jouissais encore lorsqu’une main attrapa mon oreille !
Je
crus mourir sur place de surprise et de honte ! La situation était
déplorable, j’étais dans le couloir, culotte baissée, la verge gonflée et
luisante, j’avais recueilli mon sperme dans la paume de ma main. Les yeux de
Nathalie dans les miens me paralysèrent pendant plusieurs secondes, j’étais
mortifié, que faisait-elle ici ? Je l’avais complètement oubliée !
Avec le silence qui régnait je n’avais pas pris garde et elle m’était sortie de
l’esprit ! Totalement pris par la scène qui se déroulait sous mes yeux je
ne l’avais même pas entendu approcher ! Elle aussi avait l’air d’être sous
le choc, rouge de colère.
« Viens
ici ! Petit pervers ! Voyeur ! »
Sans
un mot elle me tira jusqu’à ma chambre, tête baissée à hauteur de son épaule.
Je tendais devant moi ma main remplie de sperme pour éviter d’en faire couler
sur le sol. Mon boxer descendu à mes chevilles dans le feu de l’action m’empêchait
de faire de grands pas mais je parvins à suivre Nathalie furieuse et
probablement choquée par ce qu’elle venait de surprendre. Nous entrâmes dans la
chambre, puis dans la salle de douche, elle attrapa mon poignet et rinça ma
main au-dessus du lavabo.
« Je
n’ai jamais vu ça ! Un jeune homme pervers, se masturbant à l’insu de deux
pauvres jeunes filles ! Lorsque je vais révéler ça à Madame Marta tu vas
subir la plus grosse correction de toute ta vie mon cher !
–S’il
te plaît Nathalie, je t’en supplie, ne dis rien à Marta, s’il te plaît, j’en
mourrai !
–Il
fallait y penser avant, nous ne pouvons pas vivre avec un homme comme toi ici,
après ce que j’ai vu ce n’est pas possible ! Elle doit être mise au
courant et prendre une décision ! Déshabille-toi complètement maintenant !
Tu t’es mis de ce truc partout sur les cuisses regarde ! »
Je
faisais peine à voir c’est vrai, un peu de liquide avait coulé sur mes bourses,
mes cuisses… j’avais tellement honte, cette jeune femme avait un an de moins
que moi et je me sentais ridicule face à elle, comme un adolescent stupide
surpris en plein plaisir solitaire. Je m’empressais d’exécuter tous les ordres
de Nathalie en espérant gagner son silence, je me mis nu dans la douche et
commença ma toilette. Nathalie supervisait ce que je faisais.
« Nettoies
bien le gland ! ... Les poils pubiens ! … La raie de tes fesses !
…. Tes cuisses ! … Tes pieds ! … Il en reste là sur les poils au-dessus
de ton genou gauche ! »
Rouge
de honte j’effectuais cette toilette dégradante devant la jeune femme…
« Ok
c’est bon coupe l’eau ! Sèche-toi !
– Excuse-moi
Nathalie, je te promets que ça n’arrivera plus, s’il te plaît je ferai ce que
tu voudras mais n’en parle pas à Marta, s’il te plaît !
– Tais-toi
Maxime ! Termine de te sécher !
– S’il
te plaît, si je suis viré d’ici je n’aurais plus aucune chance de m’en sortir,
mon avenir est foutu… J’aime être ici et j’ai bien travaillé aujourd’hui, pour
la première fois je me suis senti utile dans mon travail, je veux persévérer et
je te promets que je serai irréprochable… »
J’avais
réussi à faire réfléchir Nathalie, mes excuses et mes promesses étaient
sincères, cela ne lui avait pas échappé. Si Marta me virait j’étais perdu et je
pense que Nathalie était sensible à cela. Je laissais Nathalie quelques
secondes dans ses pensées, elle me regardait me sécher, elle fixait les marques
sur mes fesses, pensive… les secondes s’écoulaient en silence, on entendit les
deux jeunes femmes dans le couloir regagner leur chambre mais tout cela nous
paraissait tous les deux bien loin de nos préoccupations. Qu’allait-il
m’arriver ? Mon cœur battait la chamade, je craignais de devoir faire face
à cousine Marta et être viré sur le champ. Enfin Nathalie rompit le silence et
me défia du regard.
« Je
ne souhaite pas que tu sois viré en effet, mais tu dois être puni sévèrement,
très sévèrement. C’est moi qui vais m’occuper de te corriger comme il se
doit !
– Mais…
comment… me punir… com…
– Viens
avec moi ! »
Nathalie
me tira à nouveau par l’oreille pour me sortir de la salle de bain.
« Prend
ton pyjama je t’emmène dans ma chambre.
–Oui
Nathalie »
Soulagé
d’entrevoir une ouverture pour rester ici je ne bronchais pas une seconde.
« Suis-moi.
Eteints la lumière. Ferme la porte. »
Enroulé
dans ma serviette de bain, toujours traîné par l’oreille, je suivais Nathalie
jusqu’à sa chambre à l’autre bout du couloir.
Il y a une suite. le chapitre 7
Vous n'avez pas lu le début de l'histoire ? Le voici : chapitre 1
Et l'épisode précédent ? Il est disponible, le chapitre 5
Et si je me fendais d'un petit commentaire ?
C'est facile ! Quelques mots d'encouragement ou de réprobation... Paul OTK les attend avec impatience. Il vous répondra.
Vous pouvez également le contacter directement : Paul OTK
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