mercredi 27 février 2019

Recadrage en Provence - chapitre 7

Humilié par Nathalie

Arrivés dans sa chambre, Nathalie continuait de me tirer l’oreille pour m’emmener jusqu’au pied de son lit, je retenais toute manifestation de douleur et de rébellion, je ne pensais qu’à une chose ne pas me faire remarquer et éveiller la curiosité de Noémie et Louise.

Nathalie retira ses tongs et s’assis sur le rebord de son lit. Malgré son jeune âge j’étais impressionné, elle avait un visage d’ange et les yeux doux, mais l’autorité dans son regard me faisait ressentir sa légitimité à me punir. Le fait que j’étais plus vieux qu’elle ne semblait pas la gêner. Elle se sentait plus mûre que moi, plus adulte, ça lui donnait le droit de me traiter comme un adolescent, un jeune garçon qui avait prouvé son incapacité à maîtriser des pulsions sexuelles inconvenantes. Je ne pouvais pas le nier, on ne peut pas dire que je m’étais comporté comme l’aurait fait un homme élégant et respectueux. Quelle honte, être surpris en train de se masturber, qui plus est devant cette femme plus jeune.
« Ôte cette serviette mouillée et étend la sur cette chaise ! »
Je m’exécutais sans broncher, Nathalie m’avait promis de ne rien révéler à Marthe, c’était le plus important à mes yeux. Je voulais à tout prix rester et conserver une dernière chance dans ce lieu qui me plaisait. Je me retrouvais complètement nu, je n’osais plus regarder Nathalie, rouge de honte je me retournais vers elle en recouvrant mon sexe avec mes deux mains.
« Tu as un regain de pudeur ? me fit-elle. Cela ne te gênait pas tout à l’heure de te balader les fesses à l’air dans le couloir et de te palucher. Je te rappelle aussi que je viens de superviser ta toilette. Ta nudité n’a plus de secret pour moi, cesse donc tes simagrées et viens ici !
- Je… Je… oui, Nathalie »

J’approchais timidement du lit lorsque Nathalie m’attrapa le poignet et me fit basculer brusquement sur ses cuisses. Je me sentais totalement fébrile, je n’avais plus aucune force de m’opposer à la punition qui m’attendait, je préférais fermer les yeux et attendre que les choses se passent…
« Maxime je vais m’occuper de te fesser à main nue parce que tu as agis comme un voyeur, tu as fait des choses totalement déplacées et dégoûtantes, tu devrais avoir honte. Je vais te faire regretter tout cela et j’espère que ça te servira de leçon.
- Je m’excuse Nathalie, je me suis laissé aller je le reconnais…
- Cesse donc de chercher des excuses et épargne ta langue, je crois que tu en auras besoin dans quelques secondes pour crier et évacuer la douleur quand le derrière te cuira !
- …
- Il va de soi que Marthe demandera pourquoi tu es puni, notre version sera que tu as laissé traîner des affaires sales sous ton lit. Demain soir tu reviendras me voir après le dîner pour recevoir une nouvelle fessée, nous dirons que j’ai remarqué que tu avais souillé tes toilettes et que tu n’en prends pas soin. La fessée de demain te sera donnée au martinet pour t’être masturbé. Ce soir tu reçois la fessée pour avoir épier tes jeunes camarades. As-tu compris ?!
- Oui c’est bien compris…
- Oui qui ?!!
- Oui Nathalie, excuse-moi… »

La fessée démarra subitement, quelques claques suffirent à peine pour faire renaître la cuisson de mes fesses suite à la fessée de ce midi. Je sentais une goutte de sperme s’échapper de mon sexe ramolli et souiller la nuisette de Nathalie… Je redoutais une nouvelle punition à venir dès la fin de celle-ci mais rapidement toute mon attention fut concentrée sur la douleur générée par la fessée en cours…
« Je  t’apprendrai… à jouer… au voyeur… tu devrais… avoir honte… de te comporter… comme cela… Tu te dois… de respecter… l’intimité… des femmes… »
Nathalie prenait soin de détailler précisément ses remontrances entre chaque coup porté à mon postérieur. La douleur devenait insoutenable, je n’arrivais même plus à déchiffrer les mots qui sortaient de sa bouche, j’entendais uniquement le son de sa voix et les claques sévères sur mes fesses. Je cherchais de l’air, je remuais sur les genoux de Nathalie sans oser me soustraire à la correction. Mes fesses gesticulaient de droite à gauche, je découvris que ça me permettait d’évacuer quelque peu la douleur. Je parvenais à ne pas extérioriser autrement la cuisson de mes fesses et l’humiliation qui ne m’avait pas quitté depuis mon orgasme et l’horreur qui avait suivie.
Nathalie me fessait sévèrement comme elle l’avait annoncé, j’aurais été incapable de comparer la douleur que je supportais à ce moment avec celle qui avait atteint mon derrière lorsque Marthe ou Anna m’avaient corrigé. Malgré le fait que j’étais au bord des larmes et à la limite de ce que je pouvais supporter physiquement, je me jurais de ne pas me faire entendre, j’appuyais durement le revers de ma main sur ma bouche pour m’empêcher de ne pas ameuter les troupes dans la chambre de Nathalie. Je ne sais pas combien de temps dura réellement cette fessée mais je fus soulagé lorsque la main punitrice s’arrêta. Nathalie la posa sur le haut de mon postérieur au niveau du sillon fessier.
« Voilà un derrière en feu ! Je pense que j’ai fait du bon travail et que cette correction te marquera, je n’ai pas intérêt à t’y reprendre ! Va te mettre au coin !
- Nathalie puis-je enfiler mon pyjama avant ? lançai-je naïvement
- Il n’en est pas question ! Une mise au coin se fait les fesses nues, les bras croisés au milieu du dos. Tu vas te mettre entre la fenêtre et la télé pour que je puisse te surveiller. La punition continue pour toi, il est nécessaire que le sentiment de honte que tu vas ressentir en te retrouvant au coin, fesses nues devant ta punitrice, te fasse prendre conscience de la faute que tu as commise. Allez au coin ! Tu restes immobile, tête face au mur, les fesses bien en arrière pour que je puisse admirer les marques de la fessée. »
C’est les jambes cotonneuses et le postérieur à vif que je rejoignais complètement nu le coin qui m’était indiqué. J’étais subjugué par le discours qu’avait récité Nathalie, elle savait ce qu’elle disait en matière de fessée, de mise en coin. Son jeune âge n’avait laissé transparaître aucune inexpérience sur la question et aucune gêne dans la prise en charge de ma punition.
Quelques minutes s’étaient écoulées depuis que j’avais regagné mon lieu de pénitence lorsque le smartphone de Nathalie sonna.
« Bonsoir Alicia, comment vas-tu ? »
Les jeunes femmes échangèrent les banalités d’un début de conversation téléphonique. Elles prenaient des nouvelles de leur boulot et de leur vie privée. Je crus comprendre qu’Alicia était une ancienne camarade de collège de Nathalie et qu’elle était esthéticienne dans le coin… La conversation pris soudain une tournure beaucoup plus troublante pour moi…
« Si tu savais, ma patronne me fait totalement confiance pour surveiller l’état de la maison et corriger ceux ou celles qui ne respectent pas suffisamment l’ordre et la propreté.
- …
- Oui je t’assure, ici des corrections sont données aux jeunes adultes et aux employées qui le méritent. Que ce soit ma patronne Madame Lemaire, Anna la chef du personnel ou moi, tout écart est justement puni par une bonne fessée déculottée !
- … !!!
- Je peux d’ailleurs te dire que j’ai en ce moment devant moi, les fesses d’un jeune homme que je viens de corriger…
- … !!!
- Bien sûr que si, c’est Maxime, une sorte de vagabond de 26 ans, il se comporte comme un adolescent alors ma patronne m’a donné tous les droits pour le fesser quand c’est nécessaire.
- … !!!
- Je t’assure que c’est vrai, l’atmosphère est tout à fait saine chez Madame Lemaire, les fessées sont données à juste titre, pour le bien de certains adultes qui ont besoin de devenir plus responsables.
- …
- Tu ne me crois pas Alicia ? Très bien je t’envoie une photo ! »

Jusqu’à présent concentré sur la conversation, je fis un sursaut lorsque le mot photo fut prononcé, je portais mes mains sur mon sexe et me retournais brusquement vers Nathalie.
« Tu ne peux pas faire ça Nathalie ! Donne-moi ce téléphone !
- Veux-tu que j’aille sur le champ raconter à Madame ce que j’ai surpris dans le couloir ? J’y vais ! »

Nathalie se dirigeait vers la porte de la chambre…  Et c’est à ce moment qu’on entendit des pas dans le couloir en train de se rapprocher.
« Je te rappelle dans deux minutes Alicia…
Nathalie raccrocha et me menaçait du regard.
- Tu es coincé, remets-toi au coin immédiatement ! les mains dans le dos ! Sinon je te jure que je raconte tout ce qu’il s’est passé à Madame. »

Toujours nu comme un ver, complètement ridicule devant Nathalie qui était vêtue de sa nuisette, je regagnais rapidement mon coin à côté de la télé. Quelqu’un frappa à la porte et entra sans attendre de réponse. Une boule chaude grossissait dans mes entrailles, j’étais mortifié.
« Bonsoir Nathalie… Tiens, tiens ! Je vois que tu as déjà fait connaissance avec les fesses de notre nouveau locataire… Qu’est-ce qu’il a fait ?
- Monsieur se moque du rangement et de la propreté de sa chambre, il entasse son linge sale sous son lit !
- Je vois… la fessée que je lui ai administrée hier soir n’a donc pas suffi. Tu as bien fait de mettre les choses au clair tout de suite ! J’imagine que tu l’as amené dans ta chambre pour le surveiller au coin ?
- Oui c’est ça Madame…
- Ok très bien, ça me convient, mais comme tu le sais le reste du temps je souhaite que le puni soit fessé sur le champ, là où la faute a été commise, ça facilite la compréhension.
- Très bien Madame
- Le puni doit comprendre qu’une fessée n’est jamais retardée ou remise à plus tard, peu importe si il y a des personnes présentes à proximité. Au contraire ces personnes participent à l’apprentissage, à l’embarras que va ressentir le puni et elles peuvent elles-mêmes être amenées à réfléchir, à comprendre le contexte, évaluer la faute qui a été commise et à la punition qui en découle.
- C’est clair pour moi Madame, merci pour vos précieux conseils.
- Je vous attends tous les deux dans la salle à manger à 20h45 pétantes, ça laisse encore 20 bonnes minutes à Maxime pour réfléchir à l’importance de maintenir sa chambre rangée et propre ! A tout à l’heure.
- Bien Madame, nous descendrons à 20h45. Dois-je reculotter Maxime ?
- Oui tout de même, pour se mettre à table je préfère, mais la question méritait d’être posée. Nous n’hésiterons pas à la déculotter à nouveau si nécessaire, crois-moi !
- C’est noté Madame. »

La porte se referma et je retrouvais un peu d’apaisement malgré tout ce qui avait été dit, malgré le spectacle incongru que j’avais offert à mes hôtes et malgré le fait que ma punition continuait sous la surveillance étroite de Nathalie. Avec toutes ces émotions j’avais oublié la cuisson qui émanait de mes fesses, par contre je n’avais pas oublié cette histoire de photo ! Comment allais-je pouvoir éviter de me ridiculiser encore plus ?! Nathalie allait-elle réellement envoyer une photo de moi à son amie ?
« Maxime je te préviens que si tu bouges du coin alors que je n’ai pas levé ta punition, que tu discutes encore mes ordres, que tu fasses quoi que ce soit pour empêcher le déroulement de ta punition je n’hésiterai plus une seconde à tout raconter à Madame. As-tu bien compris ?! Je vais prendre cette photo et l’envoyer car mon amie ne me croit pas. Je n’aime pas passer pour une menteuse, ce que je ne suis pas !
- S’il te plaît Nathalie… pas la photo s’il te plaît ! Tu ne peux pas me faire ça, c’est trop humiliant…
- C’est trop tard maintenant, comme je te l’ai dit je ne supporte pas de passer pour une menteuse. Ne t’inquiète pas Alicia est mère de famille, elle n’y verra qu’un adolescent qui a subi la punition qu’il méritait. C’est une bonne amie et elle ne partagera pas la photo, elle ne se permettra pas de raconter le fait que tu sois fessé sans mon aval. »

Clic !! j’entendis le son artificiel recréé par l’appareil photo du smartphone. Mon sort était scellé, je mourrais de honte silencieusement, nu dans mon coin. Nathalie avait une emprise totale sur moi, il suffisait qu’elle menace de tout révéler à Marthe et l’affaire était pliée… La photo était prise depuis à peine quelques secondes que le smartphone se remit à sonner.
« Alors Alicia tu me crois maintenant ??
- … 
- Oui il est complètement nu, je lui enfilerai son pyjama après la punition. De toute façon il fait au moins 35 degrés ici et il fallait lui donner sa fessée le plus vite possible, c’est comme cela qu’une fessée doit être administrée, sur le vif !
- … 
- Non sa chambre était en désordre lorsque je suis entrée faire un état des lieux. »

Depuis mon coin, j’émis un léger ouf de soulagement lorsque Nathalie ne dévoila pas la cause réelle de ma fessée. Les jeunes femmes échangeaient toujours au téléphone, Nathalie développait à nouveau les théories qu’elle avait retenues sur la fessée, sur la nécessité d’envoyer au coin les fesses à l’air, d’utiliser l’exhibition du derrière marqué par la fessée pour atteindre la pire humiliation. C’était pour elle la seconde partie de la punition, elle participait grandement à l’assimilation des bonnes manières, des bonnes habitudes, à la prise de responsabilité.
« Je l’ai allongé sur mes genoux et je l’ai fessé à main nue pendant plusieurs minutes oui
- … 
- Non je pense qu’il concentrait tous ses efforts pour retenir ses cris et ses sanglots ! Il y a d’autres colocataires ici, il devait à coup sûr craindre d’alerter nos voisines de chambre.
- …
- Oui, oui son cul est vraiment très rouge… J’ai pris l’habitude, j’aurais pu le fesser encore plus longtemps et encore plus sévèrement mais apparemment ce n’était pas la première qu’il recevait aujourd’hui. »

Quelque peu perdu dans mes pensées, las d’être immobile je perdais ma concentration, je commençais à fatiguer dans mon coin. Je notai que la conversation téléphonique pris fin derrière moi. Nathalie se leva et s’approcha de moi. Je sentis ses deux mains se poser sur mon derrière encore brûlant.
« Ohhhhh tes fesses sont encore bouillantes ! Mais ça ira, il n’y a pas de marques trop sévères, je ne pense pas que tu aies déjà besoin de la pommade réparatrice. »
Nathalie m’écarta les fesses. Je sursautai mais réussis à me retenir de bouger plus que ce qui semblait acceptable pour ma punitrice.
« Tous ces poils ne sont pas vraiment propices à une bonne hygiène… et ils n’ont rien à faire sur un jeune adolescent qui a besoin de recevoir aussi souvent la fessée. Je me demande si je n’en toucherai pas un mot à Madame demain. D’autant plus que tu en sèmeras dans ton lit, dans la douche, toi qui ne sais pas encore faire le ménage correctement… on te rendrait service en enlevant tout ça. »
Je ne réagissais plus à toutes ces remarques infantilisantes… J'étais usé de ma journée, du travail, de la fessée magistrale reçue par la main de Anna ce midi, de la scène érotique que j’avais espionnée, de l’orgasme qui m’avait affaibli, de l’humiliation d’être fessée une nouvelle fois, et par Nathalie, une autre inconnue qui avait à peine mon âge. J’étais perdu et fatigué, mais curieusement cette boule dans mon ventre disparu, elle fût remplacée par une sensation de bien-être. Je me sentais soulagé de rester, rassuré d’être encadré par des femmes autoritaires qui tenaient à me faire comprendre mes erreurs et me faire progresser. Malgré quelques pics et débordements de mon point de vue, comme par exemple la prise de la photo, j’avais mérité ce qui m’était arrivé et je respectais ces femmes qui m’avaient fessé et qui tentaient de me faire comprendre mes erreurs.



Il y  a une suite. Le chapitre 8

Vous n'avez pas lu le début de l'histoire ? Le voici : chapitre 1

Et l'épisode précédent ? Il est disponible, le chapitre 6


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C'est facile ! Quelques mots d'encouragement ou de réprobation... Paul OTK les attend avec impatience. Il vous répondra.

Vous pouvez également le contacter directement : Paul OTK

2 commentaires:

  1. Bonjour,
    Lorsque les fesses du puni commencent à "gesticuler de droite à gauche" c'est que la correction est bien stimulante. Ce qu'on appelle communément une danse des fesses.
    Notre ami paye le prix de son petit côté voyeur. Reluquer les fesses des filles expose à un regard de celles ci sur les siennes, beaucoup moins contemplatif... Plus percutant! Après l'échauffement du recto, la cuisson du verso!
    Le brave garçon a ainsi l'occasion de comparer l'efficacité des fessées de Nathalie, Marthe et Anna en attendant sans doute d'évaluer les performance d'autres fesseuses tout aussi sévères.
    A réfléchir au coin pendant les pénitences!
    Cordialement
    Ramina.

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  2. Ce récit me donne envie d'être à la place du jeune homme.
    Comme je suis désordonné et bordélique une maman sé.vère ou une compagne aux mains lestes seraient les bienvenues chez moi

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