mercredi 6 mars 2019

Recadrage en Provence - chapitre 8

En plein dîner, raconté par Louise


Tout le monde arriva à l’heure pour se mettre à table, je fus la première à rejoindre maman, puis vinrent Nathalie et Maxime, et enfin Noémie quelques secondes plus tard. La chaleur de la journée s’était un peu retirée, mais malgré tout Nathalie et moi étions descendues dîner en tongs et nuisettes comme à notre habitude. Je remarquais que Noémie en faisant tout autant pour son deuxième dîner. Nous avions certes l’habitude d’être entre filles mais la présence de Maxime n’allait rien changer, et maman n’avait donné aucune consigne à ce sujet.

En parlant de Maxime, je lui trouvais une mine très empruntée… Cette peste de Nathalie avait interrompu malgré elle tout le petit manège que j’avais manigancé à Maxime depuis qu’on s’était croisé avant notre jogging… En plein été ma libido me joue souvent des tours et j’ai tendance à imaginer toutes sortes de situations pour essayer d’exciter les hommes, j’y prends un plaisir fou à chaque fois… j’ai beau me sentir honteuse de montrer mon derrière lors d’une fessée déculottée, je ne peux m’empêcher de créer des situations où j’exhibe mon corps...
Ça avait été simple d’appâter Maxime ! Il n’avait pas pu louper nos tenues de sport très courtes et échancrées, il me suffisait de m’assurer à notre retour qu’il entende que nous filions à la douche. J’étais alors persuadée que ce petit coquin viendrait nous épier par le trou de la serrure… Pire ! J’avais carrément laissé la porte entre-ouverte pour qu’il ne rate rien du spectacle. Se jouer de Noémie avait été un jeu d’enfant pour moi, elle n’avait rien remarqué, je ne l’avais pas mise dans la confidence, c’était préférable. En m’occupant de sa toilette en premier j’étais persuadée qu’elle ne ferait pas attention à la porte que j’avais laissée entre-ouverte. Tout avait marché comme prévu, Maxime s’était approché en silence, mais malgré tout j’avais pu l’entendre et j’étais assurée de sa présence derrière la porte. Le jeu excitant avait pu commencer…
« Louise tend-moi ton assiette s’il te plaît !
- Pardon Nathalie…… c’est assez de pâtes pour moi s’il te plaît, merci Nathalie. »

C’était toujours maman qui faisait la cuisine, elle adorait ça même si son emploi du temps très chargé lui laissait peu de temps libre. Par contre c’est Nathalie qui remplissait nos assiettes et qui s’assurait que nous mangions suffisamment. Elle participait également à superviser notre bonne tenue à table.
Mais bref… je me disperse. Dommage qu’elle soit arrivée dans le couloir quelques minutes seulement après le début de mon petit manège ! J’avais tout entendu contrairement à Noémie qui prenait un certain plaisir alors que je lui faisais sa toilette. Je perçus que Nathalie emmena Maxime jusqu’à sa chambre, je ne sais pourquoi…, et ensuite Nathalie le traina jusque dans la sienne. Nul doute qu’il avait reçu une grosse correction, toute fessée qui était donnée dans la ferme, peu importe où elle était donnée, était facilement audible. Le son des claques sur un postérieur ne trompait plus personne ici je pense, si on y ajoutait en plus les cris et les sanglots il n’y avait plus le moindre doute…
Quel dommage ! J’avais encore plein d’idées en tête pour le rendre fou. Tant pis, j’imagine que je trouverai d’autres occasions… Je sentais le bout de tissu de ma culotte s’imprégner de mes sécrétions, repenser à cette scène me mettait dans tous mes états… Je tentais de croiser le regard de Maxime mais je le sentais très pensif ce soir, il avait l’air de se concentrer malgré ses airs fatigués pour ne plus faire un pas de travers. Le pauvre avait quand même reçu deux fessées aujourd’hui, Nathalie n’était pas aussi experte qu’Anna pour l’administrer mais cette peste progressait très vite.
« Noémie, fais donc attention ! lança Nathalie. »
Tout le monde se tourna vers Noémie pour identifier la cause de cette remontrance. Trois « penne » recouvertes de sauce tomate s’étaient échappées de la cuillère de Noémie et avaient souillé sa nuisette avant d’atterrir sur le sol.
« Pardon Nathalie ! Pardon Madame Lemaire pour ma maladresse je n’ai pas fait exprès…
- Si tu mettais correctement tes mains à table cela ne serait sûrement pas arrivé ! lui fit remarquer Nathalie
- Tout à fait ! s’exclama Maman, allant comme d’habitude dans le sens de Nathalie.
- Veuillez m’excuser je ferai attention, je vous promets que cela n’arrivera plus… »

Ma jeune partenaire de douche tentait de trouver les mots pour éviter ce qui allait lui arriver, plus personne n’en doutais autour de la table sauf peut-être elle… Je ne m’y trompais pas, maman ne laisserait pas passer cette maladresse.
« Nathalie, c’est à toi de prendre en main cette jeune maladroite comme je te l’ai demandé il y a déjà plusieurs semaines.
- Oui madame. »
Nathalie recula sa chaise d’un bon mètre tout en y restant assise. Le visage de Noémie s’assombrit brusquement, elle venait de comprendre qu’une bonne fessée cul nu l’attendait en plein repas, elle restait tétanisée sur sa chaise.
« Viens ici Noémie ! Et que je ne le répète pas ! »
Noémie parvint cette fois-ci à sortir de sa léthargie et à rejoindre l’espace situé à droite de la chaise de Nathalie. La jeune ménagère glissa ses mains sous la nuisette qu’elle avait devant elle, elle y trouva une culotte qu’elle abaissa jusqu’aux genoux. La culotte glissa ensuite d’elle-même pour finir sur les pieds de Noémie.
« Allonge-toi sur mes genoux, je vais t’apprendre à faire plus attention à ta tenue à table. »
Noémie pris place et agrippa les pieds de la chaise sur laquelle elle venait de basculer. Les fesses que j’avais savonnées tout à l’heure sous la douche étaient encore recouvertes par la nuisette. Maman m’interrompit dans mes pensées.
« Maxime, Louise, mangez tant que c’est chaud ! Sinon je me charge de m’occuper de vos fesses aussi. »
Je remontrais de l’intérêt à ce qui occupait mon assiette en prenant soin de manger correctement. J’aperçu malgré tout le geste de Nathalie qui releva la nuisette jusqu’aux omoplates et mis ainsi à nu le cul de Noémie. La première fessée tomba dans la foulée. Nathalie appuyait ses coups à droite puis à gauche, elle y mettait du cœur, la fréquence de la fessée était vraiment très soutenue. Gourmande qu’elle était, je devinais qu’elle voulait en finir rapidement pour retrouver au plus vite son dîner. Elle fit une pause et s’adressa à notre nouveau locataire :
« Maxime, essuie la cuillère en bois qui est dans la marmite et donne-la-moi s’il te plaît.
- Oui Nathalie…
- Allez, allez plus vite que ça ! Je n’ai pas que ça à faire, j’ai le droit de manger chaud aussi ! »

La cuillère lui fut à peine tendue qu’elle l’attrapa et commença à martyriser les fesses de Noémie. Ma jeune voisine de chambrée se mit à manifester la cuisson qui gagnait son postérieur dès que la cuillère relaya la main de sa punitrice. Ses pieds commencèrent à gesticuler, ils battaient l’air au-dessus de ses cuisses et une tong quitta un de ses pieds pour atterrir sur le sol. Noémie sanglotait rapidement, le spectacle de sa fessée était offert à toute la tablée et en premier lieu à Nathalie qui ne lâchait pas une seconde du regard le derrière qu’elle corrigeait.
« Tu dois… apprendre… à bien… te tenir… à table… et à… utiliser… correctement… tes couverts… »
Noémie ne réagissait plus, on aurait dit que son esprit s’était évadé, il avait quitté ce lieu probablement pour échapper à la douleur et à l’humiliation d’être ainsi fessée devant nous. Seul un sanglot continu et le son de la cuillère sur ses fesses faisaient encore acte de sa présence. Nathalie mit fin à la fessée.
« Voilà comment on punit une petite maladroite qui ne sait pas se tenir à table et se servir comme il faut de sa cuillère… Une bonne fessée avec la cuillère en bois justement !
- …
- Allez ouste ! Lève-toi et fini ton assiette,  tu nettoieras le sol puis tu iras te mettre au coin les fesses à l’air quand tu auras fini tes pâtes.
- Bravo Nathalie, félicita Maman. Je pense que dans quelques semaines Noémie se tiendra à table comme une fille de bonne famille. La fessée que tu lui as donnée était remarquable, son derrière est aussi rouge qu’une tomate, elle s’en souviendra j’en suis sûre…
- Merci Madame, je compte bien me rendre utile et fesser vos locataires tant que ça leur sera nécessaire ! »

Nathalie remonta sèchement la culotte au-dessus des hanches de sa jeune soumise, elle ne prit pas la peine de prendre en compte la douleur que générait l’élastique sur les zones meurtries. Noémie sanglotait encore, sagement, elle montra son inconfort lorsque l’élastique toucha sa peau et surtout lorsqu’elle dû se rasseoir à table sur son séant. Elle réussit à avaler le reste de ses pâtes, elle nous évitait du regard, rouge de honte suite à ces instants où on l’avait traitée comme une petite fille maladroite. J’eus l’idée de questionner maman sur sa journée pour changer de sujet, pour passer à autre chose afin que ma nouvelle copine arrive à évacuer la honte de la fessée qu’elle venait de recevoir sous nos yeux.
Maxime avait l’air toujours aussi distant, il avait bien observé le cul de Noémie en train d’encaisser la punition mais il avait plutôt semblé la plaindre que la désirer. Maman nous raconta qu’elle avait signé un gros contrat avec une parfumerie près de Grasse, qu’il nous faudrait rapidement livrer quantité d’hectolitres d’huile de lavande dès le mois prochain. Nous n’allions donc pas chômer d’ici à la rentrée des classes.
Le dîner s’achevait et Noémie fut invitée à nettoyer le sol pendant que Maxime et moi débarrassions la table. Noémie prit soin de rincer la lingette qu’elle avait utilisée avant de la remettre au bord de l’évier. Sous les yeux de Nathalie, elle se dirigea vers le coin de la pièce qui était réservé à notre pénitence. Je pense qu’elle espérait ne pas se faire remarquer, elle espérait que Nathalie ne prononcerait pas les mots de la honte, ceux qui sont utilisés pour nous envoyer au coin tel des enfants désobéissants.
« Attends Noémie, tu vas retirer cette nuisette qui est sale, je vais la nettoyer et la faire sécher pendant que tu es au coin. Je ne voudrais pas que tu salisses tes draps !
- Mais Nathalie, je pourrai m’en occuper moi-même...
- Ne discute pas. Souhaites-tu que je te donne une autre fessée pendant que tu es au coin ?
- Non Nathalie… tenez… »

Ma voisine de chambrée retira sa nuisette et se retrouva en petite culotte dans le séjour. Elle ne portait pas de soutien-gorge, ses petits seins pommés gigotèrent lorsqu’elle se retourna pour rejoindre le coin du séjour. Maman se fit un plaisir d’intervenir dans la foulée pour assister Nathalie.
« N’oublies-tu pas autre chose Noémie ?
- …
- Baisse-moi cette culotte ! C’est une jeune fille qui est punie et mise au coin après une fessée qu’il nous faut voir. C’est donc cul nu qu’elle doit y séjourner !
- Oui, Madame, tout de suite »

Noémie ne montrait plus aucune résistance, je la revoyais tout à l’heure sous la douche, à ce moment elle était alors encore sereine et détendue. Une grosse heure plus tard elle se retrouvait complètement nue dans le séjour, mise au coin en train de nous offrir en spectacle son derrière généreux une nouvelle fois rougi par la fessée.
Nathalie avait une autre idée en tête désormais…
« Madame Lemaire, merci pour ce bon dîner, je vais monter jeter un œil à l’ordre dans les chambres et espérer rejoindre la mienne sans devoir sévir encore ce soir…
- Bien Nathalie, bon courage, veille à ce que ces jeunes gens aient maintenu leur chambre en ordre s’il te plaît. Et qu’ils en paient les conséquences si ce n’est pas le cas.
- Bien Madame, pourrez-vous faire monter Noémie dans une vingtaine de minutes s’il vous plaît ?
- Je surveille notre jeune maladroite et je te l’envoie ensuite oui…
- Merci Madame, bonne soirée et bonne nuit.
- Maxime, Louise, on monte… allez… »

Je n’en revenais pas, de plus en plus Nathalie se rapprochait du statut de maman. Il y avait un fossé énorme qui s’était créé entre les adultes punis et notre jeune femme de ménage. Devrais-je dire « gouvernante » parce que ce terme convenait bien mieux désormais.
Arrivés à l’étage Nathalie demanda à Maxime de rejoindre sa chambre et de l’y attendre. Elle me demanda d’en faire autant.
« Je reviens dans quelques minutes, je passe d’abord à la salle de bain. »
Je me retrouvais seul à seul pour la première fois avec Maxime en plein milieu du couloir. Un peu intimidée je l’avoue. Je décidai de lui proposer de choisir un livre dans ma bibliothèque. Le pauvre n’avait pas de télé, il n’avait rien amené pour se distraire, je pense que ses soirées seraient devenues ennuyeuses très rapidement.
« Maxime, tu vas t’ennuyer le soir si tu n’as rien prévu pour tuer le temps, souhaites-tu regarder si un livre te tenterait ? Viens jeter un œil, j’ai pas mal de choses…
- Ah oui merci beaucoup Louise, avec plaisir ! »

Maxime entrait dans ma chambre, je m’approchais de la petite bibliothèque situé à côté de mon bureau.
«  Quel genre de romans aimes-tu lire ?
- Je suis plutôt friand de thriller ou de science-fiction… J’aime aussi les histoires vraies…
- J’ai quelques classiques ici au centre et sur la dernière étagère tu trouveras des romans de science-fiction »

Maxime s’accroupi, involontairement sa tête se retrouvait au niveau de mes cuisses, cette situation provoqua mon émoi, j’étais à la fois un peu gênée et excitée. C’est ce sentiment qui m’habitait quand je m’exhibais, j’essayais toujours de la faire sagement, de maîtriser le contexte et de faire en sorte que ma victime soit sûre que ce n’était ni prémédité ni organisé. Il fallait qu’il pense assister à une scène « volée ». Cette fois-ci je fus moi-même prise au dépourvu, Maxime avait vue sur le haut de mes cuisses et sur ma culotte sous la nuisette. Certes ce n’était rien comparé au spectacle que je lui avais monté de toute pièce en fin d’après-midi… Le temps s’arrêta, nous étions silencieux, dans nos pensées. Des pas se firent entendre dans le couloir et quelqu’un entra dans la chambre de Maxime située en face. Mon nouveau voisin sursauta, il se rendit compte qu’il n’avait rien à faire là, Nathalie lui avait demandé de l’attendre dans sa chambre. Nous fûmes pris de court, mais c’est Maxime qui pouvait commencer à redouter une mauvaise fin de soirée.
« Maxime où es-tu ?! Je t’avais demandé de m’attendre dans ta chambre… Ahhhh te voilà, tu as décidé de prendre congé et de rendre visite à ta voisine d’en face je vois, et sans ma permission…
- Pardon Nathalie, je regardais pour me prendre un livre…
- Il n’y a aucun problème à demander un peu de lecture, mais tu m’as désobéi, il faut que tu comprennes que quand je te demande quelque chose, j’attends que tu obéisses. Il te suffisait d’attendre mon retour et de me demander ensuite si tu pouvais emprunter un livre.
- …
- Baisse ton pantalon tout de suite !
- Mais Nathalie… j’étais ici, juste en face de ma chambre…
- Tu contestes ma décision ? Tu penses que tu ne mérites pas la fessée ? Peut-être souhaites-tu que Louise aille me chercher la cuillère en bois ou le martinet ?
- Non Nathalie s’il te plaît, ce n’est pas nécessaire !
- Les règles sont claires ! E-COU-TER et O-BE-IR aux grandes personnes ! Ton âge ne suffit pas encore à faire de toi un adulte qui peut prendre des décisions, tu es là parce que tu erres dans la vie. Madame, Anna et moi sommes chargées de t’amener à une discipline de vie irréprochable. Tu dois pour cela nous écouter coûte que coûte.
- Mais oui mais…
- Dernière chance sinon c’est le martinet Maxime ! »

Maxime abaissa son pantalon de jogging et le laissa tomber à ses genoux, ses joues étaient rouges, la peau de ses cuisses dénudées couverte de chair de poule… Mon voisin d’en face était sur le point de recevoir de Nathalie une nouvelle fessée déculottée, cette fois-ci dans ma chambre.


Il y  a une suite, le chapitre 9


Vous n'avez pas lu le début de l'histoire ? Le voici : chapitre 1

Et l'épisode précédent ? Il est disponible, le chapitre 7


Et si je me fendais d'un petit commentaire ?

C'est facile ! Quelques mots d'encouragement ou de réprobation... Paul OTK les attend avec impatience. Il vous répondra.

Vous pouvez également le contacter directement : Paul OTK

2 commentaires:

  1. Je suis satisfait de voir que noémie a été rattrapée par la justice car depuis le dernier épisode je sentais bien que notre héros s était laissé piéger par le show dans la douche ... J'avais trouvé injuste que Maxime seul paie le prix de ses pulsions ..j'attends avec impatience de voir si Louise, elle aussi donnera de sa personne. ....

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  2. Bonjour,
    Et voilà! On se doutait bien que notre amie Louise allait causer quelques désagréments au pauvre Maxime trop facilement tombé dans le panneaux de la provocation! Je reluque tes fesses et j'en prend sur les miennes en retour. Pas très malin non plus le garçon, emporté par ses pulsions post pubères!
    Et gare au tâches de sauce tomate, les fesses de Noémie prennent vite la même couleur sous la main de Nathalie qui prend un plaisir manifeste à distribuer les fessées pour entretenir les derrières des pensionnaires! Quelle idée aussi de venir à table en nuisette si facile à retrousser!

    Dans tous les cas, Louise va certainement s'en prendre une sévère! Et ça va faire d'autant plus mal qu'elle a déjà le feu aux fesses depuis un moment! (Rires)
    Cordialement.
    Ramina

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