En plein dîner, raconté par Louise
Tout
le monde arriva à l’heure pour se mettre à table, je fus la première à
rejoindre maman, puis vinrent Nathalie et Maxime, et enfin Noémie quelques secondes
plus tard. La chaleur de la journée s’était un peu retirée, mais malgré tout
Nathalie et moi étions descendues dîner en tongs et nuisettes comme à notre
habitude. Je remarquais que Noémie en faisant tout autant pour son deuxième
dîner. Nous avions certes l’habitude d’être entre filles mais la présence de
Maxime n’allait rien changer, et maman n’avait donné aucune consigne à ce
sujet.
En
parlant de Maxime, je lui trouvais une mine très empruntée… Cette peste de
Nathalie avait interrompu malgré elle tout le petit manège que j’avais
manigancé à Maxime depuis qu’on s’était croisé avant notre jogging… En plein
été ma libido me joue souvent des tours et j’ai tendance à imaginer toutes
sortes de situations pour essayer d’exciter les hommes, j’y prends un plaisir
fou à chaque fois… j’ai beau me sentir honteuse de montrer mon derrière lors
d’une fessée déculottée, je ne peux m’empêcher de créer des situations où
j’exhibe mon corps...
Ça
avait été simple d’appâter Maxime ! Il n’avait pas pu louper nos tenues de
sport très courtes et échancrées, il me suffisait de m’assurer à notre retour
qu’il entende que nous filions à la douche. J’étais alors persuadée que ce
petit coquin viendrait nous épier par le trou de la serrure… Pire !
J’avais carrément laissé la porte entre-ouverte pour qu’il ne rate rien du spectacle.
Se jouer de Noémie avait été un jeu d’enfant pour moi, elle n’avait rien
remarqué, je ne l’avais pas mise dans la confidence, c’était préférable. En
m’occupant de sa toilette en premier j’étais persuadée qu’elle ne ferait pas
attention à la porte que j’avais laissée entre-ouverte. Tout avait marché comme
prévu, Maxime s’était approché en silence, mais malgré tout j’avais pu
l’entendre et j’étais assurée de sa présence derrière la porte. Le jeu excitant
avait pu commencer…
« Louise
tend-moi ton assiette s’il te plaît !
- Pardon
Nathalie…… c’est assez de pâtes pour moi s’il te plaît, merci Nathalie. »
C’était
toujours maman qui faisait la cuisine, elle adorait ça même si son emploi du
temps très chargé lui laissait peu de temps libre. Par contre c’est Nathalie
qui remplissait nos assiettes et qui s’assurait que nous mangions suffisamment.
Elle participait également à superviser notre bonne tenue à table.
Mais
bref… je me disperse. Dommage qu’elle soit arrivée dans le couloir quelques
minutes seulement après le début de mon petit manège ! J’avais tout
entendu contrairement à Noémie qui prenait un certain plaisir alors que je lui
faisais sa toilette. Je perçus que Nathalie emmena Maxime jusqu’à sa chambre,
je ne sais pourquoi…, et ensuite Nathalie le traina jusque dans la sienne. Nul
doute qu’il avait reçu une grosse correction, toute fessée qui était donnée
dans la ferme, peu importe où elle était donnée, était facilement audible. Le
son des claques sur un postérieur ne trompait plus personne ici je pense, si on
y ajoutait en plus les cris et les sanglots il n’y avait plus le moindre doute…
Quel
dommage ! J’avais encore plein d’idées en tête pour le rendre fou. Tant
pis, j’imagine que je trouverai d’autres occasions… Je sentais le bout de tissu
de ma culotte s’imprégner de mes sécrétions, repenser à cette scène me mettait
dans tous mes états… Je tentais de croiser le regard de Maxime mais je le
sentais très pensif ce soir, il avait l’air de se concentrer malgré ses airs
fatigués pour ne plus faire un pas de travers. Le pauvre avait quand même reçu
deux fessées aujourd’hui, Nathalie n’était pas aussi experte qu’Anna pour
l’administrer mais cette peste progressait très vite.
« Noémie,
fais donc attention ! lança Nathalie. »
Tout
le monde se tourna vers Noémie pour identifier la cause de cette remontrance.
Trois « penne » recouvertes de sauce tomate s’étaient échappées de la
cuillère de Noémie et avaient souillé sa nuisette avant d’atterrir sur le sol.
« Pardon
Nathalie ! Pardon Madame Lemaire pour ma maladresse je n’ai pas fait
exprès…
- Si
tu mettais correctement tes mains à table cela ne serait sûrement pas
arrivé ! lui fit remarquer Nathalie
- Tout
à fait ! s’exclama Maman, allant comme d’habitude dans le sens de Nathalie.
- Veuillez
m’excuser je ferai attention, je vous promets que cela n’arrivera plus… »
Ma
jeune partenaire de douche tentait de trouver les mots pour éviter ce qui
allait lui arriver, plus personne n’en doutais autour de la table sauf
peut-être elle… Je ne m’y trompais pas, maman ne laisserait pas passer cette
maladresse.
« Nathalie,
c’est à toi de prendre en main cette jeune maladroite comme je te l’ai demandé
il y a déjà plusieurs semaines.
- Oui
madame. »
Nathalie
recula sa chaise d’un bon mètre tout en y restant assise. Le visage de Noémie
s’assombrit brusquement, elle venait de comprendre qu’une bonne fessée cul nu
l’attendait en plein repas, elle restait tétanisée sur sa chaise.
« Viens
ici Noémie ! Et que je ne le répète pas ! »
Noémie
parvint cette fois-ci à sortir de sa léthargie et à rejoindre l’espace situé à
droite de la chaise de Nathalie. La jeune ménagère glissa ses mains sous la
nuisette qu’elle avait devant elle, elle y trouva une culotte qu’elle abaissa
jusqu’aux genoux. La culotte glissa ensuite d’elle-même pour finir sur les pieds
de Noémie.
« Allonge-toi
sur mes genoux, je vais t’apprendre à faire plus attention à ta tenue à table. »
Noémie
pris place et agrippa les pieds de la chaise sur laquelle elle venait de
basculer. Les fesses que j’avais savonnées tout à l’heure sous la douche étaient
encore recouvertes par la nuisette. Maman m’interrompit dans mes pensées.
« Maxime,
Louise, mangez tant que c’est chaud ! Sinon je me charge de m’occuper de
vos fesses aussi. »
Je remontrais
de l’intérêt à ce qui occupait mon assiette en prenant soin de manger correctement.
J’aperçu malgré tout le geste de Nathalie qui releva la nuisette jusqu’aux
omoplates et mis ainsi à nu le cul de Noémie. La première fessée tomba dans la
foulée. Nathalie appuyait ses coups à droite puis à gauche, elle y mettait du
cœur, la fréquence de la fessée était vraiment très soutenue. Gourmande qu’elle
était, je devinais qu’elle voulait en finir rapidement pour retrouver au plus
vite son dîner. Elle fit une pause et s’adressa à notre nouveau
locataire :
« Maxime,
essuie la cuillère en bois qui est dans la marmite et donne-la-moi s’il te
plaît.
- Oui
Nathalie…
- Allez,
allez plus vite que ça ! Je n’ai pas que ça à faire, j’ai le droit de
manger chaud aussi ! »
La
cuillère lui fut à peine tendue qu’elle l’attrapa et commença à martyriser les
fesses de Noémie. Ma jeune voisine de chambrée se mit à manifester la cuisson
qui gagnait son postérieur dès que la cuillère relaya la main de sa punitrice.
Ses pieds commencèrent à gesticuler, ils battaient l’air au-dessus de ses
cuisses et une tong quitta un de ses pieds pour atterrir sur le sol. Noémie
sanglotait rapidement, le spectacle de sa fessée était offert à toute la tablée
et en premier lieu à Nathalie qui ne lâchait pas une seconde du regard le
derrière qu’elle corrigeait.
« Tu
dois… apprendre… à bien… te tenir… à table… et à… utiliser… correctement… tes
couverts… »
Noémie
ne réagissait plus, on aurait dit que son esprit s’était évadé, il avait quitté
ce lieu probablement pour échapper à la douleur et à l’humiliation d’être ainsi
fessée devant nous. Seul un sanglot continu et le son de la cuillère sur ses
fesses faisaient encore acte de sa présence. Nathalie mit fin à la fessée.
« Voilà
comment on punit une petite maladroite qui ne sait pas se tenir à table et se
servir comme il faut de sa cuillère… Une bonne fessée avec la cuillère en bois
justement !
- …
- Allez
ouste ! Lève-toi et fini ton assiette,
tu nettoieras le sol puis tu iras te mettre au coin les fesses à l’air
quand tu auras fini tes pâtes.
- Bravo
Nathalie, félicita Maman. Je pense que dans quelques semaines Noémie se tiendra
à table comme une fille de bonne famille. La fessée que tu lui as donnée était
remarquable, son derrière est aussi rouge qu’une tomate, elle s’en souviendra
j’en suis sûre…
- Merci
Madame, je compte bien me rendre utile et fesser vos locataires tant que ça
leur sera nécessaire ! »
Nathalie
remonta sèchement la culotte au-dessus des hanches de sa jeune soumise, elle ne
prit pas la peine de prendre en compte la douleur que générait l’élastique sur
les zones meurtries. Noémie sanglotait encore, sagement, elle montra son
inconfort lorsque l’élastique toucha sa peau et surtout lorsqu’elle dû se
rasseoir à table sur son séant. Elle réussit à avaler le reste de ses pâtes,
elle nous évitait du regard, rouge de honte suite à ces instants où on l’avait
traitée comme une petite fille maladroite. J’eus l’idée de questionner maman
sur sa journée pour changer de sujet, pour passer à autre chose afin que ma
nouvelle copine arrive à évacuer la honte de la fessée qu’elle venait de
recevoir sous nos yeux.
Maxime
avait l’air toujours aussi distant, il avait bien observé le cul de Noémie en
train d’encaisser la punition mais il avait plutôt semblé la plaindre que la
désirer. Maman nous raconta qu’elle avait signé un gros contrat avec une
parfumerie près de Grasse, qu’il nous faudrait rapidement livrer quantité d’hectolitres
d’huile de lavande dès le mois prochain. Nous n’allions donc pas chômer d’ici à
la rentrée des classes.
Le
dîner s’achevait et Noémie fut invitée à nettoyer le sol pendant que Maxime et
moi débarrassions la table. Noémie prit soin de rincer la lingette qu’elle
avait utilisée avant de la remettre au bord de l’évier. Sous les yeux de
Nathalie, elle se dirigea vers le coin de la pièce qui était réservé à notre
pénitence. Je pense qu’elle espérait ne pas se faire remarquer, elle espérait
que Nathalie ne prononcerait pas les mots de la honte, ceux qui sont utilisés
pour nous envoyer au coin tel des enfants désobéissants.
« Attends
Noémie, tu vas retirer cette nuisette qui est sale, je vais la nettoyer et la
faire sécher pendant que tu es au coin. Je ne voudrais pas que tu salisses tes
draps !
- Mais
Nathalie, je pourrai m’en occuper moi-même...
- Ne
discute pas. Souhaites-tu que je te donne une autre fessée pendant que tu es au
coin ?
- Non
Nathalie… tenez… »
Ma
voisine de chambrée retira sa nuisette et se retrouva en petite culotte dans le
séjour. Elle ne portait pas de soutien-gorge, ses petits seins pommés
gigotèrent lorsqu’elle se retourna pour rejoindre le coin du séjour. Maman se
fit un plaisir d’intervenir dans la foulée pour assister Nathalie.
« N’oublies-tu
pas autre chose Noémie ?
- …
- Baisse-moi
cette culotte ! C’est une jeune fille qui est punie et mise au coin après
une fessée qu’il nous faut voir. C’est donc cul nu qu’elle doit y
séjourner !
- Oui,
Madame, tout de suite »
Noémie
ne montrait plus aucune résistance, je la revoyais tout à l’heure sous la
douche, à ce moment elle était alors encore sereine et détendue. Une grosse
heure plus tard elle se retrouvait complètement nue dans le séjour, mise au
coin en train de nous offrir en spectacle son derrière généreux une nouvelle
fois rougi par la fessée.
Nathalie
avait une autre idée en tête désormais…
« Madame
Lemaire, merci pour ce bon dîner, je vais monter jeter un œil à l’ordre dans
les chambres et espérer rejoindre la mienne sans devoir sévir encore ce soir…
- Bien
Nathalie, bon courage, veille à ce que ces jeunes gens aient maintenu leur
chambre en ordre s’il te plaît. Et qu’ils en paient les conséquences si ce
n’est pas le cas.
- Bien
Madame, pourrez-vous faire monter Noémie dans une vingtaine de minutes s’il
vous plaît ?
- Je
surveille notre jeune maladroite et je te l’envoie ensuite oui…
- Merci
Madame, bonne soirée et bonne nuit.
- Maxime,
Louise, on monte… allez… »
Je
n’en revenais pas, de plus en plus Nathalie se rapprochait du statut de maman.
Il y avait un fossé énorme qui s’était créé entre les adultes punis et notre
jeune femme de ménage. Devrais-je dire « gouvernante » parce que ce
terme convenait bien mieux désormais.
Arrivés
à l’étage Nathalie demanda à Maxime de rejoindre sa chambre et de l’y attendre.
Elle me demanda d’en faire autant.
« Je
reviens dans quelques minutes, je passe d’abord à la salle de bain. »
Je
me retrouvais seul à seul pour la première fois avec Maxime en plein milieu du
couloir. Un peu intimidée je l’avoue. Je décidai de lui proposer de choisir un
livre dans ma bibliothèque. Le pauvre n’avait pas de télé, il n’avait rien
amené pour se distraire, je pense que ses soirées seraient devenues ennuyeuses
très rapidement.
« Maxime,
tu vas t’ennuyer le soir si tu n’as rien prévu pour tuer le temps, souhaites-tu
regarder si un livre te tenterait ? Viens jeter un œil, j’ai pas mal de
choses…
- Ah
oui merci beaucoup Louise, avec plaisir ! »
Maxime
entrait dans ma chambre, je m’approchais de la petite bibliothèque situé à côté
de mon bureau.
«
Quel genre de romans aimes-tu lire ?
- Je
suis plutôt friand de thriller ou de science-fiction… J’aime aussi les
histoires vraies…
- J’ai
quelques classiques ici au centre et sur la dernière étagère tu trouveras des
romans de science-fiction »
Maxime
s’accroupi, involontairement sa tête se retrouvait au niveau de mes cuisses,
cette situation provoqua mon émoi, j’étais à la fois un peu gênée et excitée.
C’est ce sentiment qui m’habitait quand je m’exhibais, j’essayais toujours de
la faire sagement, de maîtriser le contexte et de faire en sorte que ma victime
soit sûre que ce n’était ni prémédité ni organisé. Il fallait qu’il pense
assister à une scène « volée ». Cette fois-ci je fus moi-même prise
au dépourvu, Maxime avait vue sur le haut de mes cuisses et sur ma culotte sous
la nuisette. Certes ce n’était rien comparé au spectacle que je lui avais monté
de toute pièce en fin d’après-midi… Le temps s’arrêta, nous étions silencieux,
dans nos pensées. Des pas se firent entendre dans le couloir et quelqu’un entra
dans la chambre de Maxime située en face. Mon nouveau voisin sursauta, il se
rendit compte qu’il n’avait rien à faire là, Nathalie lui avait demandé de
l’attendre dans sa chambre. Nous fûmes pris de court, mais c’est Maxime qui
pouvait commencer à redouter une mauvaise fin de soirée.
« Maxime
où es-tu ?! Je t’avais demandé de m’attendre dans ta chambre… Ahhhh te
voilà, tu as décidé de prendre congé et de rendre visite à ta voisine d’en face
je vois, et sans ma permission…
- Pardon
Nathalie, je regardais pour me prendre un livre…
- Il
n’y a aucun problème à demander un peu de lecture, mais tu m’as désobéi, il faut
que tu comprennes que quand je te demande quelque chose, j’attends que tu
obéisses. Il te suffisait d’attendre mon retour et de me demander ensuite si tu
pouvais emprunter un livre.
- …
- Baisse
ton pantalon tout de suite !
- Mais
Nathalie… j’étais ici, juste en face de ma chambre…
- Tu
contestes ma décision ? Tu penses que tu ne mérites pas la fessée ?
Peut-être souhaites-tu que Louise aille me chercher la cuillère en bois ou le
martinet ?
- Non
Nathalie s’il te plaît, ce n’est pas nécessaire !
- Les
règles sont claires ! E-COU-TER et O-BE-IR aux grandes personnes ! Ton
âge ne suffit pas encore à faire de toi un adulte qui peut prendre des
décisions, tu es là parce que tu erres dans la vie. Madame, Anna et moi sommes
chargées de t’amener à une discipline de vie irréprochable. Tu dois pour cela
nous écouter coûte que coûte.
- Mais
oui mais…
- Dernière
chance sinon c’est le martinet Maxime ! »
Maxime
abaissa son pantalon de jogging et le laissa tomber à ses genoux, ses joues
étaient rouges, la peau de ses cuisses dénudées couverte de chair de poule… Mon
voisin d’en face était sur le point de recevoir de Nathalie une nouvelle fessée
déculottée, cette fois-ci dans ma chambre.
Il y a une suite, le chapitre 9
Vous n'avez pas lu le début de l'histoire ? Le voici : chapitre 1
Et l'épisode précédent ? Il est disponible, le chapitre 7
Et si je me fendais d'un petit commentaire ?
C'est facile ! Quelques mots d'encouragement ou de réprobation... Paul OTK les attend avec impatience. Il vous répondra.
Vous pouvez également le contacter directement : Paul OTK
Je suis satisfait de voir que noémie a été rattrapée par la justice car depuis le dernier épisode je sentais bien que notre héros s était laissé piéger par le show dans la douche ... J'avais trouvé injuste que Maxime seul paie le prix de ses pulsions ..j'attends avec impatience de voir si Louise, elle aussi donnera de sa personne. ....
RépondreSupprimerBonjour,
RépondreSupprimerEt voilà! On se doutait bien que notre amie Louise allait causer quelques désagréments au pauvre Maxime trop facilement tombé dans le panneaux de la provocation! Je reluque tes fesses et j'en prend sur les miennes en retour. Pas très malin non plus le garçon, emporté par ses pulsions post pubères!
Et gare au tâches de sauce tomate, les fesses de Noémie prennent vite la même couleur sous la main de Nathalie qui prend un plaisir manifeste à distribuer les fessées pour entretenir les derrières des pensionnaires! Quelle idée aussi de venir à table en nuisette si facile à retrousser!
Dans tous les cas, Louise va certainement s'en prendre une sévère! Et ça va faire d'autant plus mal qu'elle a déjà le feu aux fesses depuis un moment! (Rires)
Cordialement.
Ramina