Noémie fait de nouveau appel au Docteur Legendre. Il ne s'agit plus seulement de Jean-Claude. Je vous laisse découvrir cette situation qui peut, sans doute inspirer ou rappeler des souvenirs à bien des tutrices
Pour des raisons que vous comprendrez aisément, secret médical oblige, les détails trop personnels (noms de famille, lieu, prénoms parfois...) qui permettraient d'identifier les patients, ont été modifiés ou anonymisés.
À: "jeanine legendre" <jeanine.legendre@laposte.net>
Envoyé: Jeudi 21 février 2019 12:32:04
Objet: Des nouvelles
Bonjour Docteur
Legendre,
Je vous avais promis
des nouvelles, je vous en donne donc mais je voudrais surtout avoir votre avis sur les nouvelles résolutions
que j’ai prises.
Bien que je n’aie pas
abordé le sujet dans mes précédents courriels, je trouvais que C*****, s’en
tirait trop bien dans cette affaire.
C*****, c’est la
voisine avec qui mon cher mari s’est permis les infidélités à mon égard dont je vous ai parlé dans mes précédents courriels.
Je vous ai dit que c’est une de mes très bonnes amies, peut-être la meilleure.
Nous nous connaissons depuis notre adolescence. Nos liens sont devenus très
forts quand elle a été larguée par un petit ami, il y a un peu plus de dix ans.
Elle était au fond du
trou et je l’ai aidée à remonter la pente. J’ai dû la secouer un peu à l’époque
et nous en rions souvent ensemble depuis. J’avais été très énergique, y compris
en lui imposant physiquement de sortir de la torpeur dans laquelle elle se
laissait couler. Je me rappelle le jour où je l'ai sortie de son lit et où je l'ai déshabillée pour la mettre sous la douche, ce qu'elle n'avait pas fait de toute la semaine qui avait précédé. Elle m’a souvent dit qu’elle n’aimerait pas m’avoir pour mère,
de peur que je la punisse. Je l’en avais menacé à ce moment-là si elle ne se secouait pas un peu. Cela avait été efficace.
Je vous ai dit que
c’est une amie. En fait, elle est un peu plus que cela. Depuis cette époque,
j’ai pris une certaine ascendance sur elle. Elle a pris l’habitude de me
demander conseils sur beaucoup de ce qui concerne sa vie et je n’hésite pas à
la gronder quand je le juge nécessaire. Elle accepte ces réprimandes et souvent,
elle suit mes recommandations.
Il est arrivé trois
ou quatre fois qu’elle ait refusé de m’écouter et qu’elle ait cherché à mettre
fin, aux reproches que je lui faisais, en quittant la pièce où nous étions. A
chaque fois, je l’ai ramenée de là où elle venait, manu-militari. Il faut dire
qu’elle est plus petite, plus légère que moi et bien moins sportive. Cela me
facilite les choses. La dernière fois, je l’ai prise par l’oreille. Elle s’est
plainte de la douleur que ça lui faisait, mais pas du geste lui-même. Je tiens
à ce qu’elle comprenne que je veux bien passer du temps à l’épauler, mais qu’il
faut qu’elle y mette du sien.
Ce jour-là, elle
voulait se lancer dans une nouvelle histoire sentimentale avec un homme marié
qui avait trente-cinq ans de plus qu’elle. Je lui ai interdit de le revoir et
je crois que c’est ce qu’elle a fait. J’ai une réelle influence sur elle et
elle passe de longs moments chez nous. Elle passait, devrais-je dire. Elle n’a
pas mis un pied à la maison depuis plus d’un mois.
Mon mari et elle se
taquinaient, comme l’auraient fait un frère et une sœur. C’est ce qu’elle est
pour moi : une petite sœur malheureusement pas toujours responsable de ses
actes. Vous comprendrez donc ma fureur quand j’ai appris que c’était avec elle
que Jean-Claude m’a trompée. J’ai autant été déçue par l’attitude de Jean-Claude
que par la sienne.
Dans un premier
temps, j’ai envisagé de couper toute relation avec elle. Puis je me suis dit
que ma réaction n’était pas adaptée à la situation. Elle devait faire face à la
situation dont elle était complice et en subir les conséquences comme
Jean-Claude doit le faire depuis quatre semaine.
J’ai demandé à C*****
de passer demain soir. Je pense que je vais la punir.
Qu’en
pensez-vous ?
J’espère une réponse
de votre part.
N*****
De : jeanine legendre" <jeanine.legendre@laposte.net>
Envoyé : Jeudi 21 février 2019 20:10:18
Objet : Re :Des nouvelles
Bonjour N*****,
Je suis ravie d’avoir
de vos nouvelles. Je n’en attendais pas de si tôt. Comme promis, je prendrai le
temps de vous répondre, d’autant plus que votre situation et surtout la façon
dont vous la prenez en mains me semblent très intéressantes.
Je n’avais pas
détecté, dans vos précédents courriels, une telle proximité affective avec la
personne qui vous a trompée avec votre mari. Je comprends que vous ne puissiez
faire comme s’il ne s’était rien passé.
Puis-je user de mon
expérience dans ces situations pour me permettre quelques hypothèses sur la
relation qui vous lie à C***** ? Je pense qu’elles pourront vous être
utiles pour bien savoir où vous devez aller et de quelle façon.
Vous avez raison de
dire que le lien qui vous unit est un peu plus que de l’amitié. Cela
transparaît dans toutes vos phrases. Vous faites allusion à une relation grande
sœur / petite sœur. Ne serait-ce pas plutôt de lien maternels dont il faudrait
plutôt parler ? Le peu de différence d’âge n’a rien à voir dans l’affaire.
Il n’est pas un obstacle.
Je l’avais remarqué lors
de notre précédente série d’échanges. Vous faites partie des personnes qui
entrent très facilement en empathie avec les autres. Vous vous sentez concernée
non seulement par ce qu’ils sont et font, mais également par ce qu’ils
pourraient devenir.
Vous avez également
un sens de la responsabilité qui vous amène à les soutenir quand ils
rencontrent des difficultés. Par contre, vous ne tombez pas dans la facilité
qui consisterait à vous lamenter avec eux. Tout au contraire, vous êtes
l’épaule sur laquelle ils peuvent s’appuyer. Tous ces éléments sont des
qualités rares. Elles sont alliées à un propension à l’autorité qui vous
conduit à être ferme quand vous voyez l’un de vos proches s’engager sur un
chemin qui ne mène nulle part. Voyez, par exemple l'épisode de la douche que vous évoquez.
Il n’est donc pas
étonnant que vous ayez rejeté l’hypothèse qui consistait à faire sortir de
votre vie celle que vous considérez au fond de vous-même et que vous traitez
comme votre fille adoptive.
Il serait intéressant
que vous compreniez dans quel état d’esprit elle se trouve maintenant. N’êtes-vous
pas étonnée de son changement de comportement à votre égard ? Il faudrait
réussir à donner un sens à ses réactions.
Si elle ne vient plus
chez vous, sans doute l’avez-vous croisée en rentrant chez vous ou en en
sortant. Quelle a été son attitude à ces moments-là ?
Donnez-moi un peu
plus d’éléments sur ce sujet que je puisse émettre des hypothèses en les
appuyant sur des faits et pas seulement sur des ressentis.
J’attends votre
réponse.
Docteur Jeanine Legendre,
Diplômée es fessologie
À: "jeanine legendre" <jeanine.legendre@laposte.net>
Envoyé: Jeudi 21 février 2019 21:53:36
Objet: Re: Re :Des nouvelles
Docteur Legendre,
Merci de votre
réponse rapide. Si ce n’est pas trop demander, puisque j’ai demandé à C***** de
passer me voir demain dans la soirée, si vous pouviez me faire part de votre
analyse avant demain en fin d’après-midi, cela me serait d’un grand secours.
Mais je me doute que vous êtes très occupée et je ne vous en voudrai pas si ce
n’est pas le cas.
C***** m’évite depuis
la mi-janvier, depuis que j’ai découvert la liaison que mon mari et elle
entretenaient. Quand je la croise, elle baisse les yeux, elle hâte le pas et
elle ne me répond que par monosyllabe. Je l’ai aperçue une fois faire demi-tour, alors que nous
venions l’une vers l’autre sur le même trottoir.
Je ne lui ai pourtant
fait aucun reproche. Je ne lui ai même pas dit que j’étais au courant de la
situation et j’ai interdit à Jean-Claude de lui en parler. Comme Jean-Claude
sort très peu du fait de sa punition et dans ces cas-là en général je l’accompagne, je ne crois pas qu’il en ait eu
l’occasion et encore moins l’envie. Elle ne sait pas que je sais.
Quand, avant-hier, je
lui ai demandé de passer à la maison demain soir, elle m’a regardé dans les
yeux, ce qu’elle n’avait pas fait depuis qu’elle m’évite. J’ai une l’impression
qu’elle avait l’air soulagée.
Etait-ce ce genre de
choses que vous vouliez savoir ?
J’espère une réponse
de votre part.
N*****
De : jeanine legendre" <jeanine.legendre@laposte.net>
Envoyé : Jeudi 21 février 2019 22:42:09
Objet : Re: Re Re :Des nouvelles
Bonjour N*****,
C’est exactement cela
dont j’avais besoin. Mes hypothèses sont ainsi bien mieux étayées et bien plus
crédibles.
Je n’ai plus aucun
doute sur le fort sentiment de culpabilité que C***** doit ressentir à votre
égard. Elle sait qu’elle vous a trahie et elle ne sait pas comment renouer la
relation qui vous liait tout en faisant preuve à votre égard d’un minimum
d’honnêteté. C'est impossible sans vous avouer son forfait.
Comme elle ne sait
pas que vous êtes au courant, elle ne peut le faire sans vous faire du mal,
croit-elle. Elle n’ose plus vous regarder en face, elle n’ose plus vous parler,
elle compromet l’intimité qui vous liait… elle perd sur tous les tableaux.
Si vous lui en donnez
l’occasion, sans lui en laisser le choix, je serai surprise qu’elle ne vous
avoue pas la vérité. Si, de plus, vous lui offrez une porte de sortie en expiant
son comportement déloyal, je serai étonnée qu’elle ne saisisse pas l’occasion
de laisser derrière elle son sentiment de culpabilité.
Une punition semble donc
tout à fait adaptée. Si elle est en lien avec la faute qu’elle a commise et si
elle consacre le lien mère fille que vous avez construit, ce n’en sera que
mieux pour elle. Je vous assure qu’elle vous en sera reconnaissante.
Vous vous doutes de
quel type de punition je veux parler. La même que celle que vous avez imposée à
Jean-Claude, ce qui ne serait que justice et rétablirait l’équité. Une bonne
fessée déculottée me semble toute indiquée.
Docteur Jeanine Legendre,
Diplômée es fessologie
À: "jeanine legendre" <jeanine.legendre@laposte.net>
Envoyé: Jeudi 21 février 2019 23:04:17
Objet: Re: Re : Re: Re :Des
nouvelles
Docteur Legendre,
Je vous remercie de
votre réponse rapide et de vos conseils. Je vous tiens au courant.
N*****
À: "jeanine legendre" <jeanine.legendre@laposte.net>
Envoyé: Vendredi 22 février 2019 22:18:51
Objet: Re: Re: Re : Re: Re :Des
nouvelles
Docteur Legendre,
Encore une fois, vous
aviez raison. Je dois avouer que sans vos conseils avisés, je n’aurais pas osé
aller au bout, je ne crois pas. Tout s’est déroulé comme vous l’aviez prévu.
Quand C***** est
arrivée, elle était visiblement mal à l’aise. Je n’ai rien fait pour faire
disparaître la tension. Elle s’est enquis de la présence de Jean-Claude. Je lui
ai expliqué qu’il était puni, qu’il ne pouvait donc pas venir lui dire bonjour
comme d’habitude. Elle en est restée sans voix et elle est devenue toute pâle.
J’ai augmenté son trouble quand je me suis étonnée qu’elle ne soit pas plus
interrogative sur le sujet. Elle est restée muette, face à mes questions.
Je lui ai alors
expliqué pourquoi Jean-Claude était puni. Je lui ai détaillé ce qu’il avait
fait, sans mentionner que je savais qu’elle avait été sa complice dans cette
forfaiture. Sur mon insistance, elle a convenu que c’était une très grave
tromperie et que Jean-Claude avait mérité d’être puni.
Quand je lui ai dit
que je ne savais pas qui avait été sa complice dans l’affaire, elle a semblé
soulagée et troublée. Je lui ai fait admettre sans difficulté que cette
personne méritait la même punition que mon mari. Elle ne savait plus où se
mettre quand elle en a convenu. J’ai cru un instant qu’elle allait défaillir.
Je l’ai prise par le
bras pour la mener là où j’avais mis Jean-Claude au coin. Elle m’a supplié de
ne pas l’y conduire, mais je n’ai pas tenu compte de ses supplications. Elle
est encore devenue plus pâle alors que je pensais que ce ne serait pas
possible.
Nous étions juste
derrière Jean-Claude qui entendait notre conversation, quand elle a tout avoué.
Je lui ai dit que Jean-Claude m’avait révélé qu’il s’agissait d’une personne
qui habitait tout près de chez nous. Je lui ai demandé si elle avait une idée
de qui cela pourrait être. Elle a fondu en larmes, elle m’a suppliée de lui
pardonné et elle m’a confessé que c’était elle. J’ai fait celle qui était
étonnée et je l’ai ramenée dans le séjour. Quand je lui ai demandé ce que je
devais faire d’elle, elle a eu un regard suppliant.
Je lui ai annoncé qu’il
était normal de lui infliger la même sanction que celle qu’avait subie
Jean-Claude. Elle n’a pas protesté. Elle n’a pas fait un geste quand j’ai
glissé mes mains sous le bas de sa robe pour prendre le haut de sa culotte et
que je l’ai baissée. Elle n’a proféré qu’un gémissement quand je l’ai couchée
sur mes genoux. Elle n’a pas bougé quand j’ai relevé sa robe.
Elle a commencé à
réagir alors que la fessée était largement entamée et que ses fesses devaient
commencer à lui cuire, mais ce n’était pas pour tenter d’éviter la correction.
Elle pleurait, elle battait des pieds, mais elle est restée en place sur mes
genoux durant toute la fessée sans chercher à l’éviter, même quand ses fesses
sont devenues bien rouges et que je sentais la chaleur qu’elles diffusaient.
Elle s’est dépêchée
d’aller se mettre au coin quand je lui l’ai ordonné. J’ai dû user de mon
autorité pour qu’elle fasse silence en rendant ses pleurs silencieux, mais cela
m’a pris moins d’une minute et une dizaine de claques sur les fesses pour
qu’elle comprenne ce que j’exigeais d’elle. Je les ai laissés au coin pendant
plus d’une heure. Jean-Claude dans la cuisine et C***** dans le séjour.
Ce n’était que la
première partie de sa punition. Je tenais à ce qu’elle subisse les conséquences
de ses actes aussi longtemps que Jean-Claude. Je ne vous en ai pas parlé
auparavant, mais je voulais qu’elle soit punie de la même façon que lui. Il manquait un ingrédient. Sur mon ordre, je ai fait venir C***** devant moi. Elle s’est empressée d’obéir. Je lui ai fait renouveler son accord
pour subir la même punition que Jean-Claude. Elle a accepté.
J’ai fait venir
Jean-Claude et c’est alors qu’elle a découvert la cage de chasteté. Elle a
ouvert de grand yeux affolés, mais elle n’a pas fait de commentaire. Je lui ai
expliqué que Jean-Claude était soumis à une abstinence sexuelle totale pendant
un mois et qu’après cela dépendrait de son obéissance. Elle a semblé
catastrophée quand je lui ai annoncé que ce serait pareil pour elle, mais elle
n’a rien dit.
J’ai été cherché la
ceinture de chasteté que j’avais achetée pour elle et je la lui ai mise. Elle a
tressailli quand le métal recouvert de silicone est entré en contact avec ses
parties intimes. Elle a voulu se dérober, mais quelques claques sur le haut des
cuisses ont eu raison de cette rébellion. C'est sans doute un mot trop fort pour cette dérobade. Elle avait des larmes dans les yeux
quand j’ai refermé le cadenas. Puis je les ai renvoyés tous les deux, chacun
dans un coin.
Voilà, cela fait un
quart d’heure qu’ils sont au lit, chacun dans sa chambre. C***** dort dans la
chambre d’ami. Je ne l’ai pas laissée retourner dans son appartement. J’ai été
cherché quelques affaires de toilette et sa chemise de nuit chez elle et je lui
ai dit qu’elle dormirait chez moi au moins pendant le mois d’abstinence afin
que je sois certaine qu’elle se conformait à mes consignes. Elle n’a pas réagi.
Je l’ai déshabillée
et mise au lit. Elle m’a laissé faire, comme si c’était naturel. Je m’apprêtais
à sortir quand elle m’a rappelée. Elle m’a demandé si je lui pardonnais. Je lui
ai répondu que nous verrions cela dans un mois. Elle s’est remise à pleurer. Je
me suis assise sur le bord de son lit et elle a posé sa tête sur mes genoux en
me demandant pardon. Pendant que je lui expliquais que cela ne voulait pas dire
que je serai fâchée avec elle pendant un mois, je lui caressais le dos et ma
main est descendue sr ses fesses que la chemise de nuit ne couvrait plus. Elle
a eu un petit recul, puis elle s’est détendue. Elle s’est endormie dans cette
position.
Voilà ! J’ai
bien peur que je me retrouve avec deux enfants sur les bras, deux enfants dont
il va falloir que je m’occupe au quotidien, que je surveille leur comportement
et que je les fesse quand ils l’auront mérité. Vous aviez aussi raison sur ce
point. Cela ne m’effraye pas. Au contraire ! Je crois que maintenant que les
choses ont été mises au clair, ce sera bien plus simple.
N*****
De : jeanine legendre" <jeanine.legendre@laposte.net>
Envoyé : Samedi 23 février 2019 09:13:48
Objet : Re: Re : Re: Re : Re :Des
nouvelles
N*****,
Je ne sais pas si
vous vous rendez bien compte comment vous avez, en une soirée, une fessé et la
pose d’une ceinture de chasteté, résolu un nombre considérable de problème pour
vos deux protégés.
Puisque vous avez traité
C***** de la même façon que lui, Jean-Claude sait maintenant que les punitions
qu’il subit sont la conséquence d’une justice que vous appliquez en raison de
ses errements et non par l’effet de votre arbitraire. En effet, ils ont été
deux à commettre ensemble la même faute, ils sont deux à en supporter les mêmes
contrecoups. Les mêmes causes ont produit les mêmes effets. S’il pouvait avoir
des doutes sur le bien-fondé des punitions que vous lui donnez, comment
pourrait-il les avoir encore ?
Vous avez permis à
C***** de dépasser son sentiment de culpabilité, tout en gardant votre
affection. Elle a commis une grosse bêtise, elle en a été justement punie et de
la même façon que son comparse. Vous avez sévi à juste titre et la fessée
qu’elle a reçue de votre main a certainement été salutaire. Cela a consisté en
une leçon qu’elle n’oubliera pas de si tôt.
Je comprends la
logique de la chasteté que vous leur imposez. Non seulement vous êtes celle qui
décide de la discipline, mais vous vous contrôlez également leur sexualité. Ils
ne doivent plus tout à fait se sentir adulte. Vous avez pris en mains leur
destin et cela ne doit pas leur déplaire, s’il n’était les fessées et la
chasteté forcée.
Ils vont se trouver
tiraillés entre le souhait de vous obéir afin de mériter votre affection et la
colère d’être contraints par vos décisions qui ne leur conviendront pas à
chaque fois et qu’ils vivront parfois comme arbitraires. Ils vont vous voir
alternativement comme la personne à laquelle ils veulent plaire à tout prix et celle
qui les punit. Alternative dont il est impossible de sortir. Vous aurez noté
que c’est l’image qu’une mère a auprès de ses enfants, ce qui décrit bien la
nature des relations qu’ils auront désormais avec vous.
Vous avez donc bien
raison de dire que vous avez maintenant deux enfants à vous occuper. Cela
implique de nombreux devoirs que vous allez devoir assumer. Il vous revient,
maintenant, la responsabilité de tous les instants de leur vie, mais je pense
que vous y êtes prête.
N’hésitez pas à me
recontacter si vous souhaitez échanger sur des sujets concernant l’éducation de
vos deux pupilles.
Docteur Jeanine Legendre,
Diplômée es fessologie
À: "jeanine legendre" <jeanine.legendre@laposte.net>
Envoyé: Vendredi 1er mars 2019 21:12:23
Objet: Re: Re : Re: Re : Re:
Re :Des nouvelles
Docteur Legendre,
J’ai bien entendu
votre avertissement derrière les encouragements que vous me prodiguiez dans
votre dernier courriel. Si je n’avais pas tant de plaisir à échanger avec vous,
ce serait lassant de devoir reconnaître encore une fois que vous avez raison.
Je savais que je
m’étais mis une charge sur le dos, mais je ne m’attendais pas à ce qu’elle soit
aussi lourde. Vous l’évoquiez à mi-mots et elle est bien réelle.
Les problèmes
domestiques à régler ont commencé dès dimanche dernier. J’avais résolu de
traiter C***** comme je le faisais avec Jean-Claude. Je m’appuyais ainsi sur
les principes que vous aviez mis en évidence. Je les ai donc mis tous les deux
ensembles dans le bain. C***** a fait quelques difficultés quand j’ai voulu la
déshabiller, mais quelques claques sur les fesses l’ont ramenée à la raison.
J’ai bien noté que Jean-Claude n’était pas plus satisfait qu’elle de devoir se
montrer nu, mais il n’a pas insisté quand il a vu de quelle façon je traitais
ce genre de caprice.
Puisque je dois
m’occuper de leur ustensile de chasteté, je préfère leur faire leur toilette
complètement. J’avais remarqué avec Jean-Claude et la semaine passée avec
C***** me l’a confirmé, que quand je m’en occupe, elle est faite bien plus
minutieusement.
J’ai donc ôté à l’un
sa cage et à l’autre sa ceinture. A ma grande surprise, ils ont fait assaut de
pudeur dès que leurs organes génitaux ont été dévoilés. Je leur ai fait
remarquer ironiquement que ce n’était pourtant pas la première fois qu’ils se
voyaient totalement nus, mais ma réflexion qui les a fait rougir, ne les a pas
fait changer d’attitude.
Il m’a suffi d’élever
la voix pour que Jean-Claude me laisse faire. Il avait déjà quelques semaines d’habitude.
C’est quand j’ai voulu laver sa verge et ses testicules que les ennuis ont
commencé. Il a voulu, peut-être inconsciemment, nous montrer sa virilité. Dès que j’ai senti les premiers
gonflements, j’ai saisi la brosse de bain et je l’ai appliquée une bonne
dizaine de fois sur chaque fesse. Cela l’a calmé aussitôt et j’ai pu finir sa
toilette sans difficulté.
C*****, par contre a
refusé d’enlever ses mains posées devant son sexe. J’ai été patiente jusqu’à ce
qu’elle ait refusé de lever ses bras pour que je lui lave les aisselles. Elle a
pris une fessée et elle a cédé assez vite, mais visiblement à contrecœur. Je
lui ai dit que je ne supportais pas les petites filles qui boudaient. Elle a
fait des efforts pour paraître moins renfrognée, mais je voyais bien que c’était
forcé.
C’est quand j’ai
voulu laver son entrejambe que les choses se sont compliquées. Elle a refusé,
remettant ses mains pour protéger son sexe, comme si j’en avais après cette
partie de son anatomie. J’ai posé un pied sur le bord de la baignoire et je l’ai
courbée sur ma cuisse. Elle a eu un petit réflexe de recul, mais quand j’ai
élevé la voix, elle a compris qu’elle allait top loin. Je l’ai mise rudement en
position à plat ventre en travers de ma cuisse. J’ai pris la brosse de bain et je lui ai donné une longue fessée qui
l’a laissé en larmes. Après il n’y a plus eu de souci.
Je voulais qu’elle
comprenne qu’avec moi, ce genre de comédie n’avait pas cours. Je pense qu’elle
n’est pas prête à recommencer. Si je dois me battre à chaque fois que je
devrais avoir accès à son intimité, je ne vais pas m’en sortir. Elle doit l'admettre de suite.
Ils ont été très
sages quand je les ai sortis du bain et que je les ai séchés. Je devais encore
laver la cage et la ceinture. Il était donc inutile de les habiller
complètement alors qu’il aurait fallu les déculotter une dizaine de minutes
plus tard. Je leur ai donc mis qu’un tee-shirt et je les ai envoyés jouer dans
le séjour. Que des enfants, même à leur âge, soient les fesses nues à l’intérieur
de la maison en attendant qu’on soit prêt à les habiller, n’avait rien de
choquant. Ils se sont regardés interloqués et j’ai dû élever la voix pour qu’ils
consentent à filer là où je leur avais dit d’aller. Après tout, il n’y avait
rien qu’ils n’aient déjà vu et moi non plus.
Je n’ai pas eu le
temps de finir le nettoyage que j’avais entrepris quand j’ai entendu des éclats
de voix. C’était à qui accuserait l’autre d’être la cause de la situation dans
laquelle il se trouvait. Je les ai courbés l’un après l’autre sous mon bras, ils
ont pris une bonne fessée et je les ai mis au coin. Ce n’est vraiment que quand
ils sont tous les deux au coin que j’ai vraiment la paix.
Je ne mesurais pas
combien le fait d’en avoir deux multiplie les problèmes. Il y a, bien sûr les
bêtises qui sont multipliées par deux, puisqu’ils sont deux à en faire, mais de
plus ils s’entraînent l’un l’autre et il n’est pas rare que je doive les fesser
conjointement. Et c’est sans compter sur les chamailleries Trois fois aujourd’hui,
pour des broutilles ! Donc trois fessées chacun et trois longs moments au
coin. Ils en ressortent contrits et pleins de bonne résolution… jusqu’à la
prochaine fois.
J’ai relu le début de
mon courriel et je me rends compte que j’ai l’air de me plaindre de ma
situation. Il n’en est rien et je ne voudrais pas que vous arriviez à cette
conclusion. Il y a aussi de nombreux moments très gratifiants. Ils sont très
affectueux et viennent chercher des câlins sur mes genoux dès qu’il le peuvent.
Ils semblent adorer ces instants-là et moi aussi.
Là encore j’ai dû
mettre des règles : un genou pour chacun et il y a de la place pour deux.
Chacun a une épaule pour poser sa tête et je dispose d’une main chacun pour les
caresses dans le dos et sur les fesses de chacun de mes deux enfants. C’est une
question d’organisation.
Je vous passe les
quelques minutes d’intimité avec chacun d’eux quand je les ai mis au lit, les
demandes de pardon après avoir reçu une fessée et surtout les progrès qu’ils
font à vue d’œil.
Je suis bien fatiguée
le soir. Ces deux-là m’épuisent, mais c’est une fatigue saine. Je sais que ce
que je fais est utile et je me couche avec le sentiment du devoir accompli.
N*****
De : jeanine legendre" <jeanine.legendre@laposte.net>
Envoyé : Samedi 23 février 2019 09:13:48
Objet : Re: Re : Re: Re : Re: Re :
Re :Des nouvelles
N*****,
J’espère que vos deux
chenapans se rendent compte de la chance qu’ils ont de vous avoir.
Je suis très contente
si j’ai pu vous être d’une quelconque utilité, mais vous semblez avoir les
ressources pour trouver, vous-même, les solutions aux problèmes qui se
présenteront.
Je suppose que vous n’avez
rien contre une publication de nos échanges ? J’aimerais qu’il y ait plus
de gens qui prennent modèle sur vous.
N’hésitez pas à
revenir vers moi dès que vous le souhaitez. C’est avec plaisir que je recevrai
de vos nouvelles.
Docteur Jeanine Legendre,
Diplômée es fessologie
À: "jeanine legendre" <jeanine.legendre@laposte.net>
Envoyé: Vendredi 1er mars 2019 21:12:23
Objet: Re: Re : Re: Re : Re:
Re :Des nouvelles
Docteur Legendre,
Aucun problème pour
une prochaine publication.
Je vous remercie
encore une fois de vos conseils. Ils sont précieux.
N*****
Pour ceux à qui la première consultation de Noémie aurait échappé
D'autres consultations du Docteur Legendre à lire sur ce blog :
Aller plus loin ?
Si vous souhaitez réagir, commenter, vous interroger ou envisager une consultation par internet sur votre propre situation ... laissez un commentaire ci-dessous.
Vous pouvez également contacter directement, par courriel, le Docteur Legendre.
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