vendredi 8 mars 2019

Consultation es fessée - Noémie - Des nouvelles

Noémie fait de nouveau appel au Docteur Legendre. Il ne s'agit plus seulement de Jean-Claude. Je vous laisse découvrir cette situation qui peut, sans doute inspirer ou rappeler des souvenirs à bien des tutrices
Pour des raisons que vous comprendrez aisément, secret médical oblige, les détails trop personnels (noms de famille, lieu, prénoms parfois...) qui permettraient d'identifier les patients, ont été modifiés ou anonymisés.


À: "jeanine legendre" <jeanine.legendre@laposte.net>
Envoyé: Jeudi 21 février 2019 12:32:04
Objet: Des nouvelles

Bonjour Docteur Legendre,
Je vous avais promis des nouvelles, je vous en donne donc mais je voudrais surtout avoir votre avis sur les nouvelles résolutions que j’ai prises.

Bien que je n’aie pas abordé le sujet dans mes précédents courriels, je trouvais que C*****, s’en tirait trop bien dans cette affaire.

C*****, c’est la voisine avec qui mon cher mari s’est permis les infidélités à mon égard dont je vous ai parlé dans mes précédents courriels. Je vous ai dit que c’est une de mes très bonnes amies, peut-être la meilleure. Nous nous connaissons depuis notre adolescence. Nos liens sont devenus très forts quand elle a été larguée par un petit ami, il y a un peu plus de dix ans.
Elle était au fond du trou et je l’ai aidée à remonter la pente. J’ai dû la secouer un peu à l’époque et nous en rions souvent ensemble depuis. J’avais été très énergique, y compris en lui imposant physiquement de sortir de la torpeur dans laquelle elle se laissait couler.  Je me rappelle le jour où je l'ai sortie de son lit et où je l'ai déshabillée pour la mettre sous la douche, ce qu'elle n'avait pas fait de toute la semaine qui avait précédé. Elle m’a souvent dit qu’elle n’aimerait pas m’avoir pour mère, de peur que je la punisse. Je l’en avais menacé à ce moment-là si elle ne se secouait pas un peu. Cela avait été efficace.
Je vous ai dit que c’est une amie. En fait, elle est un peu plus que cela. Depuis cette époque, j’ai pris une certaine ascendance sur elle. Elle a pris l’habitude de me demander conseils sur beaucoup de ce qui concerne sa vie et je n’hésite pas à la gronder quand je le juge nécessaire. Elle accepte ces réprimandes et souvent, elle suit mes recommandations.
Il est arrivé trois ou quatre fois qu’elle ait refusé de m’écouter et qu’elle ait cherché à mettre fin, aux reproches que je lui faisais, en quittant la pièce où nous étions. A chaque fois, je l’ai ramenée de là où elle venait, manu-militari. Il faut dire qu’elle est plus petite, plus légère que moi et bien moins sportive. Cela me facilite les choses. La dernière fois, je l’ai prise par l’oreille. Elle s’est plainte de la douleur que ça lui faisait, mais pas du geste lui-même. Je tiens à ce qu’elle comprenne que je veux bien passer du temps à l’épauler, mais qu’il faut qu’elle y mette du sien.
Ce jour-là, elle voulait se lancer dans une nouvelle histoire sentimentale avec un homme marié qui avait trente-cinq ans de plus qu’elle. Je lui ai interdit de le revoir et je crois que c’est ce qu’elle a fait. J’ai une réelle influence sur elle et elle passe de longs moments chez nous. Elle passait, devrais-je dire. Elle n’a pas mis un pied à la maison depuis plus d’un mois.

Mon mari et elle se taquinaient, comme l’auraient fait un frère et une sœur. C’est ce qu’elle est pour moi : une petite sœur malheureusement pas toujours responsable de ses actes. Vous comprendrez donc ma fureur quand j’ai appris que c’était avec elle que Jean-Claude m’a trompée. J’ai autant été déçue par l’attitude de Jean-Claude que par la sienne.

Dans un premier temps, j’ai envisagé de couper toute relation avec elle. Puis je me suis dit que ma réaction n’était pas adaptée à la situation. Elle devait faire face à la situation dont elle était complice et en subir les conséquences comme Jean-Claude doit le faire depuis quatre semaine.
J’ai demandé à C***** de passer demain soir. Je pense que je vais la punir.
Qu’en pensez-vous ?

J’espère une réponse de votre part.
N*****



De : jeanine legendre" <jeanine.legendre@laposte.net>
Envoyé : Jeudi 21 février 2019 20:10:18
Objet : Re :Des nouvelles

Bonjour N*****,
Je suis ravie d’avoir de vos nouvelles. Je n’en attendais pas de si tôt. Comme promis, je prendrai le temps de vous répondre, d’autant plus que votre situation et surtout la façon dont vous la prenez en mains me semblent très intéressantes.

Je n’avais pas détecté, dans vos précédents courriels, une telle proximité affective avec la personne qui vous a trompée avec votre mari. Je comprends que vous ne puissiez faire comme s’il ne s’était rien passé.
Puis-je user de mon expérience dans ces situations pour me permettre quelques hypothèses sur la relation qui vous lie à C***** ? Je pense qu’elles pourront vous être utiles pour bien savoir où vous devez aller et de quelle façon.

Vous avez raison de dire que le lien qui vous unit est un peu plus que de l’amitié. Cela transparaît dans toutes vos phrases. Vous faites allusion à une relation grande sœur / petite sœur. Ne serait-ce pas plutôt de lien maternels dont il faudrait plutôt parler ? Le peu de différence d’âge n’a rien à voir dans l’affaire. Il n’est pas un obstacle.
Je l’avais remarqué lors de notre précédente série d’échanges. Vous faites partie des personnes qui entrent très facilement en empathie avec les autres. Vous vous sentez concernée non seulement par ce qu’ils sont et font, mais également par ce qu’ils pourraient devenir.
Vous avez également un sens de la responsabilité qui vous amène à les soutenir quand ils rencontrent des difficultés. Par contre, vous ne tombez pas dans la facilité qui consisterait à vous lamenter avec eux. Tout au contraire, vous êtes l’épaule sur laquelle ils peuvent s’appuyer. Tous ces éléments sont des qualités rares. Elles sont alliées à un propension à l’autorité qui vous conduit à être ferme quand vous voyez l’un de vos proches s’engager sur un chemin qui ne mène nulle part. Voyez, par exemple l'épisode de la douche que vous évoquez.
Il n’est donc pas étonnant que vous ayez rejeté l’hypothèse qui consistait à faire sortir de votre vie celle que vous considérez au fond de vous-même et que vous traitez comme votre fille adoptive.

Il serait intéressant que vous compreniez dans quel état d’esprit elle se trouve maintenant. N’êtes-vous pas étonnée de son changement de comportement à votre égard ? Il faudrait réussir à donner un sens à ses réactions.
Si elle ne vient plus chez vous, sans doute l’avez-vous croisée en rentrant chez vous ou en en sortant. Quelle a été son attitude à ces moments-là ?
Donnez-moi un peu plus d’éléments sur ce sujet que je puisse émettre des hypothèses en les appuyant sur des faits et pas seulement sur des ressentis.
J’attends votre réponse.

Docteur Jeanine Legendre,
Diplômée es fessologie


À: "jeanine legendre" <jeanine.legendre@laposte.net>
Envoyé: Jeudi 21 février 2019 21:53:36
Objet: Re: Re :Des nouvelles

Docteur Legendre,
Merci de votre réponse rapide. Si ce n’est pas trop demander, puisque j’ai demandé à C***** de passer me voir demain dans la soirée, si vous pouviez me faire part de votre analyse avant demain en fin d’après-midi, cela me serait d’un grand secours. Mais je me doute que vous êtes très occupée et je ne vous en voudrai pas si ce n’est pas le cas.

C***** m’évite depuis la mi-janvier, depuis que j’ai découvert la liaison que mon mari et elle entretenaient. Quand je la croise, elle baisse les yeux, elle hâte le pas et elle ne me répond que par monosyllabe. Je l’ai aperçue une fois faire demi-tour, alors que nous venions l’une vers l’autre sur le même trottoir.
Je ne lui ai pourtant fait aucun reproche. Je ne lui ai même pas dit que j’étais au courant de la situation et j’ai interdit à Jean-Claude de lui en parler. Comme Jean-Claude sort très peu du fait de sa punition et dans ces cas-là en général je l’accompagne, je ne crois pas qu’il en ait eu l’occasion et encore moins l’envie. Elle ne sait pas que je sais.
Quand, avant-hier, je lui ai demandé de passer à la maison demain soir, elle m’a regardé dans les yeux, ce qu’elle n’avait pas fait depuis qu’elle m’évite. J’ai une l’impression qu’elle avait l’air soulagée.
Etait-ce ce genre de choses que vous vouliez savoir ?

J’espère une réponse de votre part.
N*****



De : jeanine legendre" <jeanine.legendre@laposte.net>
Envoyé : Jeudi 21 février 2019 22:42:09
Objet : Re: Re Re :Des nouvelles

Bonjour N*****,
C’est exactement cela dont j’avais besoin. Mes hypothèses sont ainsi bien mieux étayées et bien plus crédibles.
Je n’ai plus aucun doute sur le fort sentiment de culpabilité que C***** doit ressentir à votre égard. Elle sait qu’elle vous a trahie et elle ne sait pas comment renouer la relation qui vous liait tout en faisant preuve à votre égard d’un minimum d’honnêteté. C'est impossible sans vous avouer son forfait.
Comme elle ne sait pas que vous êtes au courant, elle ne peut le faire sans vous faire du mal, croit-elle. Elle n’ose plus vous regarder en face, elle n’ose plus vous parler, elle compromet l’intimité qui vous liait… elle perd sur tous les tableaux.

Si vous lui en donnez l’occasion, sans lui en laisser le choix, je serai surprise qu’elle ne vous avoue pas la vérité. Si, de plus, vous lui offrez une porte de sortie en expiant son comportement déloyal, je serai étonnée qu’elle ne saisisse pas l’occasion de laisser derrière elle son sentiment de culpabilité.
Une punition semble donc tout à fait adaptée. Si elle est en lien avec la faute qu’elle a commise et si elle consacre le lien mère fille que vous avez construit, ce n’en sera que mieux pour elle. Je vous assure qu’elle vous en sera reconnaissante.

Vous vous doutes de quel type de punition je veux parler. La même que celle que vous avez imposée à Jean-Claude, ce qui ne serait que justice et rétablirait l’équité. Une bonne fessée déculottée me semble toute indiquée.

Docteur Jeanine Legendre,
Diplômée es fessologie



À: "jeanine legendre" <jeanine.legendre@laposte.net>
Envoyé: Jeudi 21 février 2019 23:04:17
Objet: Re: Re : Re: Re :Des nouvelles

Docteur Legendre,
Je vous remercie de votre réponse rapide et de vos conseils. Je vous tiens au courant.

N*****



À: "jeanine legendre" <jeanine.legendre@laposte.net>
Envoyé: Vendredi 22 février 2019 22:18:51
Objet: Re: Re: Re : Re: Re :Des nouvelles

Docteur Legendre,
Encore une fois, vous aviez raison. Je dois avouer que sans vos conseils avisés, je n’aurais pas osé aller au bout, je ne crois pas. Tout s’est déroulé comme vous l’aviez prévu.

Quand C***** est arrivée, elle était visiblement mal à l’aise. Je n’ai rien fait pour faire disparaître la tension. Elle s’est enquis de la présence de Jean-Claude. Je lui ai expliqué qu’il était puni, qu’il ne pouvait donc pas venir lui dire bonjour comme d’habitude. Elle en est restée sans voix et elle est devenue toute pâle. J’ai augmenté son trouble quand je me suis étonnée qu’elle ne soit pas plus interrogative sur le sujet. Elle est restée muette, face à mes questions.
Je lui ai alors expliqué pourquoi Jean-Claude était puni. Je lui ai détaillé ce qu’il avait fait, sans mentionner que je savais qu’elle avait été sa complice dans cette forfaiture. Sur mon insistance, elle a convenu que c’était une très grave tromperie et que Jean-Claude avait mérité d’être puni.
Quand je lui ai dit que je ne savais pas qui avait été sa complice dans l’affaire, elle a semblé soulagée et troublée. Je lui ai fait admettre sans difficulté que cette personne méritait la même punition que mon mari. Elle ne savait plus où se mettre quand elle en a convenu. J’ai cru un instant qu’elle allait défaillir.
Je l’ai prise par le bras pour la mener là où j’avais mis Jean-Claude au coin. Elle m’a supplié de ne pas l’y conduire, mais je n’ai pas tenu compte de ses supplications. Elle est encore devenue plus pâle alors que je pensais que ce ne serait pas possible.
Nous étions juste derrière Jean-Claude qui entendait notre conversation, quand elle a tout avoué. Je lui ai dit que Jean-Claude m’avait révélé qu’il s’agissait d’une personne qui habitait tout près de chez nous. Je lui ai demandé si elle avait une idée de qui cela pourrait être. Elle a fondu en larmes, elle m’a suppliée de lui pardonné et elle m’a confessé que c’était elle. J’ai fait celle qui était étonnée et je l’ai ramenée dans le séjour. Quand je lui ai demandé ce que je devais faire d’elle, elle a eu un regard suppliant.

Je lui ai annoncé qu’il était normal de lui infliger la même sanction que celle qu’avait subie Jean-Claude. Elle n’a pas protesté. Elle n’a pas fait un geste quand j’ai glissé mes mains sous le bas de sa robe pour prendre le haut de sa culotte et que je l’ai baissée. Elle n’a proféré qu’un gémissement quand je l’ai couchée sur mes genoux. Elle n’a pas bougé quand j’ai relevé sa robe.
Elle a commencé à réagir alors que la fessée était largement entamée et que ses fesses devaient commencer à lui cuire, mais ce n’était pas pour tenter d’éviter la correction. Elle pleurait, elle battait des pieds, mais elle est restée en place sur mes genoux durant toute la fessée sans chercher à l’éviter, même quand ses fesses sont devenues bien rouges et que je sentais la chaleur qu’elles diffusaient.
Elle s’est dépêchée d’aller se mettre au coin quand je lui l’ai ordonné. J’ai dû user de mon autorité pour qu’elle fasse silence en rendant ses pleurs silencieux, mais cela m’a pris moins d’une minute et une dizaine de claques sur les fesses pour qu’elle comprenne ce que j’exigeais d’elle. Je les ai laissés au coin pendant plus d’une heure. Jean-Claude dans la cuisine et C***** dans le séjour.

Ce n’était que la première partie de sa punition. Je tenais à ce qu’elle subisse les conséquences de ses actes aussi longtemps que Jean-Claude. Je ne vous en ai pas parlé auparavant, mais je voulais qu’elle soit punie de la même façon que lui. Il manquait un ingrédient. Sur mon ordre, je ai fait venir C***** devant moi. Elle s’est empressée d’obéir. Je lui ai fait renouveler son accord pour subir la même punition que Jean-Claude. Elle a accepté.
J’ai fait venir Jean-Claude et c’est alors qu’elle a découvert la cage de chasteté. Elle a ouvert de grand yeux affolés, mais elle n’a pas fait de commentaire. Je lui ai expliqué que Jean-Claude était soumis à une abstinence sexuelle totale pendant un mois et qu’après cela dépendrait de son obéissance. Elle a semblé catastrophée quand je lui ai annoncé que ce serait pareil pour elle, mais elle n’a rien dit.
J’ai été cherché la ceinture de chasteté que j’avais achetée pour elle et je la lui ai mise. Elle a tressailli quand le métal recouvert de silicone est entré en contact avec ses parties intimes. Elle a voulu se dérober, mais quelques claques sur le haut des cuisses ont eu raison de cette rébellion. C'est sans doute un mot trop fort pour cette dérobade. Elle avait des larmes dans les yeux quand j’ai refermé le cadenas. Puis je les ai renvoyés tous les deux, chacun dans un coin.

Voilà, cela fait un quart d’heure qu’ils sont au lit, chacun dans sa chambre. C***** dort dans la chambre d’ami. Je ne l’ai pas laissée retourner dans son appartement. J’ai été cherché quelques affaires de toilette et sa chemise de nuit chez elle et je lui ai dit qu’elle dormirait chez moi au moins pendant le mois d’abstinence afin que je sois certaine qu’elle se conformait à mes consignes. Elle n’a pas réagi.
Je l’ai déshabillée et mise au lit. Elle m’a laissé faire, comme si c’était naturel. Je m’apprêtais à sortir quand elle m’a rappelée. Elle m’a demandé si je lui pardonnais. Je lui ai répondu que nous verrions cela dans un mois. Elle s’est remise à pleurer. Je me suis assise sur le bord de son lit et elle a posé sa tête sur mes genoux en me demandant pardon. Pendant que je lui expliquais que cela ne voulait pas dire que je serai fâchée avec elle pendant un mois, je lui caressais le dos et ma main est descendue sr ses fesses que la chemise de nuit ne couvrait plus. Elle a eu un petit recul, puis elle s’est détendue. Elle s’est endormie dans cette position.

Voilà ! J’ai bien peur que je me retrouve avec deux enfants sur les bras, deux enfants dont il va falloir que je m’occupe au quotidien, que je surveille leur comportement et que je les fesse quand ils l’auront mérité. Vous aviez aussi raison sur ce point. Cela ne m’effraye pas. Au contraire ! Je crois que maintenant que les choses ont été mises au clair, ce sera bien plus simple.

N*****



De : jeanine legendre" <jeanine.legendre@laposte.net>
Envoyé : Samedi 23 février 2019 09:13:48
Objet : Re: Re : Re: Re : Re :Des nouvelles

N*****,
Je ne sais pas si vous vous rendez bien compte comment vous avez, en une soirée, une fessé et la pose d’une ceinture de chasteté, résolu un nombre considérable de problème pour vos deux protégés.

Puisque vous avez traité C***** de la même façon que lui, Jean-Claude sait maintenant que les punitions qu’il subit sont la conséquence d’une justice que vous appliquez en raison de ses errements et non par l’effet de votre arbitraire. En effet, ils ont été deux à commettre ensemble la même faute, ils sont deux à en supporter les mêmes contrecoups. Les mêmes causes ont produit les mêmes effets. S’il pouvait avoir des doutes sur le bien-fondé des punitions que vous lui donnez, comment pourrait-il les avoir encore ?
Vous avez permis à C***** de dépasser son sentiment de culpabilité, tout en gardant votre affection. Elle a commis une grosse bêtise, elle en a été justement punie et de la même façon que son comparse. Vous avez sévi à juste titre et la fessée qu’elle a reçue de votre main a certainement été salutaire. Cela a consisté en une leçon qu’elle n’oubliera pas de si tôt.

Je comprends la logique de la chasteté que vous leur imposez. Non seulement vous êtes celle qui décide de la discipline, mais vous vous contrôlez également leur sexualité. Ils ne doivent plus tout à fait se sentir adulte. Vous avez pris en mains leur destin et cela ne doit pas leur déplaire, s’il n’était les fessées et la chasteté forcée.
Ils vont se trouver tiraillés entre le souhait de vous obéir afin de mériter votre affection et la colère d’être contraints par vos décisions qui ne leur conviendront pas à chaque fois et qu’ils vivront parfois comme arbitraires. Ils vont vous voir alternativement comme la personne à laquelle ils veulent plaire à tout prix et celle qui les punit. Alternative dont il est impossible de sortir. Vous aurez noté que c’est l’image qu’une mère a auprès de ses enfants, ce qui décrit bien la nature des relations qu’ils auront désormais avec vous.

Vous avez donc bien raison de dire que vous avez maintenant deux enfants à vous occuper. Cela implique de nombreux devoirs que vous allez devoir assumer. Il vous revient, maintenant, la responsabilité de tous les instants de leur vie, mais je pense que vous y êtes prête.
N’hésitez pas à me recontacter si vous souhaitez échanger sur des sujets concernant l’éducation de vos deux pupilles.

Docteur Jeanine Legendre,
Diplômée es fessologie



À: "jeanine legendre" <jeanine.legendre@laposte.net>
Envoyé: Vendredi 1er mars 2019 21:12:23
Objet: Re: Re : Re: Re : Re: Re :Des nouvelles

Docteur Legendre,
J’ai bien entendu votre avertissement derrière les encouragements que vous me prodiguiez dans votre dernier courriel. Si je n’avais pas tant de plaisir à échanger avec vous, ce serait lassant de devoir reconnaître encore une fois que vous avez raison.
Je savais que je m’étais mis une charge sur le dos, mais je ne m’attendais pas à ce qu’elle soit aussi lourde. Vous l’évoquiez à mi-mots et elle est bien réelle.

Les problèmes domestiques à régler ont commencé dès dimanche dernier. J’avais résolu de traiter C***** comme je le faisais avec Jean-Claude. Je m’appuyais ainsi sur les principes que vous aviez mis en évidence. Je les ai donc mis tous les deux ensembles dans le bain. C***** a fait quelques difficultés quand j’ai voulu la déshabiller, mais quelques claques sur les fesses l’ont ramenée à la raison. J’ai bien noté que Jean-Claude n’était pas plus satisfait qu’elle de devoir se montrer nu, mais il n’a pas insisté quand il a vu de quelle façon je traitais ce genre de caprice.
Puisque je dois m’occuper de leur ustensile de chasteté, je préfère leur faire leur toilette complètement. J’avais remarqué avec Jean-Claude et la semaine passée avec C***** me l’a confirmé, que quand je m’en occupe, elle est faite bien plus minutieusement.
J’ai donc ôté à l’un sa cage et à l’autre sa ceinture. A ma grande surprise, ils ont fait assaut de pudeur dès que leurs organes génitaux ont été dévoilés. Je leur ai fait remarquer ironiquement que ce n’était pourtant pas la première fois qu’ils se voyaient totalement nus, mais ma réflexion qui les a fait rougir, ne les a pas fait changer d’attitude.
Il m’a suffi d’élever la voix pour que Jean-Claude me laisse faire. Il avait déjà quelques semaines d’habitude. C’est quand j’ai voulu laver sa verge et ses testicules que les ennuis ont commencé. Il a voulu, peut-être inconsciemment, nous montrer sa virilité. Dès que j’ai senti les premiers gonflements, j’ai saisi la brosse de bain et je l’ai appliquée une bonne dizaine de fois sur chaque fesse. Cela l’a calmé aussitôt et j’ai pu finir sa toilette sans difficulté.
C*****, par contre a refusé d’enlever ses mains posées devant son sexe. J’ai été patiente jusqu’à ce qu’elle ait refusé de lever ses bras pour que je lui lave les aisselles. Elle a pris une fessée et elle a cédé assez vite, mais visiblement à contrecœur. Je lui ai dit que je ne supportais pas les petites filles qui boudaient. Elle a fait des efforts pour paraître moins renfrognée, mais je voyais bien que c’était forcé.
C’est quand j’ai voulu laver son entrejambe que les choses se sont compliquées. Elle a refusé, remettant ses mains pour protéger son sexe, comme si j’en avais après cette partie de son anatomie. J’ai posé un pied sur le bord de la baignoire et je l’ai courbée sur ma cuisse. Elle a eu un petit réflexe de recul, mais quand j’ai élevé la voix, elle a compris qu’elle allait top loin. Je l’ai mise rudement en position à plat ventre en travers de ma cuisse. J’ai pris la brosse de bain et je lui ai donné une longue fessée qui l’a laissé en larmes. Après il n’y a plus eu de souci.
Je voulais qu’elle comprenne qu’avec moi, ce genre de comédie n’avait pas cours. Je pense qu’elle n’est pas prête à recommencer. Si je dois me battre à chaque fois que je devrais avoir accès à son intimité, je ne vais pas m’en sortir. Elle doit l'admettre de suite.

Ils ont été très sages quand je les ai sortis du bain et que je les ai séchés. Je devais encore laver la cage et la ceinture. Il était donc inutile de les habiller complètement alors qu’il aurait fallu les déculotter une dizaine de minutes plus tard. Je leur ai donc mis qu’un tee-shirt et je les ai envoyés jouer dans le séjour. Que des enfants, même à leur âge, soient les fesses nues à l’intérieur de la maison en attendant qu’on soit prêt à les habiller, n’avait rien de choquant. Ils se sont regardés interloqués et j’ai dû élever la voix pour qu’ils consentent à filer là où je leur avais dit d’aller. Après tout, il n’y avait rien qu’ils n’aient déjà vu et moi non plus.
Je n’ai pas eu le temps de finir le nettoyage que j’avais entrepris quand j’ai entendu des éclats de voix. C’était à qui accuserait l’autre d’être la cause de la situation dans laquelle il se trouvait. Je les ai courbés l’un après l’autre sous mon bras, ils ont pris une bonne fessée et je les ai mis au coin. Ce n’est vraiment que quand ils sont tous les deux au coin que j’ai vraiment la paix.

Je ne mesurais pas combien le fait d’en avoir deux multiplie les problèmes. Il y a, bien sûr les bêtises qui sont multipliées par deux, puisqu’ils sont deux à en faire, mais de plus ils s’entraînent l’un l’autre et il n’est pas rare que je doive les fesser conjointement. Et c’est sans compter sur les chamailleries Trois fois aujourd’hui, pour des broutilles ! Donc trois fessées chacun et trois longs moments au coin. Ils en ressortent contrits et pleins de bonne résolution… jusqu’à la prochaine fois.


J’ai relu le début de mon courriel et je me rends compte que j’ai l’air de me plaindre de ma situation. Il n’en est rien et je ne voudrais pas que vous arriviez à cette conclusion. Il y a aussi de nombreux moments très gratifiants. Ils sont très affectueux et viennent chercher des câlins sur mes genoux dès qu’il le peuvent. Ils semblent adorer ces instants-là et moi aussi.
Là encore j’ai dû mettre des règles : un genou pour chacun et il y a de la place pour deux. Chacun a une épaule pour poser sa tête et je dispose d’une main chacun pour les caresses dans le dos et sur les fesses de chacun de mes deux enfants. C’est une question d’organisation.
Je vous passe les quelques minutes d’intimité avec chacun d’eux quand je les ai mis au lit, les demandes de pardon après avoir reçu une fessée et surtout les progrès qu’ils font à vue d’œil.
Je suis bien fatiguée le soir. Ces deux-là m’épuisent, mais c’est une fatigue saine. Je sais que ce que je fais est utile et je me couche avec le sentiment du devoir accompli.

N*****



De : jeanine legendre" <jeanine.legendre@laposte.net>
Envoyé : Samedi 23 février 2019 09:13:48
Objet : Re: Re : Re: Re : Re: Re : Re :Des nouvelles

N*****,
J’espère que vos deux chenapans se rendent compte de la chance qu’ils ont de vous avoir.
Je suis très contente si j’ai pu vous être d’une quelconque utilité, mais vous semblez avoir les ressources pour trouver, vous-même, les solutions aux problèmes qui se présenteront.
Je suppose que vous n’avez rien contre une publication de nos échanges ? J’aimerais qu’il y ait plus de gens qui prennent modèle sur vous.
N’hésitez pas à revenir vers moi dès que vous le souhaitez. C’est avec plaisir que je recevrai de vos nouvelles.

Docteur Jeanine Legendre,
Diplômée es fessologie



À: "jeanine legendre" <jeanine.legendre@laposte.net>
Envoyé: Vendredi 1er mars 2019 21:12:23
Objet: Re: Re : Re: Re : Re: Re :Des nouvelles

Docteur Legendre,
Aucun problème pour une prochaine publication.
Je vous remercie encore une fois de vos conseils. Ils sont précieux.

N*****




Pour ceux à qui la première consultation de Noémie aurait échappé


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