« Evelyne, vous ouvrez la
caisse en remplacement de Laure. Votre camarade a besoin de quelques minutes
pour être présentable.
– Oui, Madame ! »
Evelyne s’empressa d’obéir sans
montrer le moindre signe de contrariété. Ce n’était pas le moment. Madame André
m’avait demandé de balayer le grand espace de circulation qui faisait la
liaison avec le magasin, là où Laure venait de recevoir la fessée. Florence
avait suivi Geneviève dans les réserves. J’assistais donc à l’épilogue de la
punition.
Laure sanglota pendant plusieurs
minutes. Malgré sa respiration saccadée par ses pleurs, elle ne décollait pas
son nez du mur et ses doigts restaient entrelacés sur le sommet de son crâne.
Son buste et son dos n’étaient plus couverts que par son mini soutien-gorge,
autant dire que le haut de son corps était pratiquement nu. Sa culotte et son
collant étaient tombés à mi-mollets. Il n’était pas possible de se méprendre sur
ce qui venait de lui arriver tant le tableau était emblématique d’une petite
fille patientant au piquet après avoir reçu une fessée déculottée.
Les employés qui passaient
derrière elle ne pouvaient s’empêcher de tourner la tête pour lui jeter un
regard. Beaucoup l’accompagnait d’une grimace. Sans doute s’imaginaient-ils,
dans un futur proche, à la place de Laure. Aucun ne s’attardait. La
démonstration avec Laure avait été éloquente.
Alors que ses sanglots s’étaient
espacés, Laure finit par pousser un long soupir, et elle prit une respiration
normale qui n’était plus entrecoupés par ses pleurs. Elle tint la position,
sans chercher à en bouger. Je savais pourtant, d’expérience, que c’était à ce
moment où on se rendait vraiment compte de ce qui nous était arrivé et que
l’envie d’aller se cacher dans un trou de souris était le plus forte. Comme
presque tous les punis que j’avais pu voir, Laure résista à la tentation. La
nécessité d’obéir était la plus forte.
Madame Archain ne tarda pas. Elle
avait un chemisier propre sur le bras.
« Tourne-toi,
Laure ! »
Sans ôter ses mains de sur sa
tête, Laure fit face à sa correctrice.
« Vas-tu obéir maintenant ?
– Oh oui, Madame !
– C’est bien ! Viens
ici ! »
Madame Archain sortit un mouchoir
en papier de sa poche.
« Baisse tes
bras ! »
Elle mit une main derrière la
nuque de Laure et présenta le mouchoir devant le nez de la jeune femme.
« Souffle ! »
Laure s’exécuta.
« L’autre narine,
souffle ! »
L’ayant correctement mouchée,
Madame Archain essuya les larmes qui emplissaient encore les yeux de la jeune
femme. Elle dégrafa alors la jupe qui tomba sur les pieds de Laure qui n’eut
pas un geste de défense bien que cela exposât ses fesses nues d’un côté et sa
toison pubienne de l’autre. Laure se laissait faire.
Madame Archain tendit une manche
du chemisier propre qu’elle avait été quérir.
« Enfile ton
bras ! »
Laure obéit.
« L’autre ! »
Le buste de Laure était maintenant
couvert par un haut aux couleurs du magasin.
« Tu le rendras demain après
l’avoir lavé et repassé. Tu mettras l’un des tiens, un propre cette
fois-ci ! »
Puis Madame Archain boutonna le
vêtement sans laisser à Laure la moindre initiative. Elle releva alors la
culotte et la remit à sa place, puis elle en fit autant avec le collant.
Seulement alors elle remonta la jupe.
« Tu as cinq minutes, pas
plus, pour te passer un coup d’eau sur la figure et de brosse dans les cheveux.
Puis, tu vas remplacer Evelyne à la caisse. Dépêche-toi ! Je te conseille
d’avoir un sourire aux lèvres pour accueillir les clients. Je n’hésiterai pas à
sévir de nouveau si c’est nécessaire. »
La claque d’encouragement sur le
fond de la jupe ne put passer pour une fessée.
« N’oublie pas, tu passes
tous tes moments de pause au piquet. Et comme tu as été particulièrement
désobéissante pendant t punition, je te donnerai une fessée à chaque fois.
File ! »
Laure ne demanda pas d’autre
explication. Son programme de la journée était déjà bien chargé.
Je finissais mon balayage quand
Joël, un homme d’âge mur, le plus âgé de tous les représentants du sexe
masculin travaillant dans le magasin qui ne devait pas voir plus de quarante ans
et qui était chargé d’approvisionner les rayons alimentaires, se glissa
discrètement à travers l’entrepôt. Il avait un bon quart d’heure de retard et
il cherchait à passer inaperçu. C’était sans compter sur la vigilance de Madame
André.
Elle arriva derrière lui et elle
le fit sursauter quand elle l’apostropha.
« Joël ! Vous voilà
enfin ! Je pensais que vous n’alliez plus venir ! Ainsi, vous nous
faites l’aumône de votre présence, mais point trop n’en faut. C’est sans doute
pour cela que vous arrivez en retard. »
Joël rougit jusqu’aux oreilles.
Le ton sarcastique de Madame André n’annonçait rien de bon.
« Je m’excuse, mais je me
suis réveillé en retard et j’ai fait tout ce que j’ai pu pour …
– Une panne d’oreiller !
Comme c’est original ! Si j’ai bonne mémoire, c’est la même excuse que
celle de la semaine dernière et encore celle de la semaine d’avant.
– Oui, c’est vrai, mais je …
– Croyez-vous qu’on peut arriver
à son travail à l’heure qui nous plait ? Croyez-vous que les aléas de
votre sommeil sont une excuse suffisante pour justifier vos horaires d’arrivée
fantaisistes ?
– Non, mais je …
– Votre période d’essai s’achève
la semaine prochaine, n’est-ce pas ?
– Oui, Madame, mais je …
– Je vais recommander à Madame la
directrice d’y mettre fin dès maintenant. Nous trouverons sans difficulté une
autre personne qui n’arrivera pas régulièrement en retard. Il n’y a pas de
place pour vous ici !
– Non, je vous en prie, ne faites
pas cela !
– Donnez-moi une seule raison
valable.
– Je vais changer, je vais faire attention,
je … »
Joël sentait bien que ses
promesses n’étaient pas suffisantes. A bout d’argument, il se tut. Madame André
le regarda un petit moment, silencieusement avant de reprendre.
« Comment se fait-il que
vous soyez encore arrivé en retard ?
– Je n’ai pas entendu mon réveil.
Quand je me suis levé, j’ai fait vite, mais …
– A quelle heure vous êtes-vous
couché ?
– Oh, il était vingt-deux heures
trente. Pas plus tard.
– Et à quelle heure vous
êtes-vous endormi ? »
Joël eut une hésitation.
« N’oubliez pas Joël que vous
jouez votre place. Un mensonge et vous êtes dehors ! »
Joël soupira, baissa la tête.
« Oui Madame. Quatre heures.
Un peu plus tard.
– Et vous devez vous lever à sept
heures pour être à l’heure, c’est bien cela ?
– Oui Madame. »
Joël était tout penaud. Il
triturait les doigts de sa main droite dans l’autre main, un petit garçon
interrogé par une grande personne qui lui expliquait comment organiser sa vie.
« Cela vous fait donc moins
de trois heures de sommeil. Comment voulez-vous vous réveiller à l’heure après
un endormissement aussi tardif ? Je ne consentirais à vous garder que si
vous retrouvez une hygiène de vie qui est compatible avec votre activité
professionnelle. »
Joël se contenta de hocher la
tête.
« Je ne me contenterai pas
d’une promesse de votre part. Je veux que vos engagements soient contrôlés et
que tout manquement de votre part soit sévèrement sanctionné. Etes-vous
d’accord ou préférez-vous que nous en restions là ?
– Non, non, je suis
d’accord !
« Parfait, voici donc
comment cela va se passer. Pour commencer, je vais vous administrer une
punition, la même que celle que Madame Archain a donnée à Laure ce matin. Vous
n’étiez pas là, mais vous allez être rapidement mis au courant que nous avons
dû fesser cette péronnelle pour commencer notre journée de travail. »
Joël s’attendait à une
proposition qui n’aurait rien d’une partie de plaisir, mais son air stupéfait
montra qu’il n’avait vraiment pas devancé à une telle conséquence à son retard
matinal. Madame André insista, afin que tout soit parfaitement clair.
« Oui mon garçon, je vais
vous administrer une mémorable fessée pour inaugurer la mise en place du
contrôle qui, désormais, sera exercé sur vos horaires de coucher. »
Joël faillit prendre la parole.
Il se ravisa au dernier moment.
« Car je vais mettre en
place un processus de surveillance dans lequel je vais enrôler votre mère. Vous
vivez seul dans votre appartement, si je ne me trompe pas ?
– Oui Madame.
– Alors cela complique l’affaire.
Il aurait été plus simple que vous logiez encore chez vos parents. Je vais voir
qui je peux trouver qui pourrait se porter garant de vos horaires de coucher. Ce
serait bien étonnant qu’il n’y ait pas quelqu’un dans le voisinage. Peut-être
serez-vous contraint de déménager. Je vais m’occuper de cela. »
Joël était encore sous le choc de
la découverte du sort qui lui était promis.
« La personne que je vous
assignerai comme tuteur aura toute légitimité pour vous punir quand elle
constatera que vous ne enfreignez les règles de sommeil que je vais instaurer.
Je lui expliquerai ce qu’il en est et les sanctions qu’elle devra vous
appliquer. Vous vous doutez qu’elles seront de même nature que celle que vous
allez recevoir aujourd’hui. »
Joël restait muet. Il devait
essayer de comprendre les incidences sur sa vie personnelle de ce que Madame
André lui avait annoncé. Madame André ne lui laissa pas le temps de cogiter.
« Etes-vous prêt, jeune
homme, à accepter les conditions que j’ai fixé à la poursuite de votre contrat
de travail ou préférez-vous y mettre fin sur l’heure ?
– Je ne sais pas, je voudrais
réfléchir. Je vous …
– Il n’en est pas question :
soit vous acceptez, soit vous partez. Quelle est votre décision ? Je vous
préviens qu’elle sera irrévocable.
– Je, … je … attendez …
– C’est bon, nous mettons fin à
votre période d’essai. Vous pouvez rentrer chez vous. Vous ne faites plus
partie de l’entreprise.
– Non, non attendez ! Je
veux rester.
– Comme vous le voulez. Venez
ici ! »
Joël hésita.
« Venez ici tout de suite ou
… »
Joël eut un sursaut, puis il
laissa ses épaules tomber. Il avait admis sa défaite. Il soupira et il fit les
deux pas qui le rapprochaient de Madame André. Elle ne perdit pas de temps pour
défaire la ceinture qui retenait son pantalon. Les mains de Joël esquissèrent
un geste pour s’interposer, mais il réussit à se maîtriser.
Ce n’est que quand le bouton de
son pantalon sauta que, n’y tenant plus, il plaqua ses mains sur son
bas-ventre, obligeant Madame André à suspendre son déculottage. La réaction ne
se fit pas attendre deux claques sur ses doigts écartèrent ses mains.
« Joël, vous me laissez
faire ou je demande à Madame Duboc de venir m’aider, mais alors votre fessée
sera doublée ! »
Madame Duboc était la cheffe de
rayon dont dépendait Joël.
« Non, Madame, pardon !
S’il vous plait ! Je ne vais plus vous gêner, mais pas ici … »
Joël fit le tour de l’entrepôt où
Madame André avait commencé à le déculotter. Il croisa le regard de plusieurs
de ses collègues dont l’empathie ne le consola pas.
« .. pas devant tout le
monde, s’il vous plait.
– Où veux-tu que je te donne la
fessée si ce n’est ici ?
– Je ne sais pas, … dans votre
bureau … là où les autres ne peuvent voir …
– J’en suis désolée, mais il n’en
est pas question. Josiane a reçu la sienne en public hier et Laure a été
traitée de la même façon ce matin. Il n’y a pas de raison que vous bénéficiez
d’un quelconque privilège. Ni votre âge, ni votre sexe en seraient une raison suffisante.
De plus, je souhaite qu’en plus de l’égalité de traitement entre tous les
salariés, en assistant à votre fessée, cela serve également de leçon à vos
collègues. Chacun saura ce qu’il risque en arrivant en retard. »
D’une claque énergique sur les
mains de Joël qui ne s’étaient pas encore complètement écartées, Madame André
éloigna les derniers obstacles qui s’opposaient à ce que le pantalon de Joël
soit baissé. Madame André en saisit la taille de chaque côté des hanches de
Joël, debout devant elle, puis, d’un geste décidé, elle fit glisser le vêtement
le long de ses jambes.
Alors tout s’enchaîna fluidement,
comme pour une séquence dont les deux protagonistes étaient des habitués.
Madame André se pencha et elle passa son bras autour de la taille de Joël qui
se courba, accompagnant le geste de Madame André. Elle le plaqua contre sa
hanche.
« Je ne veux plus voir tes
mains. Tu les laisses devant toi ! »
Madame André fit descendre le
pantalon de Joël un peu plus bas. Puis, elle passa ses doigts sous l’élastique
qui tenait sa culotte.
« Non, cria Joël !
– Tiens-toi sage, répliqua Madame
André ! »
Elle asséna une claque sur le
haut de la cuisse de Joël.
– Tu vas me laisser baisser cette
culotte. Je ne tolérerai aucun geste de mauvaise volonté de ta part. »
Elle baissa lentement la culotte,
sans se précipiter, laissant à Joël le temps de bien prendre conscience de ce
qui lui arrivait. Madame André préparait les futures fessées qu’elle, ou
d’autres encadrantes du magasin administreraient à Joël. Il fallait qu’il se
soumette à la volonté de qui aurait à le fesser.
« Non, … non, … ,
répétait-il »
Mais il laissa faire Madame André,
se contentant de crisper ses fesses et ses cuisses qui se couvraient de chair
de poule au fur et à mesure que la culotte descendait.
« C’est bien, Joël. Tu as
été sage ! Continue comme cela et tout se passera bien. C’est le moment de
ta fessée. »
Madame André leva sa main et elle
commença à fesser Joël. A la première claque sur sa peau nue, Joël eut un
mouvement de recul, une ruade contenue vite limitée par le bras de Madame André
qui le maintenait en place. Il ne chercha pas à s’en dégager, mais, la fessée
continuant, il tortillait ses hanches en un mouvement de droite à gauche,
passant d’un pied sur l’autre, comme si cela pouvait empêcher la main de Madame
André de trouver sa cible.
Rapidement, il émit des
grognements qui devinrent de plus en plus bruyants. Enfin, ils se
transformèrent en cris et en supplications.
« Aïe, non, … pardon, … je
ne le ferai plus, … aïe, je serai à l’heure,…
aïe, … »
Madame André ne prêtait aucune
attention à cette litanie. Elle se concentrait sur sa tâche, rougissant
méticuleusement toute la surface des fesses qu’elle avait sous sa main. Les
premiers pleurs ne l’impressionnèrent pas plus. Tout juste marquaient-ils une
étape dans le renoncement de Joël et dans son acceptation de la correction.
Tout se déroulait comme il fallait que cela se déroule. Ce n’est que longtemps
après que les sanglots furent devenus incessant que Madame André jugea qu’elle
avait produit l’effet qu’elle désirait obtenir.
Tout autour, les employés du
magasin passaient à proximité du lieu où Joël subissait son châtiment. Ils ne
pouvaient s’empêcher de jeter un œil à cette scène disciplinaire, mais aucun ne
s’arrêta, ni même ne ralentit le pas. Ce n’est pas qu’ils s’habituaient à assister
à la fessée de l’un de leur collègue, bien que ce soit la troisième depuis la
veille, si on ne comptait pas celles que Florence et moi avions reçues. Aucun
d’entre eux ne voulait prendre le risque de mériter une réprimande de la part
de la cheffe du magasin. Les conséquences en étaient trop hasardeuses.
Cela donnait l’impression d’une
certaine indifférence qui était contredite par les expressions des visages de
ceux qui passaient. La plupart d’entre eux grimaçaient, certains quand la main de
Madame André provoquait un écho plus sonore que les précédents, d’autres quand
les cris de Joël devenaient plus désespérés.
Je n’en vis pas qui restait
indifférent ou amusé par la situation de l’homme coincé sous le bras de la
cheffe de magasin, sa culotte à hauteur des genoux. Leur cheminement de pensée
n’était pas très difficile à suivre : qui serait le prochain ? Au
rythme où cela allait, il y aurait un prochain ou une prochaine, certainement
dans peu de temps. C’était une certitude. Aucun n’avait la prétention de penser
que ce ne serait pas lui.
« Va donc passer quelques
instants le nez contre le mur, le temps de te calmer. Puisque tu es en retard,
ces quelques minutes ne feront pas une grande différence. Laisse ta culotte là
où elle est. Je viendrai de dire quand tu pourras te rhabiller pour aller
prendre ton poste de travail. »
Madame André laissa le temps à
Joël de s’installer dans son lieu de pénitence.
« Je te conseille d’être
sage, obéissant et travailleur pendant toute la journée d’aujourd’hui. A la
moindre incartade, tu auras une nouvelle fessée. »
Il avait suffi des quelques
minutes qu’avait duré la fessée pour que Madame André soit passée du
vouvoiement au tutoiement. Elle s’adressait maintenant à un enfant, récemment
et prochainement fessé. Elle n’avait plus de raison de le vouvoyer.
J’avais fini de balayer. Il
fallait que j’aille un plus vite le signaler à Madame André avant qu’elle ne
puisse me reprocher mon oisiveté. Il était pourtant risqué de l’approcher alors
qu’elle venait de sévir aussi vigoureusement. Je n’avais pourtant pas le choix.
Surmontant mes craintes, je l’abordais.
« Madame, j’ai fini le
travail que vous m’avez donné. »
Elle se tourna vers moi, me
donnant l’impression qu’elle découvrait ma présence.
– J’espère que tout est
impeccable ! »
Je l’espérais aussi.
« Je vais vérifier.
Suis-moi ! »
Elle se déclara finalement
satisfaite de mon travail. J’en fus immédiatement soulagé.
« Bien, tu vas pouvoir
rejoindre Madame Bourgeois. Elle t’attend dans le magasin. Cherche-la !
Elle a du travail à te donner. »
Mon angoisse récemment disparue revint en force. Je
devais maintenant aller affronter celle qui me faisait peur depuis la veille.
Avec l'aimable participation de Peter Pan pour le dessin
Pour suivre le fil de cette histoire :
Comprendre le contexte : l'introduction
Le premier épisode : chapitre 1
Le prochain épisode ... c'est le chapitre 91.
Vous cherchez un chapitre en particulier ?
C'est par ici
De l'usage des commentaires
N'hésitez pas à donner votre avis. Les retours des lecteurs sont un encouragement précieux pour les auteurs, si vous voulez que ça dure. Faites-en un usage immodéré.
Bonjour, JLG
RépondreSupprimerEt tout le petit monde du Blog qu'on espère nombreux !
La régressive attitude continue. Lentement mais sûrement l'infantilisation s'installe. Après sa fessée déculottée en public et son stage au coin en pénitence, Laure se fait moucher comme une morveuse et rhabiller comme une gamine qui ne sait pas encore le faire toute seule.
C'est maintenant le tour de Joël, le petit nouveau dans l'histoire, d'un âge déjà bien avancé. Madame Andrée, très maternelle, veille sur sa durée de sommeil, son hygiène de vie et sa ponctualité. Et madame Andrée connaît la chanson : "Prendre un enfant par la main"...pour l"emmener sur ses genoux et lui flanquer la fessée déculottée devant tout le monde !
Axel a finit de balayer... m'est avis que ses fesses ne vont pas tarder à reprendre du service pour un petit dépoussiérage de printemps...
Que voulez vous, dans ce Super Marché, c'est de la grande distribution... de fessées!
Pendant ce temps notre ami Peter habille la fesseuse du jour d'un joli chandail à chevrons, dessiné trait par trait, patiemment, avec sa petite main habile! Qu'est ce qu'on dit ?
Décidément le travail à la main est à l'honneur!
Cordialement
Ramina
Bonsoir ,
RépondreSupprimera la fin de la journée les tutrices de Laure et de Joel vont venir les chercher ? des surprises ?
Bonjour lecteur anonyme,
SupprimerLa fin de la journée est encore loin... plusieurs chapitres. J'espère qu'il y aura quelques surprises, agréables pour certains et beaucoup moins pour d'autres.
Vous me direz, en temps voulu, ce que vous en pensez.
Au plaisir de vous lire,
JLG.