mercredi 13 mars 2019

Recadrage en Provence - chapitre 9

Une fin de soirée difficile


Je me retrouvais à nouveau soumis à l’autorité de notre jeune gouvernante. Aucune fessée ne nous était épargnée, je comprenais à quel point il me faudrait obéir au doigt et à l’œil aux femmes qui maintenaient l’ordre ici. Le moindre petit écart suffisait pour qu’elles nous fassent comprendre notre erreur. Je convenais néanmoins que c’était efficace et que la punition nous était donnée pour notre bien. Nathalie abaissa ma culotte qui alla rejoindre mon pantalon autour de mes mollets. L’humiliation me gagna comme à chaque déculottage, j’étais une nouvelle fois mis à nu comme un petit garçon, mes fesses étaient disposées pour subir la correction.

« Notre jeune homme se retrouve à nouveau le cul à l’air, on pourrait croire que tu le fais exprès. J’espère pour ton derrière que tu apprendras à obéir davantage, sinon tu risques de passer la moitié de ton séjour ici la culotte baissée et les fesses écarlates !
- ...
- Glisse-toi sous mon bras, tout de suite ! »

Je prenais la position demandée par ma punitrice et immédiatement elle me fessa rigoureusement. Les fessées que j’avais dû subir ces dernières heures n’avaient pas permis à mon postérieur de retrouver un état normal, la cuisson regagnait mes fesses après une petite dizaine de claques seulement. Des larmes coulaient déjà sur mes joues mais je me concentrais au maximum pour ne pas dévoiler ma faiblesse et la sensibilité de mes fesses. Néanmoins j’essayais de négocier une fessée plus clémente…
« S’il vous plaît Nathalie, pardon, pardon, je vous en supplie… excusez-moi… je vous jure que je me tiendrai à carreau à l’avenir, c’est promis…
- Je ne peux pas encore mettre un terme à cette fessée, une fessée méritée doit être donnée jusqu’à son terme, c’est-à-dire quand j’entrevois les signes d’un garçon larmoyant dont le cul a atteint une teinte écarlate.
- Mais je ne sens plus ma peau, s’il vous plaît…
- Ne t’inquiète pas, tu auras droit dès ce soir à une bonne application de pommade sur ton derrière. Il vaut mieux prévenir que guérir. Il faudrait mieux éviter des désagréments, Madame Lemaire serait alors obligée de faire venir la doctoresse pour remettre ton postérieur en état. »

L’humiliation n’avait aucune limite pour moi, j’avais le sentiment que mon derrière ne m‘appartenait plus. Les femmes qui supervisaient tous les aspects de ma nouvelle vie pouvaient à tout moment décider de me déculotter, de me fesser, de me mettre de la pommade, de présenter mes fesses meurtries au médecin si cela leur semblait nécessaire. Jamais je n’aurais pu imaginer un tel traitement lors de mon arrivée.
Nathalie continuait à corriger les deux globes de mon fessier, tantôt à droite, tantôt à gauche, parfois sur le haut des cuisses ou à proximité de la raie de mes fesses. J’avais le sentiment que toute la peau de mon postérieur dégageait une chaleur insoutenable. La main de Nathalie avait beau n’entrer en contact que très brièvement avec la peau de mon séant, j’avais l’impression d’être fessé par un instrument incandescent.
« Cesse donc de t’agripper à cette bibliothèque, tu vas finir par la démolir ! »
Il est vrai que je me focalisais tellement sur la main qui me châtiait, sur l’embarras de recevoir cette nouvelle fessée devant témoins, que je n’avais pas fait attention aux mouvements que je faisais subir à la petite bibliothèque. Nathalie me relâcha, elle trouva le moyen de me faire perdre le peu de dignité qui me restait. Elle retourna la chaise rangée sous le bureau de Louise et désigna du doigt l’assise.
« A genoux sur la chaise, les coudes sur le bureau. Allez vite !
- Non j’en ai assez… je t’en supplie… cette position est dégradante… laisse-moi !
- Je vais te mettre 20 coups de règle, tu les as mérités pour l’ensemble de ton œuvre ce soir, tu ne penses pas ?! Souhaites-tu qu’on revienne sur l'événement de tout à l’heure ? »

Je préférais prendre la position indigne demandée par ma fesseuse pour en finir rapidement, plutôt que l’entendre tout raconter à Louise ici présente... Tête baissée, j’évitais du regard Louise qui était allongée sur son lit et qui faisait semblant de lire son bouquin. Je me mis en position sur la chaise, avec les avant-bras sur le bureau comme indiqué…. Lorsque je me mis en place la douleur sur mon postérieur s’accentua. Je compris que c’était dû à la peau de mes fesses qui était beaucoup plus étirée dans cette position. Je repensais à toutes les fessées que j’avais reçues aujourd’hui, je me promettais de faire très attention dès demain. Rangement, ponctualité, travail soigné, tenue à table et j’en passe... Il me faudrait être plus prudent pour éviter à mon derrière de continuer à encaisser de tels châtiments.
 Nous entendîmes des pas dans le couloir, c’est Noémie qui se présenta à l’entrée de la chambre en petite culotte, cela n’enleva rien à la honte qui me broyait le ventre. Les trois jeunes femmes avaient la vue bien dégagée sur mes fesses nues. Ma situation, penché en avant sur la chaise de bureau de Louise, était des plus humiliante. Nathalie m’avait fait mettre les fesses en arrière, prêtes à subir la correction avec la règle.
« Tu peux rejoindre ta chambre Noémie, je viens y faire un tour et te coucher dans deux minutes.
- Euh… oui… c’est bien compris…
Noémie resta plantée là quelques secondes, pensive.
- Puis-je emprunter un bouquin à Louise s’il vous plaît ? »

Je notais dans la voix de Noémie un grand trouble. Il n’y avait pas de doute, le spectacle que j’offrais en était à l’origine. Elle avait trouvé une bonne excuse pour prolonger sa présence et assister à ma fessée.
« Très bien Noémie mais dépêche-toi, je pense qu’on t’a assez vue ce soir, je veux te voir au lit de bonne heure. »
Noémie pris place devant les étagères puis elle s’accroupit, sa présence m’apparaissait du coin de l’œil. La règle me cingla les fesses, une, deux, trois, quatre, cinq fois, je perdis le compte… La douleur était encore plus vive sur la peau tendue de mes fesses. L’énergie accumulée par le mouvement rapide du bras de Nathalie se transmettait sur une zone étroite de mon postérieur. Le petit bout de bois me flagellait les deux fesses en même temps, je découvrais cette nouvelle douleur aigue, celle d’une fessée donnée avec la règle. Je ne tenais plus, je ne pouvais plus retenir mes sanglots… La fessée pris fin alors que j’étais abasourdi, complètement perdu…
« Louise prend la pommade qui est dans ta table de chevet et viens ici s’il te plaît.
- Oui Nathalie…
- Je vais te demander de prendre soin des fesses de Maxime, il faut que j’aille contrôler l’état de la chambre de Noémie et que je mette notre jeune locataire au lit
- Mais Nathalie… moi ? euh… comment… est-ce que…
- Ne fais pas tant d’histoires ! Maxime se laissera faire, s’il fait des difficultés n’hésite pas à lui remettre une bonne fessée, je te délègue mon autorité exceptionnellement comme tu n’as rien eu à te reprocher aujourd’hui…
- B… Bien Nathalie…
- Maxime je te conseille de te laisser faire, tes fesses pourraient difficilement supporter une autre correction ce soir. Louise, tu le mettras au lit ensuite, il faudrait mieux qu’il dorme sans son bas de pyjama et sans sa culotte, tu y veilleras s’il te plaît.
Nathalie s’approcha de ma joue, elle l’embrassa et me glissa quelques mots dans l’oreille…
- Je te conseille de laisser Louise te pommader le cul et de l’écouter jusqu’à ce que tu sois mis au lit, sinon je n’hésiterai pas à raconter à Madame ce que j’ai aperçu dans le couloir tout à l’heure. Bonne nuit mon petit Maxime. »

Je n’en croyais pas mes oreilles, je devais maintenant me soumettre au traitement de la fille de ma patronne, une fille de vingt ans à peine. Nathalie resserrait son étreinte sur moi, il ne se passait pas une heure ici sans qu’une nouvelle humiliation me soit imposée … Notre gouvernante attrapa la main de Noémie qui avait pris un livre à la dernière seconde et toutes deux quittèrent la pièce. J’étais laissé en compagnie de Louise, ou plutôt sous sa surveillance dans cette position embarrassante sur la chaise, les fesses probablement cramoisies et tendues vers ma voisine de chambre. Elle rompit le silence pesant qui venait de s’installer.
« Tes fesses sont en très mauvais état mon pauvre… ne t’inquiète pas cette pommade fait des miracles, j’y ai eu droit très souvent comme tu dois t’en douter…
- Je… je me doute oui…
- Tu dois te sentir ridicule, il n’y a pas d’autre mot, mais essaie d’oublier le contexte. C’est ce que je fais quand je me prends une bonne fessée déculottée. Ces femmes sont autoritaires mais justes… enfin la plupart du temps…
- Je ne peux même pas m’opposer à leur autorité Louise, si je le fais je serai mis à la porte illico presto… Laisse-moi m’allonger sur le lit s’il te plaît, mes genoux me font souffrir sur l’assise en bois.
- Bien, viens ici sur le lit et allonge toi sur mes cuisses. »

Louise s’assit sur le rebord de son lit et m’aida à prendre place. Je me rendais compte que j’étais toujours nu des pieds au nombril mais c’était trop tard pour essayer de retrouver un peu de pudeur et de dignité. La fatigue se faisait ressentir, le sentiment de honte était toujours présent en moi mais atténué par une grande lassitude…
 Je sentais qu’elle prenait de l’assurance dans sa supervision, elle remonta mon tee-shirt jusqu’au milieu de mon dos. Je sursautai lorsque Louise déposa une petite quantité de pommade au sommet de chacune de mes fesses. La douleur était très vive et la situation m’était pénible. J’imaginais la vue que j’offrais à Louise de mon derrière, le fessier lancinant qu’elle devait soulager après les nombreuses fessées.
Si mes amis me voyaient à cet instant me dis-je… je serais exclus ou moqué jusqu’à la fin de mes jours. Je planifiais de quitter ce lieu, que pourrais-je faire si c’était le cas, pas de logement, pas de travail, aucune possibilité de me relancer professionnellement, d’avoir une chance sur Paris chez mes parents. J’étais dans une impasse, la seule solution était d’accepter les règles de vie chez Marthe et de faire le dos rond. Personne en dehors des femmes qui partageaient ma nouvelle vie aurait connaissance de mon statut d’adolescent fessée, de tout ce que je devais subir ici. Tout en bénéficiant des bienfaits de la main de Louise, de la douce application de la pommade sur mon derrière en feu, je finissais par convenir que ces punitions pourraient m’aider à progresser et je m’essayais de me détendre.
Tout à coup la peur que mon sexe se mette en érection contre les cuisses nues de Louise me fit sortir de ma torpeur. Il me suffit d’y penser pour que celui-ci se mettre à gonfler. Le contact avec sa peau, ses mains qui cajolaient mes fesses, il n’en fallait pas davantage pour créer une réaction incontrôlable chez un homme.
« Maxime, je sens que tu apprécies ce massage…
- … euh excuse-moi Louise, je ne … je…
- Chuuuutt… essaye donc de te détendre, je crois que tu as eu une grosse journée non ?
- … oui c’est vrai mais excuse-moi…
- Chuuuut… »

Je ne sais pas pendant combien de temps Louise me massa les fesses. Ses mains glissaient doucement sur ma peau, elle faisait des petits cercles pour faire pénétrer le produit apaisant. Louise recouvrait ainsi tout mon postérieur, le haut des cuisses, la raie des fesses, ses deux mains s’affairaient à rendre à nouveau fessable le cul que Marthe, Anna et Nathalie avaient corrigé. Je parvenais à maintenir mon sexe à moitié durci jusqu’à la fin du massage.
« Et voilà Maxime, je pense que c’était plus que nécessaire, il est possible que tes fesses aient besoin d’autres soins demain, nous verrons dans quel état elles seront…
- …
- Tu vas rejoindre ta chambre en restant les fesses à l’air c’est préférable, Nathalie m’a demandé de te mettre au lit dans cet état, c’est ce que je vais faire.
- Mais Louise je suis capable de rejoindre ma chambre et de me mettre au lit seul
- Ne discute pas, Nathalie m’a délégué son autorité, n’oublie pas ce qui peut arriver ici lorsqu’on fait des caprices. Je ne voudrais pas corriger ton derrière après l’avoir soigné… File dans ta chambre ! »

Il avait fallu peu de temps à Louise pour performer dans le rôle que Nathalie lui avait demandé d’endosser. Elle prenait à cœur d’appliquer à la lettre les consignes que notre gouvernante lui avait données. Je préférais ne pas lui tenir tête, je commençais à comprendre qu’il était trop tard, que mon sort ici était scellé, mon statut d’adolescent soumis à la fessée n’était plus discutable…
Je rentrai dans ma salle de bain et me lavai les dents. Mes fesses et mon sexe n’avaient plus de secret pour Louise. Elle pouvait observer les parties de mon corps les plus intimes quand elle le souhaitait, il n’y avait pour moi plus aucune possibilité de prétendre à un regain de pudeur. Je m’allongeai sur mon lit, Louise me conseilla de me mettre sur le ventre. Elle contrôla encore de sa main l’état de mes fesses puis elle les caressa quelques minutes, s’aventurant également dans mon dos, ma nuque. Ce moment m’apporta un peu de réconfort, je me sentais considéré, je retrouvais un peu de sérénité malgré tous les affronts auxquels j’avais dû faire face aujourd’hui.


Il y  a une suite. RdV la semaine prochaine


Vous n'avez pas lu le début de l'histoire ? Le voici : chapitre 1

Et l'épisode précédent ? Il est disponible, le chapitre 8


Et si je me fendais d'un petit commentaire ?

C'est facile ! Quelques mots d'encouragement ou de réprobation... Paul OTK les attend avec impatience. Il vous répondra.

Vous pouvez également le contacter directement : Paul OTK

3 commentaires:

  1. Bonjour,
    Belle description de fessées, détaillée et bien écrite. On n'en perd pas une claque ! Nathalie n'y va pas de main morte et l'humiliante fessée déculottée qu'elle administre au jeune homme ne peut que ravir les amateurs du genre, sur le blog...normal. Il a été créé pour ça!
    La règle est l'instrument adéquate pour prendre ensuite la mesure du fessier en pénitence...
    A la main ferme de Nathalie, succède la paume caressante de Louise en soins intensifs pour soulager mais aussi rendre le derrière de nouveau ''fessable'' Jolie expression pour faire comprendre que les fessées n'ont pas fini de claquer. Un petit ravalement de fessier et ça repart bien claquant!
    Ah ces femmes sévères, toujours prête à faire le coup de main sur les fesses des vilains garçons indisciplinés. Jusqu'ici personne ne s'en est plaint... sauf la victimes et encore... pas sûr ! Notre ami avoue quelque raideur de comportement! (rires)
    Cordialement
    Ramina.

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  2. Bonsoir Ramina,

    Vous m'ôtez les mots de la bouche.
    En comparaison, la tante Mac-Miche ,c'est une novice !! Wahou ! Quelle raclée... Vite les gants d'eau fraiche et l'Arnigel !!!
    'mérite presque une vengeance non mais !! Rires.
    Amicalement. Peter.

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  3. Bonsoir messieurs,

    Je suis ravi que les personnages de Nathalie et de Louise vous inspirent, des petites jeunes déjà habiles et autoritaires oui... Elles prennent goût à endosser leur(s) rôle(s).

    Amicalement,
    Paul

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