Mais où est donc passé le chapitre 11 ? Quelqu'un l'aurait-il vu passer ce matin ? Non ? Il doit s'être égaré dans les mystérieux tuyaux d'internet.
En attendant, cela laisse Maxime entre les mains d'Agathe avec une épilation en préparation. Situation inconfortable s'il en est.
En travaux
En l'absence d'une déviation qui permettrait de contourner la panne affectant les travaux d'écriture de la suite de "Recadrage en Provence", l'administration de ce blog est contrainte de vous demander de patienter.
Relire les épisodes précédents devrait amener à passer ces longues semaine d'attente avec quelque espoir de lire un jour la suite.
Il n'y a pas de suite écrite pour la semaine prochaine
Paul OTK est en panne d'inspiration.
Vous n'avez pas lu le début de l'histoire ? Le voici : chapitre 1
Et si je me fendais d'un petit commentaire ?
C'est facile ! Quelques mots d'encouragement ou de réprobation... Paul OTK les attend avec impatience. Il vous répondra.
Vous pouvez également le contacter directement : Paul OTK
Bonjour,
RépondreSupprimerC'est bien dommage... ça claquait bien! Jusqu'ici le récit était vraiment au poil! ( je n'ai pas pu résister! ) Le projet de suppression du système pileux a prévoir des implants pour avoir la suite!
Cordialement
Ramina
Re...
RépondreSupprimerDécidément la disparition du chapitre 11 sème le trouble. IL manque une ligne à mon commentaire qui ne veut rien dire du tout.
Il fallait lire : "Le projet de suppression du système pileux à dû provoquer en même temps la disparition du chapitre 11. IL faudrait peut-être prévoir des implants pour avoir la suite! "
Bon, c'est mieux comme ça. Sauf que je me relis douze heures après!!! Il s'en est fallut d'un poil qu'on ne comprenne rien.
Ramina
Bonjour, Merci pour la lecture et les commentaires intéressants et nombreux !
RépondreSupprimerLe temps et l'inspiration reviendront peut être un jour, en attendant merci à JLG pour les conseils et la publication de mon histoire.
Cordialement,
Paul.
Paul,
SupprimerTout le plaisir a été pour moi.
Je partage l'opinion de Ramina. Cette histoire est bien partie et vous ne pouvez laissez votre héro au milieu d'une épilation inachevée. Ce n'est pas juste. Imaginez sa perplexité !
Je compte sur vous pour reprendre le clavier, à défaut de la plume, et pour nous livrer rapidement la suite. Nous sommes plusieurs à l'attendre.
Maxime n'a pas encore été fessé dans les champs pour une faute commise dans l'exercice de ses fonctions. Cette responsabilité pourrait être confiée à l'une de ses collègues de temps en temps. Il doit passer du monde dans cette ferme. Il pourrait arriver du monde alors qu'une fessée est en cours. Cela n'aurait rien d'étonnant. Il n'y a pas de raison qu'il reste confiné dans la propriété. Cela donne tant d'opportunités de commettre une bêtise et d'en subir les conséquences... Les situations où la fessée est au programme sont légion.
Prenez votre temps, mais revenez-bous vite.
Au plaisir de vous lire,
JLG.
Ah oui, franchement dommage! IL y avait quand même une écriture, des descriptions bien tournées et des situations cuisantes dans le cadre original d'une ferme en Provence. Toute une communauté féminine à la main leste! Les fessées rythmaient la cueillette de la lavande... le mauve et le rouge... reste plus que le mauve de la déception. Une seule fessée vous manque et tout est dépeuplé...
RépondreSupprimerCordialement.
Ramina
Bonjour à tous... et toutes, il y en a !
RépondreSupprimerVoilà qui est argumenté! je suis d'accord avec JLG qui partage mon opinion!!! (rires)
Nous nous étions facilement habitués a la confrontation entre le bleu lavande et le rouge fessée! Vivant, bien écrit avec des descriptions et des situations originales dans le cadre d'une ferme en Provence.Il faisait beau, le claquement des fessées accompagnait le chant des cigales. Coups de soleil l'après midi sur les épaules et le soir coup de chaud sur les fesses! Un univers délicieux peuplé de femmes sévères à la fessée facile... Et tout d'un coup, rideau, plus rien...panne de courant, sans préavis de la direction !! Misère ...
Lecteurs orphelins, pupilles de la nation ...sommes nous devenus!
Mais alors, mais alors, que devient notre pétulante, insolente et pulpeuse Louise, convoitée en secret par notre héros, obligé de s'auto contenter, claqué et fessé, maintenant au bord d'une sauvage tentative d'épilation... Allez vous l'abandonner dans cet état ? Saurons nous jamais si les fessées sont plus claquantes sur un derrière sans poils ?
Allons cher Paul, vous ne pouvez pas nous laisser sur notre faim après nous avoir tant mis en appétit!
Cordialement
Ramina