La durée d’une fessée est nécessairement courte, si l’on
veut qu'elle constitue une réelle punition. Il n’y a pas le choix. Un précédent article vous en expliquera le pourquoi.
C’est un vrai problème. En effet, au-delà de la douleur aiguë que provoque une fessée correctement administrée, il est nécessaire de
donner à son pupille le temps de réfléchir aux conséquences de ses actes et d’en
tirer les conclusions. La durée de la fessée n’y suffisant pas, il faut la
prolonger par une punition donnant le temps de revenir sur ce qui a déclenché la
correction et qui laisse le temps d’en tirer les leçons. La mise au coin est alors
tout à fait appropriée.
Trois principes de base
Une mise au coin prolonge parfaitement la punition. Il faut
cependant que les règles en soient strictement respectées. Elles se résument en
trois principes : la culotte baissée, l’immobilité et le silence.
La culotte ayant été baissée pour administrer la fessée, il
ne sera pas pertinent de permettre au puni de se reculotter durant le temps où
il va rester en pénitence. En effet, exposer ses fesses nues est, pour un
adulte, le cœur de ce qui lui permet de toucher concrètement son état de puni.
Il n’y a que dans des situations de punitions où un adulte a la culotte baissée
dans un lieu qui n’est pas habituellement consacré aux activités intimes et de
par la volonté d’une autre personne, contre son gré. Le sentiment d’être puni
peut-il être plus fort quand un pupille est contraint de traverser la pièce
dans laquelle il vient de recevoir une fessée, la culotte baissée l’obligeant à
adopter une démarche hésitante?
Pour prolonger efficacement la punition, le temps passé au
coin doit constituer une contrainte que le puni ne peut outrepasser. Il s’agit
d’organiser un espace dans lequel il sera présent tout en étant isolé de ce qui
se passe autour de lui. L’immobilité la plus stricte deviendra rapidement
pénible à supporter. Elle lui rappellera qu’il est là sur décision d’une autre
personne qui entend contrôler le moindre de ses gestes puisqu'il est incapable de se contrôler lui-même. Soyez assuré que si ce
temps s’allonge, il lui sera de plus en plus difficile de tenir la position, ce
qui lui demandera, au bout de quelques dizaines de minutes, un effort constant
pour tenir la position. Le caractère punitif de ce moment est donc bien assuré.
L’isolement du puni, propice à un retour introspectif sur ce
qui l’a amené là, ne peut être complet sans qu’il lui soit imposé un silence
absolu. Cela comprend, bien évidemment les paroles qu’il pourrait prononcer, ce
qui lui sera totalement interdit, mais également les autres bruits qu’il pourrait
émettre. En particulier, il sera nécessaire qu’il comprenne que les pleurs et les sanglots ne
pourront se prolonger au coin que s’ils deviennent rapidement inaudibles par son entourage.
Ces trois principes étant imposés, le puni, quoique à
distance, sera toujours soumis à la volonté de sa tutrice qui, sans s’occuper
particulièrement de lui, continuera à lui imposer sa volonté, sans qu’il puisse
s’y soustraire. Cela sera un facteur important de renforcement de la légitimité
de la personne qui a pour tâche de maintenir son pupille dans le droit chemin.
La position pertinente
L’expérience montre qu’il n’y a pas beaucoup d’hypothèses
quant à la position à imposer à un puni durant son temps passé en pénitence.
Le visage doit être, le plus profondément possible, enfoncé
dans l’angle du mur, à le toucher. Il ne doit pas en bouger. Ainsi placé, les informations
que recevra le puni seront limitées au strict minimum. Il aura le sentiment d’être
exclu de ce qui se passe dans la pièce où il se trouve, tout en sachant, grâce
aux bruits et aux conversations auxquelles il n’a pas le droit de se mêler mais qui lui parviennent malgré tout, que
les autres personnes qui s’y trouvent, ont pleinement connaissance de la nature
de la punition qu’il a reçue. Il y a là une dissymétrie de positionnement soulignant
la poursuite de la punition au-delà de la fessée et la perte de son statut d’adulte. Il lui sera plus facile de comprendre qu'il est considéré comme une personne immature qu’il a fallu punir pour la ramener à de meilleurs sentiments.
Le statut de puni sera encore renforcé si ses bras croisés
dans son dos maintiennent les vêtements du haut de son corps au-dessus de sa
taille, alors que la culotte est toujours baissée. Il sera alors clair pour tout le monde que la légitime autorité qui l’a
placé là, exige qu’il montre son obéissance en contribuant à l’exposition de
ses fesses encore marquées des stigmates de la fessée qu’il vient de recevoir.
Les mains ne pourront pas être mise sur le tête, contrairement à ce qui est souvent préconisé. C’est
incompatible avec un visage au plus près de l’angle du mur, donc à l'isolement du puni. Si vous tenez à
cette position, placez le puni au piquet, le long d’un mur, mais cela n’offre
pas les mêmes avantages de retrait du puni de l'espace social, même s’il s’agit d’une position convenant à une mise
en pénitence.
Debout, les mains jointes réunies dans son dos, les pieds
joints, le puni va pouvoir bénéficier au mieux de son long temps de pénitence.
La question de la durée
Il est parfois dit que la durée se calcule en fonction de l’âge
du puni : une minute par an. C’est très nettement insuffisant pour un
adulte, surtout quand il vient tout juste de devenir majeur. Vingt minutes au coin
pour un garçon ou une fille de vingt ans ne constitueraient pas une punition bien
dissuasive. Il faut prendre en compte que le temps passé en pénitence se décompose, pour le puni, en plusieurs
phases.
Tout d’abord, il y a les quelques premières minutes où seule la
douleur vive provoquée par la fessée occupe l’esprit de celui qui a été mis en
pénitence. Selon la sévérité de la fessée, cela peut durer quelques dizaines de
secondes (en dessous de cette durée, on peut se questionner sur l’effectivité
de la correction) à plusieurs minutes, voire une dizaine pour les fessées les plus sévères. Cela peut être nettement plus long si la
fessée a été donnée avec des orties.
Le pupille, à ce moment-là, conçoit souvent le coin comme le lieu où il sera exempt de
fessée. Relativement à ce qui s’est passé précédemment, le coin est plutôt un
lieu refuge plus confortable que ce qu’il vient de connaître. Il ne serait pas
pertinent de s’arrêter à ce stade.
Vient alors le temps de l’ennui. Passé les vingt à trente
premières minutes, le puni a perdu tout repère dans le temps. Il ne sait plus
depuis combien de temps il est là et surtout, il ne sait pas pour combien de
temps encore. Cela sera d’autant plus vrai qu’il ne reçoit que très peu d’indication
de son environnement.
Ce moment est fondamental. Pour contrer son désœuvrement, il
va devoir laisser son esprit vagabonder en espérant que cela fasse passer plus
vite le temps. Il y a fort à parier que c’est dans cette phase qu’il reviendra
sur ce qui l’a amené là. Isolé face à lui-même, il lui sera difficile de se
mentir. Ces moments seront propices à la reconnaissance intérieure de la faute
qu’il a commise et à la prise de bonnes résolutions afin de ne pas être puni une nouvelle fois
pour les mêmes raisons. Le processus de repentir aura alors fait de grands pas.
Au bout d’une heure, un peu plus ou un peu moins selon les personnes, viendra le
moment où tenir l’immobilité demandera un effort constant. Au-delà de la
position infamante et de ses fesses nues exposées qui constituent déjà une
sérieuse punition dès le début de la fessée, commence alors le moment où respecter les exigences de sa tutrice quant à sa tenue au coin devient une contrainte de tous les instants. Vous comprendrez aisément qu’il
faut aller jusque-là pour compléter pertinemment une fessée.
Cependant, il peut être judicieux de ne borner le temps
passé au coin par le début du moment qui suivra. On pourra ainsi y laisser le puni
jusqu’à ce qu’il soit l’heure d’aller au lit, ou jusqu’au moment du repas, par exemple, ce
qui peut parfois représenter des durées bien plus longues que l'heure pré-citée. Cela dépendra de la
sévérité recherchée.
Ignorer le puni
Donner une fessée à un adulte et le mettre au coin peut
créer un certain émoi. Je ne parle pas de celui qui peut s’emparer du puni, il
est normal qu'il soit présent, c’est un des effets recherchés par la punition et une des raisons pour lesquelles il est pertinent de baisser la culotte. C’est souvent chez
les personnes qui assistent à la punition, si elles ne sont pas habituées à ces
situations, que naîtront de nombreuses questions.
S’il est souvent impossible de ne pas y répondre, il faudra
viser à ce que le calme revienne au plus vite. En effet, dans ces moments d'étonnement, le puni sera au centre de l’attention générale, ce qui lui
donnera une place qu’il ne doit pas occuper durablement. Ce serait une cause de valorisation d’une
personne dont les actes ont été jugés suffisamment coupables pour nécessiter
une correction. Il faut l’éviter afin de ramener le puni à l'humilité et à la contrition nécessaires au processus punitif.
La vie normale doit reprendre ses droits au plus vite après
que le puni ait pris position au coin. Si la tutrice est la seule présente, ce sera aisé. Il suffit qu'elle reprenne le cours de ses activités là où elle les avait laissées pour corriger son pupille.
Ce sera plus compliqué s’il y a de nombreux témoins, mais l’intérêt de retrouver le calme propice à la réflexion du puni peut être expliqué aux témoins et il peut être exigé de leur part, pour le bien du puni, qu'ils en donnent tous les signes extérieurs à défaut de l'intégrer dans leur façon de penser.
Ce sera plus compliqué s’il y a de nombreux témoins, mais l’intérêt de retrouver le calme propice à la réflexion du puni peut être expliqué aux témoins et il peut être exigé de leur part, pour le bien du puni, qu'ils en donnent tous les signes extérieurs à défaut de l'intégrer dans leur façon de penser.
Le puni doit se sentir ignoré, comme si sa présence au coin,
la culotte baissée, était un phénomène banal, négligeable et que les affres de
la punition qu'il ressent, n’intéressaient plus personne. Cette indifférence sera la meilleure
attitude à adopter. Elle créera un contraste entre les sentiments du puni pour
qui, ce qui lui arrive, est de la première importance, et le désintéressement qu’il
perçoit dans son entourage.
Au coin, dans un lieu de vie habituel
Pour réussir cet équilibre entre exposition à toutes les
personnes présentes et indifférence au sort du puni, choisir le lieu où se déroulera la
punition est de la première importance.
Rejetez les lieux trop confidentiels où personne n’a l’occasion
de se rendre pour ses activités habituelles. La chambre du puni ou celle de la
tutrice ne sera donc pas un lieu très adapté. Il est rare qu’on y passe sauf si
l’on a des choses précises à y faire. Ce peuvent être des lieux à utiliser quand la situation oblige à conserver une certaine discrétion sur les punitions infligées au pupille. On peut être obligé à recourir à ces lieux, même si ce n’est
pas souhaitable.
Ce peuvent être des lieux intéressant si, confidentialité oblige, le puni est placé au coin dans une pièce sans que les visiteurs, dans une pièce proche, sachent qu'il est mis en pénitence à quelques mètres d'eux. Le risque d'être incidemment découvert suffira à augmenter l'angoisse du puni.
Ce peuvent être des lieux intéressant si, confidentialité oblige, le puni est placé au coin dans une pièce sans que les visiteurs, dans une pièce proche, sachent qu'il est mis en pénitence à quelques mètres d'eux. Le risque d'être incidemment découvert suffira à augmenter l'angoisse du puni.
Le séjour, la cuisine, l’entrée de la maison seront des emplacements bien
plus pertinents. Toutes les personnes présentes auront l’occasion, à un moment
ou à un autre, d’y passer, voire d’y rester un long moment, faisant peser son
regard sur la nudité du puni, sans lui adresser la parole. Même si seule la tutrice est présente, cela donnera, au puni, le sentiment que son exposition en pénitence se déroule dans un lieu potentiellement public, ce qui définira bien le statut auquel l'a conduit sa punition.
Ce sera également le lieu adéquat pour que le puni reste
sous la surveillance constante des autres personnes sans qu’il puisse en
mesurer l’effectivité. Il saura qu’au moindre relâchement, à la moindre liberté
qu’il prendra, il sera susceptible d’être pris sur le fait et d’en subir les conséquences.
Ne négligez pas les espaces extérieurs, en particulier quand
l’écart qui a nécessité une punition y a été commis. Le risque que le puni y
soit aperçu y est bien plus important qu’à l’intérieur, le sentiment d'être exposé dans un lieu public bien plus fort, mais cela sera un
facteur de renforcement de la sévérité de la punition.
Les éventuels témoins
La présence de tierces personnes ne saurait, en aucun cas, être un prétexte
à l’atténuation d’une punition. Tout au plus, si administrer une fessée ne peut
être fait publiquement, il conviendra alors d’en différer le déroulement ou de l'infliger sur l'instant dans un lieu proche mais hors de portée de spectateurs. Il en
va de même pour la mise au coin.
Si la fessée a été donnée en public, ce qui est souhaitable quand le comportement qui l'a motivée, à lui aussi été public, il n’y a pas de raison
que les personnes qui ont assisté à la première partie ne soit pas présentes
lors de la mise en pénitence qui suit.
Il peut être intéressant de laisser le puni dans l’incertitude
quant à l’arrivée, durant le temps où il sera au coin, d’autres personnes.
Imaginez la tourmente que ressentira le puni s’il sait qu’à tout moment peuvent
arriver d’autres personnes et qu’il sera contraint de garder la position, leur
montrant, sans doute possible, de quelle façon il est puni. Parions qu’une
prochaine fois, il cherchera à éviter de se retrouver dans cette situation.
Effet dissuasif garanti.
A genoux
Cet article ne serait pas complet s’il n’évoquait pas la
possibilité de renforcer l’inconfort du puni en le plaçant à genoux dans le
coin.
Cette position est très difficile à tenir, mais elle peut s’avérer
indispensable pour renforcer la rigueur de la punition. Utilisez-là avec
parcimonie. Quand le puni y aura été placé une fois, il la redoutera. Mais il
peut être nécessaire d’y recourir avec les fortes têtes qui refusent de se
plier aux obligations de puni ou quand les mesures habituelles ne suffisent
plus.
Les cinq premières minutes sont inconfortables, mais supportables. Au bout de
quinze minutes, la position devient une punition rigoureuse à elle toute seule.
Tout mouvement, si infime soit-il, est alors sanctionné comme si des aiguilles
étaient enfoncées dans le genou. L’immobilité la plus complète est nécessaire,
ce qui ne tarde pas à provoquer des crampes dont seul un impossible changement
de position pourrait venir à bout. Dilemme cornélien.
Il est cependant possible d’y laisser plus longtemps le puni
tout en sachant que chaque minute passée dans cette position, au-delà du
premier quart d’heure, restera probablement durablement dans la mémoire de votre
pupille.
C'est donc un choix de niveau de sévérité qui peut s'avérer nécessaire avec les punis qui ont décidé de persister dans leurs errements.
C'est donc un choix de niveau de sévérité qui peut s'avérer nécessaire avec les punis qui ont décidé de persister dans leurs errements.
Mal se tenir au coin, c’est désobéir
Une évidence pour finir ? Toute liberté prise avec les
règles du coin devra être considérée comme une grave désobéissance qui
appellera une sanction qui devrait ramener le puni au coin pour repartir avec de meilleures intentions sur un nouveau cycle.
Besoin de conseil pour administrer une réelle fessée ?
Recette pour une bonne fessée
De l'art du déculottage
Recette pour une bonne fessée : courbé sous le bras
Recette pour une bonne fessée - Gare aux endorphines
Recette pour une bonne fessée : à plat ventre en travers des genoux
Recette pour une bonne fessée : punir à bon escient !
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Vous pouvez également vous inspirer des consultations du Docteur Legendre ou lui adresser un courriel pour bénéficier d'une consultation par Internet.
Des avis, parfois divergents, des lecteurs de ce blog
Vos contributions sont les bienvenues
Vous avez un avis ? Faites-le partager ! Un petit commentaire ci-dessous et le tour est joué ! En tant qu'adulte, vous avez puni ou été puni d'une bonne fessée ? Faites-nous part de vos impressions.
bonjour il y a quelque années j'avait répondu a une rencontre (annonce) ou un homme qui se présenter comme père fouettard j'y suis aller après les présentation d'usage autour d'un café j'ai du subir quelques fessées bien cuisantes et depuis je recherche a subir ce châtiment avec humiliations divers
RépondreSupprimerJ'ai pour habitude de coller L (mon mari) en pénitence, le nez au coin et le derrière à l'air après l'avoir fessé ou fouetté. Il renifle ses larmes jusqu'à ce que je l'autorise à remonter sa culotte - après un quart d'heure au moins! Mais c'est quand je le corrige devant l'une ou l'autre de mes copines que le séjour au coin est le plus humiliant (pour lui) et le plus jouissif (pour elles - et pour moi). C'est l'occasion de commentaires ironiques sur le choix des "instruments" que j'ai utilisé - et aussi sur la façon dont il me crie "Merci!" tandis que je le corrige... et qu'il se prosterne à mes pieds après sa raclée et me baise les mains pour implorer mon pardon et me remercier de l'avoir puni "comme je le méritais" !
RépondreSupprimerJ.