vendredi 1 mars 2019

Recette pour une bonne fessée : au coin !


La durée d’une fessée est nécessairement courte, si l’on veut qu'elle constitue une réelle punition. Il n’y a pas le choix. Un précédent article vous en expliquera le pourquoi.
C’est un vrai problème. En effet, au-delà de la douleur aiguë que provoque une fessée correctement administrée, il est nécessaire de donner à son pupille le temps de réfléchir aux conséquences de ses actes et d’en tirer les conclusions. La durée de la fessée n’y suffisant pas, il faut la prolonger par une punition donnant le temps de revenir sur ce qui a déclenché la correction et qui laisse le temps d’en tirer les leçons. La mise au coin est alors tout à fait appropriée.

Trois principes de base

Une mise au coin prolonge parfaitement la punition. Il faut cependant que les règles en soient strictement respectées. Elles se résument en trois principes : la culotte baissée, l’immobilité et le silence.
La culotte ayant été baissée pour administrer la fessée, il ne sera pas pertinent de permettre au puni de se reculotter durant le temps où il va rester en pénitence. En effet, exposer ses fesses nues est, pour un adulte, le cœur de ce qui lui permet de toucher concrètement son état de puni. Il n’y a que dans des situations de punitions où un adulte a la culotte baissée dans un lieu qui n’est pas habituellement consacré aux activités intimes et de par la volonté d’une autre personne, contre son gré. Le sentiment d’être puni peut-il être plus fort quand un pupille est contraint de traverser la pièce dans laquelle il vient de recevoir une fessée, la culotte baissée l’obligeant à adopter une démarche hésitante?
Pour prolonger efficacement la punition, le temps passé au coin doit constituer une contrainte que le puni ne peut outrepasser. Il s’agit d’organiser un espace dans lequel il sera présent tout en étant isolé de ce qui se passe autour de lui. L’immobilité la plus stricte deviendra rapidement pénible à supporter. Elle lui rappellera qu’il est là sur décision d’une autre personne qui entend contrôler le moindre de ses gestes puisqu'il est incapable de se contrôler lui-même. Soyez assuré que si ce temps s’allonge, il lui sera de plus en plus difficile de tenir la position, ce qui lui demandera, au bout de quelques dizaines de minutes, un effort constant pour tenir la position. Le caractère punitif de ce moment est donc bien assuré.
L’isolement du puni, propice à un retour introspectif sur ce qui l’a amené là, ne peut être complet sans qu’il lui soit imposé un silence absolu. Cela comprend, bien évidemment les paroles qu’il pourrait prononcer, ce qui lui sera totalement interdit, mais également les autres bruits qu’il pourrait émettre. En particulier, il sera nécessaire qu’il comprenne que les pleurs et les sanglots ne pourront se prolonger au coin que s’ils deviennent rapidement inaudibles par son entourage.

Ces trois principes étant imposés, le puni, quoique à distance, sera toujours soumis à la volonté de sa tutrice qui, sans s’occuper particulièrement de lui, continuera à lui imposer sa volonté, sans qu’il puisse s’y soustraire. Cela sera un facteur important de renforcement de la légitimité de la personne qui a pour tâche de maintenir son pupille dans le droit chemin.

La position pertinente

L’expérience montre qu’il n’y a pas beaucoup d’hypothèses quant à la position à imposer à un puni durant son temps passé en pénitence.
Le visage doit être, le plus profondément possible, enfoncé dans l’angle du mur, à le toucher. Il ne doit pas en bouger. Ainsi placé, les informations que recevra le puni seront limitées au strict minimum. Il aura le sentiment d’être exclu de ce qui se passe dans la pièce où il se trouve, tout en sachant, grâce aux bruits et aux conversations auxquelles il n’a pas le droit de se mêler mais qui lui parviennent malgré tout, que les autres personnes qui s’y trouvent, ont pleinement connaissance de la nature de la punition qu’il a reçue. Il y a là une dissymétrie de positionnement soulignant la poursuite de la punition au-delà de la fessée et la perte de son statut d’adulte. Il lui sera plus facile de comprendre qu'il est considéré comme une personne immature qu’il a fallu punir pour la ramener à de meilleurs sentiments.
Le statut de puni sera encore renforcé si ses bras croisés dans son dos maintiennent les vêtements du haut de son corps au-dessus de sa taille, alors que la culotte est toujours baissée. Il sera alors clair pour tout le monde que la légitime autorité qui l’a placé là, exige qu’il montre son obéissance en contribuant à l’exposition de ses fesses encore marquées des stigmates de la fessée qu’il vient de recevoir.

Les mains ne pourront pas être mise sur le tête, contrairement à ce qui est souvent préconisé. C’est incompatible avec un visage au plus près de l’angle du mur, donc à l'isolement du puni. Si vous tenez à cette position, placez le puni au piquet, le long d’un mur, mais cela n’offre pas les mêmes avantages de retrait du puni de l'espace social, même s’il s’agit d’une position convenant à une mise en pénitence.
Debout, les mains jointes réunies dans son dos, les pieds joints, le puni va pouvoir bénéficier au mieux de son long temps de pénitence.

La question de la durée

Il est parfois dit que la durée se calcule en fonction de l’âge du puni : une minute par an. C’est très nettement insuffisant pour un adulte, surtout quand il vient tout juste de devenir majeur. Vingt minutes au coin pour un garçon ou une fille de vingt ans ne constitueraient pas une punition bien dissuasive. Il faut prendre en compte que le temps passé en pénitence se décompose, pour le puni, en plusieurs phases.

Tout d’abord, il y a les quelques premières minutes où seule la douleur vive provoquée par la fessée occupe l’esprit de celui qui a été mis en pénitence. Selon la sévérité de la fessée, cela peut durer quelques dizaines de secondes (en dessous de cette durée, on peut se questionner sur l’effectivité de la correction) à plusieurs minutes, voire une dizaine pour les fessées les plus sévères. Cela peut être nettement plus long si la fessée a été donnée avec des orties.
Le pupille, à ce moment-là, conçoit souvent le coin comme le lieu où il sera exempt de fessée. Relativement à ce qui s’est passé précédemment, le coin est plutôt un lieu refuge plus confortable que ce qu’il vient de connaître. Il ne serait pas pertinent de s’arrêter à ce stade.

Vient alors le temps de l’ennui. Passé les vingt à trente premières minutes, le puni a perdu tout repère dans le temps. Il ne sait plus depuis combien de temps il est là et surtout, il ne sait pas pour combien de temps encore. Cela sera d’autant plus vrai qu’il ne reçoit que très peu d’indication de son environnement.
Ce moment est fondamental. Pour contrer son désœuvrement, il va devoir laisser son esprit vagabonder en espérant que cela fasse passer plus vite le temps. Il y a fort à parier que c’est dans cette phase qu’il reviendra sur ce qui l’a amené là. Isolé face à lui-même, il lui sera difficile de se mentir. Ces moments seront propices à la reconnaissance intérieure de la faute qu’il a commise et à la prise de bonnes résolutions afin de ne pas être puni une nouvelle fois pour les mêmes raisons. Le processus de repentir aura alors fait de grands pas.

Au bout d’une heure, un peu plus ou un peu moins selon les personnes, viendra le moment où tenir l’immobilité demandera un effort constant. Au-delà de la position infamante et de ses fesses nues exposées qui constituent déjà une sérieuse punition dès le début de la fessée, commence alors le moment où respecter les exigences de sa tutrice quant à sa tenue au coin devient une contrainte de tous les instants. Vous comprendrez aisément qu’il faut aller jusque-là pour compléter pertinemment une fessée.
Cependant, il peut être judicieux de ne borner le temps passé au coin par le début du moment qui suivra. On pourra ainsi y laisser le puni jusqu’à ce qu’il soit l’heure d’aller au lit, ou jusqu’au moment du repas, par exemple, ce qui peut parfois représenter des durées bien plus longues que l'heure pré-citée. Cela dépendra de la sévérité recherchée.

Ignorer le puni

Donner une fessée à un adulte et le mettre au coin peut créer un certain émoi. Je ne parle pas de celui qui peut s’emparer du puni, il est normal qu'il soit présent, c’est un des effets recherchés par la punition et une des raisons pour lesquelles il est pertinent de baisser la culotte. C’est souvent chez les personnes qui assistent à la punition, si elles ne sont pas habituées à ces situations, que naîtront de nombreuses questions.
S’il est souvent impossible de ne pas y répondre, il faudra viser à ce que le calme revienne au plus vite. En effet, dans ces moments d'étonnement, le puni sera au centre de l’attention générale, ce qui lui donnera une place qu’il ne doit pas occuper durablement. Ce serait une cause de valorisation d’une personne dont les actes ont été jugés suffisamment coupables pour nécessiter une correction. Il faut l’éviter afin de ramener le puni à l'humilité et à la contrition nécessaires au processus punitif.

La vie normale doit reprendre ses droits au plus vite après que le puni ait pris position au coin. Si la tutrice est la seule présente, ce sera aisé. Il suffit qu'elle reprenne le cours de ses activités là où elle les avait laissées pour corriger son pupille.
Ce sera plus compliqué s’il y a de nombreux témoins, mais l’intérêt de retrouver le calme propice à la réflexion du puni peut être expliqué aux témoins et il peut être exigé de leur part, pour le bien du puni, qu'ils en donnent tous les signes extérieurs à défaut de l'intégrer dans leur façon de penser.
Le puni doit se sentir ignoré, comme si sa présence au coin, la culotte baissée, était un phénomène banal, négligeable et que les affres de la punition qu'il ressent, n’intéressaient plus personne. Cette indifférence sera la meilleure attitude à adopter. Elle créera un contraste entre les sentiments du puni pour qui, ce qui lui arrive, est de la première importance, et le désintéressement qu’il perçoit dans son entourage.

Au coin, dans un lieu de vie habituel

Pour réussir cet équilibre entre exposition à toutes les personnes présentes et indifférence au sort du puni, choisir le lieu où se déroulera la punition est de la première importance.
Rejetez les lieux trop confidentiels où personne n’a l’occasion de se rendre pour ses activités habituelles. La chambre du puni ou celle de la tutrice ne sera donc pas un lieu très adapté. Il est rare qu’on y passe sauf si l’on a des choses précises à y faire. Ce peuvent être des lieux à utiliser quand la situation oblige à conserver une certaine discrétion sur les punitions infligées au pupille. On peut être obligé à recourir à ces lieux, même si ce n’est pas souhaitable.
Ce peuvent être des lieux intéressant si, confidentialité oblige, le puni est placé au coin dans une pièce sans que les visiteurs, dans une pièce proche, sachent qu'il est mis en pénitence à quelques mètres d'eux. Le risque d'être incidemment découvert suffira à augmenter l'angoisse du puni.
Le séjour, la cuisine, l’entrée de la maison seront des emplacements bien plus pertinents. Toutes les personnes présentes auront l’occasion, à un moment ou à un autre, d’y passer, voire d’y rester un long moment, faisant peser son regard sur la nudité du puni, sans lui adresser la parole. Même si seule la tutrice est présente, cela donnera, au puni, le sentiment que son exposition en pénitence se déroule dans un lieu potentiellement public, ce qui définira bien le statut auquel l'a conduit sa punition.

Ce sera également le lieu adéquat pour que le puni reste sous la surveillance constante des autres personnes sans qu’il puisse en mesurer l’effectivité. Il saura qu’au moindre relâchement, à la moindre liberté qu’il prendra, il sera susceptible d’être pris sur le fait et d’en subir les conséquences.
Ne négligez pas les espaces extérieurs, en particulier quand l’écart qui a nécessité une punition y a été commis. Le risque que le puni y soit aperçu y est bien plus important qu’à l’intérieur, le sentiment d'être exposé dans un lieu public bien plus fort, mais cela sera un facteur de renforcement de la sévérité de la punition.

Les éventuels témoins

La présence de tierces personnes ne saurait, en aucun cas, être un prétexte à l’atténuation d’une punition. Tout au plus, si administrer une fessée ne peut être fait publiquement, il conviendra alors d’en différer le déroulement ou de l'infliger sur l'instant dans un lieu proche mais hors de portée de spectateurs. Il en va de même pour la mise au coin.
Si la fessée a été donnée en public, ce qui est souhaitable quand le comportement qui l'a motivée, à lui aussi été public, il n’y a pas de raison que les personnes qui ont assisté à la première partie ne soit pas présentes lors de la mise en pénitence qui suit.

Il peut être intéressant de laisser le puni dans l’incertitude quant à l’arrivée, durant le temps où il sera au coin, d’autres personnes. Imaginez la tourmente que ressentira le puni s’il sait qu’à tout moment peuvent arriver d’autres personnes et qu’il sera contraint de garder la position, leur montrant, sans doute possible, de quelle façon il est puni. Parions qu’une prochaine fois, il cherchera à éviter de se retrouver dans cette situation. Effet dissuasif garanti.

A genoux

Cet article ne serait pas complet s’il n’évoquait pas la possibilité de renforcer l’inconfort du puni en le plaçant à genoux dans le coin.
Cette position est très difficile à tenir, mais elle peut s’avérer indispensable pour renforcer la rigueur de la punition. Utilisez-là avec parcimonie. Quand le puni y aura été placé une fois, il la redoutera. Mais il peut être nécessaire d’y recourir avec les fortes têtes qui refusent de se plier aux obligations de puni ou quand les mesures habituelles ne suffisent plus.
Les cinq premières minutes sont inconfortables, mais supportables. Au bout de quinze minutes, la position devient une punition rigoureuse à elle toute seule. Tout mouvement, si infime soit-il, est alors sanctionné comme si des aiguilles étaient enfoncées dans le genou. L’immobilité la plus complète est nécessaire, ce qui ne tarde pas à provoquer des crampes dont seul un impossible changement de position pourrait venir à bout. Dilemme cornélien.
Il est cependant possible d’y laisser plus longtemps le puni tout en sachant que chaque minute passée dans cette position, au-delà du premier quart d’heure, restera probablement durablement dans la mémoire de votre pupille.
C'est donc un choix de niveau de sévérité qui peut s'avérer nécessaire avec les punis qui ont décidé de persister dans leurs errements.
                                                                                                                                    

Mal se tenir au coin, c’est désobéir

Une évidence pour finir ? Toute liberté prise avec les règles du coin devra être considérée comme une grave désobéissance qui appellera une sanction qui devrait ramener le puni au coin pour repartir avec de meilleures intentions sur un nouveau cycle.



Besoin de conseil pour administrer une réelle fessée ?


Vous pouvez également vous inspirer des consultations du Docteur Legendre ou lui adresser un courriel pour bénéficier d'une consultation par Internet.

Des avis, parfois divergents, des lecteurs de ce blog


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2 commentaires:

  1. bonjour il y a quelque années j'avait répondu a une rencontre (annonce) ou un homme qui se présenter comme père fouettard j'y suis aller après les présentation d'usage autour d'un café j'ai du subir quelques fessées bien cuisantes et depuis je recherche a subir ce châtiment avec humiliations divers

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  2. J'ai pour habitude de coller L (mon mari) en pénitence, le nez au coin et le derrière à l'air après l'avoir fessé ou fouetté. Il renifle ses larmes jusqu'à ce que je l'autorise à remonter sa culotte - après un quart d'heure au moins! Mais c'est quand je le corrige devant l'une ou l'autre de mes copines que le séjour au coin est le plus humiliant (pour lui) et le plus jouissif (pour elles - et pour moi). C'est l'occasion de commentaires ironiques sur le choix des "instruments" que j'ai utilisé - et aussi sur la façon dont il me crie "Merci!" tandis que je le corrige... et qu'il se prosterne à mes pieds après sa raclée et me baise les mains pour implorer mon pardon et me remercier de l'avoir puni "comme je le méritais" !
    J.

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