Où Patricia s'occupe à nouveau des fesses de son frère.
Stephen blêmit en entendant
l'avertissement, pour le moment sans frais. Il savait que son épouse pugnace mettait toujours ses menaces à
exécution. C'est alors que la sonnerie du téléphone retentit dans le magasin.
Edwige payait toujours par carte.
D'un doigt à l'ongle vernis, elle compose son code sur l'appareil, pendant que
Claridge de Blagnac plie soigneusement ses articles et les range dans une
élégante boite rouge... La couleur, très évocatrice, n'est pas choisie par
hasard. Sur le couvercle, la photo édifiante d'une avantageuse paire de fesses
masculine solidement culottée dans un ''slip à fessée » très suggestif. La
transparence de l'empiècement en nylon, parfaitement tendu sur les rondeurs
écarlates, permet d'apprécier la
sévérité de la fessée que monsieur a dû recevoir. Un slogan percutant garantit
les vertus calorifiques de la lingerie pour homme.
« Slip à fessée, cuisant
fessier ! » Difficile de faire mieux et plus explicite.
La sonnerie du téléphone insistait,
stridente, pour la cinquième fois. Claridge glissa le paquet dans un sac en
papier portant en évidence le logo et le
nom du magasin : « Au plaisir des Dames »
« Stéphanie, vous voulez bien
décrocher, cette sonnerie est agaçante ! C'est vrai quoi ! Si on ne répond
pas tout de suite c'est qu'on est occupé.
– Bien sûr madame...
– Edwige, veux-tu un paquet cadeau
pour le martinet ? »
La belle femme sourit d'un air
narquois, et se tourne vers son mari qui se dandine le plus discrètement
possible d'un pied sur l'autre. Les fessées continuent leur effet, visible sur
ses joues encore brillantes de larmes.
« C'est gentil mais, ce n'est
pas la peine, merci. Il a déjà eu son
cadeau sur les fesses ! Il va le prendre à la main pour rentrer. »
Claridge sourit d'un air entendu. La
sévère épouse le lui rendit avec un clin d'œil complice, et ajouta.
« Tu me connais... Toujours mon
petit côté démonstratif. Il va marcher à côté de moi son martinet à la main
pour bien montrer qui commande à la maison et comment sa femme prend soin de
ses fesses. »
Stephen pâlit d'un coup, à l'inverse
de ses fesses, rouges et cuisantes, atrocement serrées dans son slip. Il laissa
échapper un murmure qui ressemblait presque à une plainte qu’Edwige interpréta
aussitôt comme un signe de contestation, évidemment prétexte à une nouvelle
fessée. Elle ne lui laissait aucune marge de manœuvre et ne tolérait aucune
remise en cause de ses décisions le concernant.
«
Qu'est ce qu'il y a Stephen ? Tu as l'air contrarié... il m'a
semblé percevoir un murmure de contestation. Tes deux fessées ne t'ont pas
servi de leçon ? Attention, je t'entends encore une fois et je te
déculotte sur le champ pour t'en mettre une troisième ! Et ce n'est pas
Claridge, ni Stéphanie que ça va déranger !
– Certainement pas, bien au
contraire ! S'exclame de Blagnac en tendant son ticket de paiement à sa
cliente qui consulte le prix indiqué d'un regard amusé.
– Et bien dis donc, au moins on voit
qu'on n'achète pas n'importe quoi !
– C'est tout à fait justifié tu
sais. Ces slips, comme le martinet, sont fabriqués en petite série, en
Angleterre. Comme chacune le sait, c'est le pays de la fessée où l'on trouve
les meilleurs accessoires. Là on est quand même sur des articles haut de gamme.
Tu as déjà pu te rendre compte de leur efficacité.
– Bien sûr, c'était une remarque en
passant. Comme on dit fort justement, qui aime bien, châtie bien. Et quand on
aime, on ne compte pas, n'est-ce pas... on fesse !
– Et on fesse sans compter !
Enchaîne Claridge dans un grand éclat de rire, ravie de son bon mot. »
Stéphanie une main posée sur le
récepteur du téléphone l’interpelle.
« C'est madame Gladys qui
appelle, au sujet de votre soirée de samedi... Elle ne peut pas l'organiser
chez elle comme prévu. Elle propose de faire ça chez madame Klakerspank.
– Ah bon, et Béatrice, elle est
d'accord ? »
Stéphanie reprend l'appareil et
transmet la question. La réponse est rapide,
« Oui, elle est d'accord, madame
Gladys dit qu'elle a même accepté avec enthousiasme.
– Ça ne m'étonne pas. Elle est
toujours partante pour ce genre de réunion. Dites-lui que je vais la rappeler
ce soir. »
« Allez Stephen, tu prends ton
martinet et on s'en va ! »
Edwige son paquet à la main, propulse son mari
vers la porte d' une grande claque aux fesses. Il en fait tomber son martinet.
Elle lui en remet deux autres alors qu'il se baisse, derrière tendu, pour le
ramasser. Il pousse un petit cri de douleur en se relevant.
« Que veux-tu mon chéri, si tu me
présentes comme ça ton derrière c'est inévitable, ma main part toute
seule ! Elle ironise. Je ne sais pas pourquoi, elle est attirée par tes fesses
comme par un aimant ! »
Claridge, derrière sa caisse
l’interpelle.
« Tu seras de la partie j'espère...
avec Stephen bien sûr ?
– Evidemment, on ne va pas manquer
ça. ! Allez, avance, toi ! Dépêche-toi. Il y a une nouvelle
fessée qui t'attend à la maison pour avoir tenté de protester tout à l'heure. A
force de te faire claquer le derrière, tu vas bien finir par comprendre que
toute contestation avant une fessée est parfaitement inutile... Mais je peux
continuer à te corriger comme ça longtemps, moi ça me convient tout à fait ! »
Elle sort de la boutique en le
faisant marcher devant elle pour profiter de ses belles fesses, gonflées par
les fessées, sculptées avec précision dans son pantalon trop ajusté. Elle
l'obligeait à les porter une taille en dessous pour se régaler en permanence,
de la vison de son postérieur parfaitement moulé dedans.
On était mercredi midi. Porte
document sous le bras, Robin descendait du bus qui l'amenait de St Marie. Il
avait droit de sortie pour passer l'après-midi et la nuit chez lui. Retour en
cours le lendemain matin jusqu'au vendredi soir. Il mettait souvent à profit ce
moment de liberté pour se balader un peu en ville et y rencontrer des amis
qu'il ne voyait pas le reste de la semaine.
Gladys lui demandait de rentrer à
seize heures trente précise, exigeant qu'il respecte cet horaire pour avoir le
temps de faire son travail avant le dîner. Son retard inconsidéré du vendredi
précédent et un bulletin de notes catastrophique lui ayant valu un week-end
fessées bien rempli, il n'était pas interdit de penser que la leçon aurait
porté ses fruits. Dans le cas contraire, maman et la grande sœur Patricia,
étaient toujours prêtes à sévir pour ramener l'indiscipliné sur le chemin de la
conscience et de l'obéissance.
'' Les fesses en l'air, pour lui
remettre les pieds sur terre'' Disait Gladys avec un humour aussi cinglant que
ses fessées au martinet.
Malheureusement pour lui, c'est bien
ce qui se produisit après un séjour prolongé en compagnie de ses amis du ''
Slapping Bar '' qui le fit rentrer, une nouvelle fois hors délai, avec quelques
bières pression à son passif. La pression, sa sœur la lui mit d'emblée sur le
derrière lorsqu'il franchit la porte de la maison, légèrement étourdi et plutôt
joyeux. Sa bonne humeur fut de courte durée. Patricia, que sa mère en sortie
shopping avait déléguée pour sanctionner ses éventuels écarts de conduite avant
qu'elle même s'occupe de ses fesses, l'attendait dans l'entrée, bien disposée à
lui flanquer la correction de rigueur.
Trois jours sans fesser, depuis le
fameux week-End, Gladys s'étant réservé d’autorité l’exclusivité des fessées du
beau-père, ça vous donne des fourmis dans la main.
L'œil sur la pendule, Patricia
l'attendait dans le vestibule, assise sur la banquette. La jupe haut retroussée
sur ses jarretelles, cuisses jointes, les mollets cambrés sur ses talons
aiguille. Elle était déjà en position pour le cueillir au vol dès son arrivé.
Le vestibule et la cuisine étaient ses deux endroits préférés pour les
corrections. La bonne résonance des pièces carrelées rendait les fessées plus
retentissantes, décuplant le plaisir d'y faire claquer les paires de fesses à
corriger. La salle de bain, de moins grande dimension, n'offrait pas
suffisamment d'espace pour la prise d'élan nécessaire à l'administration des
grosses fessés. Ce qui n'empêchait pas d'y faire sévèrement crépiter les
derrières mouillés après la douche.
Conscient d'avoir encore une fois
enfreint les règles, Robin entra en trombe comme pour rattraper le temps perdu.
Il n'alla pas loin, stoppé pas la présence dissuasive de sa sœur postée au
milieu de l'entrée. Le menton autoritaire haut levé, les mains sur les hanches.
le buste bien droit, elle dégageait une incontestable impression d'autorité.
« Non mais Robin...c'est à cette heure-ci
que tu rentres ? Tu viens d'où là ? Encore à traîner dehors. La raclée de
vendredi ne t’a pas suffi ? Tu recommences aujourd'hui ! »
Robin qui ne s'attendait pas à un
tel accueil à peine arrivé, en laissa tomber son porte-document. Il referma la
porte avec précaution, comme si elle allait soudain tomber en miette. Il se mit
à bredouiller, lui-même étonné de sa difficulté à articuler. La dernière
tournée de bière avant de partir, allait se révéler fatale pour les
perspectives d'avenir de ses fesses qu'il sentait se serrer craintivement au
fond de son slip.
« Mais... euuuuuh...J'étais avec
Rémi et Antoine et... et on ne s'était
pas vu depuis... depuis...
– Et alors ? L'interrompt
Patricia. Qu'est-ce que tu veux que ça me fasse ? Du coup vous avez traîné
au bar ! Tu as vu l'heure... Quand est-ce que tu vas faire ton
travail ? Tu as vingt ans et il faut encore te rappeler sans arrêt ce que
tu dois faire. Comme à un gamin ! Je vais donc te traiter comme un
gamin !
– Mais Pat... Patricia je vais... je
vais...
–
Tu vas quoi ?... Rien du tout ! Dans l'état où tu es,
Incapable de te concentrer, tu ne pourrais pas écrire une ligne ! Alors avec une heure et demie de retard en
plus... »
Robin se rendait bien compte qu'il
était mal embarqué et que sa sœur n'était pas disposée à faire preuve de la
moindre clémence. Ce n'était d'ailleurs pas dans les habitudes de la maison.
Les corrections tombaient toujours sans concession à chaque manquement à la
discipline ou quand les règles de comportement n'étaient pas respectées.
– « Mais si... Pat...Patricia, je peux … je
vais … je vais...
– C'est cela oui... reprend-elle
ironique. Tu vas... tu vas... Tu vas gentiment m'amener tes fesses oui
! Viens ici... Tout de suite, dépêche-toi !»
Elle maîtrise la situation. Il obéit
et s'approche tout penaud, avec le sentiment de culpabilité d'un gamin pris la
main dans un pot de confiture. Il se place à sa droite, à l'endroit habituel
avant la fessée, qu'elle lui montre d'un index autoritaire tendu vers le sol.
D'un geste réflexe, Il tient son pantalon par la ceinture, sous sa veste, comme
si cela pouvait empêcher sa sœur de le déculotter.
Elle le saisit par les cheveux et le
force à baisser la tête vers elle pour le fixer droit dans les yeux. Il tremble
légèrement déjà fixé sur son sort.
« Tu connais pourtant la règle,
mais il n'y a rien à faire. Alors je vais encore te la rappeler. Qu'est-ce
qu'on mérite quand on arrive en retard... Et dans un tel état... Hum ?
– Euuuuh... Une... Une ...
– Oui, une quoi ? Je veux te l'entendre
dire Robin.
– Une... Une fessée …
– Exactement
Robin… la fessée ! Et...une simple fessée ?
– Euuuh non, une... une bonne fessée !
– Bien sûr, une bonne fessée ! Alors baisse
ton pantalon et viens te mettre en position. Et ne me fais pas attendre ou je
t'en mets deux au lieu d'une ! »
Robin n'a pas le choix. Patricia, à
bonne école, a adopté les méthodes expéditives de sa mère. La moindre
hésitation est sanctionnée par une nouvelle fessée, plus sévère et dans la
continuité de celle déjà annoncée pour un effet bien marquant. Sous le regard
amusé de sa sœur, il se débarrasse de sa veste, déboucle rapidement sa
ceinture, mais, pas de chance, la fermeture éclair de sa braguette résiste. Il
lui faut deux minutes pour en venir à bout et descendre son pantalon sur ses
chevilles. Impassible, Patricia laisse
planer la menace d'une nouvelle sanction.
« Eh bien, tu en as mis du temps à
te déculotter. Ça mérite une fessée supplémentaire... Je vais y réfléchir
pendant celle-là. Aller, amène-toi ! »
Robin se garde bien de protester et
s'allonge de lui-même sur les genoux de sa sœur qui le laisse se mettre en
position. Maman l'a dressé à l'obéissance parfaite et à toujours bien présenter
son derrière pour favoriser l'administration des fessées. Elle s'amuse à le voir se trémousser sur ses
cuisses, pour les lui placer bien à sa main et cambrer les reins afin de les
déployer au maximum.
« Je vais commencer par une fessée à
travers le slip pour bien te chauffer le derrière dans le nylon et te le
préparer à la grosse fessée déculottée que tu as méritée. Ça va te faire un excellent entraînement pour
celle que maman va certainement te mettre quand elle sera rentrée. »
Elle tire sur l'élastique de son
slip pour le lui retendre sur les fesses. Elle veut une belle surface moulées
dans le nylon, souple et bien ferme sous la main. Robin ne dit plus rien. Les
mains posées à plat sur le sol, il assure ses appuis pour se donner une bonne
résistance dans le derrière et l'offrir bien ferme à la solide fessée qui sa
sœur vient de lui annoncer.
Elle la lui met aussitôt, d'une main
tout aussi ferme, bien adaptée au double arrondi de son postérieur solidement
culotté dont le claquement sec résonne bruyamment, amplifié par la résonance du
carrelage. Serré dans le nylon, le volumineux fessier donne du répondant. Il
offre une vaste surface compacte, résistante sous la main, qui incite la jeune
femme à taper fort, Elle s'y emploie avec gourmandise donnant de plus en plus
de hauteur à son bras pour augmenter la vitesse d'exécution des claquées. La
fessée en devient de de plus en plus cuisante et provoque des réactions en
chaîne de Robin qui commence à pousser des gémissement en se tortillant en
rythme sur les cuisses de sa fesseuse.
Car elle fesse bien la grande sœur,
avec efficacité et son enthousiasme habituel.
« Ah Robin, tu n'imagines pas à quel
point tu as bien fait de me donner l'occasion de te corriger ! Ma main
commençait à s'ennuyer de tes fesses ! Tu sens comme elle est contente de
les retrouver, de les sentir chauffer et vibrer sous une bonne fessée bien
claquante !
– Raaaaaah tu fesses dur Patricia ! Ça
fait vraiment mal, pitié pas si fort ! »
Indifférente aux plaintes
larmoyantes de son puni, et plutôt stimulée par leur véhémence, elle augmente
au contraire la cadence et la puissance des claques qui lui font sauter le
derrière sur ses cuisses. Elles
rougissent à vue d'œil sous le nylon,
« Allons Robin, cesse de pleurnicher
comme une mauviette, je viens de commencer il y a à peine dix minutes ! Tes
fesses me font une si belle danse ... je les sens toute frétillantes dans ton
slip ! Tu vas avoir du mal à les tenir quand je vais passer à la fessée
déculottée !
– Ah
non, je t'en prie... S'il te plaît... Pas la fessée déculottée, celle-là est
déjà bien assez cuisante. Tu ne te rends pas compte comme tu tapes fort.
Patricia s'amuse de la remarque et
continue à fesser,
« Mais bien sûr que si je m'en rends
compte ! Et ce n'est rien en comparaison de la fessée déculottée qui va
suivre. D'ailleurs voyons voir si je te les ai assez chauffées. »
Elle conclut la séquence de préparation d'un
double aller et retour fermement claqué sur chaque fesse et croise les jambes
pour lui remonter le derrière à la bonne hauteur. Elle glisse alors la main dans son slip, pour
évaluer le résultat à la température de ses fesses sous le nylon. Une
fournaise !
– « Oula la, ça a sacrément bien chauffé, là-dedans,
tu as déjà les fesses en feu mon ami ! »
Elle prend le temps de les caresser, enfonce un
index inquisiteur entre les deux fesses, histoire de tester la température au
fond de la raie pour bien l'humilier, et retire sa main. Elle les tapote
affectueusement en signe de satisfaction. La cuisson est déjà bien avancée,
elles sont prêtes pour la fessée déculottée.
« Aller, lève-toi ! Dit-elle
avec autorité. On va changer de position pour la fessée déculottée, je veux des
fesses bien tendue pour que ça claque fort. Quand ça claque fort, j'adore !
– Ah non pitié Patricia ! Pas la fessée
déculottée, s'il te plaît, celle-là était déjà bien sévère. Tu tapes de plus en
plus fort. »
La réplique est implacable,
« Pas encore aussi fort que maman,
mais ça va venir. Il me faut seulement un bon entraînement, régulier, sur un
gros fessier bien ferme. Le tien est parfait pour ça. Aller relève toi, je n'en
ai pas fini avec !
– Oooh non, je t'en prie, pas la
fessée déculottée... Comme tu l'as dit toi-même, j'ai les fesses en feu...
Pitié !
– Cesse de faire ta mijaurée, elles en ont
encaissé bien d'autres. Relève toi j'ai dit, et prépare les pour la déculottée
au lieu de discuter. Maman ne va pas tarder à rentrer et j'aimerais bien
qu'elle voit le résultat. »
Le malheureux, en larmes, se
redresse péniblement, comme s'il avait des courbatures. Elle le remet debout à
grandes claques sur les fesses dont une bonne partie déborde largement des
élastiques du slip enfoncées dans la raie. On dirait presque un string. La
surface découverte, présente déjà un joli rouge ou apparaissent, bien imprimées
l’empreinte de la main de Patricia. La fessée déculottée va vite remédier à ça
en faisant disparaître ces traces sous l'éclat d'un rouge beaucoup plus foncé,
uniformément réparti sur l'ensemble du fessier.
Patricia, s'est levée à son tour.
Robin attend qu'elle lui indique la position à prendre. Elle retrousse sa
courte jupe plissée et d'un doigt autoritaire désigne l'emplacement entre ses
jambes où il doit venir se courber en deux pour lui présenter ses fesses. Elle
adore le fesser dans cette position qui rend la punition encore plus humiliante.
Sachant que toute tentative de résistance est inutile, il plonge en avant pour
aller docilement encastrer sa tête entre ses cuisses, Elle les resserre comme
un étau autour de ses joues. Le frottement de ses bas nylon va les lui
enflammer pendant toute la durée de sa correction.
C'est Béatrice Klakerspank, la mère
de maxime et l'amie de Gladys, qui a fait la promotion de cette technique
destinée à rendre les fesses de ces messieurs plus stimulantes à claquer. Toutes les maîtresses femmes, friandes de
nouveauté pour agrémenter les séances punitives, ont très rapidement adopté
cette sévère manière de fesser. Pour le plus grand bonheur de Madame de Blagnac
qui n'a jamais vendu autant de paires de bas de la fameuse marque,
''Rio ''. Les bas nylon au renfort le plus rêche sur la peau. La cuisson
des joues de ces messieurs emprisonnés entre leurs cuisses est rapidement venu
s'ajouter à celle qu'elles infligeaient déjà à leurs fesses.
Patricia saisit l'élastique de son
slip pour déculotter son frère. Le maintenant
fermement immobilisé entre ses cuisses serrées, c'est au prix d'éprouvants
tortillements du derrière qu'elle dans la douleur et les gémissements à le
déculotter entièrement. Libéré de
l'étreinte du nylon, le volumineux derrière enluminé épanouit ses belles
rondeurs tendues à disposition de la sévère fesseuse impatiente de le claquer à
nouveau dans cette position.
– « Une pareille récidive en si peu de temps
ça mérite une très grosse fessée mon cher ! »
Elle lève très haut la main au-dessus
du derrière frémissant. Les premières claques retentissent lorsque Gladys
apparaît dans l'encadrement de la porte qu'elle vient d'ouvrir brusquement.
Elle marque un temps d'arrêt avant de rentrer, éblouie par la vision du fessier
déculotté, tressautant sous les claques. Quel accueil ! Elle reconnaît aussitôt
les belles fesses bien développées de son fils qu'elle connaît par cœur pour
les corriger régulièrement.
« Et bien ma chérie, je constate que
tu sais t'occuper quand je ne suis pas là. Qu'est qu'il a encore fait notre
incorrigible garnement pour mériter une aussi belle fessée ? S’exclame-t-elle
en refermant la porte. Tu ne veux pas plutôt le fesser dans le salon ?
C'est plus confortable non ?
Les yeux rivés sur la cible charnue,
Patricia continue de fesser. Elle ne relève la tête qu'une seconde pour ne pas
perdre la cadence.
« Tu n'as pas tort ma chérie... dans
la cuisine aussi d'ailleurs. »
Elle posé ses sacs de course sur la
banquette et enlève tranquillement ses gants, indifférente au formidable
claquement de la fessée qui s'abat sur les fesses de son fils. Un bruit somme
toute familier qui résonne plutôt agréablement à ses oreilles.
« Tu n'as pas répondu à ma
question ma chérie. Mais tu es très occupée, je vais demander à Robin après
tout, c'est lui le responsable. »
Elle enlève tranquillement ses gants
qu'elle pose sur la commode et passe derrière Patricia en pleine action sur les
fesses de son frère. Elle retrousse sa jupe serrée et dans un crissement de
nylon s'accroupit devant Robin dont la tête, écrasée sous les fesses de sa sœur
dépasse à peine d'entre ses cuisses. Il souffle entre ses dents serrées. Son
visage congestionné, dégoulinant de larmes, oscille sous l'impact des claques
qui lui secouent le derrière. Il est presque aussi rouge que ses fesses.
« Maman... dis... dis-lui d'arrêter,
elle fesse trop fort... Roooaiiiiie !! ça fait mal, ça fait très
mal ! …
– Rien de plus normal mon cher, la fessée ça
doit faire mal... C'est fait pour ça ! Tu le sais bien. Mais qu'est-ce que
tu as fabriqué pour que ta sœur t'en flanque une si bonne ? »
Robin en souffrance n'a pas le
courage de répondre, sinon par un pathétique signal de détresse
« Pitié maman, c'est la deuxième
fessée qu'elle me met !
– Mon pauvre chéri, ce n'est sans
doute pas la dernière de la journée. Tu n'as qu'à serrer les dents et bien
tendre tes fesses pour qu'elles claquent fort ! Ça va te faire le plus grand bien ! »
Il ne fallait pas compter sur Gladys
pour faire preuve d'une quelconque clémence. C'était plutôt l'inverse qui se
produisait lorsqu'un puni tentait d'en solliciter la moindre parcelle. Elle se
relève tout sourire, indifférente à la souffrance de son fils qu'elle voit
pourtant se tortiller en hurlant entre les cuisses de sa sœur, qui continue,
imperturbable, à lui pilonner le derrière d'une main terriblement ferme. Ses
fesses, maintenant écarlates témoignent de la rigueur de la fessée. Qu'à cela
ne tienne, partant du principe que sa correction devait être justifiée, maman
encourage même sa fille à redoubler de sévérité.
« Aller Patricia, du nerf ma
chérie ! Claque-moi ce derrière bien comme il faut. Il n'est pas assez
rouge tu peux faire mieux, sinon c'est moi qui vais le prendre en main ! Et
j'aimerais bien savoir ce qu'il a encore fait pour mériter cette raclée... »
Patricia ne se fait pas prier, et
Robin se met à brailler sous une retentissante accélération.
Gladys reprend ses sacs et se dirige
vers le salon en claquant des talons.
« Bon, je vois que personne ne veut
me répondre... nous réglerons ça tout à l'heure ! Elle s'arrête dans
l'encadrement de la porte et se retourne. Quand tu en auras fini avec les
fesses de ton frère, tu l'enverras dans sa chambre faire son travail...
jusqu'au dîner ! »
Ses fesses sont écarlates lorsque
Patricia met fin à la correction d'une dernière salve particulièrement appuyée.
Le malheureux en larme, reculotté serré, ne met pas longtemps à grimper les escaliers
jusqu'à sa chambre malgré son pantalon toujours baissé. Agrippé à la rampe il
gravit les marches comme il peut, le derrière crépitant sous la main de sa sœur
qui a adopté cette méthode pour le faire monter plus vite malgré la cuisson de
ses fesses.
La paume brûlante, mais satisfaite
de sa prestation, elle redescend au salon où Gladys l'attend, assise dans le
canapé, occupée à consulter la messagerie de son portable.
« Bravo ma chérie, excellente fessée,
tu l'as bien corrigé ! dit-elle sans lever les yeux de l'écran lumineux.
Je suppose qu'il l'a méritée... Comme nous avons mérité notre pur malt !
Tu peux nous en servir un s'il te plaît, c'est l'heure ! »
Patricia revient avec deux verres,
la bouteille de Whisky et des petits biscuits salés qu'elle pose sur la table
basse. Elle s'assied près de sa mère qui éteint son téléphone et fait le
service. On est sévère ou on ne l'est pas, elles le sont jusqu'au bout. La mère
et la fille, complices, trinquent joyeusement aux fessées à venir pour le maintien
d'une bonne discipline dans la maison.
« A propos, il faut que je te dise,
dit Gladys en croquant dans un biscuit, j'ai rencontré cet après-midi une dame
charmante à Monoprix. Je l'avais déjà vue une fois mais nous avions très peu
parlé. Une certaine madame Bellebourge... Thérez Bellebourge... Oui, c'est
ça ! »
Ne perdez pas le fil du feuilleton ! Pour ceux qui se seraient égarés ...
Le début : chapitre 1 de la saison 1
et celui de la saison 2 : chapitre 1
Voici l'épisode précédent : chapitre 14
Il y a une suite, le chapitre 16
et celui de la saison 2 : chapitre 1
Voici l'épisode précédent : chapitre 14
Il y a une suite, le chapitre 16
Ramina est l'auteur de nombreux récits et commentaires sur ce blog.
Juste retour des choses il attend les vôtres. Ecrivez vos appréciations, vos retours, vos questions ... dans le cadre ci-dessous. Ramina vous répondra.
Si vous voulez un échange plus privé voici un courriel pour le joindre : ramina16@laposte.net
magnifique posture mais ô combien surréaliste!quelle femme est capable de tenir un homme son derrière bien en l'air et sa tête coincée entre les jambes de la fesseuse?quoi-qu'il-en soit,le plus dur finalement c'est comment arrêter de claquer un si beau fessier charnu dans une telle offrande.
RépondreSupprimerserge
Bonjour Ramina,
RépondreSupprimer"le retour de Calamity Pat'" ! Voilà un titre qui en dit long. Rires.
Wahou ! La grande sœur a la main leste ! Plus lourde que le marteau de Thor !!!! Dessins au top de l'action, Ils se passeraient presque de dialogue tant ils sont ex-pli-cites !!!
Robin donne le martinet pour se faire fesser ! Pas très malin de sa part. Connaissant ces intransigeantes dames à son égard.
Ces messieurs n'ont aucune chance d'échapper à la prochaine réunion "Spankingware" du samedi qui approche.
Leur nouvelle connaissance, Mam'e Bellebourge, sera t-elle conviée à ce dîner qui s'avère déjà riche en divertissements ? Attendons...
Amicalement. Peter.
Bonjour Serge,
RépondreSupprimerBien sûr, tout est pratiquement surréaliste dans ce récit de fiction. Il est surtout construit sur une grande part de fantasmes partagés, à l'évidence, par beaucoup d'entre nous.
Encore que... Aussi étonnant que cela puisse paraître, certains chapitres et autres passages, sont directement inspirés de situation réellement vécues par quelque correspondant, ayant accepté d'alimenter l'histoire de leur propre expérience. Et alors, la réalité rejoint vraiment la fiction. Entre autre, cette position notamment, mais avec les pieds par terre!
Pour ce qui est d'arrêter de claquer les si beaux fessiers charnus de ces Messieurs au comportement douteux, qu'on se rassure, c'est effectivement impossible pour ces Dames si sévères qui en sont trop friandes. Difficile de résister quand on a d'aussi formidables paires de fesses sous la main. Les occasions sont nombreuses de corriger les mauvais comportements... Question de désir de bonne éducation (rigolade!)
Cordialement
Ramina
Bonjour Peter,
RépondreSupprimerAllez savoir! Mais si Mam'e Bellebourge veut bien apparaître ce n'est pas pour faire de la figuration.
Achtung, Cuidado!... La multiplication des personnages ( et encore, chez Axel au supermarché,il y en a tellement qu'on ne sait plus ou donner de la fessée... Rires !!) complique un peu les situations alors je récapitule.
Il faut rendre à Stephen ce qui appartient à Stephen ! Sur la première image ce n'est pas Robin mais bien Lui, le mari d'Edwige qui ramasse son martinet qu'il a laissé tomber, suite à une claque aux fesses que ... Le mieux c'est de relire (re-rires)
Cordialement
Ramina
Bonsoir Ramina,
SupprimerMerci cher confrère (rires) pour cette indispensable précision.
En effet, une abondance de personnages finit par embrouiller les actions. c'est la raison pour laquelle je n'ajoute pas beaucoup de personnages. " dans la famille Bellebourge... je voudrais... la tantine !
- Pioche ! ".
Les 7 familles ? Déjà deux suffisent.
Amicalement. Peter.
Bonjour Peter
RépondreSupprimerDans la famille "Bellebourge-Clakofesses" vous avez quand mème la mère ,les soeurs, les tantes, les cousines, plus les profs... ça en fait déjà pas mal à s'occuper des fesses de Gérôme! Je me demande même si la grand-mère ne s'y met pas aussi de temps en temps...
On n'a pas une vie facile ma pôv'dame!
Ramina
Bonjour Ramina,
RépondreSupprimerMais Mamie prête à l'occasion main forte à sa fille.
Il y a quelques épisodes , Gérome avait passé un dimanche chez elle.
Séjour cuisant... Comme vous le savez, les dames d'un certain âge ont leurs manies. C'est bien connu.
Amicalement. Peter.