mercredi 20 mars 2019

Recadrage en Provence - chapitre 10

Nouvelles mésaventures


Six heures du matin, je présume que Marthe entra dans ma chambre sans frapper sinon je l’aurais entendu...
« Bonjour Maxime, il est l’heure, tu files sous la douche et tu descends déjeuner dans 15 minutes.
- …
- Maxime ! Allons ! »



Encore perdu dans mes songes, c’est une tape sur mes fesses nues qui me réveilla. Marthe avait abaissé le drap jusqu’au pied de mon lit dévoilant complètement ma totale nudité. Je parvins à saluer Marthe avant de recevoir une nouvelle tape sur mon postérieur.
« Bonjour Marthe … très bien merci
- Tu te douches et tu descends prendre ton petit déjeuner dans 15 minutes pétantes ! »

Je filais sous la douche et la douleur sur mes fesses me fit repenser à la journée difficile que j’avais vécue hier. Les idées se bousculaient en moi, mon statut d’adulte soumis à l’autorité de l’amie de ma maman, de Anna notre cheffe hiérarchique, de Nathalie la gouvernante… Etre même soumis au bon vouloir de Louise à qui on avait prêté le droit de m’encadrer, de superviser mon couchage. J’étais prisonnier dans cette ferme menée de main de maître par des femmes, des femmes qui appliquaient un règlement strict et qui ne m’épargnait pas des conséquences annoncées en cas d’écart. La fessée déculottée.
Je devrai désormais être bien plus consciencieux et bien plus prudent, je ne l’avais pas été suffisamment jusqu’ici et mes fesses en avaient payé le prix cher. Vivre dans ce monde exclusivement féminin générait en moi des réactions inconnues qui me troublaient. J’appréciais de partager tous ces moments de vie, de labeur ou de repos, j’étais comme apaisé par leur présence, leur féminité, leur douceur ou leur sévérité. Elles avaient fait surgir une part de docilité en moi dont j’ignorais l’existence.
Nathalie m’avait surpris en plein plaisir solitaire, épiant nos colocataires sous la douche, cela continuait à me créer un pincement au cœur, à me remplir de honte. De toute ma vie, je ne me souviens pas avoir vécu une telle déconvenue. J’étais néanmoins soulagé par l’option qu’elle m’avait laissée, me fesser et me punir pour ces fautes en me promettant de garder le secret. Je me rappelais alors de ses dires : « le fessée de demain te sera donnée au martinet pour t’être masturbé »… Des heures sombres m’attendaient dès ce soir. Je terminais ma toilette et m’empressais de rejoindre tout le monde pour le petit déjeuner.
Arrivé à table je saluais tout le monde, les cinq premières places étaient déjà occupées, Anna se joignait apparemment systématiquement à nous dès les premières heures pour le petit déjeuner. Je n’avais pas oublié de revêtir ma culotte et ma combinaison de travail. A table je peinais à me montrer enjoué et de bonne humeur, il y avait devant moi trois fesseuses qui m’avaient corrigé. Elles m’avaient déculotté et fessé sans montrer la moindre hésitation et elles avaient menacé de recommencer dès que cela leur semblerait nécessaire. Marthe s’empressa de réagir pour mettre un terme à mon comportement froid et boudeur.
« Maxime, cesse donc tout de suite de faire cette tête sinon je n’hésiterai pas à te rougir les fesses. Tu as reçu de bonnes fessées de notre part et tu en recevras encore, alors tâche d’accepter ce fonctionnement et de faire bonne figure. Nous avons déjà toute eu un aperçu de ton intimité et de ton derrière, c’est comme ça, à toi de comprendre pourquoi tu as eu droit à ces fessées et de corriger ton comportement.
- Oui Marthe, pardon, je ne suis pas encore bien réveillé, excusez-moi… »

Hormis ce petit moment critique ou j’eus le sentiment d’avoir échappé à un nouvel embarras, le petit-déjeuner sa passa sans encombres. Nous débarrassâmes la table puis vint l’heure du travail. Une journée qui ressemblait à celle d’hier, la chaleur se fit ressentir dès les premiers rayons du soleil, les ouvrières étaient joyeuses et productives, leur efficacité m’impressionnait, je n’avais jamais une seconde pour me poser… mais de ce fait le temps passait à une vitesse incroyable, il était déjà 11h et le rituel des douches communes sous le petit préau approchait. Je prenais alors mon temps pour ne pas arriver trop tôt et passer pour un voyeur. Je remettais tout en place sagement, tranquillement, pour pouvoir redémarrer l’après-midi tambours battants.
Lorsque je retrouvais le groupe, toutes étaient déjà quasiment douchées et habillées. Anna se fit manifester tout de même.
« Lydie ne serait-ce pas un string que tu portes ! Tu sais pourtant que c’est interdit ici, nous avons été clairs, c’est indiqué dans le règlement intérieur que tu as signé le premier jour t’en souviens-tu ?
- C’est un tanga Madame mais je n’avais plus de culottes propres ce matin et j’ai…
- Comment ça un tanga… c’est un string, il suffit de constater que le ficelle disparaît entre tes fesses. Ne me prend pas pour une idiote ! Qui plus est tu reconnais volontiers que tu ne sais pas organiser et faire tes lessives au fur et à mesure ? Ton excuse t’enfonce encore plus. Viens ici !
- S’il vous plaît madame, je vous promets que cela n’arrivera plus »

Anna ne se laissa pas attendrir par cette promesse, elle prit Lydie par le poignet et l’entraîna vers une sorte de petit chevalet qui servait d’habitude à y déposer des vêtements. Enfin c’est ce que je pensais jusqu’à ce que Lydie eu à y recevoir une fessée des plus embarrassantes. Anna abaissa le string objet du délit et de la fessée qui était sur le point de nous être exposée. Il est vrai que le string ne cachait pas grand-chose de l’intimité de Lydie. Notre cheffe la fit prendre position sur le chevalet. Elle était complètement nue, les pieds ancrés au sol, les mains posées sur les montants opposés. Dans cette position ses fesses surplombaient le reste de son corps nu et on apercevait donc sans mal son anus et son sexe épilés. Lydie était déjà en larmes, ses sanglots traduisaient l’humiliation qu’elle vivait le corps nu exhibé sur le chevalet. Lorsqu’Anna démarra la fessée ce sont des cris stridents qui vinrent entrecouper ses sanglots.
« Cela faisait longtemps que je ne t’avais pas fessée Lydie, mais cette fois-ci je ne peux pas accepter ta désobéissance.
- Aïe ! Madame je... Ouïe ! vous ne pouvez pas… Ouïe ! cette position sur le chevalet… Aaaah ! est trop… Aaaouh ! humiliante…
- Et ce string que tu portes devant tout le monde ? Tu devrais déjà avoir honte de porter un tel sous-vêtement pour travailler. Au moins là tout le monde peut admirer tes fesses. Et de la meilleure manière qu’il soit pour observer qu’elles deviennent rouges vives !
- Non madame… Aaaouh ! Pitié…
- Chuuut ! Si je t’entends encore négocier tu auras droit à une deuxième fessée sur le chevalet en fin de journée.
- Aaaouh ! »

Je trouvais que Lydie encaissait plutôt bien la terrible fessée qu’elle subissait, alors que ses fesses naturellement colorées au départ étaient devenues écarlates en à peine une minute. Anna continuait de fesser copieusement le postérieur exorbitant qu’elle avait sous la main. La position occupée sur le chevalet et les sursauts de Lydie provoqués par chaque heurt ne laissaient plus aucun secret sur son jardin secret. La femme d’une trentaine d’année était traitée comme une jeune adolescente à qui on avait fixé des règles, règles qu’elle avait transgressées bêtement. Porter un string pendant le travail à la ferme en était apparemment une. La conséquence d’un tel acte se déroulait sous nos yeux ébahis.
Anna mis fin à la fessée lorsque Lydie ne réagissais plus. Seuls ses sanglots continus témoignaient encore sa déconvenue. Anna enleva complètement le string qui se trouvait aux pieds de la jeune femme.
« Je préfère encore que tu ne portes rien pour protéger tes fesses, enfin pour le peu que protégeait ce petit bout de tissu. Tu vas rester les fesses à l’air et te mettre au coin. Tu nous rejoindras pour déjeuner quand tu auras repris tes esprits, nous ne voulons pas d’une pleurnicharde à notre table pour le moment.
- Oui … madame…
- Allez, reprends donc tes esprits et va te mettre au coin, c’est fini ma petite Lydie »

Anna l’aida à se relever puis elle lui caressa les fesses et le dos avant d’être envoyée au coin. Nous fûmes alors invités à nous restaurer sous le préau qui surplombait la ferme et le hangar. Lydie gisait nue le derrière en feu à quelques mètres de nous. Anna leva la punition quelques minutes plus tard et notre déjeuner fut détendu et convivial malgré la fessée magistrale à laquelle nous venions d’assister. Nathalie et Marthe vinrent nous rejoindre à la fin du repas avec un thermos de café. La sérénité qui m’habitait depuis ce matin fut vite chamboulée.
« Maxime, interpella Marthe, sous les conseils de Nathalie j’ai demandé à mon esthéticienne de passer ce soir dès 19h30. Je te demanderai d’être lavé en temps et en heure. Je la ferai monter dans ta chambre dès son arrivée.
- Euh… Oui Marthe, mais je n’ai pas besoin d’être soigné par une esthéticienne…
- Je ne te demande pas ton avis Maxime, Nathalie m’a fait part de tes problèmes à maintenir tes toilettes et ta salle de bain propres. L’esthéticienne va se charger de retirer tout ça. En plus ces poils sont totalement inappropriés sur un jeune homme qu’il faut si souvent déculotter et fesser. »

Je restais bouche bée, emplit de honte, cette garce de Nathalie m’avait joué un vilain tour, une nouvelle fois elle n’avait pas hésité à piétiner mon honneur et ma virilité. Ce sujet était évoqué devant toute cette assemblée de femmes sans aucune pudeur. Je comptais en tout onze spectatrices qui avaient eu vent de la future épilation de mes parties intimes. Louise et Noémie ne pouvaient s’empêcher d’afficher un petit sourire moqueur.
« Noémie, il en sera de même pour toi. Tu te tiendras prête dès 19h30 également, c’est bien compris ?
- … oui… oui madame c’est entendu…
- Très bien, je vous laisse profiter de votre café. Bonne sieste à toutes et bon courage pour cet après-midi »

Tout le monde s’éparpilla quelques peu pour trouver un endroit reposant. Louise et Noémie s’allongèrent au pied d’un grand olivier, d’autres ouvrières sous un second plus en retrait, Anna resta à table, quant à moi je rejoignais une petite zone d’herbe ombragée par le préau.
Après une bonne heure, Anna appela la reprise du travail, tout le monde regagna son poste et notre petite équipe fit encore preuve d’une belle productivité. Lydie ne branchait pas, j’imaginais à quel point son derrière douloureux devait rendre ses mouvement pénibles. Les frottements sur sa combinaison n’arrangeant rien, je l’avais vécu hier. Je me concentrais sur mon travail sans trop penser à la séance d’épilation qui m’attendait.
Il était 19h30… Douché, propre comme un sous neuf, enroulé dans mon peignoir de bain, j’attendais dans ma chambre la venue de l’esthéticienne. Une voiture franchit le portail et vint se garer devant la porte d’entrée. J’en vis en sortir une jeune femme blonde, elle ouvra le coffre de sa voiture, sortit une table de soin dont elle glissa la lanière sur son épaule. Elle prit un sac remplis de babioles et referma le véhicule. Je la perdis de vue lorsqu’elle entra dans le séjour en saluant Marthe. Je n’entendis plus grand-chose pendant une bonne minute. Mon cœur battait la chamade, j’étais dans l’inconnu le plus total, quel sort me serait réservé ?! Je reconnus la voix de Marthe qui élevait la voix en dessous du plancher de ma chambre.
« Maxime, Noémie, descendez mes petits ! »
Je sortis de ma chambre, hébété et je croisai Noémie vêtue elle aussi de son peignoir de bain. Nous étions tous deux interloqués. Je la suivis dans l’escalier et nous pénétrâmes dans le séjour… La table de soins était dépliée en plein milieu.
« Mes petits, je vous présente Alicia, allez, venez donc la saluer…
Alicia était-elle l’amie de Nathalie qui avait reçu la photo de moi lorsque j’étais au coin ? Cette idée me glaçait le sang, en croisant son regard elle me fit un clin d’œil, je comprenais tout de suite que c’était bien elle. Quelle horreur, la liste des personnes qui savaient que j’étais soumis à la fessé s’allongeait et je devais faire face à leur jugement, à leur regard hautain. Celui d’Alicia montrait fierté et supériorité vis-à-vis de moi, je devais l’accepter…
« Bon… Bonsoir Mademoiselle, répliqua Noémie, j’en fis autant dans la seconde.
- Bonsoir Noémie, bonsoir Maxime, ravi de vous rencontrer, répondit Alicia.
- Alicia a des petits problèmes de dos ces temps-ci et finalement je crains que monter sa table de soins là-haut soit trop compliqué, en plus d’être inutile. Elle va s’occuper de vous ici. »

Je regardais Noémie attendant une protestation de sa part. Il n’en fut rien, je n’aperçus que le rouge qui lui montait aux joues. Je n’eus pas le temps de sentir monter davantage le stress, Alicia ne me laissa pas gamberger bien longtemps…
« Maxime je vais commencer par toi si tu veux bien. Ote ton peignoir et allonge-toi sur la table, sur le dos s’il te plaît.
- …
- Maxime presse toi un peu ! Agathe n’a pas toute la soirée devant elle ! Si tu ne te laisses pas faire je n’hésiterai pas à te donner une bonne fessée crois-moi !
- Oui Marthe pardon… »

Agathe ne montra aucun signe d’étonnement lorsque le mot « fessée » fut prononcé… Comme s’il était normal de menacer un homme comme moi d’un châtiment réservé d’habitude aux jeunes garnements. Noémie s’assit à table, elle attendait son tour bien sagement, elle s’apprêtait surtout à assister à une nouvelle étape de ma dégringolade vers le rang d’adulte soumis à l’autorité de femmes émancipées. Je m’allongeais nu sur le cuir tiède de la table en prenant soin de cacher mes fesses toujours marquées par les fessées de la veille. Agathe m’avait laissé quelques minutes avant de revenir avec un pot rempli de cire chaude et d’une spatule. Elle étalait la cire sur mon aine puis sur mes bourses. Je découvrais cette sensation particulière, je regardais le plafond sans oser croiser le regard de l’esthéticienne qui s’affairait autour de mes parties intimes.



Il y  a une suite. RdV la semaine prochaine


Vous n'avez pas lu le début de l'histoire ? Le voici : chapitre 1

Et l'épisode précédent ? Il est disponible, le chapitre 9


Et si je me fendais d'un petit commentaire ?

C'est facile ! Quelques mots d'encouragement ou de réprobation... Paul OTK les attend avec impatience. Il vous répondra.

Vous pouvez également le contacter directement : Paul OTK

2 commentaires:

  1. Bonjour tout le monde,

    Ce n'est pourtant pas si bête de porter un string quand on ramasse la lavande en plein soleil. C'est tout de même plus léger et moins chaud qu'une culotte en coton!!! Le problème c'est que ça chauffe quand même le derrière puisque l'interdiction vaut une fessée! Et ça prive du plaisir du déculottage. Cul nu aussi d'ailleurs...On n'en sort pas !

    Quant à notre ami, perdu au milieu de cet univers de fesseuses aussi impitoyables qu'un essaim de bactéries sur une tranche de jambon industriel, l'avenir coloré de son fessier s'annonce plus proche du rouge coquelicot que du bleu lavande.
    En plus d'une fâcheuse tendance au cumul de mandales sur les fesses, le voilà exposé tout nu à la furie épilatoire d'une certaine Alicia qui semble avoir l'intention de s'occuper de son cas, au petit poil !
    (Rires! Oui, bon... je l'ai fait! )
    On attend de savoir, avec impatience bien sûr, si les fessées sont plus claquantes sur un postérieur bien épilé!
    Cordialement
    Ramina

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  2. Re-bonjour.
    Pour tout dire je me mélange un peu les crayons...
    Alicia qui a des problèmes de dos est l'amie de Nathalie. Elle est l'épileuse de service qui doit s'occuper des poils du héro de l'histoire lequel se fait enduire de cire par... Agathe.. ??? Mais alors, c'est qui Agathe ? Je sens que je ne vais pas dormir!
    Cordialement
    Ramina

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