Recette pour une bonne fessée : du bon usage de la règle

Quand il s’agit d’administrer une punition éducative à un adulte, il convient de graduer la sévérité de la fessée en fonction de l'écart qui a provoqué la correction. En cas de fautes graves ou répétées, la main nue peut ne pas suffire. Il faudra alors recourir à un instrument punitif.

Le choix de celui-ci est crucial quant au message qui va être envoyé au pupille qui en subira les affres. Il convient donc de s'y arrêter quelques instants.

Un objet quotidien à disposition

Certains seront adeptes d’instruments ad hoc conçus pour appliquer un châtiment. Il faudra alors avoir sous la main un martinet ou une palette à fesser. Cela a son charme et, pour peu qu’ils aient été judicieusement fabriqués, ils vont faire un travail efficace.

Il ne faut pas négliger, dans un cadre de punition domestique, les outils de la vie quotidienne qui peuvent remplir la même fonction. Les tutrices inspirées par les coutumes anglo-saxonnes, ont souvent recours à une brosse. Une règle, bien utilisée peut se révéler un auxiliaire précieux et pas seulement dans un contexte scolaire.

Quelle règle choisir ?

Il faut toutefois bien la choisir. Laissez de côté celles fabriquées en plastique. Généralement, leur souplesse empêche de les faire claquer efficacement sur les fesses du pupille. La fessée ne serait alors que symbolique, ce qui n'est pas l'effet recherché.

Choisissez-en plutôt une en bois, plate, une règle classique qui peut être utilisée par chaque écolier pour un tout autre usage.

Inutile de la choisir trop longue. Quarante centimètres suffiront pour constituer un bras de levier qui accélérera la vitesse de contact avec l’épiderme, au point, si un peu de conviction est mise dans son utilisation, de rendre la fessée insupportable sur le moment.
De plus, cette longueur modérée permettra d’utiliser l’instrument dans une variété de position, incluant celles qui semblent à recommander, allongé en travers des genoux ou courbé sous le bras pour ne citer que celles-là, par la proximité et le contact corporel étroit qu’elles permettent entre la fesseuse et son ou sa punie.

Modalités d’utilisation

N’oubliez jamais, qu’en matière de fessée punitive, ce sont les deux ou trois premières minutes qui sont fondamentales. Au-delà, la sécrétion d’endorphines rend la fessée bien moins cuisante. Vous pourrez alors commettre des dégâts durables sur les fesses de votre pupille sans que, dans un premier temps, il en ressente les effets.

Avec une règle plate, il va être possible de choisir le niveau de sévérité de la punition. Tout va dépendre de l’impulsion qui sera donnée à la règle, donc de la vitesse avec laquelle elle s’abattra sur les fesses. Il conviendra juste d’être attentif à ce que le champ de la règle arrive bien à plat sur les fesses, ce qui ne pose aucune difficulté technique, sauf si le pupille se débat au-delà de ce qui lui est permis.

Même avec une accélération modérée, le contact sera douloureux. Le bras de levier que constitue naturellement l’instrument, accumule une énergie qui se dispersera sur l’épiderme fessier sur une surface suffisamment petite pour concentrer la douleur, mais suffisamment grande pour qu'elle se disperse sans risque.

Si cela est nécessaire, une forte impulsion rendra intolérable le contact de la règle sur les fesses. Quand la tutrice y mettra toute la célérité dont elle est capable, il est probable que cela constituera une fessée mémorable dont le pupille s’efforcera d’éviter une répétition.

En effet, avec un tel instrument, les risques de blesser votre puni sont quasiment nulles, quelle que soit la force qui y sera mise. Tout au plus, mais il faudra insister au-delà du raisonnable, sera-t-il possible de provoquer quelques bleus qui se révéleront le lendemain. L’application, dès l’apparition des ecchymoses, d’une pommade sur les fesses devrait réparer cette conséquence fâcheuse.

La règle plate conjugue donc la possibilité d’administrer de très cuisantes fessées en utilisant la totalité du potentiel punitif de l’instrument, avec un risque quasi inexistant de provoquer autre chose que des contusions facilement soignables.

La règle a, de plus, un autre avantage. Il est facile de remarquer que confronté à une fessée magistrale, un puni a une tendance naturelle à tenter de protéger ses fesses en interposant sa main sur le trajet de l’instrument punitif. C’est un réflexe compréhensible, mais qu’il faut sanctionner. En effet, accepter le châtiment, sa rigueur et son caractère humiliant, est une des étapes de la rédemption et de la compréhension de la gravité de la faute commise.
La main se portera facilement sur ses fesses, dans une attente irraisonnée de diminuer les conséquences de la fessée. L’utilisation du champ de la règle, appliqué alors sur le dos de la main et sur les doigts fautifs, sera un facteur dissuasif incitant fortement le pupille à laisser libre accès à ses fesses malgré la brûlure que provoque la règle.

Il sera alors obtenu un fessier bien rouge, traversé par les marques rectangulaires que la règle y a laissées. Elles persisteront quelques longues minutes, lorsqu'il sera mis au coin, temps pendant lequel le puni ne saura oublier ni le motif de la punition, ni ses effets.

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