Recette pour une bonne fessée - Gare aux endorphines

Dans nombre de récits que j’ai pu lire, il est parfois question de fessées qui durent plusieurs dizaines de minutes. C’est totalement surréaliste et parfaitement inutile.

C’est d’ailleurs une des difficultés rencontrées avec les fessées tarifées. Elles sont prévues pour une durée déterminées, sans tenir compte ni de ce qui les a motivées, ni de l’inutilité de les prolonger au-delà du raisonnable.

Des réactions naturelles à la douleur

Toute personne normalement constituée possède des mécanismes naturels qui lui permettent de réagir à une douleur qu’elle ressent.

Se soustraire à la douleur, une hypothèse exclue dans le cas d’une fessée.

Le premier d’entre eux consiste à se soustraire à la situation qui provoque la souffrance. C’est le réflexe qui permet de retirer sa main immédiatement quand on touche du doigt un objet trop chaud.

Evidemment quand il s’agit d’une fessée, ce réflexe ne peut pas jouer si le récipiendaire est correctement tenu. C’est pourquoi il est préférable de maintenir le puni dans une position qui permet à la fesseuse de restreindre ses mouvements, ce qui est plus facile quand la position adoptée facilite cette restriction des mouvements.

A défaut, il faudra commencer par échauffer les fesses, donc administrer la fessée progressivement pour éviter que le puni ne ressente trop vite la cuisson insupportable d’une fessée correctement donnée. Nous ne sommes donc plus exactement dans la fessée éducative, mais plus proche de ce qui est un jeu entre adultes consentants, un jeu douloureux, mais un jeu tout de même.

Pour être tout à fait transparent, il est évident qu’il existe des situations où, sans échauffement, il est possible de d’administrer une fessée rigoureuse dès le début. C’est le cas quand l’autorité de la fesseuse et sa légitimité à l’administrer suffisent pour que le puni reste en place. Une gouvernante victorienne, par exemple, administrant la canne sur les fesses nues d’un de ses pupilles courbé au milieu de la pièce, en est un exemple parlant.

Ces situations existent encore actuellement, mais il me semble facilitant pour tout le monde de signifier à son ou sa pupille, en le tenant même symboliquement lors de l’application d’une correction, qu’il ne peut pas se soustraire à la situation douloureuse que son comportement a nécessitée.

Il est donc normal que cette première façon de se dérober à une correction méritée ne soit pas à disposition d’une personne recevant une fessée, quelle qu’en soit son envie.

Secréter des endorphines, un remède naturel contre la douleur

Inévitablement, une douleur persistante déclenchera la sécrétion d’endorphines. Il s’agit de molécules naturellement produites par le corps humain qui agit sur les centres de la douleur et qui apaise celle-ci, jusqu’à la rendre insensible.

C’est la raison pour laquelle certains sportifs, engagés dans un effort prolongé, ne ressentent pas les signaux d’alarmes envoyés par leur corps et peuvent aller jusqu’à un malaise qui peut être parfois fatal. Il s’agit donc d’une molécule extrêmement puissante qui neutralise les effets de la douleur.

Cette sécrétion n’est pas immédiate. Il faut plusieurs minutes pour en ressentir les effets et cela dépend des personnes. Par contre, les effets en sont durables, plusieurs dizaines de minutes, voire quelques heures. La personne devient alors quasiment insensible à la douleur.

Qui, parmi ceux qui ont reçu de sévères fessées, après une correction prolongée, ne s’est pas trouvé dans la situation de ne plus en percevoir les effets et d’avoir la surprise de sentir la douleur se réveiller bien longtemps après que la fessée ait cessé ? Les endorphines !

Une fenêtre de temps pour infliger la fessée

Tout dépend de ce que l’on veut faire.

La fessée, jeu entre adultes

S’il s’agit d’une fessée, préliminaire à une relation sexuelle entre adultes, il est préférable d’échauffer les fesses en commençant progressivement et d’attendre la sécrétion des endorphines pour passer à une application plus rigoureuse. Bien que cela soit très variable d’un individu à un autre, plusieurs minutes d’une fessée à main nue avec une intensité modérée, puis une montée en puissance progressive suffiront.

Je ne m’étendrai pas sur ces situations. Si vous suivez ce blog régulièrement, vous savez que ce n’est pas de cela dont il est question ici.

La fessée, une réelle punition

Quand il s’agit de donner une bonne correction à un adulte afin de réagir fermement à un comportement inadmissible et de prévenir d’éventuelles récidives, il faut employer une méthode bien différente.

En complément de la situation humiliante consistant à se trouver la culotte baissée pour être puni par un autre adulte assumant l’autorité, la douleur d’une fessée est le message le plus utile à adresser à son pupille. Il faut donc qu’elle soit réelle et proportionnée à la bêtise qui a été commise. C’est à cette condition que la fessée jouera totalement le rôle curatif et préventif que l’on peut attendre d’elle.

Le puni, quel que soit son sexe, doit en sortir les fesses en feu. En fonction de l’instrument utilisé, cette souffrance persistera plus ou moins longtemps.

Les premières minutes, instant crucial

La fessée doit donc être administrée avant que la sécrétion des endorphines en limite l’impact. La fesseuse dispose donc de quelques minutes, une dizaine tout au plus, pour imprimer sur les fesses de son puni la douleur salutaire qui lui permettra de réfléchir avant de retomber, une prochaine fois, dans les errements qui l’ont conduit à recevoir une punition.

Il est donc nécessaire que le plus gros et le plus rigoureux de la fessée soit administré dès son début, conformément à ce qui est nécessaire pour châtier l’écart commis, nonobstant tout échauffement de l’épiderme fessier. La correctrice s’attachera donc à infliger, dès les premières claques sur les fesses, une fessée dont l’énergie dispensée sera à son point culminant, sans imaginer une montée en puissance progressive. Elle serait contre-productive.

Si la fessée doit se terminer avec le recours à un instrument punitif, il est donc préférable de l’utiliser dès le début. Utilisé à froid sur les fesses, il fera passer un message limpide que le puni mettra du temps à oublier, ce qui est ce que doit rechercher une fesseuse compétente.

Il est toutefois possible, une fois l’intensité de la fessée obtenue à main nue, de poursuivre quelques instants avec un ustensile punitif afin de faire comprendre au puni ce qui risque de lui arriver en cas de récidive. Il s’agit alors d’un ajout bienvenu à la fessée qui a été méritée, une sorte d’avertissement que je n’oserais pas de qualifier « sans frais », compte tenu de sa rigueur.

Prolonger la fessée

Les réactions d’un puni vont renseigner sa tutrice sur l’intensité de la leçon qu’elle lui donne. Au passage, il est bien plus facile d’en ressentir les signaux quand le corps du puni est étroitement en contact avec celui de sa punisseuse.

De combien de temps dispose-t-elle ? Il est souvent inutile de prolonger la fessée au-delà de trois à quatre minutes, peut-être une dizaine pour les plus longues. Il est préférable de se concentrer à atteindre rapidement le niveau de sévérité nécessaire, ce qui doit être fait au bout de la première minute.

Il faut, au contraire, se méfier des fessées qui dureraient trop longtemps. Soit elles sont d’une force modérée et cela a peu d’effet punitif et provoquera peu de dommages sur les fesses, soit elles montent en puissance et le risque de causer des dommages durables à l’épiderme fessier, est réel, ce qui ne peut pas être le but rechercher dans l’administration d’une correction.

Si vous souhaitez prolonger la fessée, vous pourrez recourir, avec des résultats probants, à des modalités de punition complémentaires : mettre au coin, donner des lignes à copier, imposer une privation durable de sortie, de télévision, d’ordinateur ou de téléphone… les possibilités sont nombreuses.

Etre placé au coin, la culotte toujours baissée, alors que la vie normale de la maisonnée continue derrière le ou la puni est une punition tout à fait efficace. D’autant plus, si d’autres personnes que la fesseuse, en sont témoin. Si vous souhaitez insister lourdement sur la nécessité d’une punition impliquant l’inconfort du pupille concerné, mettez-le à genoux, le nez contre un mur ou dans un coin. Quinze ou vingt minutes dans cette position, trente pour les habitués… le leçon sera retenue.

Besoin de conseil pour administrer une réelle fessée ?

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Vous pouvez également vous inspirer des consultations du Docteur Legendre ou lui adresser un courriel pour bénéficier d'une consultation par Internet.

Des avis, parfois divergents, des lecteurs de ce blog

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