vendredi 8 février 2019

Recette pour une bonne fessée : à plat ventre en travers des genoux


Placer le puni à plat ventre en travers de ses genoux... l'archétype de la fessée maternelle. Que de souvenirs cuisants pour bon nombre de garçons et de filles, mais également de réminiscences émues pour plus d'une correctrice !
Qui ne voit pas, lorsqu'il évoque la fessée, l'image d'une dame d'âge mûr maintenant sur ses genoux un garçon ou une fille plus jeune qu'elle dont elle a baissé la culotte et s'employant à lui faire regretter l'écart qui l'a conduit dans cette position infantilisante ?

Précisons que dans le texte qui suit et afin d’alléger la lecture, le mot « pupille » concerne aussi bien des personnes de sexe féminin que masculin.


Une position qui parait évidente au premier abord

Héritée de la relation disciplinaire entre un parent et un enfant, il paraît naturel, quand il s’agit de corriger un adulte, de le placer dans la même position. Cela offre de nombreux avantages

Tout d’abord, quand le pupille se retrouve allongé sur les genoux de sa tutrice, la relation qui s’est instaurée est on ne peut plus claire. Il y a d’un côté la personne qui représente l’autorité et de l’autre celle qui y est soumise.
Les souvenirs remontant de l’enfance faciliteront l’exécution de la sentence. Dans cette situation, le puni se sent aussi démuni de défense qu’il pouvait l’être quand c’était l’un de ses parents qui le corrigeait.
C’est une position qui permet réciproquement au pupille et à la tutrice, de percevoir, grâce aux contacts étroit que la position permet, le plus finement possible, les réactions de chacun. La fessée en sera à son maximum d’efficacité. J’ai déjà explicité ce point de vue par ailleurs.

une fessée pour être en retard


Les fesses sont parfaitement à disposition et prêtes à subir le courroux de la tutrice. Nul ne doute qu’il est justifié. La trajectoire pour claquer le postérieur du fautif est naturelle. Pas besoin d’un long apprentissage et il est possible d’y graduer, sans difficulté, la sévérité de la correction.

Cette position est très stable et il est possible, pour le pupille comme pour la fesseuse d’y rester suffisamment longtemps pour que la leçon à dispenser soit intégrée… sous réserve d’une différence de corpulence favorable (voir ci-dessous).

Il est assez aisé de maîtriser les manifestations indésirables du puni, pour peu que l’on ait pris la précaution de le plaquer contre le ventre de sa fesseuse, rendant difficile l’utilisation du bras gauche pour protéger ses fesses. Seul le bras droit est encore disponible, mais il est aisé de le replier dans le dos du puni, contribuant ainsi à la maintenir en position.


Moins simple avec un adulte

Eh oui ! Tout cela fonctionne à merveille s’il est possible d’allonger le pupille sur ses genoux, ce qui suppose que le bassin repose sur une cuisse et le buste sur l’autre. C’est évident quand la différence de taille et de poids est en faveur de la correctrice.
C’est quasiment toujours le cas quand le récipiendaire de la fessée est un enfant, c’est moins évident quand il s’agit d’un adulte. Lorsqu’il s’agit d’une punie, on peut, parfois, retrouver ce rapport de corpulence en faveur de la tutrice, alors que, s’il s’agit d’un adulte de sexe masculin, ce n’est quasiment jamais vérifié.
La position n’est alors commode ni pour l’un, ni pour l’autre. Vous conviendrez qu’en matière d’art ; la fessée perd alors beaucoup de ses qualités.
Même en écartant les jambes au maximum, le puni est quasiment contraint de poser ses mains au sol et de soutenir son propre poids dont le centre de gravité se trouve alors au-delà des genoux de la tutrice.

Nous sommes alors, au moindre geste du pupille, proches du déséquilibre. La maîtrise du corps de celui qu’il faut contraindre à recevoir une sévère fessée est quasi inexistante. Il suffit alors qu’il refuse de faire porter son poids sur ses mains pour que l’édifice en soit sérieusement ébranlé. Il ne reste en position que par sa propre volonté.
Vous conviendrez que si la fessée devient cuisante et va au-delà de ce que le puni peut supporter, obligeant la tutrice à le maintenir en place, ce n’est pas très satisfaisant parce que guère possible.

Il faut donc soutenir autrement le poids du buste et de la tête. C’est assez simple. Le canapé devient alors le lieu idéal d’administration de la fessée « en travers des genoux ». Le buste reposant sur les coussins, tandis que le bassin trouve naturellement sa place sur les genoux.
Il suffit que la tutrice se place légèrement de travers pour que les jambes pendent dans le vide, ce qui permet d’avoir les fesses bien dégagées pour y appliquer la main ou un autre instrument.

Une fessée déculotte pour tous les deux

La question du déculottage

Baisser la culotte du puni est un moment de la fessée à regarder de près. Les méthodes consistant à déculotter progressivement étant exclues, il convient de s’assurer que celui-ci se fera sans difficulté.

Si le déculottage est effectué préalablement à la mise en position disciplinaire, la question ne se pose pas. Le puni, quand il est « invité » à s’allonger en travers des genoux de sa fesseuse, est déjà prêt à subir sa correction.

Si le déculottage doit s’effectuer sur place, il convient d’être attentif. Baisser une culotte ou un collant sera possible dans tous les cas. Il suffit de soulever légèrement le bassin du pupille, ce qui doit être faisable, sauf si la différence de poids est telle qu’elle empêche d’envisager cette possibilité.
La question à examiner concerne surtout l’élimination du pantalon du trajet de la main. Le port d’une jupe ou d’une robe devrait faciliter l’accès au postérieur, sauf si elle est très serrée. Dans ce cas, comme pour un pantalon, il est préférable d’ôter le vêtement récalcitrant avant de placer le puni en position sur les genoux. Ensuite, il faudra certainement lui demander de se relever pour pouvoir effectuer un déculottage aisé.

L’utilisation d’instruments punitifs

La nécessité d’administrer une correction sévère peut obliger la tutrice à recourir à un instrument punitif. De ce côté, la seule limite sera l’absence de possibilité de recul que nécessitent certains instruments. Il en a déjà été question sur ce blog.
Laissez donc de côté les cannes, fouets et autres instruments demandant de la distance. Munissez-vous plutôt d’une règle plate en bois, d'une brosse à dos plat, d’un martinet au manche court et aux longues lanières, d’une baguette souple ou d’une ceinture dont vous aurez diminué la longueur en l’enroulant autour de votre poignet. Essayez un jour les orties, vous m'en dires des nouvelles.
Vous serez alors à même d’administrer de cuisantes fessées qui pourront, si vous le souhaitez, strier les fesses du puni de marques persistant pendant plusieurs minutes, voire plusieurs heures.


N’hésitez pas à être sévère mais juste. Votre pupille vous en remerciera... peut-être pas tout de suite, mais sur le long terme.


Besoin de conseil pour administrer une réelle fessée ?



Vous pouvez également vous inspirer des consultations du Docteur Legendre ou lui adresser un courriel pour bénéficier d'une consultation par Internet.

Des avis, parfois divergents, des lecteurs de ce blog


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8 commentaires:

  1. Bonjour JLG,

    ha ha ha ! La sempiternelle fessée en travers des genoux .
    Ce que nos voisins anglo-saxons nomme la " Over lap's Mom Spanking".
    LA fessée maternelle est l'archétype même de la punition. Et cela évoque chez beaucoup d'entre nous des moments certes douloureux mais
    nécessaires avec le recul du temps.
    C'est presque tout un rituel entre la remontrance verbale, l'essai de se justifier et le verdict maternel qui tombe, implacable et bien sûr le moment tant redouté (ou non ? allez savoir...).
    En tous cas, des moments inoubliables, j'imagine.
    La seconde illustration est signée "Endart", d'ordinaire, me semble t-il. A vérifier.
    Bon WE. Peter'.

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  2. Chers amis, bonjour,
    Bon, on reconnait bien là l'esprit méthodique et rationnel de JLG. Tout y est, impossible de rater une fessée ou alors il faut le faire exprès!
    Jusqu'à la fessée aux orties!!! Là je déclare forfait... ce doit être épouvantable. Surtout après... quand l'effet se démultiplie. Presque à l'inverse d'une fessée à la main.
    Notre ami Peter n'aurait il pas eu une expérience spanking outre Manche ?
    Cordialement
    Ramina

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    1. Bonjour,
      Effectivement, un classique mais qui est souvent dévoyé. J'aime bien quand quelque chose est faite, qu'elle soit bien faite. C'est valable pour une fessée, non ?
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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    2. Bonjour Ramina,

      Désolé de vous décevoir. Je n'ai jamais traversé la Manche pour aller me faire "tanner le joufflu" par une "school teacher" de Sa Majesté.
      D'autant que comme certaines spécialités fromagères, je voyage mal. Et puis à mon âge et avec mes rhumatismes...
      Mais dans le domaine du "O-T-K Spanking", les British restent des figures du genre. Martinet contre Cane ? Qui des deux remportera le duel ? Les paris sont ouverts.
      Ries. Peter'.

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    3. Ce commentaire a été supprimé par un administrateur du blog.

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  3. sans oublier l'usage de la brosse à cheveux tant employé par les fesseuses d'outre Manche, voir d'outre Atlantique !!!

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    1. Juve Fandor,
      Vous avez raison. La brosse à dos plat est un instrument tout à fait adapté à la fessée en travers des genoux. Des générations d'outre Manche et d'outre Atlantique en ont fait souvent l'expérience.
      Au plaisir de vous lire,
      JLG.

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  4. Fessée en travers des genoux de ma femme avec une brosse de main à long manche. Lors de la fessée ma femme chaussé ces claquettes en bois je l'entend arriver au Klap Klap Klap de ces zocolis elle s'assoit et croise les jambe ensuite je suis déculotté et allongé en travers de ces cuisse là j'ai la vision de ces pieds chaussé de ces claquettes scholl. Je mesure 1m60 et elle 1m80 sans talon je suis puni comme un sale gamin. A la fin je me met à genoux de vant elle toujours jambes croisées balançant sa chaussure au bout du pied. Après elle va ranger la brosse dans l'armoire j'entends à nouveau le Klap Klap Klap de ses mules en bois qui me fait repenser à la fess

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