mardi 26 février 2019

Ces dames aux mains fermes - S2 - Chapitre 13

Dans la cabine d'essayage.

 De toutes ces femmes autoritaires au caractère bien affirmé, Edwige était peut-être la plus radicale dans sa conception de la discipline conjugale et domestique. Son enthousiasme communicatif et sa bonne humeur permanente contrastaient avec la rigueur de tous les instants dont elle faisait preuve vis à vis de son mari qu'elle avait soumis depuis longtemps à son inflexible autorité.

L'exigence du respect des règles était, pour elle, absolue sans le moindre compromis possible, comme la prise de décision des sanctions et l'énoncé des sentences qui tarifiaient les punitions. Les corrections étaient servies sur place, sans discussion, avec toute la sévérité requise, quel que soit le lieu et les personnes présentes.
Son tempérament exubérant la portait naturellement vers une forme d'exhibitionnisme assumé sans complexe, mais très humiliant pour son mari. Elle n'éprouvait aucun scrupule, bien au contraire, à le déculotter et corriger en public, et ne ratait jamais une occasion de passer à l'acte. S'il ne s'en présentait pas, elle réussissait toujours à trouver  une bonne raison de lui claquer les fesses devant témoins quand elle avait décidé qu'il le méritait.

 La plupart de ces maîtresses femmes, Gladys, Patricia, Béatrice comme Claridge, appliquaient régulièrement cette méthode de correction en public, censée marquer davantage le puni. Edwige en faisait un usage sans modération en y ajoutant sa touche personnelle de cynisme et de provocation qui rendait ses fessées encore plus astreignantes.  A la maison, elle s'appliquait à faire savoir aux habitantes du quartier qu'elle disciplinait son mari en le corrigeant régulièrement rideaux et fenêtres ouverts. Le pauvre homme, mort de honte, rasait les murs quand il sortait de chez lui, redoutant le regard sarcastique des passantes qu'il risquait de croiser sur le trottoir. 

Edwige, comme à son habitude, avait laissé ouvert le rideau de la cabine. Toujours prête au partage, elle tenait à faire profiter Claridge et Stéphanie du spectacle que promettaient la séance d’essayage de slips à fessée de Stephen avec les inévitables testes fessées qui allaient avec. Passionnant pour ces Dames, beaucoup moins pour le mari qui s'attendait à passer un sale moment.

« Stephen, tu te moques de moi ? Tu attends quoi pour m'enlever ce pantalon ? Une fessée avant de commencer... pour préparer les suivantes ? …
– Mais Edwige... pardon, mais pourquoi veux-tu me faire essayer ça ici ? On peut le faire à la maison.
  Ah parce maintenant c'est toi qui décide à ma place de ce qu'on doit faire ! 
– Non chérie, excuse-moi, c'est juste une suggestion que... je... je »
– Ah oui, tu suggères aussi ! On aura tout vu ! Et ma main sur tes fesses, tu vas voir si c'est une suggestion ! »

Stephen se rend compte très vite qu'il n'est pas vraiment en position de négocier quoi que ce soit. La boutique de madame de Blagnac est un lieu où l'on fesse aussi souvent qu’on discute. Les fessées y sont encore plus bruyantes que les conversations. Surtout quand c'est Claridge qui fesse un derrière. 
Le premier samedi de chaque mois, à partir d’une certaine heure, ça claquait sec dans la boutique de Madame de Blagnac.  Les fidèles clientes, triées sur le volet, dont bien sûr Gladys, Edwige et Béatrice, restaient après la fermeture avec leur mari, qu'elles emmenaient ce soir-là pour la circonstance. Entre les toasts, le champagne et les petits fours, elles se livraient à de généreuses distributions de fessées collectives, rythmées par les pleurs et les supplications de ces messieurs. Ils consommaient peu, mais recevaient beaucoup. Leurs fesses, à disposition, passaient et repassaient sur les cuisses de ces Dames au gré des comptes à régler et du tarif des punitions en cours.

Comme toutes les femmes autoritaires, Il en fallait peu pour qu'Edwige s'impatient.
« Ecoute moi bien Stephen, si tu n'as pas enlevé ton pantalon dans la minute qui suit, c'est moi qui vais le faire. Et je te garantis qu'il sera à peine accroché au porte manteau que tes fesses seront déjà en train de claquer. Avec ce qui les attend ensuite, tu as vivement intérêt à obéir !

Madame de Blagnac vient de fermer sa boutique afin de ne pas être dérangée. Sa voix forte sonne comme une menace et vient renforcer l'avertissement d'Edwige.
« Voilà qui est parlé avec autorité ! La fessée il n'y a rien de mieux pour mater les maris récalcitrants !  Le mien serait déjà déculotté sur mes genoux en train de me se faire rougir les fesses en me suppliant de taper moins fort ! Ce qui m'inciterait à faire le contraire ! »

Stéphanie juste à côté saute sur l'occasion. Elle n'a fait pour le moment qu'assister à la fessée de Maxime, sans participer.
« Edwige, si vous voulez qu'il s'en prenne une maintenant je veux bien m'en occuper. Dit-elle de sa petite voix innocente,
– Merci Stéphanie, je réglerai cette nouvelle preuve de mauvaise volonté tout à l'heure à la maison. Avant cela il doit se soumettre à la petite séance d'essayage que je lui ai préparée. »  

Un ''slip à fessée'' à la main qu'elle vient de sortir de la boîte en carton posée sur la banquette à côté des martinets, elle se tourne vers son mari réfugié au fond de la cabine.

« Ton pantalon Stéphen, tu l'enlèves, tout de suite ! Stéphanie puisque vous vouliez vous occuper de ses fesses vous me le déculottez complètement et vous veillerez à lui faire enfiler ça ! Je lui flanquerai ensuite une première fessée pour le lui tester sur le derrière.


Déculotté pour recevoir la fessée


– Avec plaisir madame Edwige !
– Et ce n'est pas une fessée qu'il doit prendre, mais trois !
– Et bien bonne nouvelle ! S'exclame Claridge. On ne va pas s'ennuyer une seconde ! »
Elle fixe Stéphen avec un sourire perfide, faussement compatissant.
« Mais qu'a-t-il donc fait, le vilain garçon, pour mériter trois fessées ?
– C'est... C’est à cause du lave-vaisselle madame...  répond le malheureux pas rassuré du tout. Un gamin pris en défaut.
– Voyez-vous ça... Du lave-vaisselle ? »
 Elle éclate de rire. Edwige, amusée, intervient 
 « Oui, monsieur ne sait toujours pas se servir d'un lave-vaisselle. Il le met en route sans mettre de produit de lavage dedans. Alors... »
Claridge finit la phrase dont la suite lui apparaît évidente
« C'est la fessée ! Et la deuxième ?
– Il a laissé la vaisselle dedans toute la journée !  
– Evidemment ! Et la troisième alors ?...
– Ah ça, c'est la petite gâterie ! La fessée supplémentaire pour le punir d'en avoir mérité deux ! Ça marche très bien !
– Je vois, trois fessées pour le prix de deux ! Excellente idée ! Il faut que j'applique ça à Conrad, mon mari. On ne les fesse jamais assez ! » 
Les deux femmes s'amusent à surenchérir sans se soucier de Stephen qui suit l’échange avec inquiétude.
– Tout à fait d'accord, on ne les fesse jamais assez ! C'est pour cela que la seule bonne méthode c'est la fessée systématique !
– Voilà... la fessée, à faire consommer sans modération...
– Exact ! La fessée... Au moindre écart, au plus petit oubli, à  la plus infime négligence... Ces messieurs ne comprennent que ça et ne commencent à obéir que les fesses rouges au fond du slip !! »
– Alors... Rougissons leur les fesses ! »

Le pauvre mari est anéanti. Les prévisions météo pour la fin de journée s’annoncent plutôt orageuse au-dessus de ses ballons fessiers, exposés à de furieuses rafales avec une brusque montée de chaleur sur les reliefs. Il a toujours du mal à se remettre de ces humiliantes déculottées en public qu’Edwige se plaît à lui administrer pour renforcer la portée de ses punitions. Il tremble un peu sur ses jambes et amorce un mouvement de recul lorsque Stéphanie entre dans la cabine et s’approche de lui. Entre les mains de ces trois femmes déterminées, il n'a plus le choix. Il ne l'a d'ailleurs jamais eu. Il défait sa ceinture, déboutonne sa braguette et enlève son pantalon qu'il accroche au porte manteau de la cabine. 

Edwige donne encore de la voix.
« Tu en as mis du temps ! Maintenant, tu vas laisser Stéphanie te déculotter complètement et enfiler ce slip. Tu viendras ensuite te mettre en position entre mes jambes pour ta fessée. Je vais en profiter pour un premier slip teste !
– Tu ne vas pas être déçue, dit Claridge, c'est un produit de qualité, très bien conçu et parfaitement adapté à l'usage de la fessée. »

Assise sur la banquette de la cabine, Stéphanie attire Stephen debout entre ses jambes, et le déculotte jusqu'aux chevilles. Les mains pudiquement superposées sur son sexe, il lève les jambes l'une après l'autre pour se débarrasser de son sous-vêtement.
Il est habitué à l'humiliante position qu'Edwige lui fait souvent prendre pour le corriger. Sous le regard amusé de Claridge et Edwige, Stéphanie lui enfile le fameux slip jusqu'à mi-cuisse. Il plonge aussitôt en avant pour encastrer sa tête entre les cuisses de son épouse et se dresse sur la pointe des pieds pour mettre docilement ses fesses, bien tendues, à sa disposition. Elle le reculotte sans ménagement.
Claridge qui ne manque pourtant pas d'imagination pour soumettre son mari à l'obéissance, s'exclame avec enthousiasme.
« Quelle docilité ! On voit que monsieur est bien dressé ! Il a dû s'en prendre sur les fesses pour en arriver là !
– Je ne te le fais pas dire ! Mais à force de se les faire cuire régulièrement il a fini par comprendre et accepter. Dès que je lui annonce une fessée, il a tellement peur que je la double s'il n'arrive pas assez vite qu'il se précipite pour se mettre en position dans la seconde qui suit ! Parfois, espérant une indulgence il se déculotte lui-même pour venir, slip aux cuisses, me présenter ses fesses à claquer... je le fesse encore plus fort pour le punir de sa tentative.»
– On n'est jamais assez sévère ! Mais Edwige, ma chérie, ton mari attend sa fessée... Ses fessées, je devrais dire.
– Oui je sais, j'aime bien le faire attendre, ça lui fait monter l'angoisse. »

Afin d'éprouver la résistance du nylon, elle termine son reculottage en prenant soin de lui ajuster le sous vêtement très serré sur le derrière. Le renfort de couture, judicieusement placé au milieu remplit sa fonction et s'enfonce dans la raie des fesses pour mieux en sculpter les hémisphères.
«  Alors qu'est-ce que tu en penses, interroge Claridge. Ils sont parfaits pour la fessée ces slips ! Tu vas voir au contact... Que de bonnes sensations ! »

Comme s'il s'agissait d'un objet précieux présenté dans un paquet cadeau, Edwige caresse à deux mains la volumineuse paire de fesses solidement culottée. Le nylon extensible en épouse parfaitement les formes, mises en valeur par la transparence de l'empiècement qui encercle avec précision la surface destinée à la fessée.

« Pas mal du tout ! Ça lui fait un de ces derrières... encore plus impressionnant que déculotté.  S'exclame-t-elle en tapotant nerveusement les deux fesses à travers le nylon, On les sent bien compact sous la main ! »
La tête à l'intérieur de la cabine, les fesses tournées vers Claridge et Stéphanie, Stephen commence à transpirer entre les cuisses serrées de sa femme qui le maintient dans l'avilissante position. Il en gémit de honte. Les mains agrippées à ses bas nylon il doit exhiber son fessier solidement culotté au regard gourmand des deux femmes.
Edwige avec un cynisme assumé.
« Alors mon chéri, comment sens-tu tes fesses là-dedans ?
– Ah ça serre fort ! Ça fait comme une gaine !
– C'est exactement fait pour ça ! Répond Claridge, comme s'il n'était pas concerné. C'est pour rendre vos fesses plus fermes et plus claquantes mon cher !
– Mais devant aussi ça serre trop, ça fait mal... »


fessée déculottée sur le genou


Les trois femmes se regardent en riant. Edwige réagit la première.
« C'est bon pour ton service trois pièces trésor ! Ça va te le maintenir bien en place, au lieu de voir tout le paquet se balancer entre tes jambes pendant qu'on fesse ! C'est très laid et ça gâche le spectacle ! »
Stéphanie, fine mouche, qui profite de la situation pour se rincer l'oeil une nouvelle fois, enchaîne avec à propos.
« Et puis, devant on s'en fiche, c'est les fesses qui nous intéressent ! 
– Exact ! Surenchérit Claridge, la fessée, c'est derrière que ça se passe ! »
Edwige récupère la mise et décide de passer à l'acte,
« Oui, et quand on voit un derrière aussi bien emballée ça donne des démangeaisons dans la main... Comme une envie de fesser ! Et c'est ce que je vais faire tout de suite ! »

Sanglée dans ce slip qu'on aurait dit pratiquement taillé sur mesure, la formidable paire de fesses n'en paraissait que plus provocante. Ses rondeurs amples et fermes semblaient solliciter plus qu'attendre la fessée. C'était certainement le but recherché de la diabolique anglaise qui avait conçu ce modèle pour rendre les derrières plus attrayants et les fessées plus cuisantes. Madame de Blagnac se chargeait avec succès, d'en faire la promotion dans sa boutique, fréquentée en grande majorité par des adeptes inconditionnelles de la fessée.
Stephen, plongé dans les affres de l'attente pleurnichait toujours, la tête coincée entre les  cuisses de sa femme, éprouvant, comme Maxime entre celles de sa mère puis de madame de Blagnac, le frottement rêche des bas nylon sur ses joues.

L'exigeante épouse, décida au dernier moment de le changer de position pour une meilleure exposition de ses fesses et une prise en main plus efficace. Elle les voulait plus tendues pour pouvoir taper fort et éprouver les qualités du nylon à entretenir la chaleur.  Elle était plus forte que lui et le souleva du sol sans difficulté pour le ployer sous son bras. Elle avait posé son talon aiguille sur le tabouret à fessée que Stéphanie lui avait apporté à sa demande, offrant ainsi, avec sa cuisse, une surface relevée à l’horizontale sur laquelle elle le courba littéralement en deux, bras et jambes ballant dans le vide. Ses fesses tendues à bloc, étaient maintenant à la bonne hauteur et idéalement déployées pour recevoir la première fessée dans les meilleures conditions d'exposition.

La main haut levée au-dessus du derrière en pénitence Edwige prend encore le temps de le sermonner,
« Voilà ce qu'il en coûte de ne pas savoir se servir correctement d'un lave-vaisselle pour participer aux tâches ménagères ! On est prêt ?
– Euuuh... Ou... Oui ... je... je suis prêt !
– Oui qui ? »
Vlan ! Vlan ! Une claque magistrale sur chaque fesse, le rappelle à l'ordre aussitôt. Il gémit...
« Oui... Euuh... Oui, Edwige ...
Vlan! Vlan ! Deux autres claques aussi fortes lui font sauter le derrière.
– Celles-là c'est pour avoir hésité à répondre !
Elle lance un clin d'œil complice vers Claridge et Stéphanie qui s'amusent ouvertement.
« Et maintenant... la fessée ! »

Edwige fait partie de ces fortes femmes au bras solide et à la main ferme. La fessée commence sur un rythme soutenu à grands claques puissantes qui retentissent avec éclat sur toute la surface des deux fesses fermement moulées dans le nylon. Sa transparence est effective et permet de suivre sans difficulté la rougeur montante que la sévère épouse fait prendre rapidement à l'ensemble du postérieur. Comme à son habitude, Elle fesse dur, sans modération ni progressivité et lui fait sonner le derrière avec d'autant plus d'énergie qu'elle fesse à travers un slip dont la fonction est d'inciter à taper fort. L'objectif est atteint. L'empiècement en arrondit du bas des reins en haut des cuisses délimite la surface à corriger comme une provocation permanente à y ajuster les claques. Edwige s'y emploie avec bonheur, ardeur et précision.
Claridge saisit l'occasion pour faire l'article.
« Alors ma chérie, qu'en penses-tu ? Agréable cet empiècement très fin autour du derrière ? On sent bien les fesses chauffer sous la main, n'est-ce pas ?
– On les voit même rougir d'ici à travers le nylon. Et elles rougissent vite ! »
Commente Stéphanie avec un enthousiasme révélateur de son vif intérêt pour la fessée. Edwige ne répond pas. Les dents serrées, le regard rivé sur la cible, concentrée sur l'objectif, elle fesse. 

Bien qu'en équilibre instable sur la cuisse de sa femme, Stephen était soumis aux règles très strictes, qu'elle avait instaurées qui lui donnaient obligation de présenter ses fesses toujours parfaitement positionnées à sa main afin de faciliter l'administration de ses fessées. Les fesses en feu, ballottées sous les claques, il s'échinait à les maintenir en position, suant d'angoisse à l'idée de la fessée supplémentaire qui l'attendait s'il se relâchait un tant soit peu. Edwige ne manquerait pas l'occasion de lui descendre le slip pour la lui flanquer déculotté. Une fessée déculottée est encore meilleure sur des fesses déjà bien rouge d'une précédente. A ce régime-là, ces dames n'eurent pas à attendre longtemps pour entendre monter ses appels déchirants à taper moins fort, à l'attention de son épouse.

« Oh chérie, pas si fort... s'il te plaît ! Pas si fort ! Ce slip est infernal ! Les fesses sont trop serrées dedans, ça chauffe dur ! C'est presque pire que la fessée déculottée. »

Insensible à la douleur qu'elle lui infligeait qui semblait même attiser son plaisir de claquer à pleine main les belles fesses bien fermes, solidement culottées, soumises à sa disposition, Edwige continuait la fessée.

« Continue à te plaindre et je vais taper encore plus fort ! Tu sais très bien que tu as mérité cette fessée, Elle sert aussi à tester ces nouveaux slips. Tu devrais être fier que ce soit sur tes fesses ! Tu es le premier à t'en prendre une avec dans le magasin ! »

Encouragée par les rires de Claridge et Stéphanie, elle s'amuse de sa propre plaisanterie tout en poursuivant la fessée avec ténacité pendant que le malheureux, en larmes, promettait de penser désormais à utiliser du produit à vaisselle dans la machine à laver.

Ces supplications n’émurent pas pour autant l'implacable épouse, bien au contraire. Il fallait mener le teste jusqu'au bout et il ne se révélerait crédible qu'à l'épreuve d'une fessée magistrale. Elle lui donna un faux espoir lorsqu'elle s’arrêta un court instant. Ce fût pour réajuster sa position, lui retendre le slip sur les fesses, pour les remettre bien en place à l'intérieur, et reprendre immédiatement la fessée en accélérant même le tempo... Sous les encouragements de Claridge, attentive au bon déroulement du teste, et de Stéphanie de plus en plus intéressée par la cuisante correction qui tournait à la démonstration. 

Elle fessait bien, avec aisance, sûre de sa force et de la précision des claquées qu’elle abattait d’une fesse sur l’autre en implacables rafales terriblement efficaces. Elle ne mit fin à la fessée qu’après que les hurlements de douleur du pauvre mari se transforment en une longue plainte continue, interrompue par une montée dans les aigus à chaque fois que sa main claquait ses fesses. Elle l'acheva en lui faisant sauter le derrière d'un superbe doublé, droite, gauche, si appuyé qu'il faillit en tomber de sa cuisse. Il s'y agrippa pour éviter la chute.

« Attention à mes bas Stephen... et gare à toi si tu m'en files un ! Demande à Maxime ce qu'il lui arrive quand il fait ça avec sa mère, et pourquoi il est au coin déculotté avec une fessée au derrière ! 
– Non Edwige, s'il te plaît... je fais attention.
– Tu as intérêt mon ami, sinon je n'hésiterais pas à t'en claquer une autre. Et déculottée cette fois ! Comme ça tu aurais l'occasion de comparer avec celle que je viens de te mettre. Alors à ta place, je ferais très... très attention où je mets les mains ! »

Elle le fait glisser sur son bas nylon, autour de sa cuisse, jusqu'à ce que ses pieds retrouvent le sol où il s'écroule en larmes. Ses belles fesses rouges gonflées de claques, serrées dans un slip devenu trop petit pour les contenir entièrement, débordent des élastiques. Elle trouve encore le moyen d'ironiser.

« Si tu voyais tes fesses mon chéri ! C'est fou comme le rouge écarlate leur va bien. Avec ce slip blanc qui les met en valeur. Vous ne trouvez pas mesdames ?
– Tout à fait confirme Claridge, en lui soupesant le derrière du regard comme si elle essayait d'évaluer le nombre de claques qu'il avait fallu pour lui donner aussi bonne mine. »
– Je le verrais même encore plus foncé. Ça sera pour la prochaine fessée. Stéphanie vous en pensez quoi ? »
Stéphanie sort de sa réserve et répond avec assurance, montrant qu'elle en connaît aussi un rayon sur le sujet.
« Je pense que pour obtenir un beau rouge foncé uniformément réparti sur toute la surface, il n'y a rien de mieux qu'une bonne fessée déculottée. Si j'ai bien compris il doit s'en prendre une deuxième ? »
Madame de Blagnac semble un moment sceptique puis après un nouveau coup d'œil au fessier débordant du slip, hoche la tête en signe d'approbation.
« Vous avez raison, ma chère, surtout qu'il est tellement serré là-dedans que les élastiques vont laisser des marques sur les fesses. Elles sont si resplendissantes ce serait vraiment dommage. Si on veut un derrière éclatant, rien de tel qu'une bonne fessée déculottée pour bien le faire reluire.
– De toute manière... poursuit Stéphanie, qui, mine de rien, en rajoute avec perfidie à chacune de ses interventions. La fessée sur le slip n'est qu'une fessée d'échauffement qui prépare aux fessées déculottées ! »

Edwige, directement concernée, clos le débat. 
« Stephen prendra sa prochaine fessée déculottée !
– Mais... c'est toi qui décide répond Claridge magnanime.  En attendant que penses-tu
de ces fameux slips à fessée ?
– Vraiment agréables, étonnants même ! Le nylon est tellement fin qu'on a l'impression de claquer des fesses déculottées ! Elles restent fermes et solides sous la main avec juste ce qu'il faut de souplesse. Elles donnent l'impression de renvoyer les claques, ce qui redonne de la vitesse à la suivante. C'est vraiment stimulant ... Il faut reconnaître que ça augmente vraiment l'envie de fesser... et de fesser fort ! »
– Contente de te l'entendre dire. Je n'en ai pas commandé pour rien. Mais j'aimerais me rendre compte par moi-même... si tu permets ?
– Mais bien sûr Claridge, avec plaisir même... Stephen, relève-toi et viens ici, au lieu de rester prostré par terre à te lustrer le derrière. Madame de Blagnac voudrait voir tes fesses, dépêche-toi !
Stephen n'est pas en mesure de discuter les ordres de sa tendre épouse. Peu lui importe l'état de son postérieur qui vient tout de même de faire plein, au moindre mot de travers, c’est une nouvelle fessée sur le champ. Pantalon toujours aux chevilles, il fait ce qu'il peut pour se précipiter vers Claridge qui l'attend assise sur la banquette de la cabine d'essayage.  Elle a retroussé sa courte jupe jusqu'en haut de ses cuisses pour éviter de la froisser. Dès qu'il arrive à portée de main, elle le saisit par l'oreille et l'allonge dessus d'autorité. 
« Voyons voir le résultat de cette belle correction qui m'a semblé parfaitement cuisante.»

Elle lui appuie sur les reins pour lui faire ressortir le derrière, et de sa large main enveloppante, caresse la surface du fessier pour en apprécier la cuisson. Il a les fesses en feu. Elle en sent les effets à travers la matière extensible qui semble même en augmenter l'intensité. Elle passe ses doigts sous l'élastique, et plonge la main au fond du slip pour lui palper le derrière avec volupté. La sensation est encore plus grande, le nylon, en maintenant les fesses bien serrées en entretient la chaleur. Elle les tapote pour en tester l'élasticité et confirme le diagnostic.
« Excellent ! J'espère que vous remerciez régulièrement votre femme de vous chauffer aussi bien les fesses ! Avec ce nouvel article je suis certaine qu'elle va encore vous faire améliorer vos performances avec des fessées toujours plus éclatantes ! Tu as raison Edwige, ces slips donne vraiment envie de fesser ! Hummm...difficile de résister !»



Avec les dessins originaux de l'auteur !


Ne perdez pas le fil du feuilleton ! Pour ceux qui se seraient égarés ...

Le début : chapitre 1 de la saison 1
et celui de la saison 2 : chapitre 1
Voici l'épisode précédent : chapitre 12

Il y a une suite, c'est le chapitre 14

Ramina est l'auteur de nombreux récits et commentaires sur ce blog.

Juste retour des choses il attend les vôtres. Ecrivez vos appréciations, vos retours, vos questions ... dans le cadre ci-dessous. Ramina vous répondra.
Si vous voulez un échange plus privé voici un courriel pour le joindre :  ramina16@laposte.net

3 commentaires:

  1. Bonjour Ramina,

    Quelle trouvaille ! le "Spanking Underpants" !!
    "Slips à fessées ? Obéissance assurée !
    Madame, en cas de caprice à la maison,
    de votre Mari au pantalon baissé
    Par son épouse est fessé
    avec un beau rouge à l'unisson !
    Fessée au coucher, dodo assuré !".
    Ode à l'époux maladroit.
    Peter Pan.
    Même Mam'e Bellebourge n'y a pas pensé. A part la barboteuse à poche fessière. Tiens , j'essaierai d'y penser dans une prochaine saynète.
    Toujours aussi haletantes, les mésaventures des maris maladroits.
    On en aurait presque le souffle coupé.
    Superbe. Les dessins sont au top de l'action.
    NB : le visage de Stéphanie est particulièrement réussi et Dieu sait que c'est la partie du personnage la moins facile à faire s'exprimer. Bravo.
    "10/10 . Avec les félicitations du Jury".
    Amicalement. Peter Pan.

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  2. Ce commentaire a été supprimé par un administrateur du blog.

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  3. Bonjour Messieurs,content de vous retrouver...
    Je vois avec plaisir que les "Slips à fessée" vous inspirent Peter.
    Jolie petite poésie, bien troussée avec un " Fessée au coucher, dodo assuré" très pertinent et drôle.
    Concernant le visage de Stéphanie, merci pour les félicitations du Jury, connaisseur... C'est vrai que je ne l'ai pas raté.

    Oui Serge, comme vous, je trouve cette position très efficace et bien humiliante pour une belle fessée. Les fesses sont bien épanouies, tendues, à disposition de la fesseuse qui n'a pas besoin de tenir le bras du puni trop occupé à garder son équilibre. Astucieux non?
    Cordialement.
    Ramina

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