Dans la cabine d'essayage.
L'exigence du
respect des règles était, pour elle, absolue sans le moindre compromis
possible, comme la prise de décision des sanctions et l'énoncé des sentences
qui tarifiaient les punitions. Les corrections étaient servies sur place, sans
discussion, avec toute la sévérité requise, quel que soit le lieu et les
personnes présentes.
Son tempérament
exubérant la portait naturellement vers une forme d'exhibitionnisme assumé sans
complexe, mais très humiliant pour son mari. Elle n'éprouvait aucun scrupule, bien
au contraire, à le déculotter et corriger en public, et ne ratait jamais une
occasion de passer à l'acte. S'il ne s'en présentait pas, elle réussissait
toujours à trouver une bonne raison de
lui claquer les fesses devant témoins quand elle avait décidé qu'il le
méritait.
La plupart de ces maîtresses femmes, Gladys,
Patricia, Béatrice comme Claridge, appliquaient régulièrement cette méthode de
correction en public, censée marquer davantage le puni. Edwige en faisait un
usage sans modération en y ajoutant sa touche personnelle de cynisme et de
provocation qui rendait ses fessées encore plus astreignantes. A la maison, elle s'appliquait à faire savoir
aux habitantes du quartier qu'elle disciplinait son mari en le corrigeant
régulièrement rideaux et fenêtres ouverts. Le pauvre homme, mort de honte,
rasait les murs quand il sortait de chez lui, redoutant le regard sarcastique
des passantes qu'il risquait de croiser sur le trottoir.
Edwige, comme à
son habitude, avait laissé ouvert le rideau de la cabine. Toujours prête au
partage, elle tenait à faire profiter Claridge et Stéphanie du spectacle que
promettaient la séance d’essayage de slips à fessée de Stephen avec les
inévitables testes fessées qui allaient avec. Passionnant pour ces Dames,
beaucoup moins pour le mari qui s'attendait à passer un sale moment.
« Stephen,
tu te moques de moi ? Tu attends quoi pour m'enlever ce pantalon ?
Une fessée avant de commencer... pour préparer les suivantes ? …
– Mais Edwige... pardon, mais pourquoi veux-tu me faire
essayer ça ici ? On peut le faire à la maison.
–
Ah parce maintenant c'est toi qui décide à ma place de ce qu'on doit
faire !
– Non chérie, excuse-moi, c'est juste
une suggestion que... je... je »
– Ah oui, tu suggères aussi ! On
aura tout vu ! Et ma main sur tes fesses, tu vas voir si c'est une
suggestion ! »
Stephen se rend compte très vite
qu'il n'est pas vraiment en position de négocier quoi que ce soit. La boutique
de madame de Blagnac est un lieu où l'on fesse aussi souvent qu’on discute. Les
fessées y sont encore plus bruyantes que les conversations. Surtout quand c'est
Claridge qui fesse un derrière.
Le
premier samedi de chaque mois, à partir d’une certaine heure, ça claquait sec
dans la boutique de Madame de Blagnac.
Les fidèles clientes, triées sur le volet, dont bien sûr Gladys, Edwige
et Béatrice, restaient après la fermeture avec leur mari, qu'elles emmenaient
ce soir-là pour la circonstance. Entre les toasts, le champagne et les petits
fours, elles se livraient à de généreuses distributions de fessées collectives,
rythmées par les pleurs et les supplications de ces messieurs. Ils consommaient
peu, mais recevaient beaucoup. Leurs fesses, à disposition, passaient et
repassaient sur les cuisses de ces Dames au gré des comptes à régler et du
tarif des punitions en cours.
Comme toutes les femmes
autoritaires, Il en fallait peu pour qu'Edwige s'impatient.
« Ecoute moi bien Stephen, si
tu n'as pas enlevé ton pantalon dans la minute qui suit, c'est moi qui vais le
faire. Et je te garantis qu'il sera à peine accroché au porte manteau que tes
fesses seront déjà en train de claquer. Avec ce qui les attend ensuite, tu as
vivement intérêt à obéir !
Madame de Blagnac vient de fermer sa
boutique afin de ne pas être dérangée. Sa voix forte sonne comme une menace et
vient renforcer l'avertissement d'Edwige.
« Voilà qui est parlé avec
autorité ! La fessée il n'y a rien de mieux pour mater les maris
récalcitrants ! Le mien serait déjà déculotté sur mes genoux en
train de me se faire rougir les fesses en me suppliant de taper moins
fort ! Ce qui m'inciterait à faire le contraire ! »
Stéphanie juste à côté saute sur
l'occasion. Elle n'a fait pour le moment qu'assister à la fessée de Maxime,
sans participer.
« Edwige, si vous voulez qu'il s'en
prenne une maintenant je veux bien m'en occuper. Dit-elle de sa petite voix
innocente,
– Merci Stéphanie, je réglerai cette
nouvelle preuve de mauvaise volonté tout à l'heure à la maison. Avant cela il
doit se soumettre à la petite séance d'essayage que je lui ai
préparée. »
Un ''slip à fessée'' à la main
qu'elle vient de sortir de la boîte en carton posée sur la banquette à côté des
martinets, elle se tourne vers son mari réfugié au fond de la cabine.
« Ton pantalon Stéphen, tu
l'enlèves, tout de suite ! Stéphanie puisque vous vouliez vous occuper de
ses fesses vous me le déculottez complètement et vous veillerez à lui faire
enfiler ça ! Je lui flanquerai ensuite une première fessée pour le
lui tester sur le derrière.
– Avec plaisir madame Edwige !
– Et ce n'est pas une fessée qu'il
doit prendre, mais trois !
– Et bien bonne nouvelle !
S'exclame Claridge. On ne va pas s'ennuyer une seconde ! »
Elle fixe Stéphen avec un sourire
perfide, faussement compatissant.
« Mais qu'a-t-il donc fait, le
vilain garçon, pour mériter trois fessées ?
– C'est... C’est à cause du lave-vaisselle
madame... répond le malheureux pas
rassuré du tout. Un gamin pris en défaut.
– Voyez-vous ça... Du lave-vaisselle ? »
Elle éclate de rire. Edwige, amusée,
intervient
« Oui, monsieur ne sait toujours pas se servir
d'un lave-vaisselle. Il le met en route sans mettre de produit de lavage
dedans. Alors... »
Claridge finit la phrase dont la
suite lui apparaît évidente
« C'est la fessée ! Et la
deuxième ?
– Il a laissé la vaisselle dedans
toute la journée !
– Evidemment ! Et la troisième
alors ?...
– Ah ça, c'est la petite
gâterie ! La fessée supplémentaire pour le punir d'en avoir mérité
deux ! Ça marche très bien !
– Je vois, trois fessées pour le
prix de deux ! Excellente idée ! Il faut que j'applique ça à Conrad,
mon mari. On ne les fesse jamais assez ! »
Les
deux femmes s'amusent à surenchérir sans se soucier de Stephen qui suit l’échange
avec inquiétude.
–
Tout à fait d'accord, on ne les fesse jamais assez ! C'est pour cela que
la seule bonne méthode c'est la fessée systématique !
–
Voilà... la fessée, à faire consommer sans modération...
–
Exact ! La fessée... Au moindre écart, au plus petit oubli, à la plus infime négligence... Ces messieurs ne
comprennent que ça et ne commencent à obéir que les fesses rouges au fond du
slip !! »
–
Alors... Rougissons leur les fesses ! »
Le pauvre mari est anéanti. Les prévisions météo pour la fin de
journée s’annoncent plutôt orageuse au-dessus de ses ballons fessiers, exposés
à de furieuses rafales avec une brusque montée de chaleur sur les reliefs. Il a
toujours du mal à se remettre de ces humiliantes déculottées en public qu’Edwige
se plaît à lui administrer pour renforcer la portée de ses punitions. Il
tremble un peu sur ses jambes et amorce un mouvement de recul lorsque Stéphanie
entre dans la cabine et s’approche de lui. Entre les mains de ces trois femmes
déterminées, il n'a plus le choix. Il ne l'a d'ailleurs jamais eu. Il défait sa
ceinture, déboutonne sa braguette et enlève son pantalon qu'il accroche au
porte manteau de la cabine.
Edwige donne encore de la voix.
« Tu en as mis du temps !
Maintenant, tu vas laisser Stéphanie te déculotter complètement et enfiler ce
slip. Tu viendras ensuite te mettre en position entre mes jambes pour ta
fessée. Je vais en profiter pour un premier slip teste !
– Tu ne vas pas être déçue, dit
Claridge, c'est un produit de qualité, très bien conçu et parfaitement adapté à
l'usage de la fessée. »
Assise sur la banquette de la cabine, Stéphanie attire Stephen
debout entre ses jambes, et le déculotte jusqu'aux chevilles. Les mains
pudiquement superposées sur son sexe, il lève les jambes l'une après l'autre pour
se débarrasser de son sous-vêtement.
Il est habitué à l'humiliante position qu'Edwige lui fait souvent
prendre pour le corriger. Sous le regard amusé de Claridge et Edwige, Stéphanie
lui enfile le fameux slip jusqu'à mi-cuisse. Il plonge aussitôt en avant pour
encastrer sa tête entre les cuisses de son épouse et se dresse sur la pointe
des pieds pour mettre docilement ses fesses, bien tendues, à sa disposition.
Elle le reculotte sans ménagement.
Claridge
qui ne manque pourtant pas d'imagination pour soumettre son mari à
l'obéissance, s'exclame avec enthousiasme.
«
Quelle docilité ! On voit que monsieur est bien dressé ! Il a dû s'en
prendre sur les fesses pour en arriver là !
–
Je ne te le fais pas dire ! Mais à force de se les faire cuire
régulièrement il a fini par comprendre et accepter. Dès que je lui annonce
une fessée, il a tellement peur que je la double s'il n'arrive pas assez vite
qu'il se précipite pour se mettre en position dans la seconde qui suit !
Parfois, espérant une indulgence il se déculotte lui-même pour venir, slip aux
cuisses, me présenter ses fesses à claquer... je le fesse encore plus fort pour
le punir de sa tentative.»
–
On n'est jamais assez sévère ! Mais Edwige, ma chérie, ton
mari attend sa fessée... Ses fessées, je devrais dire.
– Oui je sais, j'aime bien le faire attendre, ça lui fait
monter l'angoisse. »
Afin
d'éprouver la résistance du nylon, elle termine son reculottage en prenant soin de lui ajuster le sous vêtement très serré sur le
derrière. Le renfort de couture, judicieusement placé au milieu remplit sa
fonction et s'enfonce dans la raie des fesses pour mieux en sculpter les
hémisphères.
« Alors qu'est-ce que tu en penses, interroge
Claridge. Ils sont parfaits pour la fessée ces slips ! Tu vas voir au
contact... Que de bonnes sensations ! »
Comme s'il s'agissait d'un objet précieux présenté dans un paquet
cadeau, Edwige caresse à deux mains la volumineuse paire de fesses solidement
culottée. Le nylon extensible en épouse parfaitement les formes, mises en
valeur par la transparence de l'empiècement qui encercle avec précision la
surface destinée à la fessée.
«
Pas mal du tout ! Ça lui fait un de ces derrières... encore plus
impressionnant que déculotté. S'exclame-t-elle
en tapotant nerveusement les deux fesses à travers le nylon, On les sent bien
compact sous la main ! »
La
tête à l'intérieur de la cabine, les fesses tournées vers Claridge et
Stéphanie, Stephen commence à transpirer entre les cuisses serrées de sa femme
qui le maintient dans l'avilissante position. Il en
gémit de honte. Les mains agrippées à ses bas nylon il doit exhiber son fessier
solidement culotté au regard gourmand des deux femmes.
Edwige avec un cynisme assumé.
«
Alors mon chéri, comment sens-tu tes fesses là-dedans ?
–
Ah ça serre fort ! Ça fait comme une gaine !
–
C'est exactement fait pour ça ! Répond Claridge, comme s'il n'était pas
concerné. C'est pour rendre vos fesses plus fermes et plus claquantes mon
cher !
Les
trois femmes se regardent en riant. Edwige réagit la première.
«
C'est bon pour ton service trois pièces trésor ! Ça va te le maintenir
bien en place, au lieu de voir tout le paquet se balancer entre tes
jambes pendant qu'on fesse ! C'est très laid et ça gâche le
spectacle ! »
Stéphanie,
fine mouche, qui profite de la situation pour se rincer l'oeil une nouvelle
fois, enchaîne avec à propos.
« Et
puis, devant on s'en fiche, c'est les fesses qui nous intéressent !
–
Exact ! Surenchérit Claridge, la fessée, c'est derrière que ça se
passe ! »
Edwige
récupère la mise et décide de passer à l'acte,
«
Oui, et quand on voit un derrière aussi bien emballée ça donne des
démangeaisons dans la main... Comme une envie de fesser ! Et c'est ce que je
vais faire tout de suite ! »
Sanglée
dans ce slip qu'on aurait dit pratiquement taillé sur mesure, la formidable
paire de fesses n'en paraissait que plus provocante. Ses rondeurs amples et
fermes semblaient solliciter plus qu'attendre la fessée. C'était certainement
le but recherché de la diabolique anglaise qui avait conçu ce modèle pour
rendre les derrières plus attrayants et les fessées plus cuisantes. Madame de
Blagnac se chargeait avec succès, d'en faire la promotion dans sa boutique,
fréquentée en grande majorité par des adeptes inconditionnelles de la fessée.
Stephen, plongé dans les affres de l'attente pleurnichait
toujours, la tête coincée entre les
cuisses de sa femme, éprouvant, comme Maxime entre celles de sa mère
puis de madame de Blagnac, le frottement rêche des bas nylon sur ses joues.
L'exigeante épouse, décida au dernier moment de le changer de
position pour une meilleure exposition de ses fesses et une prise en main plus
efficace. Elle les voulait plus tendues pour pouvoir taper fort et éprouver les
qualités du nylon à entretenir la chaleur.
Elle était plus forte que lui et le souleva du sol sans difficulté pour
le ployer sous son bras. Elle avait posé son talon aiguille sur le tabouret à
fessée que Stéphanie lui avait apporté à sa demande, offrant ainsi, avec sa
cuisse, une surface relevée à l’horizontale sur laquelle elle le courba
littéralement en deux, bras et jambes ballant dans le vide. Ses fesses tendues
à bloc, étaient maintenant à la bonne hauteur et idéalement déployées pour
recevoir la première fessée dans les meilleures conditions d'exposition.
La main haut levée au-dessus du derrière en pénitence Edwige prend
encore le temps de le sermonner,
«
Voilà ce qu'il en coûte de ne pas savoir se servir correctement d'un lave-vaisselle
pour participer aux tâches ménagères ! On est prêt ?
–
Euuuh... Ou... Oui ... je... je suis prêt !
–
Oui qui ? »
Vlan !
Vlan ! Une claque magistrale sur chaque fesse, le rappelle à l'ordre
aussitôt. Il gémit...
« Oui...
Euuh... Oui, Edwige ...
Vlan!
Vlan ! Deux autres claques aussi fortes lui font sauter le derrière.
–
Celles-là c'est pour avoir hésité à répondre !
Elle
lance un clin d'œil complice vers Claridge et Stéphanie qui s'amusent
ouvertement.
«
Et maintenant... la fessée ! »
Edwige fait partie de ces fortes femmes au bras solide et à la
main ferme. La fessée commence sur un rythme soutenu à grands claques
puissantes qui retentissent avec éclat sur toute la surface des deux fesses
fermement moulées dans le nylon. Sa transparence est effective et permet de
suivre sans difficulté la rougeur montante que la sévère épouse fait prendre
rapidement à l'ensemble du postérieur. Comme à son habitude, Elle fesse dur,
sans modération ni progressivité et lui fait sonner le derrière avec d'autant
plus d'énergie qu'elle fesse à travers un slip dont la fonction est d'inciter à
taper fort. L'objectif est atteint. L'empiècement en arrondit du bas des reins
en haut des cuisses délimite la surface à corriger comme une provocation
permanente à y ajuster les claques. Edwige s'y emploie avec bonheur, ardeur et
précision.
Claridge saisit l'occasion pour faire l'article.
«
Alors ma chérie, qu'en penses-tu ? Agréable cet empiècement très fin
autour du derrière ? On sent bien les fesses chauffer sous la main, n'est-ce
pas ?
–
On les voit même rougir d'ici à travers le nylon. Et elles rougissent
vite ! »
Commente
Stéphanie avec un enthousiasme révélateur de son vif intérêt pour la fessée.
Edwige ne répond pas. Les dents serrées, le regard rivé sur la cible,
concentrée sur l'objectif, elle fesse.
Bien qu'en équilibre instable sur la cuisse de sa femme, Stephen
était soumis aux règles très strictes, qu'elle avait instaurées qui lui
donnaient obligation de présenter ses fesses toujours parfaitement positionnées
à sa main afin de faciliter l'administration de ses fessées. Les fesses en feu,
ballottées sous les claques, il s'échinait à les maintenir en position, suant
d'angoisse à l'idée de la fessée supplémentaire qui l'attendait s'il se
relâchait un tant soit peu. Edwige ne manquerait pas l'occasion de lui
descendre le slip pour la lui flanquer déculotté. Une fessée déculottée est
encore meilleure sur des fesses déjà bien rouge d'une précédente. A ce régime-là,
ces dames n'eurent pas à attendre longtemps pour entendre monter ses appels
déchirants à taper moins fort, à l'attention de son épouse.
«
Oh chérie, pas si fort... s'il te plaît ! Pas si fort ! Ce slip est
infernal ! Les fesses sont trop serrées dedans, ça chauffe dur !
C'est presque pire que la fessée déculottée. »
Insensible à la douleur qu'elle lui infligeait qui semblait même
attiser son plaisir de claquer à pleine main les belles fesses bien fermes,
solidement culottées, soumises à sa disposition, Edwige continuait la fessée.
«
Continue à te plaindre et je vais taper encore plus fort ! Tu sais très
bien que tu as mérité cette fessée, Elle sert aussi à tester ces nouveaux
slips. Tu devrais être fier que ce soit sur tes fesses ! Tu es le premier
à t'en prendre une avec dans le magasin ! »
Encouragée par les rires de Claridge et Stéphanie, elle s'amuse de
sa propre plaisanterie tout en poursuivant la fessée avec ténacité pendant que
le malheureux, en larmes, promettait de penser désormais à utiliser du produit
à vaisselle dans la machine à laver.
Ces supplications n’émurent pas pour autant l'implacable épouse,
bien au contraire. Il fallait mener le teste jusqu'au bout et il ne se
révélerait crédible qu'à l'épreuve d'une fessée magistrale. Elle lui donna un
faux espoir lorsqu'elle s’arrêta un court instant. Ce fût pour réajuster sa
position, lui retendre le slip sur les fesses, pour les remettre bien en place
à l'intérieur, et reprendre immédiatement la fessée en accélérant même le
tempo... Sous les encouragements de Claridge, attentive au bon déroulement du
teste, et de Stéphanie de plus en plus intéressée par la cuisante correction
qui tournait à la démonstration.
Elle fessait bien, avec aisance, sûre de sa force et de la
précision des claquées qu’elle abattait d’une fesse sur l’autre en implacables
rafales terriblement efficaces. Elle ne mit fin à la fessée qu’après que les
hurlements de douleur du pauvre mari se transforment en une longue plainte
continue, interrompue par une montée dans les aigus à chaque fois que sa main
claquait ses fesses. Elle l'acheva en lui faisant sauter le derrière d'un
superbe doublé, droite, gauche, si appuyé qu'il faillit en tomber de sa cuisse.
Il s'y agrippa pour éviter la chute.
«
Attention à mes bas Stephen... et gare à toi si tu m'en files un ! Demande
à Maxime ce qu'il lui arrive quand il fait ça avec sa mère, et pourquoi il est
au coin déculotté avec une fessée au derrière !
–
Non Edwige, s'il te plaît... je fais attention.
–
Tu as intérêt mon ami, sinon je n'hésiterais pas à t'en claquer une autre. Et
déculottée cette fois ! Comme ça tu aurais l'occasion de comparer avec celle
que je viens de te mettre. Alors à ta place, je ferais très... très attention où
je mets les mains ! »
Elle
le fait glisser sur son bas nylon, autour de sa cuisse, jusqu'à ce que ses
pieds retrouvent le sol où il s'écroule en larmes. Ses belles fesses rouges gonflées de claques, serrées dans un slip devenu trop petit pour
les contenir entièrement, débordent des élastiques. Elle trouve encore le moyen
d'ironiser.
«
Si tu voyais tes fesses mon chéri ! C'est fou comme le rouge écarlate leur
va bien. Avec ce slip blanc qui les met en valeur. Vous ne trouvez pas
mesdames ?
–
Tout à fait confirme Claridge, en lui soupesant le derrière du regard comme si
elle essayait d'évaluer le nombre de claques qu'il avait fallu pour lui donner
aussi bonne mine. »
–
Je le verrais même encore plus foncé. Ça sera pour la prochaine fessée. Stéphanie
vous en pensez quoi ? »
Stéphanie
sort de sa réserve et répond avec assurance, montrant qu'elle en connaît aussi un
rayon sur le sujet.
«
Je pense que pour obtenir un beau rouge foncé uniformément réparti sur toute la
surface, il n'y a rien de mieux qu'une bonne fessée déculottée. Si j'ai bien
compris il doit s'en prendre une deuxième ? »
Madame
de Blagnac semble un moment sceptique puis après un nouveau coup d'œil au fessier
débordant du slip, hoche la tête en signe d'approbation.
«
Vous avez raison, ma chère, surtout qu'il est tellement serré là-dedans que les
élastiques vont laisser des marques sur les fesses. Elles sont si
resplendissantes ce serait vraiment dommage. Si on veut un derrière éclatant,
rien de tel qu'une bonne fessée déculottée pour bien le faire reluire.
–
De toute manière... poursuit Stéphanie, qui, mine de rien, en rajoute avec
perfidie à chacune de ses interventions. La fessée sur le slip n'est qu'une
fessée d'échauffement qui prépare aux fessées déculottées ! »
Edwige,
directement concernée, clos le débat.
«
Stephen prendra sa prochaine fessée déculottée !
–
Mais... c'est toi qui décide répond Claridge magnanime. En attendant que penses-tu
de
ces fameux slips à fessée ?
–
Vraiment agréables, étonnants même ! Le nylon est tellement fin qu'on a
l'impression de claquer des fesses déculottées ! Elles restent fermes et
solides sous la main avec juste ce qu'il faut de souplesse. Elles donnent l'impression
de renvoyer les claques, ce qui redonne de la vitesse à la suivante. C'est
vraiment stimulant ... Il faut reconnaître que ça augmente vraiment l'envie de
fesser... et de fesser fort ! »
–
Contente de te l'entendre dire. Je n'en ai pas commandé pour rien. Mais
j'aimerais me rendre compte par moi-même... si tu permets ?
–
Mais bien sûr Claridge, avec plaisir même... Stephen, relève-toi et viens ici,
au lieu de rester prostré par terre à te lustrer le derrière. Madame de Blagnac
voudrait voir tes fesses, dépêche-toi !
Stephen
n'est pas en mesure de discuter les ordres de sa tendre épouse. Peu lui importe
l'état de son postérieur qui vient tout de même de faire plein, au moindre mot
de travers, c’est une nouvelle fessée sur le champ. Pantalon toujours aux
chevilles, il fait ce qu'il peut pour se précipiter vers Claridge qui l'attend
assise sur la banquette de la cabine d'essayage. Elle a retroussé sa courte jupe jusqu'en haut
de ses cuisses pour éviter de la froisser. Dès qu'il arrive à portée de main,
elle le saisit par l'oreille et l'allonge dessus d'autorité.
«
Voyons voir le résultat de cette belle correction qui m'a semblé parfaitement
cuisante.»
Elle lui appuie sur les reins pour lui faire ressortir le
derrière, et de sa large main enveloppante, caresse la surface du fessier
pour en apprécier la cuisson. Il a les fesses en feu. Elle en sent les effets à
travers la matière extensible qui semble même en augmenter l'intensité. Elle
passe ses doigts sous l'élastique, et plonge la main au fond du slip pour lui
palper le derrière avec volupté. La sensation est encore plus grande, le nylon,
en maintenant les fesses bien serrées en entretient la chaleur. Elle les tapote
pour en tester l'élasticité et confirme le diagnostic.
«
Excellent ! J'espère que vous remerciez régulièrement votre femme de vous
chauffer aussi bien les fesses ! Avec ce nouvel article je suis certaine
qu'elle va encore vous faire améliorer vos performances avec des fessées
toujours plus éclatantes ! Tu as raison Edwige, ces slips donne vraiment
envie de fesser ! Hummm...difficile de résister !»
Avec les dessins originaux de l'auteur !
Ne perdez pas le fil du feuilleton ! Pour ceux qui se seraient égarés ...
Le début : chapitre 1 de la saison 1
et celui de la saison 2 : chapitre 1
Voici l'épisode précédent : chapitre 12
Il y a une suite, c'est le chapitre 14
et celui de la saison 2 : chapitre 1
Voici l'épisode précédent : chapitre 12
Il y a une suite, c'est le chapitre 14
Ramina est l'auteur de nombreux récits et commentaires sur ce blog.
Juste retour des choses il attend les vôtres. Ecrivez vos appréciations, vos retours, vos questions ... dans le cadre ci-dessous. Ramina vous répondra.
Si vous voulez un échange plus privé voici un courriel pour le joindre : ramina16@laposte.net
Bonjour Ramina,
RépondreSupprimerQuelle trouvaille ! le "Spanking Underpants" !!
"Slips à fessées ? Obéissance assurée !
Madame, en cas de caprice à la maison,
de votre Mari au pantalon baissé
Par son épouse est fessé
avec un beau rouge à l'unisson !
Fessée au coucher, dodo assuré !".
Ode à l'époux maladroit.
Peter Pan.
Même Mam'e Bellebourge n'y a pas pensé. A part la barboteuse à poche fessière. Tiens , j'essaierai d'y penser dans une prochaine saynète.
Toujours aussi haletantes, les mésaventures des maris maladroits.
On en aurait presque le souffle coupé.
Superbe. Les dessins sont au top de l'action.
NB : le visage de Stéphanie est particulièrement réussi et Dieu sait que c'est la partie du personnage la moins facile à faire s'exprimer. Bravo.
"10/10 . Avec les félicitations du Jury".
Amicalement. Peter Pan.
Ce commentaire a été supprimé par un administrateur du blog.
RépondreSupprimerBonjour Messieurs,content de vous retrouver...
RépondreSupprimerJe vois avec plaisir que les "Slips à fessée" vous inspirent Peter.
Jolie petite poésie, bien troussée avec un " Fessée au coucher, dodo assuré" très pertinent et drôle.
Concernant le visage de Stéphanie, merci pour les félicitations du Jury, connaisseur... C'est vrai que je ne l'ai pas raté.
Oui Serge, comme vous, je trouve cette position très efficace et bien humiliante pour une belle fessée. Les fesses sont bien épanouies, tendues, à disposition de la fesseuse qui n'a pas besoin de tenir le bras du puni trop occupé à garder son équilibre. Astucieux non?
Cordialement.
Ramina