Suis-je assez claire ?

Je n'avais probablement pas été assez explicite jusqu'à maintenant. Soyons clair, je n'ai accepté de t'héberger que pour rendre service à ta mère qui était très inquiète de voir son petit dernier prendre son envol et s'éloigner hors de sa portée et de sa surveillance quotidienne. Elle avait raison de se faire du souci.

J'avais portant cru avoir mis les choses au point : c'est moi qui édicte les règles auxquelles tu es soumis en j'entends qu'elles soient scrupuleusement suivies à la lettre ! Avec ta mère, cela n'a pas posé de souci. Elle a accepté mes conditions sans en discuter aucune. Je crois même qu'elle était assez satisfaite de leur teneur.

J'ai cru que tu en avais accepté le principe et que tu te tenais à carreau. Je dois avouer que j'étais assez satisfaite de notre arrangement durant les premiers jours. Quand ta mère a téléphoné, en début de semaine, je lui ai dit que notre première semaine de cohabitation s'était passée à merveille.

Je me suis dit qu'elle avait grandement exagéré les manquements de ton comportement ou qu'elle ne savait pas bien s'y prendre avec toi. J'ai pensé qu'elle croyait encore avoir un adolescent sous son toit et qu'elle ne s'était pas rendu compte que tu étais devenu un adulte parfaitement responsable, qu'elle ne t'avait pas vu grandir.

J'ai pensé que tu étais bien plus responsable que ta mère le disait. A vingt-cinq ans cela pouvait paraître normal, même si on ne t'en donne pas plus de dix-huit, et encore.

J'ai vite déchanté ! Devant moi tu étais des plus polis et obéissants. C'était pour mieux faire tes coups par derrière.

Depuis deux jours, j'avais des doutes quand j'ai trouvé ta chambre en désordre alors que je t'avais ordonné d'aller la ranger le soir précédent. Oh, ce n'était pas apparent au premier coup d’œil. Tout était dissimulé au fond des placards et dans les tiroirs. Je ne sais pas pourquoi j'ai décidé de faire une inspection approfondie. J'ai vite découvert que tu n'en avais rien fait. Mais alors, à quoi avais-tu occupé ta soirée alors que tu m'avais dit que tu l'avais passée dans ta chambre à faire le rangement que je t'avais ordonné de faire ?

Je n'ai rien dit le jour-même. Je me suis contentée de laisser traîner une chaussette ou deux et de t'en faire la remarque en te disant que j'exigeais une chambre impeccable. Je t'ai donné la soirée pour rectifier ce qui devait l'être. Puis, j'ai surveillé.

Je n'ai pas été déçue. Moins d'une demi-heure après l'heure à laquelle je me retire habituellement dans ma chambre pour y dormir, je suis retournée voir où tu en étais. Comme je m'y attendais, l'oiseau s'était envolé. Plus personne. dès que j'ai vu la fenêtre incomplètement fermée, j'ai compris que c'était par là que tu étais sorti et que tu avais l'intention de revenir. Je l'ai donc fermée.

Tu as été obligé de rentrer par la porte. Je t'y attendais. Tu avais pourtant admis que les sorties, le soir en semaine, t'étaient interdites. Confronté à ta désobéissance, tu n'as rien trouvé de mieux que de me servir une histoire tellement ahurissante qu'il était impossible de la croire.

Un entretien de ta chambre déplorable, des sorties nocturnes interdites et par dessus tout, tu me sers des mensonges. A en croire ton haleine, tu n'as pas du boire que de l'eau. Tu sens la bière à plein nez ! Avoue que c'est la moindre des choses que tu reçoives une sérieuse punition.

Je te l'avais promise en cas d'écarts graves. Je pense que tu as cru que je n'oserai pas en venir à de telles extrémités. Tu aurais dû me prendre au sérieux. La fessée déculottée est le meilleur remède pour les grands garçons qui ne savent pas obéir.

Je vais faire en sorte que la badine laisse quelques marques douloureuses sur tes fesses. Puisque tu ne sais pas obéir, je vais te l'apprendre. Tu vas vite comprendre que des fesses striées de longs traits rouges, cela aide à redéfinir ses priorités.

Il est trop tard que que tu sois mis au coin ce soir, mais ne t'inquiète pas, ce n'est que partie remise. La punition de ce soir, ou plutôt de ce matin compte tenu de l'heure qu'il est, n'est qu'un hors-d'oeuvre. Tu ne payes maintenant que pour être sorti alors que ça t'était interdit. Tu mangeras le plat de résistance demain. Deux fessées, une pour le rangement déficient et l'autre pour tes mensonges, une avant dîner, l'autre après. Avec les longs moments que tu passeras au coin, cela t'occupera toute la soirée.

Dès demain, attends-toi à des changements. Dés ton lever. Désormais, c'est moi qui m'en chargerai. Fini les réveils tardifs qui t'obligent à négliger ta toilette pour être à l'heure au travail. Tu croyais que je n'avais pas remarqué ? Cela fait au moins trois jours que tu n'as pas pris de douche.
Dès demain matin tu auras le temps de faire ta toilette. Je m'y engage. c'est moi qui te donnerai ta douche. Ainsi, je serai certaine que ton hygiène sera irréprochable.

Je sais que ta mère a regretté que tu aies arrêté tes études avant le bac. C'est d'ailleurs pour cela que tu as eu tant de mal à trouver du travail. Tu vas les reprendre, par correspondance. Je surveillerai ton travail. Toute note en-dessous de douze sera sanctionnée par une fessée. Tu as compris que cela voudra dire que je te baisserai la culotte.
Tu auras largement le temps de travailler, le soir et le week-end. Comme tu n'auras plus le droit de sortir jusqu'à nouvel ordre, y compris le samedi soir, tu auras le temps de faire tes devoirs. Compte sur moi pour vérifier que tu y seras assidu. Tu sais ce qui t'arrivera si je ne suis pas satisfaite de la qualité de ce que tu feras.

Je te conseille de ne plus tenter de sortir le soir. Maintenant, je vérifierai. Je crois savoir où vous réunissez avec tes copains et tes copines. La prochaine fois, je n'attendrai pas que tu rentres. J'irai te chercher. Et tu auras la fessée déculottée devant tout le monde. Crois-moi, je tiendrai ma promesse.

Voyons si la badine saura te faire regretter tes désobéissances et si elle va réussir à te mettre un peu de plomb dans le tête. Je croyais héberger un adulte, en fait tu es resté un petit garçon qui a oublié de grandir. Je vais donc devenir ta Maman de substitution. Comme un petit garçon tu vas apprendre à m'obéir sans discuter. Comme un petit garçon, tu auras la fessée déculottée à chaque fois que je serai mécontente de toi.

Grand merci à Poser à qui j'ai emprunté le dessin !

Je crois que c'est le premier que je présente. La plupart d'entre eux ne correspondant pas à la ligne éditoriale de ce blog. Il y a aura quelques-uns qui pourront servir de support à un récit.

Les logeuses, des mamans de substitution

                                                   

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