La boutique de Madame de Blagnac
Le derrière de Maxime, déjà bien
soigné par la fessée au martinet, ne put échapper à une nouvelle correction. A
genoux aux pieds de sa mère, le nez sur ses talons aiguille, il avait beaucoup
de difficulté à fixer son attention sur les leçons de code à apprendre. Pour ne
rien arranger ses fesses, bien que déculottées, lui cuisaient encore atrocement
et l'empêchaient de se concentrer. Il n'était pas du tout prêt lorsque sa mère
décida de l'interroger.
Trop d'hésitation, une réponse
complètement à côté, Béatrice réagit immédiatement. D'un pas assuré, elle fait
le tour de son bureau et le tenant par l'oreille, le traîne de force vers le
tabouret à fessée. De son autre main
libre, elle ramasse, au passage, le livret resté par terre. Elle est
frémissante de colère.
« Ah c'est de la fessée que tu
veux !... eh bien, tu vas en avoir ! Je suis là pour m'occuper de tes
fesses et j'adore ça !
– Mais maman... je.
– Ça suffit ! Je veux des
leçons apprises par cœur ! Cela veut dire des réponses sans hésitation et
sans faute ! Alors... Tu sais ce
qui t’attend »
Elle l'emmène au tabouret plié en
deux au bout de sa main. Empêtré dans son pantalon en tire-bouchon autour de
ses chevilles, le slip en travers des cuisses, il la suit difficilement en
sautillant.
« Aiiiie maman, mon oreille... tu me
fais mal !!!
– Quoi ton oreille ? Tu ferais
mieux de penser à tes fesses ! Tu sais ce qu'il leur arrive quand je ne suis
pas satisfaite de ton travail ? »
Sans lui lâcher l'oreille, elle
s'assied lourdement, en écrasant le siège sous son postérieur rebondi. Le bois
du tabouret craque sous le poids du volumineux fessier. Il constitue l'assise
nécessaire à tenir la cadence infernale des grosses fessées qu'elle aime
administrer sans modération.
Tiré brutalement vers l'avant,
Maxime s'écroule en travers des larges cuisses gainées de nylon. Pour y
séjourner souvent, il les connaît par cœur, comme les jarretelles de dentelle
élastiques qui lui irritent le ventre. Sa voix implorante résonne sur le
carrelage. Celle d'un jeune adulte de vingt ans déculotté et fessé par sa mère,
comme un gamin qui n'apprend pas bien ses leçons.
« Pas la fessée maman... Ooooh non,
pas encore ! Je vais apprendre ! Je te promets... Je vais
apprendre !
– Trop tard Maxime, il fallait le
faire avant. Maintenant, c'est la fessée ! Tu connais la règle, une faute, une
fessée ! Ça ne peut pas être plus simple. Puisque tu as des difficultés à
te mettre tes leçons en tête, je vais te les imprimer en rouge sur les fesses
pour t'aider à les retenir ! On va voir si ça fait de l'effet. Relève-toi et reculotte-toi,
je vais te corriger à travers le slip. Ça chauffent mieux sous le nylon.
Maxime se redresse péniblement.
Debout entre les jambes de sa mère, il se reculotte avec précaution et remonte
lentement son slip en retenant sa respiration.
« Aller dépêche-toi ! Plus
tendu le slip ! Je veux des fesses solidement culottées, bien fermes sous la main
! »
Il s'exécute, et se remet en
position à plat ventre sur les genoux maternels.
« Oh maman... Non... pas la
fessée, je vais me concentrer, je vais faire les efforts nécessaires... je te jure ! ».
Insensible aux habituelles promesses
de dernière minute, elle le fait basculer autour de ses cuisses, la tête
penchée vers le sol, au-dessus de son livret, ouvert, aux pages qu'il n'a
toujours pas retenues. La fessée doit stimuler la lecture.
Il n'a pas le temps de réaliser
exactement ce que sa mère a encore imaginé pour l'humilier davantage. Le ton
est impérieux, magistral.
« De toute évidence, tu as
régulièrement besoin de fessées pour t'aider à surmonter tes difficultés
d'attention et de mémorisation. Il faut croire que la méthode que j'ai employée
jusqu'ici n'est pas encore assez rigoureuse Je vais donc en expérimenter une
autre qui devrait être plus efficace. »
Un frémissement d'angoisse parcoure
l'échine de Maxime qui se reprend aussitôt. Béatrice ne supporte pas le moindre
signe d'appréhension ou de nervosité, considérées comme une marque de faiblesse
qu'elle sanctionne systématiquement par une deuxième fessée plus sévère. Ça
rend les fesses plus endurantes et ça forme le caractère, dit-elle.
« Pour que ça fonctionne, il me faut
une derrière bien préparé.
– Non maman, je t'en supplie. Ça y
est déjà, les fesses me cuisent encore !
– Pas assez ! Une bonne petite
fessée d'échauffement va te remettre le derrière à la bonne température.
– Maman je t'en prie, j'ai encore
mal … s'il te plaît...
Elle
ne prête aucune attention à ses timides doléances et poursuit sur le même ton.
« Tu vas réviser pendant que je te
fesse et je t'interrogerai ensuite. Ton derrière restera en place, sous ma main,
prêt à claquer... A la moindre erreur, c'est la fessée ! Brève... cinq minutes,
pas plus... mais intense, pour que tu la sentes bien. Je recommencerai
autant de fois que nécessaire, jusqu'à ce que tu saches tout par
cœur !»
Maxime, éberlué, regarde sa mère
détailler sa nouvelle méthode de travail, visiblement satisfaite d'en être
l'initiatrice. Elle a même déjà trouvé un slogan. '' Fesser plus, pour
apprendre plus ! »
Elle ironise.
« Qu'est-ce que tu en
penses ? »
S'amuse-t-elle en caressant et
tapotant le postérieur solidement culotté qui s’offre à sa main, plutôt
détendu, en mode récupération. Pas pour longtemps, pense -t-elle avec une sourire.
Maxime n'a pas le temps de réaliser
ce qu'il lui arrive. Béatrice, a déjà déclenché la nouvelle fessée et lui
claque le derrière d'une main vigoureuse. Fessée promise, fessée due. Elle est
comme annoncée, brève mais intense et surtout très efficace à lui recuire les
fesses sous une rageuse distribution de claquées. Ça crépite à nouveau dans le salon, dont la
résonance amplifie avec bonheur la brillante sonorité du fessier en pénitence.
Emportée pas une colère froide qui
monte à mesure qu'elle fesse, la sévère maman sermonne son fils en appuyant les
allers et retours d'une fesse sur l'autre.
« Je t'en ficherai moi des excès de
vitesse ! Et des points de perdus sur le permis ! Sans compter que
c'est moi qui vais devoir payer l'amende ! Je vais me rembourser sur tes
fesses ! Et je te garantis que tu vas me l'apprendre ce code de
conduite... sous les fessées ! Interrogation dans cinq minutes !»
Secoué, ballotté sur les cuisses de
sa mère fesseuse, glissant sans cesse sur ses bas nylon, rattrapé brutalement
et remis en position sans ménagement, le malheureux à bien du mal à fixer son
attention sur le livret posé au sol devant lui. Lire et retenir quoi que ce
soit, la vue brouillée par les larmes qui tombent à grosses gouttes sur les
pages, c'est pratiquement mission impossible.
Mais la méthode Béatrice s'avère
finalement efficace. Cinq fessées plus tard, dont la dernière plus longue et
déculottée pour mieux stimuler la mémoire, Maxime en pleurs, les fesses
écarlates et cuisantes, à genoux devant sa mère, fait un sans-faute sur ses
questions de code, Elle frotte sa main brûlante avec un sourire triomphant.
« Eh bien voilà mon cher !
C'est un vrai plaisir de te faire apprendre tes leçons. Cinq
fessées !... Cinq fessées pour retenir trois pages. Tu aurais pu faire un
meilleur score, une de plus et ça faisait deux fessées par page. »
Elle lui fait redresser la tête en
lui soulevant le menton de son index et le fixe droit dans les yeux. Le
malheureux est pathétique. Ses joues luisantes, dégoulinent de larmes mêlées de
morve. Il sanglote encore en essayant de reprendre sa respiration à grandes
bouffées d'air. Un gamin qui vient de se faire sévèrement corriger par sa mère.
Elle ironise encore
« Qu'est-ce qu'on dit à maman chérie
maintenant, Maxime ?
Il n'hésite pas une seconde. C'est une autre leçon qu'il a retenue celle-là.
« Merci maman pour ces bonnes
fessées...
– Mais encore...
– Et de t'être aussi bien occupé de
mes fesses.
–
A la bonne heure... Je me suis donné tant de mal... »
Souveraine, elle allonge le bras
pour obtenir un baise main. Rendu docile par les fessées, Maxime à genoux
devant elle, embrasse la main nonchalamment tendue, encore imprégnée de la
chaleur de ses fesses. Béatrice a un petit frisson de calme et de volupté. Elle
savoure le délicieux sentiment de puissance qu'elle éprouve devant le spectacle
des fesses rouges de son fils. Se promettant d'être encore plus sévère la fois
suivante pour obtenir une couleur un peu plus soutenue... Si c'est possible...
Certainement. Fesser plus fort... plus
longtemps... plus souvent... Elle ne sait pas encore.
« Bien, tu peux te reculotter et au
lieu de retourner au coin, tu vas t'occuper de ton martinet en guise de
pénitence.
– Oui maman... Oui...Tout de
suite.
– Fais le malin ! Tu mériterais
une autre fessée, pour que je sois obligée de te le rappeler. Je veux que tu en
prennes soin, que tu l'entretiennes régulièrement au moins une fois par mois.
Je l'ai trouvé moins cinglant sur tes fesses tout à l'heure. Tu vas me cirer et
lustrer chaque lanière pour qu'elles soient bien souples et plus compactes.
J'attends un résultat parfait. Il y en a
douze, si tu en oublie une, Je te les fais reluire sur les fesses !
« Je prends quoi comme huile
maman ?
– Quelle question ! Comme si tu
ne savais pas... De l'huile de massage bien sûr. Et je veux du cuir qui brille,
ça claque mieux !»
Madame de Blagnac était une amie
très proche de Béatrice. Elle tenait une boutique de lingerie pas très loin du
salon de coiffure. Leur proximité commerçante leur avait rapidement permis de
faire connaissance. Chacune profitant des services de l'autre.
C'était une belle et forte femme,
d'allure altière, sans être méprisante, elle affichait une petite cinquantaine
triomphante et décomplexée. Du haut de son mètre quatre-vingt, talons aiguille
compris, sa stature imposante dégageait une impression de force et d'autorité
naturelle qui impressionnait son monde. Elle s’habillait avec goût, sachant
toujours mettre en valeur ses formes opulentes dans des petits tailleurs très
moulants, parfois à la limite du provocant, sans plus. Ses jupes surtout. Très
serrées et très courtes, descendaient à peine en dessous de ses jarretelles,
révélant la plupart du temps la lisière noire de ses bas nylon. Il suffisait
qu’elle se baisse un peu pour offrir à ses clientes l'occasion de juger sur
pièce un échantillonnage des articles de lingerie qu'elles pouvaient trouver
dans sa boutique. Des tenues un peu
osées, mais portées avec une distinction naturelle qui l’éloignait de toute
forme de vulgarité.
Elle fournissait ces Dames en
dessous, plutôt chics, notamment les fameux bas ''Gio'' dont son amie Béatrice
faisait un usage régulier pendant les fessées au martinet qu'elle administrait
à son fils. Commerçante avisée, elle proposait aussi, à ses clientes initiées,
des instruments de correction et accessoires, très appréciés pour agrémenter
leurs séances de discipline.
Madame de Blagnac était en fait très
complice de Béatrice. Elle entretenait avec elle une sincère amitié nourrie
d'une conviction commune sur les bienfaits des châtiments corporels. Elles s’entendaient à merveille, multipliant
les occasions d'échanger, de partager leurs expériences, de se conseiller
mutuellement pour parfaire leurs méthodes d'éducation ! Derrière son allure
bourgeoise empreinte de retenue et de froide élégance, malgré ses tenues
provocantes, de Blagnac cachait une femme d'une tout autre personnalité. A
poigne celle-là, exigeante, sévère, au caractère intransigeant. Elle en
exprimait la nature à travers l’autorité sans faille qu’elle exerçait sur son
entourage. Son mari et ses deux filles, Justine et Sandrine, n'étaient pas
ménagés. Chez elle, ça filait droit, à la fessée et au martinet, au moindre
écart de comportement.
Avec Edwige, Gladys et une charmante
Madame Thérez, récemment rencontrée au salon de coiffure, De Blagnac faisait
partie de cet aréopage de maîtresses femmes qui prônaient l’instauration d'une
rigoureuse discipline domestique, croyant à la nécessité de recourir
systématiquement à la fessée et au martinet pour la faire respecter. Elles s'invitaient mutuellement, les unes
chez les autres avec fils et maris pour célébrer et comparer les bienfaits de
leurs méthodes éducatives. Ces savoureuses réunions dites « Tupperware''
dégénéraient régulièrement en cuisantes séances de fessées durant lesquelles
les fessiers de ces messieurs, traînés là pour l'occasion, en voyaient d'une
seule couleur : le rouge !
C'est dans cet esprit que Béatrice
conviait Madame de Blagnac à venir partager différents événements festifs du
calendrier. Maxime redoutait ces journées particulières que sa mère mettait à
profit pour instaurer des rituels de célébrations, dont ses fesses ne sortaient
jamais indemnes.
Chaque année, ce jour de Chandeleur,
Maxime aux fourneaux sait qu'il n'a pas droit à l'erreur. Ces dames sont très
exigeantes. Il sait aussi, par avance, qu'elles trouveront aisément un motif
pour critiquer ses crêpes ou sa façon de les servir et n'échappera pas aux
fessées déjà programmées. Dès le matin d'ailleurs Béatrice sort toujours le
martinet, qu'elle met bien en évidence sur la table du salon, à côté d'une
paire de bas « GIO» ! La fameuse
marque à la texture plus rêche destinée à ses joues pendant les fessées passées
entre ses cuisses. Il sait alors qu'il aura bien du mal à s'asseoir en fin de journée.
Les fêtes de fin d'année faisaient
partie du même cérémonial avec l’inévitable « fessée du Nouvel An » administrée
uniquement par prévention. '' Pour bien
commencer l’année ‘‘. Béatrice commandait pour l'occasion un martinet auprès de
Madame de Blagnac qui se chargeait, de bien tremper les lanières de cuir dans
de l'eau salée, pour les rendre encore plus cinglantes. Entre le champagne et
les petits fours, le derrière de maxime avait tout loisir d'en apprécier
plusieurs fois l'efficacité.
Mais la date la plus importante pour
Béatrice est, de loin, celle de la journée internationale de la femme. Elle en profite
chaque année pour exercer tout son pouvoir sur son fils en le soumettant à
toutes ses volontés et à tous ses caprices, au cours de séances cuisantes pour
son postérieur et irritantes pour ses joues... Ses cuisses sont donc prêtes à
le recevoir toute la journée, "en 1ère classe", évidemment ! Des fessées et du martinet à volonté, en libre-service,
aime dire sa charmante mère en plaisantant ! Par contre, elle ne plaisante pas
lorsqu'il s'agit de lui rappeler que c'est la femme qui commande à la maison,
et dans la vie en général... Les
lanières du martinet n'ont pas beaucoup le temps de refroidir, ses fesses non
plus! A ce régime-là, le soir, il peut à peine s'asseoir sur une chaise tant
son postérieur lui chauffe et il va de soi que la nuit, il doit dormir sur le
ventre... La journée de la femme avec Béatrice, on y pense beaucoup, avant et après
!
Deux jours après la mémorable séance de
fessées consacrée à la révision du code de la route, Béatrice avait décidé que
les fesses de Maxime avaient suffisamment récupéré pour supporter une nouvelle
correction.
Elle
avait fait irruption dans sa chambre en brandissant un pull-over dans chaque
main.
«
Maxime, tu peux me dire à quelle température tu as mis ça à laver ? Ça a
tellement rétréci qu'on dirait des layettes pour bébé !
– Euuuh... je ne sais pas maman,
j'ai dû laisser le réglage de la lessive précédente. Je n'ai pas fait
attention.
–
Je ne te le fais pas dire ! La dernière lessive c'était des draps !
...A cent degrés ! Il va falloir que tu apprennes un jour à te servir d'un
lave-linge mon cher...Tu sais ce que tu viens de gagner ? »
Un
ange passe, le pantalon aux chevilles... Maxime ne répond pas.
«
Tu descends immédiatement préparer tes fesses dans le salon ! Je te
rejoins tout de suite ! »
Allongé à plat ventre sur les cuisses de sa
mère, il s'était pris une première salve à travers le slip en guise de
préliminaire. Une solide fessée, claquée d'une main ferme qui lui avait déjà
bien chauffé le derrière sous le nylon quand qu'elle décida de passer à la
suite.
–
« Oh la, la ... on dirait que ça chauffe dur dans le slip... il est temps
d'aérer un peu »
Elle
saisit l'élastique, le déculotte en un tour de main, et lui allonge dans la
foulée une retentissante deuxième fessée qui finit de lui rougir entièrement le
derrière.
Lorsqu'elle
met fin à la première partie de la correction, le fessier rayonnant a déjà
augmenté de volume. Ça sent le nylon chaud et la fesse brûlante, tout autant
que les larmes de Maxime, versées généreusement sur le carrelage. Béatrice est
satisfaite. Ce début de raclée est rondement mené.
–
« Voilà … après ce petit hors d’œuvre, tes fesses sont prêtes pour attaquer le
plat de résistance. Vas me chercher ton martinet et mes bas ; Et dépêche-toi
sinon je double la dose ! »
Le
pauvre garçon, part aussi vite qu'il le peut, freiné dans sa progression par
son pantalon et son slip, baissés. Il revient, son martinet à la main, un peu
essoufflé d'avoir monté et descendu précipitamment les escaliers jusqu'à la
chambre de sa mère. Il lui tend ses bas nylon, objet du tourment de ses joues.
Jupe retroussée, elle les enfile jambes en l'air devant lui avec un petit
rictus provocateur, attache une à une ses jarretelles, et se met debout en
désignant le sol entre ses jambes.
«
En position, et cette fois silence ! Je veux entendre mes bas crisser contre
tes joues pendant que je te fesse ..."
Maxime,
docile est habitué à prendre la position, il plonge en avant et encastre sa
tête entre les fortes cuisses qui se resserrent sur son cou pour lui maintenir
les fesses en l'air, bien tendues. La terrible fessée commence, à grand coups
de martinet. Elle est si cuisante que le malheureux s'agite aussitôt et exécute
une frénétique danse des fesses en s'agrippant des deux mains aux cuisses
puissantes qui lui compriment les joues. Tout en fessant, Béatrice le sermonne
en augmentant sa prise d'élan pour abattre les cinglées de plus haut. Le
fessier est strié de marques de lanière sur toute la surface.
«
Si tu me files un bas avec tes ongles, je te file une deuxième tournée et je te
garantis que tu t'en souviendras !"
L'avertissement
arrive trop tard, à force de se débattre sous les cinglées il accroche un bas
qui file aussitôt tout au long de la jambe, traçant une fine ligne couleur chair,
nettement visible sur le nylon noir.
D'une
dernière giclée de martinet, Béatrice met fin à la magistrale fessée. Les
fesses de Maxime sont entièrement recouvertes de zébrures rouge foncé. Il se
relève, en nage, essoufflé, les oreilles et les joues douloureusement
empourprées. Il est encore à moitié courbé et se tient les fesses à pleines
mains.
«
Mamaaaan... tu tapes vraiment fort... Ce martinet fait trop mal... Je ne sens
plus mes fesses !
– Oh si tu vas les sentir, et dans pas
longtemps ! Parce ne crois pas que je ne me suis pas aperçue que tu m'avais
filé un bas... Tu n'as plus qu'à aller m'en racheter une autre paire à la
boutique de lingerie !
– Ah
non, maman, s'il te plaît, pas maintenant … J'ai trop mal !
– Trente minutes en pénitence sous le
bureau ! Le temps que tes fesses récupèrent et tu fais ce que je te
demande. Madame de Blagnac va être très contente de te voir... »
Maxime
regarde sa mère d'un air interrogateur, Il sent qu'elle manigance quelque
chose.
– « Très contente même... Nous avons convenu
qu'elle te flanquerait une fessée à chaque fois que je t'enverrai me racheter
une paire de bas parce que tu m'en auras filé un ! Je tiens à ce qu'elle participe à tes
punitions.
Le pauvre garçon est effondré par le cynisme de sa mère qui ne
semble pas s'émouvoir plus que ça de l'envoyer se faire claquer le derrière par
une acharnée de la fessée, si peu de temps après la raclée au martinet qu'elle
vient de lui administrer. Il la regarde, des larmes plein les yeux. Il s'est
déjà fait passer le derrière au laminoir sur les cuisses de la redoutable
créature et en garde un effrayant souvenir. Il n'avait pas pu supporter un slip
pendant trois jours !
«
Mais maman… Elle tape tellement fort, madame de
Blagnac... elle a des mains comme des battoirs !
– Ça suffit Maxime, cesse
de te plaindre comme un gamin ! Tes fesses ont largement le temps de récupérer.
– Oh maman… s‘il te plaît ! Pas les fessées de madame de Blagnac
! »
Béatrice n’avait pas pour habitude de céder aux supplications de
son fils. Indifférente à son angoisse elle se réjouit même intérieurement de
lui infliger la honte d’aller se faire rougir les fesses par son amie.
«
Au coin Maxime ! La conversation est terminée. Je ne veux plus t’entendre.
–
Ooooh maman, je t’en supplie…
–
Attention Maxime ! Encore une réflexion et
ce sera la fessée déculottée avant de partir ! Et tu arriveras chez madame de
Blagnac les fesses déjà rouges, prêtes à l’emploi ! »
Pour
le coup Maxime est calmé. Il file en pénitence sous le bureau se détendre
le derrière. Il a une demie heure de remise en état avant la suite. La cuisson
commence à s’estomper, lorsque la voix de sa mère le sort de sa torpeur.
«
Debout Maxime, tu dois aller réparer tes bêtises »
Marmonnant
entre ses dents, il enfile sa veste et se dirige vers la porte, poursuivi par
le ton sarcastique de sa mère.
« Et tu arrêtes de murmurer Maxime. Encore un mot et tu pars
d’ici avec une déculottée aux fesses ! Ça ne me déplairait pas de te faire
faire le trajet jusque chez madame de Blagnac, les fesses rouges et cuisantes !
Quelle bonne surprise pour elle au moment de te déculotter ! »
« Non maman, je t‘en prie, c’est bon ! Pas la fessée déculottée
! Je vais m’en prendre suffisamment comme ça d‘ici la fin de la journée ! »
Résigné, car fixé sur son sort, Jérôme sortit et prit avec anxiété
la direction du magasin de la terrible madame de Blagnac. Il avait, de
justesse, échappé à une fessée déculottée avant de partir mais ce qui
l’attendait là-bas avait largement de quoi l‘angoisser.
Des nœuds dans la gorge, les jambes tremblantes, il entra dans la
boutique de lingerie. Sur le moment il vit personne d'autre que la
propriétaire. Sa mère avait dû la prévenir au téléphone de son arrivée. Elle l’attendait visiblement, impériale,
assise sur le tabouret à fessée qui trônait au milieu du magasin, toujours prêt
à servir en cas de nécessité.
Lorsqu’elle vit arriver Maxime, la belle femme, tout sourire,
poussa un soupir de satisfaction en croisant haut les jambes. Sa jupe se
retroussa sur ses cuisses dévoilant le renfort noir de ses bas nylon et la naissance
de ses jarretelles. Elle ne vendait pas de la lingerie pour rien et c’était une
façon comme une autre de montrer en vitrine, un échantillon de ce qu’elle avait
en magasin.
–
« Ah te voilà Maxime !... Je t'attendais avec impatience ... »
Avec les dessins originaux de l'auteur !
Ne perdez pas le fil du feuilleton ! Pour ceux qui se seraient égarés ...
Le début : chapitre 1 de la saison 1
et celui de la saison 2 : chapitre 1
Voici l'épisode précédent : chapitre 10
Il y a une suite, le chapitre 12
et celui de la saison 2 : chapitre 1
Voici l'épisode précédent : chapitre 10
Il y a une suite, le chapitre 12
Ramina est l'auteur de nombreux récits et commentaires sur ce blog.
Juste retour des choses il attend les vôtres. Ecrivez vos appréciations, vos retours, vos questions ... dans le cadre ci-dessous. Ramina vous répondra.
Si vous voulez un échange plus privé voici un courriel pour le joindre : ramina16@laposte.net
Un excellent texte, tel que vous nous y avez habitué. Le pauvre Maxime risque bientôt de se prendre une fessée de Blagnac, qui semble être une femme comme il faut. Et pourquoi pas devant les deux filles de celles-ci ?
RépondreSupprimerUne petite erreur dans votre texte toutefois, où Maxime devient Jérome.
Bonjour, Anonyme.
RépondreSupprimerEh oui, vous êtes plus perspicace que moi, qui pourtant relis plusieurs fois avant d'envoyer à la publication.
J'avais initialement choisi pour ce personnage, le prénom de Jérôm. J'ai décidé ensuite de le remplacer car déjà utilisé dans une histoire de JLG. je l'ai remplacé par Maxime, oublié dans cette partie du texte écrite du temps de "Jérôme"...
Il n'est pas impossible que les filles de Madame de Blagnac aient un rôle dans cette histoire.
Merci pour votre encourageante appréciation.
Cordialement
Ramina
Bonjour Messieurs,
RépondreSupprimerEncore un bel épisode bien réaliste... Superbe. Les pauvres garçons n'ont pas encore fini de faire cuisante pénitence au pieds de leurs souveraines de mères.
Quel suspense ! la dernière phrase sur un ton ironique et triomphant présage pour le jeune homme un moment... épique (qui pique ! Mais voyons Peter, on ne se moque pas du malheur des autres. Si ta chère mère t'entend !!! - Oui, mais... mais c'est pour rire ! - Mouais ! Rira bien qui rira le dernier ! ). Ca va chauffeeeeeer !!!
Rires. Peter.
Bonjour, Peter,
RépondreSupprimerEt oui, chers amis, suspense. Un peu comme les histoires en BD à parution hebdomadaire. Le fin de la planche restait toujours en suspend et il fallait attendre la semaine suivante pour connaître la suite.
Bon, là, on se doute que notre ami maxime va probablement passer un sale quart d'heure entre les mains de madame de Blagnac... Fessera bien qui fessera la dernière ! Même si ce ne sera pas la dernière!
Mouais, M'enfin!!!... je trouve que vous avez des expressions à la Gaston Lagaffe!
Euuuh... Il me semble bien que Anonyme est une dame... M'enfin!
Cordialement
Ramina
Bonjour Ramina,
RépondreSupprimerAh Gaston le Gaffeur ! Ca m'étonne qu'il ne s'en soit jamais reçu une sévère ? Avec ses inventions abracadabrantes pour se fatiguer le moins
possible...
Mais j'y pense: quelle coïncidence : nos héros auraient pu porter le même prénom ??? Quelle idée visionnaire ! Mazette ! Serions nous extra-lucide ? Hum...
Bon WE. Peter.