Où les fessées claquent chez Madame de Blagnac.
Maxime,
toujours en pénitence après sa fessée, le nez au mur entre la caisse et un rayonnage
de soutien-gorge, commençait à ressentir quelques engourdissements dans les
jambes, dus à l'immobilité forcée de sa position.
L'élastique de son slip tendu
en travers des cuisses, qui avaient pris aussi leur dose de claques, lui sciait
la peau et commençait à lui faire mal. Si la cuisson de ses fesses s'était
légèrement atténuée, leur rougeur tenace rayonnait encore généreusement, en
témoignage de la magistrale fessée que madame de Blagnac lui avait flanquée à
son arrivée dans le magasin. Une correction administrée sur les instances de sa
mère qui n'hésitait pas à élargir sa zone d'influence en sollicitant les
cuisants services de ses amies fesseuses.
Ces Dames,
solidaires dans l'exercice d'une méthode d'éducation rigoureuse mais juste,
n'hésitaient jamais à se prêter main, très forte, sur une paire de fesses
nécessitant une urgence disciplinaire. Madame de Blagnac était une ardente
contributrice à la cause. Elle mettait volontiers l'espace confortable de sa
boutique et son expérience, à disposition des épouses friandes de fessées
conjugales en public.
Maxime avait
beau être habitué aux sévères corrections que sa mère lui infligeait
régulièrement, la puissance de feu de la forte femme lui avait tout de même
fait monter le derrière à un niveau de cuisson rarement atteint.
Malgré quelques
exagérations dues à l’enthousiasme d'une entourage féminin inconditionnel de la
fessée, la réputation de Claridge de Blagnac n'était pas surfaite. Même si,
dans le milieu concerné, circulait la rumeur, non confirmée, qu'elle avait un
jour éclaté un slip sur les fesses de son mari au cour d'une mémorable raclée
administrée à la main, il n'en restait pas moins que ses fessées étaient
redoutables et redoutées. Il ne faisait pas bon faire un stage de recadrage sur
ses cuisses. Ces messieurs en redescendaient exténués, les fesses cuisantes,
claquées à l'écarlate, avec l'assurance d'en ressentir encore l'effet,
longtemps après la correction.
Les fesses de
Conrad, son mari, soumis à son implacable autorité, bénéficiaient largement de
sa puissante force de frappe, et claquaient sous sa belle main ferme à la
moindre occasion. Elle prenait d'ailleurs un malin plaisir à prétendre l'avoir
épousé pour le format avantageux de son postérieur et son intéressante
disposition à encaisser les fessées qu'elle estimait indispensables pour
parfaire son éducation. Celle d'un adulte immature, dont l'attitude souvent
irresponsable en nécessitait une utilisation régulière. Ses filles, élevées
aussi à la fessée en avaient adopté la pratique auprès de leurs maris
respectifs, ce qui rendait les séances de fessées en famille particulièrement
réjouissantes.
Toutes ces
Dames, fermement convaincues des vertus éducatives de leur pratique
disciplinaire, ne se gênaient pas pour en souligner, sans complexe, l'influence
revigorante sur le comportement, en priorité masculin. Claridge, par
provocation, profitait souvent d'une fessée administrée en public à son mari,
pour vanter les aspects bénéfiques de la méthode. Le malheureux, déculotté, en
larmes sur ses cuisses, les fesses écarlates et cuisantes, devait écouter la
leçon avant l'autorisation de se relever.
« Nous sommes toutes d'accord Mesdames. Il ne faut rien
laisser passer et sévir à la moindre incartade. Une bonne fessée déculottée
reste la clé de l'obéissance. Ces messieurs ne comprennent que ça, Une paire de fesses sévèrement claquée,
bien rouge et bien cuite, est la garantie d'une conduite exemplaire. »
Et d'ajouter
avec perfidie en s'adressant cette fois à son mari.
« Du
moins jusqu'à la fessée suivante... N'est-ce pas mon chéri ? »
Et elle
enchaînait aussitôt sur une deuxième fessée pour argumenter son propos avec
autorité et sévérité de circonstance.
Maxime venait
d'en faire la douloureuse expérience. Ses fesses lui cuisaient encore et
portaient les marques rougeoyantes de la main de la terrible femme qui l'avait
envoyé, déculotté, au coin en pénitence, après sa magistrale correction. Une
fessée sur commande que sa mère avait demandé qu'elle lui soit administrée pour
le punir de lui avoir filé un bas pendant une correction. Il avait presque fini
par oublier que c'était pour en racheter une paire qu'il se trouvait dans la
boutique de lingerie et qu'il avait reçu cette cuisante fessée. Il commençait
d'ailleurs à s'inquiéter du retard avec lequel il allait rentrer et
l'inévitable réaction de sa mère. Comme à son habitude, elle ne priverait du
plaisir de lui flanquer une nouvelle fessée. Tous les prétextes étaient bons
pour lui en mettre une, ne serait-ce qu'à titre préventif s'il n'était pas
entièrement en faute.
Ces Dames
semblaient ne plus faire attention à lui, beaucoup plus occupées par les essais
de '' slip à fessées'' du mari d’Edwige. Obéissant aux consignes de ne pas
bouger il avait seulement entendu claquer les fesses du malheureux, ses
supplications larmoyantes et les éclats de voix de Claridge et Stéphanie
encourageant Edwige à taper fort. Tout juste s'était-il furtivement retourné
pour apercevoir la sévère épouse de dos, et sa croupe opulente tressautant au
rythme de la fessée qu'elle administrait à son mari.
Alors que les
gémissements de Stephen continuaient près de la cabine d'essayage, Maxime
entendit le claquement de deux paires de talons aiguille qui venaient dans sa
direction. Il frémit légèrement en serrant instinctivement les fesses, ne
sachant à quoi s'attendre. Ces Dames ne l'avaient pas oublié. La voix forte de
Madame de Blagnac retentit dans son dos.
« Voyons voir où en sont les fesses de notre ami Maxime
après la déculottée que je lui ai mise tout à l'heure. »
Il sentit son parfum capiteux l'envelopper lorsqu'elle fut
derrière lui. Elle caressa chaque fesse d'une paume bien enveloppante et
les fit rebondir l'une après l'autre dans sa main à petites tapes sèches. Elles
étaient encore agréablement chaudes. Elle remonta la raie d'un doigt
nonchalant, et par jeu, les tapota de nouveau pour confirmer l'état des lieux.
– « On voit que maman s'en occupe bien, elles sont habituées
à recevoir la fessée... et elles récupèrent vite ! Qu'en pensez-vous
Stéphanie ?
– C'est vrai, elles récupèrent vite... je trouve même
qu'elles ont perdu un peu d'éclat. C'est bien dommage le rouge leur va si bien.
– Vous avez remarqué aussi !
– Oui, je pense qu'il faudrait raviver la couleur, lui
redonner du lustre...
– Tout à fait ma chère, vous avez raison. Une paire
comme celle-là nécessite un entretien
régulier. Vous pouvez vous en charger Stéphanie ? Vous savez
comment procéder ?
– Certainement madame, avec grand plaisir ! C'est une
méthode que j'utilise fréquemment sur les fesses de mon mari.
– Et vous obtenez de bon résultats ?
– Excellents madame … Fesses rouges
garanties !
– Bien, alors faites-moi reluire celles-là ! Une belle
fessée avant de partir pour qu'il ramène à la maison un derrière bien rouge et
en pleine forme. Béatrice, sa mère, sera enchantée.»
Les deux femme s'amusaient visiblement à entretenir un
dialogue on ne peut plus explicite sur leurs intentions, dans l'unique but
d'impressionner Maxime qui n'en perdait évidemment pas une miette. Il entendait
clairement la conversation, cuisses et fesses serrées d'appréhension, inquiet
de l'avenir immédiat de son postérieur entre les mains de ces Dames qui ne
semblaient pas décidées à le lâcher tout de suite. Il n'y avait d'ailleurs pas
que le sien exposés à cette claquante perspective.
Devant la
cabine d'essayage, Edwige, impitoyable, déculottait son mari, la tête coincée
entre ses cuisses pour une deuxième fessée teste, cette fois de son nouveau
martinet. Elle apprécia, au passage, la souplesse des élastiques du fameux
'' slip à fessée'', qui, bien que très tendues sur les fesses permettaient
un déculottage facile, avec une descente tout en fluidité le long des cuisses.
Tout en le déculottant, elle sermonnait le pauvre homme qui la suppliait
d'attendre un peu que ses fesses aient récupéré avant d'essayer l'instrument de
discipline dessus.
« Voyons
Stephen, les fessées au martinet sont tellement meilleures sur des fesses bien
rouges. Alors avec des lanières neuves... Je m'en voudrais de ne pas t'en faire
profiter un maximum ! »
La voix
résignée du puni émerge, à demi étouffée, d'entre les cuisses de sa terrible
épouse.
« S'il te plaît chérie... Pas...pas trop fort la fessée...
C'est la deuxième...
– C'est moi qui
décide mon ami. Et je fesse aussi fort que je veux ! »
Claridge et
Stéphanie poursuivaient leur conversation et la mise en condition de Maxime à
recevoir une deuxième correction avant de le renvoyer chez lui. Il n'en
comprenait pas véritablement les raisons puisqu'il avait déjà pris la fessée
que sa mère avait demandé à madame de Blagnac de lui administrer. Il pouvait
lui en montrer la preuve, ses fesses en portaient encore les traces nettement
visibles. Il ignorait que le contrat fessée n'était pas entièrement rempli.
« Bien, Stéphanie... les fesses de Maxime sont à vous. Vous
avez pu constater leur capacité d'endurance, n'hésitez pas à taper fort, je
compte sur vous pour une solide fessée... bien cuisante !
– Faites-moi confiance madame, j'ai l'habitude. Je vais lui
soigner le derrière ! Comme je le fais avec celui de mon mari. Je vous
garantis qu'il a souvent du mal à s'asseoir après. »
A l'annonce de cette nouvelle fessée inattendue, Maxime
bondit en se tenant le derrière à pleines mains comme pour le protéger à
l'avance ce qu'il l'attend. Il en a déjà les larmes aux yeux,
« Mais ! Mais madame, ce n'est pas juste ! Vous
m'avez déjà puni tout à l'heure, j'en ai encore les fesses
brûlantes ! »
Claridge, aime qu'on essaye de lui résister pour mieux soumettre.
Ravie de la petite manifestation d'humeur, elle en profite pour remettre une
couche d'autorité. Derrière elle, Edwige fait monter l'ambiance dans la
boutique à grands coup de martinet sur les fesses déculottées de son mari qui
hurle d'emblée sa souffrance. La fessée cingle fort, sec et serré. Stephen se
perd en supplications inutiles.
Mains sur les hanches, le menton haut levé, de Blagnac
sermonne avec jubilation.
« Attention Maxime...
Encore un mot et je considérerai ça comme une tentative de rébellion. Et
là... c'est la grosse fessée ! Que je te mettrai après celle de
Stéphanie ! Autant dire mon garçon, que si tu ne changes pas de ton, les
fesses risquent de sacrément te cuire... et longtemps !
– Mais... Mais madame... Balbutie Maxime en pleurnichant et
fléchissant sur les jambes comme s'il avait mal aux fesses, ce qui, d'ailleurs,
était encore le cas. C'est juste que... que vous m'avez déjà mis une fessée
tout à l'heure ! ».
Claridge regarde le jeune homme avec un sourire suave et lui
répond la bouche en cœur. « Je vois mon ami
que vous avez oublié les habitudes de la maison. Ici, pour les messieurs
de passage on pratique la fessée en aller et retour ! Stéphanie vous
pouvez préciser pour notre ami avant de passer à la démonstration.
– Bien sûr Madame. C'est, une fessée en entrant et une
fessée en sortant pour repartir les fesses au chaud dans son nouveau ''slip à
fessée '' et un souvenir durable à la maison. Très simple. »
Maxime en oublie de se frotter le derrière, les bras
ballant, bouche bée, il regarde tour à tour les deux femmes, toute souriantes,
comme si elles venaient de lui annoncer une bonne nouvelle. Juste à côté,
Edwige, en pleine forme, redouble d'enthousiasme pour bien faire claquer les
fesses de son mari sous les cinglées de martinet qu'il encaisse en se
tortillant entre ses cuisses. A l'entendre pleurer et supplier comme un gamin
que sa mère corrige, les lanières neuves remplissent parfaitement leur
fonction.
« Tu vois mon chéri, je te l'avais dit. Les fessées au martinet sont encore
meilleures sur des fesses déjà rouges! Tu les sens bien ces cinglées.
Comme ça ! Et comme ça !!! Et encore comme ça !!! Oh comme elle
a bien claqué celle-là ! Mais arrête de gigoter, si tu veux que je te
fesse convenablement. »
Stephen envoie de furieuses ruades du derrière. Claridge enchaîne sans laisser le temps à
Maxime de réagir.
« Et puis, je me suis engagée auprès de ta mère pour que tu
lui offres une paire de fesses bien rouge lorsqu'elle va te déculotter pour la
fessée d'inauguration de sa paire de bas neuve.
– Mais... mais... C'est...
– Il n'y a pas de mais mon cher... Des bas filés, c'est la
fessée... comme la vaisselle cassée ! Maintenant assez discuté ! On
va gentiment présenter ses fesses à Nathalie qui va s'en occuper bien comme il
faut. Ensuite on rentre à la maison sans oublier de ramener sa paire de bas
''Rio'' à maman. C'est quand même pour cela qu'on est venu. »
Elle se tourne vers la jeune femme et lui lance un clin
d'oeil de connivence.
« Stéphanie ! la fessée... Et une bonne ! »
Dans le même temps ça continue à chauffer dur près de la
cabine d'essayage où Stephen vit un véritable calvaire. La tête solidement
coincée dans l'étau des cuisses de sa femme, il lance des appels désespérés
pour obtenir la fin de la terrible raclée au martinet qui lui strie
impitoyablement le derrière. Edwige ne faiblit pas et comme à son habitude ne
fait preuve d'aucune clémence. Indifférente à ses larmoiements elle continue de
lui faire chanter le derrière au rythme bruissant des lanières de cuir.
« Monsieur fait encore son douillet ! Tu peux crier,
pleurer, te tortiller autant que tu veux mon chéri ! Tu vas te prendre ta
fessée jusqu'à ce que tes fesses soient entièrement recouvertes des traces de
lanières. En long, en large et en travers. Je veux de belles lignes rouge
foncé bien réparti sur toute la surface ! »
Le malheureux fait des sauts de cabri en couinant de plus
belle sous les cinglées. Malgré ses ruades d'une défense un peu dérisoires, il
reste sous l'obligation de garder les fesses dans la bonne trajectoire du
martinet, sous peine de fessée supplémentaire dans la continuité de celle qu'il
est en train de prendre. Edwige est intraitable sur le positionnement de son
postérieur qu'il doit toujours lui présenter sous le meilleur angle de frappe
pour optimiser l'efficacité des fessées. Ses joues, écrasées dans l'épaisseur
des cuisses serrées, reluisent sous le frottement continu des bas nylon qu'il
inonde de ses larmes. Il a beau implorer, trépigner, baver de douleur,
l'inflexible épouse entend faire durer sa fessée jusqu'à obtenir satisfaction
sur la couleur et la cuisson de ses fesses.
Claridge a pris soin de reculotter Maxime pour laisser à
Stéphanie le plaisir de le déculotter elle-même avant de le corriger. En fesseuse
expérimentée, elle sait qu'une bonne descente de slip bien exécutée, avec
claquement d'élastique sur les cuisses, constitue un des moments les plus
savoureux du cérémonial de la fessée.
Stéphanie saisit Maxime
par l'oreille avec un petit sourire engageant et, sous l'oeil goguenard de
Claridge, le conduit vers le tabouret à fessée qui trône au milieu du magasin,
prêt pour un deuxième service.
« La fessée c'est par ici, jeune homme ! En
position... tout de suite ! »
Dit-elle joyeusement en retroussant sa jupe sur le haut de
ses cuisses qu'elle tapote du plat des deux mains pour lui indiquer
l'emplacement à occuper. Maxime n'a pas le temps d'apprécier la couleur de ses
jarretelles, noires comme ses bas nylon. Estimant qu'il n'obéit pas assez vite,
Claridge placée derrière lui le propulse sur les genoux de la jeune femme à grandes
claques sur les fesses. Il s'y écroule à plat ventre en poussant des petits
cris. En gourmande, la sévère matronne accompagne sa chute d'un aller et retour
supplémentaire sur chaque fesse en y laissant la marque pleine de sa main.
– « On a dit, en position pour la fessée ! Alors on
cale bien ses fesses et on les met à disposition, tendues pour la recevoir dans
les meilleures conditions !
– Oui madame ! Oui madame ! Je me mets en
position,,, Tout de suite ! »
Pleurniche Maxime, terrorisé, en se trémoussant sur les
cuisses de sa fesseuse afin de lui présenter son postérieur du mieux qu'il
peut. Elle le regarde se démener avec un sourire amusé et commence à relever la
manche de son chemisier, dégageant ainsi sa main pour fesser à l'aise.
Claridge, implacable, continue à le sermonner en insistant
avec jubilation sur les règles disciplinaires de la maison.
– « Les fessées ici, ça se déguste fesses en l'air, mon
cher. Tendues déculottées, bien déployées à la main du début jusqu'à la fin. Au
moindre relâchement du derrière ou mauvaise présentation, c'est une fessée
supplémentaire immédiatement après, C'est comme ça qu'on retient les bonnes
positions à prendre pour favoriser le déroulement de ses
déculottées ! »
Stéphanie déculotte son puni avec un plaisir manifeste,
– « Telle qu'on connaît sa mère, exigeante comme elle est,
elle lui a certainement appris à bien présenter ses fesses ! »
L'élastique du slip
claque sèchement en haut des cuisses.
Les mains à plat sur le sol Maxime frémit en sentant l'air
lui rafraîchir le derrière, pas pour longtemps. La jeune femme ajuste sa
position, frotte ses mains l'une contre l'autre pour les échauffer un peu et
lève la droite très haut au-dessus du fessier en pénitence pour prendre un
maximum d'élan.
– « Allez-y, très fort ! Encourage Claridge debout,
bras croisés, la poitrine hors limite de son bustier. Une bonne
fessée... Bien claquante, comme on les aime ! »
Stéphanie n'a pas
vraiment besoin de stimulation pour être efficace. Les fesses de Maxime
retentissent immédiatement sous une averse de claques qui les mettent
rapidement en mouvement. Elles tressautent en cadence, serrées ou écartées selon
l'angle de frappe, exécutant une danse frénétique des plus agréables à voir.
Elles sont encore sous l'effet de la première récente fessée et Maxime ressent
très vite sur toute la surface, une cuisson envahissante qui lui arrache
d'abord des gémissements puis de bruyants sanglots qu'il ne peut retenir. Ses
belles fesses sévèrement claquées ne mettent pas longtemps à reprendre de la
couleur. Elles s'enluminent du superbe rouge resplendissant dont l'éclat met si
bien les formes rebondies en valeur. Stimulée par l'excitante vision du fessier
virant à l'écarlate, Stéphanie accélère la cadence. La fessée gagne en ampleur
et en sévérité.
Le bruit des claquées de plus en plus fortes envahit tout
l'espace de la boutique, dèja bien occupé par l'éclat de la fessée au martinet
qu'Edwige continue à faire sonner sur les fesses de son mari. A ses cris,
pleurs et lamentations viennent s’ajouter ceux de Maxime, haletant et
tortillant des fesses sur les cuisses de sa correctrice. Le claquement
simultané des deux fessées résonne du sol au plafond en une retentissante
symphonie que les trois femmes apprécient d'une oreille avertie.
En cette fin d'après-midi, la boutique de madame de Blagnac
retrouve la chaude ambiance des séances de fessées qu'elle organise chaque
mois, en soirée.
,
Sous son allure légère et d'une apparente retenue, Stéphanie
déploie une étonnante énergie à fesser qui dénote un caractère beaucoup plus
autoritaire qu'il n'y paraît et une manière déjà bien affirmée de claquer un
derrière. Si elle n'a pas la frappe lourde et puissante de sa patronne, sa main
sèche, nerveuse et rapide fait sérieusement crépiter le derrière de Maxime. Celui-ci
témoigne de l'efficacité de la correction pas ses cris ininterrompus. De toute évidence elle n'en
est pas à sa première fessée, loin de là et il n'est pas étonnant de la voir
évoluer dans le sillage de madame de Blagnac, experte en la matière. Celle-ci
d'ailleurs, portée par une constante exigence de sévérité, continue de la
stimuler.
« C'est bien Stéphanie, vous avez un joli coup de main et
une bonne vitesse d'exécution, mais ce n'est pas encore suffisant pour bien lui
faire ressentir sa fessée !
– Ah mais madame, je peux taper plus fort, sans problème.
– Et bien ne vous gênez pas, claquez-moi ces fesses beaucoup
plus fort que ça ! Allez-y franchement, plus fort encore! Le garçon est
habitué à s'en prendre des sévères, Si vous saviez ce que sa mère lui met comme
déculottées au martinet ! ».
La voix saccadée par la percussion des claques qui tombent
en rafales sur ses fesses, Maxime lâche, entre deux sanglots, une plainte
dérisoire qui amuse beaucoup les deux femmes.
– « Raaahhhh ! S'il vous plaît madame, pas plus fort !!
Je la sens très bien la fessée ! Ouaiiiie ! Oh oui... très
bien ! Ça cuit ! ça cuit !
– Continuez encore ! Répond Claridge en appuyant son
injonction d'un signe de tête encourageant. Fessez le fort pour qu'il ramène un
beau derrière bien rouge à la maison. Je tiens à ce notre amie Béatrice soit
satisfaite de notre participation à l'éducation de son fils ! »
Stéphanie ne se fait pas prier et accélère une cadence déjà
bien soutenue, arrachant des cris de plus en plus stridents à sa victime qui tortille
frénétiquement du derrière sur ses cuisses. Le plantureux fessier rayonne
maintenant d'un resplendissant rouge cramoisi. Claridge commente avec un humour
ravageur.
« Excellent Stéphanie, voilà la fessée qu'il lui
fallait ! Vous entendez comme il s'exprime bien ? A partir d'un certain
niveau de cuisson de leurs fesses, ces messieurs deviennent, en général très
performants dans les aiguës. Façon de nous indiquer que la fessée est efficace.
Maxime vous récompense de l'énergie déployée à le corriger.
– Pour ça oui !
Répond l'intéressée en continuant à lui faire rebondir le derrière sous
les claques. Ça fait plaisir à entendre, on ne se démène pas pour rien. »
Maxime trépigne de douleur en tapant des mains sur le sol
qu'il inonde de ses larmes. Il n'en peut plus,
« Pitié madame Stéphanie !! Pitié ! Arrêtez la
fessée, ça... ça suffit ! J'ai... j’ai eu la punition que voulait
maman ! »
De Blagnac, magnanime à bon compte, après deux fessées
consécutives.
« Très bien, Stéphanie, belle fessée, bien cuisante ! Vous
pouvez vous reposer la main, il a pris sa dose ! Béatrice ne manquera pas
de constater à la couleur de ses fesses qu'on a corrigé le jeune homme comme il
se doit. Vous pouvez le reculotter... bien serré. »
D'une dernière rafale bien appuyée, la jeune femme achève
d'enluminer l'éclatante paire de fesses. Maxime épuisé, s'écroule, à bout de
souffle, entre ses jambes, Elle le remet à genoux fesses en l'air et le
reculotte sans ménagement. Il mugit, les fesses sous pression dans un slip
devenu trop serré.
Toujours prête à vanter la qualité de ses articles de
lingerie, Claridge, sans scrupule, saisit l'occasion.
« Solidement reculotté dans un slip à fessée, il sentirait
encore mieux et durablement l'effet de sa correction ! »
C'est alors que la voix enthousiaste d’Edwige se fait
entendre près de la cabine d'essayage.
« Eh bien moi je vais t'en prendre trois ! »
Elle est en train de reculotter son mari qu'elle tient toujours
courbé en deux entre ses cuisses. La correction s'est terminée par une
trépidante danse des fesses aux lanières. Elle le libère.
« Ils sont tout à fait efficaces, faciles à manier,
bien enveloppants, parfaits pour l'avant et l'après fessée ! »
Stéphen s'est écroulé par terre les fesses en feu
entièrement recouvertes de superbes traces rouges nettement visibles à travers
le nylon transparent du slip. Le test du martinet a tourné en magistrale fessée
de démonstration.
« Tu peux te relever et remonter ton pantalon
maintenant! »
Il s'exécute en grimaçant. Ses fesses sont extrêmement
douloureuses. Triomphante, claquant du talon aiguille, elle le traîne par
l'oreille vers la caisse, l'exhibant comme un trophée obtenu haut la main au
cours d'une fessée victorieuse. Il suit péniblement en couinant, à petits pas
courbé en deux à côté d'elle, stimulé par une main ferme et claquante au
derrière.
« Tu restes là et tu ne bouges pas ! Et je ne veux pas
t'entendre pleurnicher, sinon c'est la fessée en rentrant à la
maison! »
Claridge a laissé Stéphanie finir de s'occuper de Maxime qui
sort du magasin, les fesses en feu, lui aussi, la pochette de bas nylon pour sa
mère à la main. Elle ouvre un tiroir derrière la caisse,
« J'ai trois modèles de couleurs différentes, précise-t-elle
Noir, blanc ou rouge... comme tu veux.
– A ton avis ? répond Edwige en posant son sac et le
martinet encore chaud sur le comptoir. Tu me conseilles quoi ? »
Claridge étale les trois slips de couleur devant elle.
« Eh bien... si tu veux mon avis, le noir est certainement
le plus stimulant par contraste avec la couleur de la peau, le blanc très
transparent est pratique. Il facilite le suivi de la couleur des fesses pendant
les fessées. Le rouge, lui, est intéressant comme valeur de référence pour
s'amuser à obtenir des fesses de la même couleur.
« Ah oui, il est bien celui-là ...
– J'ai un modèle rouge plus foncé, que je conseille pour les
fessées très sévères ».
Edwige songeuse, est en pleine réflexion lorsqu'elle
surprend son mari, à côté d'elle en tain d'esquisser le geste de se frotter le
derrière à travers son pantalon.
« Qu'est-ce que j'ai dit Stéphen ? On ne bouge
pas ! Tu n'en as pas eu assez sans doute ! Essaye encore une fois et
je te déculotte immédiatement pour une nouvelle fessée sur le champ
! »
Elle se retourne vers Claridge.
« Je vais prendre un slip de chaque couleur et deux rouge
foncé... Excellent modèle, très astucieux et très utile. Monsieur à de
plus en plus besoin de fessées très sévères ! »
Elle regarde son mari avec un sourire prometteur.
« Avec cet excellent martinet, voilà de quoi renforcer ta
discipline mon chéri! Tu as intérêt à filer droit et bien préparer tes fesses.
Je n'ai pas fini de te les rougir...les fessées vont claquer sec et encore plus
souvent ! A commencer par la nouvelle qui t'attend en rentrant à la maison
pour le geste non autorisé que tu viens de faire. »
Ne perdez pas le fil du feuilleton ! Pour ceux qui se seraient égarés ...
Le début : chapitre 1 de la saison 1
et celui de la saison 2 : chapitre 1
Voici l'épisode précédent : chapitre 13
Il y a une suite, le chapitre 15
et celui de la saison 2 : chapitre 1
Voici l'épisode précédent : chapitre 13
Il y a une suite, le chapitre 15
Ramina est l'auteur de nombreux récits et commentaires sur ce blog.
Juste retour des choses il attend les vôtres. Ecrivez vos appréciations, vos retours, vos questions ... dans le cadre ci-dessous. Ramina vous répondra.
Si vous voulez un échange plus privé voici un courriel pour le joindre : ramina16@laposte.net
Bonjour Ramina,
RépondreSupprimer"Concerto à trois en Ré majeur"...
Beau programme musical !!! Magnifiquement orchestré avec brio.
Avec un tel succès, le cercle des passionnées de la percussion fessière risque de trouver de nouvelles et nouveaux adeptes.
Chaque vendredi en soirée dès 21 heures. Billetterie ouverte dès 9 heures."
Voilà qui intéresserait surement Mam'e Bellebourge...
Au passage : dessins très réalistes, en particulier le second. Captivant.
Amicalement. Peter.
Bonjour Peter,
RépondreSupprimerCommentaire toujours percutant ... Concert de fessées tous les vendredis! Quelle bonne idée !
Ces Dames n'en sont pas là mais il n'est pas impossible que l'une d'entre elle organise une petite soirée Tupperware un peu spéciale. Et Mam's Bellebourge pourrait bien être de la partie! Allez savoir.
Merci pour le compliment dessin... Il faut dire que j'y passe pas mal de temps. Vous savez ce que c'est.
M'autorisez vous à utiliser l'image d'un de vos personnages féminin pour une éventuelle illustration. J'aime assez les cousines qui pourraient représenter la famille Bellebourge. Gérôme aussi peut-être.
La fessée est propice aux rencontres... Bien orchestrées !
Cordialement
Ramina.
Bonjour Ramina,
RépondreSupprimerUne petite réunion Spanking-ware ? Une excellente idée pour promouvoir différents types d'instruments de punition à utiliser... sans modération sur les popotins récalcitrants !
Oui, dessiner demande du temps surtout pour les visages car même stylisés , cela exige un certain réalisme.
La plupart des dessins pour "mémoire..." sont colorisés en même temps que je regarde un film au salon. Il m'arrive d'en improviser aussi.
Bref, mes soirées sont bien remplies.
Pas de problème pour réutiliser mes petits personnages: je vous en cède les droits. Rires.
Justement: m'autorisez vous à réutiliser "Mam'e Gladys" pour une saynète du diner entre mamans ?
Les bonnes fessées se rencontrent. Rires.
Amicalement. Peter.
Bonsoir Peter,
RépondreSupprimerMais bien sûr... Faites donc cher ami...libre de droit. Conjuguons nos talents comme ces dames conjuguent celui d'éducatrices averties. je pense d'ailleurs à un épisode rencontre entre deux mamans sévères, en échange de bons procédés sur les fessiers de leur progéniture immature. Comme j'aime vous le voir écrire "ça va chauffeeeeer!!"
A bonnes fesseuses salut!
Ramina